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La nuit d'Emma - 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 20/04/2023

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La nuit d’Emma
2 ième partie


Appuyé sur ses coudes, Antoine m’embrasse et commence un lent mouvement de va et vient qui me masse délicieusement le vagin. Je sens son énorme gland frotter mes parois intimes. Je ferme les yeux sous cette douce sensation. Subitement je réalise qu’il est en train de me faire l’amour et ça je ne le veux pas. L’amour, je le réserve uniquement à mon mari. Non, je veux qu’il me baise. Je me ressaisis.

- Baise-moi Antoine, baise-moi !

Il me regarde, étonné.

- D’accord Emma, je ne demande que ça.

Il se relève sur ses bras et commence à me pénétrer avec force. Ses coups de reins sont majestueux. Ils sont dirigés de bas en haut et de gauche à droite en alternance. Cette queue dure comme du bois commence à faire son effet et fait monter en moi cette douce chaleur.

Je vais au-devant de sa pénétration, ses deux amis me tirent les tétons, les mordillent, les pincent, bref tout ce qu’un homme peut faire avec. Je gémis de nouveau sous toutes ces caresses. Je sens la jouissance arriver. Antoine s’en rend compte car il doit baigner dans mon liquide intime que je sens couler hors de moi. Il accélère ses mouvements.

Je suis totalement écartelée par ce sexe monstrueux mais c’est divinement bon. Je le regarde, il a les mâchoires crispées sous l’effort. Il ne va pas tenir beaucoup plus longtemps. Je sens que mon plaisir arrive très vite lui aussi. Je lui crie

- Vas-y ! Baise-moi à fond, défonce-moi !

Il redouble d’efforts qui paient. Mon sexe explose en une multitude de morceaux. Je crie mon plaisir. Il continue encore ses coups de reins. Je le sens grossir encore un peu puis il éjacule. Ses puissants jets de sperme frappent le fond de mon vagin. Il ne s’arrête pas pour autant. Sa queue a des soubresauts. Il ralentit enfin son mouvement avant de le stopper complétement. Il cherche lui aussi à reprendre son souffle. Il me sourit.

- Alors, comment as-tu trouvé ?
- Splendide !
- Et toi, tu as apprécié, lui demandé-je timidement ?
- J’ai adoré !

Il retire son sexe de mon vagin et me le donne à sucer. Un mince filet de sperme en sort encore. Je le prends dans la bouche avec quelques difficultés tellement il est encore gros. Luisant de nos jouissances, il a nos deux goûts. Je lui presse les testicules. Ce traitement semble lui plaire car il grogne de plaisir, ses doigts dans mes cheveux.

Je le nettoie avec application tout en pensant qu’il y a quelques secondes encore il se trouvait au plus profond de moi. Rien qu’à cette idée je ressens une nouvelle envie de sexe en provenance de mon ventre. J’ai les nerfs à fleur de peau.

Je n’ai pas toujours aimé le goût du sperme. C’est même tout récent. À l’exception de ma première fois lorsque j’avais 16 ans, Dylan, mon premier petit ami me forçait à avaler le sien lorsque je le suçais. C’était une sensation très désagréable pour moi et j’étais à la limite de vomir. On s’est quitté et j’ai rencontré Benjamin. Lors de notre premier rapport sexuel, je l’ai prévenu que je n’aimais pas du tout avaler le sperme. Il a très bien compris le problème et s’est toujours retiré pour jouir sur moi. Et cette manière de faire a duré jusqu’au début de cette année.

Le soir de la Saint Valentin, j’ai voulu lui faire le cadeau que tous les hommes aiment. Jouir dans la bouche de leur partenaire. Je lui ai dit d’aller jusqu’au bout et de ne pas se retirer. Il refusa, arguant le fait que jouir dans ma bouche serait vraiment très agréable pour lui mais respecter mes limites l’était encore plus. Il m’a alors proposé de m’initier à aimer le sperme, ce que j’ai accepté.

Les fois suivantes, après avoir éjaculé sur moi, il récupérait un peu de sa semence avec un doigt et me le faisait sucer. Il répétait l’opération jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus une goutte. Parfois c’était avec sa langue et il m’embrassait ou bien avec son gland qu’il me faisait lécher. Petit à petit j’en ai apprécié le goût et la texture si bien qu’aujourd’hui je n’en perds plus une seule goutte.

Antoine se retire de ma bouche, m’embrasse encore une fois et descend du lit. Je m’assois le dos contre la tête du lit et jette un regard dans la chambre. Je ne l’avais pas encore remarqué mais ils sont tous à poil maintenant. Ils se sont certainement déshabillés pendant qu’Antoine s’occupait de moi. Quelqu’un est allé récupérer les vêtements dans le salon car ils jonchent maintenant le plancher de la chambre.

C’est la première fois que j’ai autant d’hommes nus autour de moi, le sexe raide, le gland décalotté et luisant d’envie. Ils ont tous le pénis et les testicules de rasés et les poils de leur pubis sont coupés courts. C’est très propre, joli et excitant de voir des hommes entretenir leurs attributs virils de cette façon.

La couleur de leur toison est variée et va du brun de mon mari et d’Antoine à un joli roux de Frédéric et châtain très clair de Matthieu. Les érections sont également différentes. Certaines pointent vers le plafond comme celles de mon mari et de Matthieu alors que celle de Frédéric est tendue devant lui. À l’exception d’Antoine qui n’a plus d’érection, les autres se caressent afin de garder la leur. Chacun a sa propre manière de faire. Après tout, nous aussi nous nous masturbons toutes différemment.

Je prends le temps de regarder leur sexe. Il y en a de toutes les formes. Celui de mon mari est de grande taille et d’une grosseur plus que correcte. En érection, il est presque aussi long que le tube en carton d’un rouleau de Sopalin mais plus gros car il ne rentre pas dedans. Nous avions essayé un jour pour avoir une idée précise. Il a le gland bien plus gros que la verge. Quand il me pénètre, il m’étire le vagin et je le sens bien frotter le long de mes parois intimes. C’est un régal !

Celui d’Antoine est aussi long que celui de Benjamin mais encore plus gros et m’a bien comblée tout à l’heure. Celui de Frédéric est long et mince. Son gland pointu est plus petit que la verge ce qui le fait ressembler à une grosse asperge. Je me demande quelle sensation il va me procurer. Enfin il reste celui de Matthieu qui me semble être tout à fait normal mais je n’ai aucune expérience en matière de comparaison de sexes masculins (à l’exception de ceux vus dans les films X), n’ayant connu jusqu’à ce soir que deux hommes dans ma vie si je fais abstraction du garçon qui m’a dépucelée. Je me dis que l’important est qu’ils sachent s’en servir.

Je veux qu’ils se servent de moi pour assouvir toutes leurs envies bestiales…et les miennes. Je prends énormément de plaisir lorsque Benjamin me baise mais ce soir, il y a trois hommes qui ne demandent que ça et ça me plait beaucoup.
Inconsciemment, j’avais resserré mes jambes. Je les écarte de nouveau tout doucement afin d’attirer leurs regards. Petit à petit mon sexe s’ouvre. Je suis totalement écartelée. Je ne peux pas m’ouvrir davantage. Je frissonne au contact de l’air frais de la chambre sur mon sexe béant et humide.

Ils se regardent, se demandant qui va être le suivant.

- Alors, qui veut de moi ?

Frédéric et Matthieu lèvent la main en même temps. J’éclate de rire, flattée. Antoine rejoint mon chéri qui est resté sur la touche dont le sourire me rassure.
Je veux être prise en levrette. Avec Benjamin nous utilisons différentes positions. Il commence par me faire l’amour en position du missionnaire pour une approche tendre et romantique puis après m’avoir faite jouir une première fois, il se met alors à me baiser à genoux entre mes jambes levées, m’ouvre en grand et me possède violemment et nous terminons en levrette. Je lui fais alors une bonne fellation et nous recommençons. Mais ma préférée comme je viens de le dire c'est la levrette.

Frédéric m’attrape par les hanches et me pénètre immédiatement, d’un seul coup. Je sursaute sous cet assaut. Je ne ressens aucune douleur, étant bien ouverte et lubrifiée par le sperme d’Antoine. Matthieu se positionne à genoux devant moi.

- Baisez-moi !

Matthieu rentre dans ma bouche. Je lèche son frein en alternant des coups de langue doux puis durs. Je sens son sexe vibrer. Il apprécie le traitement que je lui inflige. Comme il est de taille un peu plus réduite que les autres, je peux le prendre en entier.

Ma salive coule sur ses testicules. Nous ne nous quittons pas du regard. Il donne des petits coups de rein pour augmenter sa pénétration. Nous sommes en totale symbiose.
Derrière, Frédéric est au travail. Il commence à aller et venir en moi. Son sexe est bien moins large que celui d’Antoine mais la sensation est incroyable. Je le sens frotter de toute sa longueur contre mes parois vaginales. Mes bruits sont étouffés par la queue de Matthieu. J’imagine aisément le spectacle que j’offre à mon mari. Je n’ai plus honte de me faire prendre devant lui.

Mes pensées s’envolent. Le sexe de Frédéric fait un travail remarquable en moi. Je me sens partir. Je me concentre sur Matthieu. Je lèche son gland. Coup d’œil sur mon mari, il est en train de se masturber en nous regardant. Les coups de reins de Frédéric sont de plus en plus violents. Ses mains enserrent mes hanches et les attirent à lui à chaque pénétration.

Je lance un râle étouffé par le sexe que je suce. Je veux que cela ne s’arrête jamais. Mais c’est sans compter sur Frédéric. Il passe une main sous mon ventre et agace mon clitoris. Il le frotte tellement fort qu’il sort de sa protection. Je crie de bonheur. Plus rien n’existe autour de moi. Je suis seule avec ma jouissance. L’orgasme qui explose en moi me fait fermer les yeux.

Frédéric accélère et Matthieu s'active dans ma bouche maintenant à grand coups de reins lui aussi. Il me baise carrément la bouche. Je n’en peux plus. Je suffoque de plaisir. Mes muscles sont tendus à l’extrême. Je ne peux ni parler, ni bouger, ni faire quoi que ce soit d’autre.

Tout mon corps est happé par un plaisir intense. Frédéric donne un ultime coup de reins, Mon vagin ressent les soubresauts de sa queue qui m’envoie des décharges de sperme. Il me relâche les hanches, délaisse mon clitoris et se retire de mon corps.
Immédiatement Matthieu et Frédéric permutent de places.

J’avale le sexe délicieusement gluant de Frédéric le plus loin possible dans ma bouche pour le nettoyer. Matthieu est déjà en moi. Sa queue doit baigner dans le sperme de ses deux copains mais cela n’a pas l’air de le déranger le moins du monde. Il me baise à fond avec des mouvements qui me font frissonner de plaisir. Je jouis une nouvelle fois. Je quitte la queue de Frédéric pour hurler mon plaisir.

Matthieu possède une sacrée endurance. Il me pilonne ainsi pendant de longues minutes. L’orgasme suivant arrive tellement vite qu’il se mélange avec le précèdent et je ne l’ai pas senti monter. Je crie à pleins poumons. Je ne tarde pas à ressentir son plaisir qui explose en moi. Je suis incapable de tenir sur mes jambes.

Allongée sur le ventre, je ferme les yeux. Je reçois des jets de sperme sur mon dos. Ce sont ceux de mon mari. Il a aussi le droit de jouir et je sais qu’il va s’en servir autant de fois qu’il le désirera.

Ils ne me laissent aucun répit Je sens des mains qui écartent mes jambes et un corps qui s’insère entre elles. Je me laisse faire, épuisée par mes récents orgasmes. Elles écartent mes fesses et une langue s’insinue dans ma raie. Je me cambre un peu pour lui faciliter le passage. C’est doux, chaud et humide. Qui est-ce ? Je n’en sais rien et je m’en fiche. Cette langue me fait du bien. Elle glisse tout doucement dans mon sillon. Je sens de plus en plus d’humidité. Celui qui s’active dans mon dos met beaucoup de salive pour que le contact soit des plus agréables et c’est réussi.

Je ronronne de plaisir. J’adore cette caresse mais ce soir ce n’est pas mon chéri qui me la prodigue. Des mains pétrissent mes fesses, les ouvrent un peu plus. J’ai conscience que je ne cache plus rien de mon anatomie secrète et cela m’excite à nouveau. La langue s’active toujours dans ma raie sans aller vers son but ultime. En me tortillant, j’essaie de la diriger vers mon anus mais il comprend où je veux en venir et évite le contact.

« Le salaud ! Il sait y faire. »

Je sens un autre corps se placer à côté de moi. Je garde les yeux fermés. Une main se glisse sous mon ventre pour aller se poser sur mon sexe grand ouvert.
Je comprends alors ce qu’il désire et je me mets à onduler en me frottant sur cette paume. Son autre main attrape mon sein droit. À ce moment précis, j’ai une langue qui me lèche entre les fesses, une main sur mon minou sur laquelle je me frotte et une main qui m’agace le sein en me titillant le mamelon. C’est divin comme sensation.

La langue évite l’anus et continue sa descente vers mon sexe. Je la sens sur mon périnée puis à l’entrée du vagin. Elle me pénètre et en lèche tout doucement l’intérieur qui baigne dans le sperme des trois garçons mais cela n’a pas l’air d’embêter le moins du monde celui qui s’active derrière moi. Je me cambre encore. La main sur mon sexe suit le mouvement et je continue de me frotter dessus. Le plaisir monte en moi. Je ralentis le mouvement sur la main. Ne pas jouir tout de suite.

Celle sur mon sein me pince le téton. Je gémis de plaisir. La langue continue de me fouiller le vagin un petit moment puis revient dans ma raie. C’est divin. Entre le vagin et l’anus, il n’y a que quelques centimètres mais il prend tout son temps pour les parcourir. J’ai l’impression qu’il met beaucoup plus de salive maintenant.

« Va-t-il enfin se décider à se rendre là où je veux ? »

Ça y est ! Il est dessus. Cette caresse est sublime. En me léchant, il souffle son haleine chaude. Est-ce voulu ? Je ne le sais pas mais je ne veux pas qu’il arrête. Du bout de la langue, il en suit les contours. Je frissonne de plaisir. Il met toujours plus de salive. Il alterne ses coups de langue, une fois douce, une fois dure.

Subitement, sa langue se fait très dure. Il appuie fortement sur mon anus qui s’ouvre tout seul et en insère un bout. Il rentre puis ressort et ainsi de suite pendant un temps qui me semble très long. Mon anus s’ouvre encore un peu plus et je la reçois plus profondément. Je suis au paradis. Je cale mes mouvements sur les siens. J’ai l’impression qu’elle s’enfonce encore un peu plus.

Je m’appuie plus fort sur la main qui se trouve sur mon sexe. Mon sein est brusquement serré par l’autre main. Mon téton est martyrisé, pincé, tiré, tordu mais que c’est bon. Je gémis de plaisir. L’orgasme n’est pas loin. La main sur mon sexe commence à bouger. Je m’arrête et je la laisse faire. Deux doigts pincent mon clitoris. Je manque de m’étouffer en criant, la tête dans l’oreiller.

- Continue ! Ne t’arrête pas ! hurlé-je.

La main pince encore plus mon téton. Je suffoque de plaisir. Deux doigts me pénètrent alors que le pouce frotte vigoureusement le capuchon de mon clitoris. Ce dernier sort de sa protection. Le contact avec les doigts est saisissant. Je me cambre tellement que la langue manque de sortir de mon anus mais l’homme me tient bien les fesses. Il continue sa pénétration tout en soufflant comme un bœuf. Je sens sa salive couler entre mes cuisses. Je n’en peux plus et pourtant je ne veux pas que ça cesse.

Subitement, les deux doigts pincent à nouveau mon clitoris mis à nu. Je hurle ! Des ondes de plaisir déferlent dans tout mon corps. Elles se suivent les unes après les autres, sans s’arrêter. Jamais je n’ai connu un tel orgasme. Bouche grande ouverte, je bave en cherchant de l’air. Des spasmes font trembler tous mes membres. La pression sur mon sein diminue, la main se retire doucement de mon sexe et la langue fait une dernière pénétration avant de quitter mes fesses. Je ne cherche même pas à savoir quels étaient les garçons qui s’occupaient de moi, mais ils ont été fantastiques.

Toujours allongée sur le ventre, je sens quelqu’un se couler entre mes jambes écartées. Il frotte son sexe contre le mien. Je me cambre pour lui laisser la place de se positionner et il me possède d’un seul coup. À la grosseur de l’engin qui me pénètre je sais que c’est Antoine. Je souffle dans mon oreiller tellement sa pénétration m’a surprise.

Il s’active sans ménagement dans mon vagin. Je sens son souffle sur ma nuque. Mon clitoris frotte sur le drap me procurant des ondes de plaisir. Je glisse ma main vers lui et je me caresse avec force. Je ne tarde pas à gémir. Un nouvel orgasme se prépare. Je le sens arriver. Il explose dans mon ventre. Mes cris sont atténués par l’oreiller. L’homme qui est en moi jouit à son tour, continue de me pénétrer un petit moment puis se retire. Il est immédiatement remplacé par un second puis par un troisième. Je jouis à répétition, je ne sais plus combien de fois mais que c’est bon d’être baisée avec autant d’intensité.

J’ai perdu la notion de temps, je ne peux dire combien cela a duré mais un bon moment en tout cas. Je suis en sueur et pantelante, la respiration hachée, tentant de reprendre mon souffle. Je ne suis plus qu’un trou utilisé pour assouvir toutes les envies sexuelles de ces hommes et j’aime ça. Je me remets sur le dos. Les quatre garçons me regardent en souriant.

- Alors, c’était bon, n’est-ce pas ? demande mon mari tout en se branlant doucement.

- Fantastique ! lui répond-dis-je en plongeant mon regard dans ses fascinants yeux couleur menthe à l’eau.

Mes trois amants sont devant moi, leur sexe à demi bandé, luisant de leur sperme et de mon plaisir.

-Maintenant tu vas nous nettoyer un par un, dit Frédéric.

Je m’assoie au bord du lit. Frédéric se place le premier devant moi en tenant son sexe dans sa main. Il frotte son gland sur mes lèvres et s’enfonce tout doucement dans ma bouche. Je place une main sur ses fesses pour le tenir bien collé à moi et je serre doucement ses couilles avec l’autre. Elles sont fermes, douces et parfaitement rasées. Je commence à le nettoyer à petits coups de langue.

-Tu peux serrer plus fort, me dit-il.

Je ne me fais pas prier et j’exerce une pression plus forte. Il grogne. Je serre encore plus fort et je les tire vers le bas. Il plaque ses deux mains sur ma tête et s’enfonce encore un peu plus me soulevant un haut le cœur. Il semble apprécier les traitements mais je n’ose pas serrer plus fort car je connais la fragilité des testicules et je ne voudrais pas me priver de son sexe pour le reste de la nuit.

-Vas-y ! N’hésite pas ! Je te dirais si j’ai mal mais tout va bien pour l’instant. N’aie pas peur.

Ma main quitte ses fesses et va rejoindre l’autre. Je tiens une couille dans chacune d’elles, je le regarde. Il me sourit et me fait un petit signe de tête. J’ai son feu vert. Alors j’y vais franchement. Son feulement rauque me surprend et son bassin part en avant. Sa queue s’enfonce presque entièrement dans ma bouche. Quelques millimètres de plus et je lui vomissais dessus. Je fais rouler ses testicules l’un sur l’autre, un peu comme deux boules de pétanque que l’on tient d’une seule main.

Je le sens reprendre vie dans ma bouche et durcir petit à petit sous ce traitement de choc. Je continue ainsi jusqu’au moment où il prend ma tête et la repousse en arrière. Son pénis ressort recouvert de ma salive et raide comme un « I ».

- Tu as été parfaite, me dit-il après m’avoir embrassé longuement. Je suis prêt pour la suite.

C’est au tour de Matthieu de se présenter devant moi. Son regard est éloquent.

- Tu sais y faire pour nous faire bander mais je ne suis pas comme Frédéric. Mes couilles, j’y tiens. Tu peux t’amuser avec mais doucement. Je te fais confiance.

Il s’avance jusqu’à moi, frotte également son gland contre mes lèvres entrouvertes. Je sens l’odeur forte de sa queue. C’est la mienne. Je me jette dessus comme une affamée. Bien évidemment, je n’ai jamais sucé autant de sexes différents que depuis ce soir mais comme j’adore faire cette caresse buccale cela ne me gêne absolument pas et je sais que ce n’est que le début. Il reste encore beaucoup d’heures avant demain matin. Lorsque je suce un homme, il est entièrement à ma merci. Je peux l’amener où je veux. À la jouissance ou pas. C’est un pouvoir extraordinaire. En fait ils sont tous pareils. Ils adorent une bonne pipe.

Je m’applique à bien nettoyer son sexe. Il met ses mains dans mes cheveux et m’impose son rythme. D’une main je lui malaxe doucement les testicules et de l’autre je promène mes doigts dans la raie de ses fesses. Un peu surpris au début, il se laisse aller rapidement et écarte de lui-même les jambes pour que je sois un peu plus à l’aise. Benjamin adore cette caresse, pourquoi ce ne serait pas le cas avec Matthieu ? J’y vais quand même tout doucement. Je ne le regarde pas. Je fixe sa toison qui se rapproche et s’éloigne au rythme de ma fellation.

Comme il a pas mal débandé, je le prends en entier dans la bouche et mon nez touche ses poils pubiens en me chatouillant. Il sent l’homme, la sueur, le sperme et mon plaisir. Quel mélange agréable. Dans un contexte différent cela pourrait me gêner mais pas là. Ma main sur son derrière ne reste pas inactive. Je passe lentement mes doigts à la limite de ses fesses et de sa raie. Sa respiration évolue et ses mains appuient un peu plus sur ma tête. Je continue de caresser ses testicules.

Je m’aventure alors en haut de ses fesses et je descends lentement entres elles. Arrivée à son anus, je le caresse avec la pulpe de mon majeur. Il se cambre sous ce contact et gémit. Sa queue comment à durcir dans ma bouche. J’insiste un peu plus sur les testicules, il ne dit rien. Je m’aventure un peu plus sur son anus et commence un massage circulaire. Il s’ouvre au maximum mais avec son sexe dans ma bouche et ma main qui serre ses couilles, il n’a pas beaucoup de marge de manœuvre.

Je change alors de position. Je quitte ses fesses, et passe ma main entre ses jambes pour avoir plus d’amplitude de mouvement après avoir enduit mon majeur de mes sécrétions intimes. Je retrouve rapidement son anus. Mon majeur posé dessus, je sens ses crispations musculaires. Je l’enfonce petit à petit. Il gémit pour de bon. Son sexe continue de durcir. Il se recule un peu pour s’empaler un peu plus sur mon doigt. Je ne lui refuse pas ce plaisir.

Mon doigt est enfoncé à hauteur de deux phalanges et je commence lentement des allers-retours. Il doit adorer car il m’aide avec de petits coups de reins. Sa queue a repris une raideur très intéressante à tel point que j’ai du mal à la garder en entier dans ma bouche. Il s’en aperçoit et se retire tout doucement comme à regret. Je lâche ses couilles et mon doigt quitte son nid douillet. Je le regarde en souriant.

- Je maintiens ce que j’ai dit. Tu sais y faire avec un homme. Tu es parfaite.

C’est au tour d’Antoine de se présenter devant moi. Même flasque je sais que ce sera difficile de la rentrer en entier dans ma bouche. Il voit que je panique un peu. À l’aide d’une main il tient son pieu relevé contre son ventre.

- Prends mes couilles dans la bouche et suce-les.

Je m’exécute et je tente de les gober mais elles sont trop grosses. Je n’y arrive pas. Alors je fais courir ma langue dessus en remontant vers son gland. Il positionne son sexe devant ma bouche que j’ouvre toute grande à m’en décrocher les mâchoires. J’ai son gland à quelques centimètres de mes yeux, il est énorme vu de cette façon.
Antoine m’a fait tellement du bien que je me dois, à mon tour, lui donner du plaisir. Je prends fermement sa queue d’une main et je fais pénétrer le gland avec précaution. J’ai beau rentrer les lèvres pour éviter que mes dents ne viennent en contact avec la peau fine et fragile de ce champignon de chair, il réprime malgré tout une grimace. Je m’excuse du regard.

- Ne t’en fait pas, j’ai l’habitude avec ma femme et pourtant elle a une plus grande bouche que la tienne.

Je ne veux pas qu’il se dise que j’abandonne à la première difficulté. Je continue de le faire pénétrer millimètre par millimètre. J’ai presque réussi à rentrer le tiers de sa queue et je ne peux déjà plus respirer. Mon cœur s’emballe un peu. J’arrête pour me calmer. Il l’a bien compris et me caresse tout doucement la joue.

- C’est bien ce que tu fais. Prends ton temps.

J’opine un peu de la tête. Je reprends ma progression. Il m’aide en tenant ma tête à deux mains et en la poussant tout doucement mais fermement vers son ventre. Je me laisse faire en essayant de respirer calmement avec le nez. Mes deux mains sont posées sur ses cuisses musclées. Je salive beaucoup et je la sens couler sur mon menton et finir sur mes genoux.

- Tu veux que je t’aide ?

J’acquiesce de la tête. Ses doigts serrent davantage ma tête et d’un seul coup de rein il fait pénétrer son sexe presque jusqu’aux couilles. Mes joues sont écartelées, j’ai un haut le cœur qui me laisse un drôle de goût dans la gorge. Je réalise à l’instant que je viens de vomir sur sa queue. Au lieu de m’effrayer, cette situation me ferait sourire si je le pouvais mais avec ce pieu dans la bouche, j’ai les lèvres et les joues complètement distendues. Je hoquète mais je garde ce sexe énorme en moi.

- Tu vois que c’est possible de me sucer ! Montre-moi ce que tu sais faire maintenant.

Je me mets à le sucer du mieux que je peux. Ma langue est prisonnière tellement il me
remplit. Je me calme et cherche comment lécher ce gland planté au fond de ma bouche. Je commence alors un léger mouvement de va et vient et je peux alors dégager ma langue. Je fais bien attention à ne pas le faire ressortir car il est rentré et il doit y rester. Antoine me caresse tout doucement l’arrière du cou. Ça me fait beaucoup de bien. Je fais courir ma langue sur toute la surface du gland, je l’aspire, je l’insère un peu dans son méat. Il ne s’y attendait pas et pousse un grognement de satisfaction.
Je n’ai pas à penser à mettre de la salive, elle vient tout naturellement et elle coule le long de son membre. Ce traitement semble lui plaire, sa respiration se fait plus courte. J’en profite pour lui saisir ses testicules avec mes deux mains. Je les griffe avec mes ongles. Ses mains serrent encore un peu plus ma tête.

« Il aime ce que je lui fais. »

Et je continue. Soudain j’ai une idée qui germe dans mon esprit. Je veux qu’il jouisse dans ma bouche. Je veux connaitre l’impression que ça fait de sentir une telle queue se vider. Je souhaite qu’il ait une grande quantité de sperme à m’envoyer. Je veux le boire jusqu’à la fin, lui presser les couilles et la queue pour faire sortir les dernières gouttes de son nectar. Rien que d’y penser, mon sexe déjà trempé par tout ce qui s’est passé avant, coule littéralement entre mes cuisses répandant mon parfum qu’il ne manque pas de remarquer.

- Me sucer t’excite drôlement, non ?

- Hum hum.

Je n’arrive pas à sortir un mot correct mais il a saisi. Comme il est un peu ressorti, avec une main j’entoure son sexe et je le masturbe en même temps que je le lèche. Je décide de rester un bon moment sur son frein.

Je le lèche avec plus ou moins de pression et je tourne tout autour du gland. Je l’aspire du mieux que je peux et je reprends mon incursion dans son méat tout en continuant de le branler. À l’évidence, il adore si je m’en tiens à la raideur retrouvée de sa queue.

Comme elle a sérieusement grossie et occupe le peu de place encore disponible, je rencontre quelques difficultés pour continuer mon massage avec la langue. Je décide d’utiliser une autre technique qui fonctionne avec Benjamin. J’encercle sa verge avec mes dents et je la mordille tout en remontant vers le gland. Lorsque j’arrive sur la fine peau tendue et gonflée de sang, il sursaute de surprise et serre un peu plus ses mains sur ma tête en se tortillant.

Certaine du résultat que je sais proche, je le branle de plus en plus vite tout en mordillant son gland de plus belle. Je lève les yeux sur lui. Les siens sont fermés. Sa respiration est lourde. Les trois autres garçons nous regardent sans rien dire, conscients de ce qui est en train de se passer.

Soudain je le vois plier les jambes et avancer son bas ventre. Je relâche la pression de mes dents sur son sexe tout en continuant de promener ma langue sur son gland et son frein. J’attends avec impatience sa jouissance. Il grossit encore un peu, signe de son orgasme proche. Je le branle à toute vitesse en tirant le plus possible la peau de sa verge vers l’arrière afin de tendre son frein au maximum sur lequel je frotte mes dents. Les soubresauts de son sexe, limités par la place disponible sont quand même perceptibles et je sais qu’il ne lui reste que quelques secondes avant son plaisir.

Au moment où il se déclenche, il s’empale carrément dans ma bouche et de gros jets de sperme chaud frappent le fond de ma gorge. Il hurle son plaisir pendant que j’essaie d’avaler la quantité qu’il évacue. Mais je n’y arrive pas. Le surplus coule entre mes lèvres et s’écrase sur mes cuisses puis le volume expulsé diminue et comme il arrive moins violemment, je peux le gérer et je savoure ce qu’il me donne à boire.
D’une main je lui presse les couilles et de l’autre je continue de le branler copieusement pendant que de ma langue je récupère tout ce qui peut encore sortir puis je le nettoie consciencieusement. Il relâche enfin la pression de ses mains sur ma tête, les posent sur mes joues et se retire tout doucement de ma bouche puis m’embrasse à pleine bouche.

- Tu es sensationnelle. Jamais on ne m’a sucé comme tu viens de le faire. Je n’en reviens pas. Merci pour ce moment merveilleux.

- Merci beaucoup pour le plaisir que tu viens de me donner également.

Je regarde l’heure. Frédéric a vu mon regard se poser sur le réveil.

- Eh oui, Emma. On a encore tout le temps pour s’occuper de toi. Ce que tu as vécu n’était qu’un échauffement. Benjamin a bien précisé que tu étais à nous jusqu’à 6 heures et on compte bien en profiter jusqu’à la dernière minute.

Je pose un regard attendri sur mon mari qui me regarde avec un petit sourire.

- Tu as eu de sacrés orgasmes. Tu es magnifique quand tu jouis. Je t’aime, me dit-il.

- Moi aussi je t’aime. Cette soirée est déjà inoubliable.

- Et elle va l’être encore plus, renchérit Antoine.

Il se masturbe lentement pendant qu’il me parle. Un filet de sperme sort encore de son sexe. Je trouve que c’est super érotique de le regarder faire.

- Je vous excite tant que ça ?

- Nous te trouvons tous les trois très belle, sensuelle et appétissante. Tu es bandante Emma, c’est comme ça, tu n’y peux rien. Ça fait très longtemps que nous fantasmons sur toi, alors quand Benjamin nous a parlé de ton envie, nous n’avons pas du tout hésité.

Je ne sais pas quoi répondre. Ils semblent réellement heureux de m’avoir pour eux. Je regarde mon mari qui me fait un geste signifiant que c’est aussi simple que cela. Il n’y a rien à ajouter.

Les trois garçons se masturbent en me faisant face. Ça m’excite énormément de les voir faire. Je me dis qu’ils le font pour pouvoir me prendre à nouveau. Ils me veulent autant que je les veux. Je ne peux que m’en réjouir. Un bon moment se passe avant qu’ils aient tous retrouvé une bonne virilité. Personne ne parle. Seuls les légers bruits qu’ils font en se branlant sont perceptibles. Cela ajoute de l’érotisme à la situation. Enfin ils sont prêts.
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Histoire de Emma.C

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Commentaires du récit : La nuit d'Emma - 2

Le 22/04/2023 - 16:56 par Emma.C
Merci beaucoup OLGA T pour vos encouragements
Le 22/04/2023 - 00:14 par OlgaT
Je confirme, Emma, que j'ai beaucoup aimé cette suite!
Le 21/04/2023 - 12:02 par Emma.C
Merci beaucoup pour votre commentaire. La suite arrive très bientôt.
Le 21/04/2023 - 08:21 par DBHB24
Très belle suite, parfaite mise en bouche dans l'attente d'une fin de nuit torride pour Emma...

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