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La prison

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Lue : 1434 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/09/2014

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La prison n’existe pas comme chez nous. Les condamnées sont envoyées dans un bagne particulier qui ne sert qu'aux femmes, après examen aussi particulier. Celles qui y sont accréditées, sont mises comme les autres dans une salle commune, à la merci d'autres filles très sensuelles.

Elles reçoivent dès leur arrivée deux godes. Il est inutile de leur indiquer l'usage ou les façons de s'en servir. Je le sais puisque j'y ai fait un séjour que je ne regrette pas. Je faisais même partie des filles les plus sensuelles de l'établissement : je servais des fois à la directrice quand elle donnait des fêtes particulières.

Les fêtes de la directrices étaient réputées comme très sensuelles. Pour les invitées il valait mieux aimer baiser, si possible avec les filles. J'aimais bien faire partie des invitées. Au moins les premiers contact que j'avais eu avec la directrice en particulier.

Elle m'avait convoquée dans son bureau, me demandait de me mettre toute nue. J'ai mis un bon moment avant de le faire.
Elle m'a examiné comme une vache à la foire, passant souvent une main entre mes jambes, jusqu'à venir la mettre sur ma chatte. Pour finir par dire :
C'est bien de mouiller ainsi. Vous vous masturbez ?
Oui, madame.
Je voudrais vous voir faire.
Oh, madame.
C'est une prière pour m'exciter. Pensez qu'un homme vous baise.
Je n'aime pas tellement les hommes.
Pensez à une femme.
Je peux m'asseoir ?
Couchez vous, même si vous préférez.

Je n'hésite plus, elle a fini par m'exciter. Derrière moi une petite banquette qui conviendra. Je m'allonge presque dans la position que je préfère. Mes mains sont sur mon sexe. Je commence à me caresser. C'est bon de me faire ça devant une autre femme qui se lève pour voir mon sexe et mes mains.

Je ne pensais jamais avoir tant envie de jouir. Je me donnais une masturbation rare qui me fait jouir plusieurs fois. J'en suis même au point de me mettre deux doigts dans l'anus.
Et la directrice me dire :
Vous aimez jouir avec le cul ? Prenez un gode, ou si vous le préférez je m'en occupe.
Baisez moi, s'il vous plaît.

Elle se tait pour un moment. Le gode est dans sa main, elle le dirige vers mon trou. Elle passe une pastille d'un produit sur ma rondelle avant d'entrer le gode. Quel plaisir elle me fait. J'arrête ma masturbation pour me donner totalement au gode, à la directrice qui m'encule comme je l'ai rarement été, même par une bite.

Elle s'arrête de m'enculer. Je regrette déjà son absence. Elle me met l'autre gode directement dans le sexe, avant de me remettre le premier dans le cul. C'est ma première double pénétration. Je ne pensais pas que ce soit si bon. Je me caresse les seins en même temps. Elle me fait jouir.
Voilà, vous avez eu votre petite ration pour la journée.
Merci madame.
Ce n'est pas fini, levez-vous, cédez moi la place, je vais me branler devant vous.

Je ne pensais jamais voir une femme se faire du bien devant moi. Elle passe d'abord sa main sur toute sa chatte, comme si elle choisissait l'endroit exact. Elle passe entre ses jambes et là, elle cherche son anus. Elle entre facilement deux doigts de la main gauche, les fait aller et venir : elle s'encule seule, puis c'est au tour de la main droite de venir dans la fente. Elle passe un doigt de bas en haut, le met dans sa bouche, le lèche avant de recommencer, cette fois en se caressant le clitoris.

Je lui propose de la branler avec ses godes. Il me faut aller dans un tiroir de son bureau pour trouver une collection de gode. Elle ne s'ennuie pas la directrice ! Je prends le premier venu.
Je suis toujours nue, elle écarte ses jambes : sa chatte est mouillée, je peux mettre le gode dans son trou béant. .
Oui, baises moi.
Et pas dans le cul ?
Après, baises moi, lèche-moi si tu peux.

Je commence par le plus facile, ma langue ne connaît plus de cyprine depuis un trop long moment. Je vais d'abord boire sa source. Elle laisse passer ma tête dans son compas. Je pose ma langue sur sa fente , elle a bon goût, elle sent bien le con. Elle m'excite bien. Je commence à lécher ses secrets.

Elle me tient la tête comme pour me diriger. Elle se crispe, j'entre la langue dans le vagin. Elle m'oblige à continuer. J'en meurs d'excitation. Moi aussi je voudrais me faire lécher le con. Tant pis si la directrice râle, je me mets sur elle, en 69.

Pour elle se doit être bon. Elle ne dit rien, elle me lèche aussi et parfaitement bien. Ma bouche se perd dans ses jambes. J'ai gardé en main le gode. J'ai en point de vue son petit trou plissé. Je le transperce avec le gode. Elle est surprise d'abord puis accepte la sodomie. De vois le gode entrer dans son cul me donne des envie qu'elle devine. Je sens ses doigts venir caresser le pourtour ne mon petit trou. Je m'ouvre un peu. Elle ne me demande rien, elle me met deux doigts directement dans le cul. Elle a su deviner mon désir, mon besoin. Son enculage est merveilleusement bien fait. Je jouis autour de ses doigts. Pour elle ce doit être aussi bon, je vois les mouvements de son cul quand il jouit. J'aurais aimé y mettre ma langue.

Tu sais bien baiser les filles. Je te demanderais souvent de venir dans mon bureau, ne mets pas de culotte pour venir me baiser.
J'aimerais revenir souvent te faire l'amour.

Je te le ferais aussi souvent que nous le pourront, plusieurs fois même. Tiens ce soir tu viendras, te me baiseras et m'enculeras. Je te sucerais longtemps, plusieurs fois si tu veux. Embrasses moi sur la bouche, que je me goûte sur tes lèvres.
Je rentre dans ma cellule où nous sommes plusieurs filles. La plus parts se font des caresses ou se baisent avec les godes. Je remarque une jeune femme qui est baisée par deux autres filles, chacune avec un gode qu'elle fait aller et venir dans un trou différent. Une d'elle se fait baiser également pendant qu'elle encule l'autre.
Décidément ce n'est pas un lieu de punition.

J'ai été libérée un peu avant la fin de ma peine pour bonne conduite. Je me demande ce que je serais devenue si je n'avais pas été une amante de la directrice. Une vraie pute pour fille sans doute, je les adore, je crois avoir baisé toutes celle où j'étais.
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