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La serveuse de l'hôtel

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/12/2022

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Pour mon travail j’ai dû, il y a quelques années, me rendre durant un mois, dans une petite ville des Vosges, très agréable, avec son lac.
Petite ville très calme au mois de novembre, vivant du tourisme saisonnier et de quelques industries textiles.
J’étais logé, dans un bel hôtel au bord du lac. La fréquentation était des plus restreinte. Les 3 premières semaines il arrivait que plusieurs tables soient occupées, par des couples, ou par des commerciaux comme moi.
Pour nous servir Adeline, une jolie jeune femme de 20 ans, brune aux yeux noisettes et à la chevelure, retenue en chignon.
Une bouche bien dessinée. 165 cm, jambes galbées misent en valeur par de léger talons et des jupes ou robes relativement courtes, fesses légèrement rebondies, et poitrine bien ferme mise en valeur par des chemisiers ajustés.
Adeline est souriante, et serviable. Nous sympathisons et au fil des soirs elle se confie peu à peu.
J’apprends qu’elle a un petit copain, ouvrier, qu’il est gentil avec elle mais il la délaisse souvent pour ses amis et le foot. Qu’il n’est pas trop câlin qu’elle s’ennuie dans cette petite ville, et surtout qu’elle aimerait avoir un peu d’argent au moins pour pouvoir faire un grand voyage. Ses parents sont ouvriers et elle a 2 petits frères.
Dernière semaine :
Moi : bonsoir Adeline, les patrons ne sont pas là ?
Adeline : bonsoir vous allez bien, non comme il y a très peu de client, vous et un couple ils m’ont laissé la boutique pour 3 jours. du coup je fais petit déjeuner, et diner, rien le midi. Plus vos chambres. Et je dors sur place. Mais pour la nuit, il y a aussi maxime le veilleur donc tout va bien. Vous avez passé un bon we ?
Moi : oui (en plaisantant) il faisait tellement mauvais, que je l’ai passé sous la couette avec ma femme
Adeline : (triste) j’aurais bien fait comme vous, même pas eu droit à un tout petit calin
Moi : le foot ? les potes ?
Adeline : oui les 2, en plus il est rentré dimanche à 6h du mat et il sentait le parfum à plein nez. Quand il s’est réveillé je lui ai fait la gueule, et j’ai refusé ses avances, même si j’en aurais bien eu besoin. Puis (rougissante) mais je vous raconte ma vie désolée.
Vous voulez manger quoi ?
Moi : le menu du soir SVP, et entre nous, je passerais bien un moment avec vous sous la couette.
Elle s’en va en cuisine rougissante.
En attendant mon premier plat, arrive un couple, lui 70 ans, encore bel homme, elle 25 ans, jolie femme aux formes avantageuses. Elle est habillée d’une robe très courte, qui laisse apparaître le haut de ses dim up quand elle s’assied.  Le corsage largement ouvert sur une magnifique poitrine.je ne peux m’empêcher de là regarder.
Adeline : (me sortant de mes pensées) : ah les hommes vous aimez ça les filles comme elle, qui n’ont pas froid aux yeux, ni ailleurs, c’est une escorte ça.
Elle me serre mon entrée et repart en cuisine.
Je continue de mater ce couple, lui me fait face, elle je la vois de profile, et surtout ses cuisses découvertes la peau blanche entre la jupe et la dentelle des bas.

A chaque fois qu’elle vient dans la salle Adeline semble écoeurée. En fait je n’arrive pas à savoir si elle est gênée, outrée, ou frustrée par le spectacle donné.   
En effet, le vieux monsieur, au moment du dessert, c’est fortement rapproché, de sa compagne, ils se sont embrassés, puis il lui a caressé les seins, pour finir par mettre sa main entre ses cuisses. Je n’en loupais pas une miette, je bandais comme un âne. La jeune femme tout en mangeant son dessert, prenait beaucoup de plaisir, à se faire masturber par son partenaire. Après un dernier baiser, les tourtereaux, se lèvent et sortent en me disant un grand bonsoir. Je suis encore sous le charme quand
Adeline : vous aimez ça vous les hommes, les filles comme elle, qui n’ont pas froid aux yeux, et qui doit se faire payer en plus.
Moi : (provocateur) elle a bien raison de profiter de son corps, et de se faire payer si elle trouve des hommes, sympas et argentés qui l’emmène dans de beaux endroits et lui offre des cadeaux.
Adeline : elle fait la p…, de luxe peut être mais la p… quand même
Moi : (encore plus méchant) si ça s trouve il y a 5 ans elle était serveuse dans un hôtel
Adeline : (en colère) et alors serveuse ce n’est pas déshonorant
et elle s’en va en cuisine.
Je suis en colère après moi, je n’aurais pas du être aussi désagréable avec elle, mais le couple m’avais tellement excité, que je n’ai pas pu me contrôler.
Pour me faire pardonner et parce que j’ai une arrière-pensée, je laisse sur la table un billet de 50€ et le petit mot suivant : veuillez m’excuser, mais le couple m’avait énervé, vous aussi un peu d’ailleurs, une douche va me faire du bien. Si vous souhaitez en discuter, ma porte est ouverte, et j’ai encore des billets de 50€ avec moi.
Je remonte dans ma chambre sans trop d’espoir. Je prends une bonne douche, j’essaie de ne pas trop penser au spectacle du repas, mais que je sors de la salle de bain, je suis en érection sous mon peignoir.
Je me prépare à me masturber, quand j’entends frapper à la porte. Je vais ouvrir sans fermer mon peignoir laissant visible mon sexe tendu.

Comme je l’avais espéré sans trop y croire, je trouve Adeline devant moi, elle est en colère
Adeline ;(me montrant le billet et parlant fort) vous me prenez pour qui en me donnant ça et en me disant que vous en avez d’autres.
Avant qu’elle n’ameute tout l’hôtel, même si il n’y a pas grand monde je la prends par la main la fait rentrer et ferme ma porte.
Moi : calmez vous, j’ai été mal adroit, je m’en excuse
Adeline (les larmes aux yeux) je vous croyais pas comme ça
Moi comment ?
Adeline ; comme tous ces hommes qui nous matent comme un morceau de viande             
Elle se met a pleurer en s’asseyant sur une chaise. Je m’approche
Moi ; il ne faut pas vous, mettre dans cet état là, je me suis excusé. Et les hommes quand ils voient une jolie fille , eh bien il ne peuvent pas s’empêcher d’imaginer pleins de choses.
Adeline (entre 2 sanglots) : quoi vous pouvez me dire
Moi ; vous y tenez vraiment ? (elle fait oui de la tête) comme vous êtes une jolie jeune femme je vais vous dire, ce que je pense de vous maintenant. Je me demande comment sont vos cheveux sans le chignon, quels sous-vêtements vous portez ? si vous avez des bas ou des collants ? si vous vous caressez souvent ? si quand vous faite l’amour vous jouissez fort ou pas, si vous aimez qu’on vous lèche le sexe si vous sucez bien et à fond
A ce moment là elle relève la tête je suis juste à coté d’elle le peignoir ouvert le sexe tendu à 20 centimètres de son visage.
Elle ne dit rien, recule quand elle me voit si près, sans rien dire, je tire sur les pinces tenant ses cheveux, et le chignon se défait, laissant tomber sur ses épaules une belle chevelure ondulée
Adeline ; (voulant se lever en reculant) mais vous faite quoi ? ça ne va pas bien ?
Elle se trouve bloquée par le bureau, je lui pose la main sur l’épaule, en tirant sur ses cheveux je l’oblige à se rasseoir.

Adeline : arrêtez, vous me faites mal aie aie….
A ce moment-là, je lui bloque la tête d’une main et de l’autre, je lui mets mon sexe dans la bouche.
Moi : suces moi, et caresses toi en même temps
Adeline (qui essaie de me repousser) non, arrêter
Après quelques instants, elle ne lutte plus. Je sens sa langue commencer à tourner doucement autour de mon gland, et sa tête aller et venir doucement.
Moi ; c’est bien ma jolie, tu es bonne, oui vas y doucement,
Elle me tete, de sa main gauche elle me branle, et me tient la tige. Sa main droite lache mon poignet, passe sous sa jupe, remonte le long de ses cuisses et je l’imagine entrain de se caresser. Ne pouvant résister à l’envie d’être voyeur, je me retire de sa bouche. Elle me regarde d’un air interrogateur.
Moi (la conduisant vers le lit) nous serons mieux sur le lit
Adeline : (avec un sursaut de pudeur) non on arrête j’ai mon copain
Moi (la prenant dans mes bras) ne pense pas à ça, pense à tes envies ton plaisir

Elle pose sa tête sur mon épaule. Je passe les mains dans son dos, que je caresse, je m’arrête aux reins, je descends lentement la fermeture éclair, la jupe tombe au sol.
Adeline : (faisant un pas en arrière et faisant mine de partir) non ça suffit, laissez moi tranquille
Je l’attire vers moi, et l’embrasse fermement, elle ne bouge pas, mais garde les lèvres serrées. Avec mes lèvres et ma langue, j’essaie de la faire céder, en même temps, ma main droite déboutonne prestement le chemisier. Elle recommence à se débattre, toujours lèvres collées. Je réussis, à lui maintenir, les deux mains dans le dos, avec ma main gauche, pendant que ma main droite dégrafe le soutien-gorge, et le fait glisser laissant apparaitre une magnifique poitrine, que je caresse délicatement.
Je m’effondre sur le lit l’entrainant avec moi. Elle est allongée sur moi, le peignoir ouvert entièrement nu, le sexe tendu à rompre. Elle le chemisier ouvert , la poitrine dégagée avec le soutien-gorge sous le menton, en collant. Nous nous regardons, elle me sourit, se relève, se débarrasse de tous ses vêtements sauf sa culotte.
Elle se met à genou entre mes jambes écartées. Elle reprend sa fellation, me gobe entièrement, ressort ma tige, la lèche de haut en bas, me gobe les bourses, descend avec sa langue jusqu’à mon petit trou, quelle cherche à pénétrer, puis revient en sens inverse, remonte ma verge, et entoure de ses lèvres mon gland, pendant que sa langue le presse délicatement, et qu’elle me branle d’une main douce.
Moi (entre deux soupirs) caresse toi, montres-moi ta chatte trempée
Elle se redresse, s’allonge à côté de moi, la tête à la hauteur de mon ventre, et les jambes bien ouvertes du côté de mon visage. Elle me reprend en bouche, et je vois sa main passer dans sa culotte, et aux mouvements, je devine ses doigts passant le long des lèvres, venir titiller son clitoris, puis descendre, pour pénétrer le vagin humide.
Elle gémit, moi je soupir de plus ne plus fort, sa bouche et sa langue vont de plus en plus vite autour de ma queue, qui n’a qu’une envie, se vider dans cette bouche accueillante.

Sa main sous le coton blanc accélère, pour mieux se branler, elle la baisse à mi-cuisses d’un geste rageur, et reprend vite sa masturbation.
Moi : (au bord de l’explosion) je vais jouir ma jolie, vas y suces moi fort
Adeline : (lâchant brièvement ma bite) ouiiiiiiiiiiiii moi aussi ; mais tu jouis pas dans ma bouche)
Je grogne en guise de réponse.
Je vois sa tête qui va aussi vite que ses doigts, je ne tiens plus. Je lui enfonce la tête sur mon pieu, et j’éjacule à grands jets chauds dans sa gorge. Au même instant elle serre ses cuisses sur sa main, me repousse fortement, pour se dégager de cette gorge profonde forcée. A l’instant ou Je lui libère la tête, un rale rauque de jouissance, sort de sa gorge que je viens de lubrifier.
Adeline : (en pleure et du sperme coulant de sa bouche) salaud je t’avais dit de me prévenir, je ne voulais pas, avaler ton jus
Moi : (souriant et l’attirant vers moi) tu n’aimes pas le sperme
Adeline : (son visage à hauteur du mien) c’est la première fois que je suce à fond

Sans rien dire, je prends ses lèvres, je récupère avec ma langue le surplus, puis je l’embrasse goulument. Elle répond à ce baiser ; nos langues se frottent, nos salives se mélangent, nos corps se touchent.
Nous nous endormons blottis l’un contre l’autre. Vers 4h , je me réveille, j’ai très soif, le plus délicatement possible, je me lève pour aller boire dans la salle de bain . En ressortant, je laisse la lumière et la porte ouverte, ce qui à pour but de mettre la chambre dans la pénombre.
J’ai envie de regarder ma jeune maîtresse dormir. Elle a profité de mon départ pour s ‘allonger entièrement sur le lit. Elle a les bras relevés au-dessus de la tête légèrement tournée, les cuisses écartées. Le spectacle est magnifique.
Je reviens vers le lit, m’allonge, mon regard ne quitte pas, son ventre plat, et son pubis à la toison bien entretenue.
Ma main se pose sur son ventre, elle glisse sur cette peau douce et soyeuse, jusqu’au  pubis.  Sous mes doigts Adeline frémit mais ne se réveille pas. Je continue, avec mon majeur, j’effleure ses grandes lèvres, qui s’ouvrent sur mon passage. Au vagin je sens une légère humidité. J’hésite à la pénétrer, je me ravise, je remonte en appuyant un peu plus fort avec mon majeur, surtout au niveau du clitoris. Sous la caresse, toujours endormie elle frissonne, se trémousse, tout en écartant les cuisses encore plus.
Je souris et me penche en avant pour lui embrasser le ventre, avec une multitude de petits bisous je me rapproche de son sexe.
Au moment où je l’atteins je sens sa main se poser sur ma nuque et appuyer doucement.
Adeline : on ne m’a jamais réveillé comme ça avec autant de douceur
 Je me mets à plat ventre entre ses jambes, je lui lèche le sexe, je monte et je descends le long de ses lèvres. En bas je pénètre son minou de plus en plus chaud et humide. En haut j’appuie sur son clitoris déjà tout gonflé d’envie. Sa main droite caresse ma nuque, avec sa main gauche, elle se malaxe les seins, les yeux fermés elle gémit doucement.
Adeline : (entre deux soupirs) ta langue est merveilleuse, je sens que ça vient, fais-moi jouir
Sur ces paroles je m’active, je rentre en elle deux doigts, qui là masturbe. Avec ma bouche, j’aspire et suce son petit bouton, tandis que ma langue l’excite. Mes mouvements s’accélèrent.
Sa main appuie maintenant très fort sur ma nuque, elle fait des petits mouvements du bassin, d’avant en arrière, pour mieux savourer mes attouchements. Ses gémissements deviennent des râles rauquent et puissant. D’un seul coup, elle détend ses jambes, qu’elle avait repliées sur ses hanches pour mieux offrir sa chatte.  Elle les referme sur mon visage, et je sens une vague de cyprine couler sur mes doigts et ma main. Je manque d’étouffer le nez sur son pubis.
Très lentement elle se détend, ses cuisses me libèrent, je me relève, la regarde. Elle a les yeux fermés, sa respiration forte fait monter et descendre sa poitrine magnifique. Sans me voir elle tend une main et m’attire vers elle.
Je suis allongé à côté d’elle, elle reprend son souffle, je lui caresse les seins.
Adeline : merci, ce soir tu m’as fait faire ou découvrir des choses que je n’avais jamais faites
Moi ah ! quoi par exemple ?

Adeline : sucer une bite à fond et avaler le sperme, me faire jouir avec ta bouche
Moi : et ce n’est pas fini.
Et je lui monte dessus, me bloque entre ses jambes qui s’ouvrent naturellement, et la pénètre d’un coup de reins rageur. Je suis en elle, sans bouger, nous nous embrassons langoureusement, langues et salives mélangées.  
Imperceptiblement, je sens son bassin bouger d’avant en arrière. Son pubis se frotter contre mon pubis. Ses mains descendent dans mon dos et se poser fermement sur mes fesses, comme pour me maintenir profondément en elle.
Je bouge lentement pour suivre le rythme de ses hanches. Elle remonte les bras au-dessus de sa tête, nos bouches se séparent, nos corps se séparent quand je me mets en appui sur les bras, nous ne sommes plus en contact que par nos sexes
Je commence de lent va et vient, sortant mon sexe de sa vulve trempée jusqu’à ce que mon gland frotte don petit bouton tout gonflé. Puis je la pénètre à nouveau toujours lentement au plus profond jusqu’à ce que mes couilles touchent ses fesses.
Apres plusieurs minutes à ce rythme, je sens nos plaisirs monter. Elle ouvre les yeux, me regarde tendrement. Elle passe ses mains derrière ses genoux, qu’elle ramène sur sa poitrine. Dans cette position, elle a les fesses remontées au maximum, m’offrant une vue sur son corps son sexe ouvert et humide.
Adeline : vas-y baise moi fort, je veux que tu me fasses jouir avec ta bite, je suis à toi
Sur ces encouragements, j’accélère mes mouvements, je ne sors plus complètement mais je replonge entièrement dans ce ventre offert. Nos souffles deviennent plus rapides, on entend mes couilles taper ses fesses. Elle gémit. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier trop fort.
Je suis au maximum le souffle court.je ne vais plus résister longtemps. Elle nous libère en criant son plaisir.
Adeline : OOOOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIIII je jouis , je sens ton jus dans ma chatte ooouuiiiii j’adore j’adore
A ces mots j’explose en elle, dans un rale rauque.
Après un dernier sursaut je m’effondre sur son corps. Tout de suite elle prend ma bouche pour un long baiser. Puis elle me repousse sur le coté, je suis sur le dos, le sexe ramolli plein de sperme et de cyprine. Elle descend en me faisant plein de baisers, et enfourne ma tige qu’elle nettoie entièrement avec sa langue, remonte à mon niveau
Adeline merci (dit-elle avant de se rendormir)
Le lendemain soir, c’était mon dernier, elle est revenue dans ma chambre, et nous avons fait l’amour une partie de la nuit.
Je ne suis jamais retourné dans cette ville, j’ai su par un collègue qui avait repris le secteur que la jeune serveuse de l’hôtel était partie travailler dans un grand hôtel au bord de la méditerranée fréquenté par des hommes riches et généreux.

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Histoire de leno2189

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Commentaires du récit : La serveuse de l'hôtel

Le 22/12/2022 - 05:43 par nudemum
elle mérite un gros pourboire

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