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La suicidée

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Lue : 1992 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/01/2013

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Rendez-vous fixé, je la trouve pour la première fois. Je l’ai rencontré au hasard d’une lecture d’un appel au secours dans un journal local. Une adresse mail courte suffit pour attirer mon attention. Ma curiosité est récompensée quand je reçois une réponse.

Une femme désespérée répond. Les problèmes familiaux entassés font qu’elle ne les supporte plus. Sa seule réponse est celle d’une désespérée. Le suicide est sa solution.

Que faire quand une telle personne dérive seule ainsi. Faire ce que je fais en répétant que la vie est le plus beau des cadeaux. Quelques jours passent quand je reçois une réponse. La suicidée s’est jetée dans l’eau. Après un court séjour à l’hôpital, elle est sur pied. C’est là que je donne rendez-vous au Multiplex pour prendre un café. Elle répond en envoyant une photo : magnifique fille d’une quarantaine d’année, mal coiffée d’après elle, mal maquillée aussi ??

Je n’ai aucun mal à la reconnaitre. Un café, une courte discussion, nous voilà en salle pour une toile sans intérêt. Comme des collégiens nous nous approchons lentement, intimidés. Je crois que c’est elle qui prend ma main. Nous oublions le film pour nous regarder. Je crains son retrait quand je me penche vers elle. Ma bouche prend la sienne. Nos langues jouent longtemps.

Ses genoux s’écartent lentement quand je pose une main sur eux. Mes paumes crissent sur le nylon des bas. Dessous je sens la chair tendre de ses cuisses. Pourquoi je commence à bander ? Pourquoi je fais ça avec une femme désespérée ? Pourquoi elle ne se défend pas quand ma main arrive sur son intimité ?

Elle soupire longuement quand je commence à lui caresser la chatte. Son abricot est tout mouillé. Elle pose une cuisse sur l’accoudoir, en approchant les fesses du bord de son siège. Mon seul souci est de passer deux doigts entre son corps et le slip. Je mets en route ma machine à faire jouir les femmes. Mes doigts aiment bien ce genre d’exercice. Je la caresse le plus doucement possible pour qu’elle prenne bien son pied.

Son souffle dans mon cou me renseigne sur son état. Elle me mordille avant de carrément me mordre la gorge. Elle me rend la caresse en cherchant à sortir ma queue. Je refuse de faire ça au cinéma. Même si je bande nous sortons.

Elle veut ma pine, elle veut me faire jouir aussi. Nous prenons sa voiture. Je bande toujours, j’ai envie d’elle. Je la veux, je veux jouir….Sa main enfin revient sur la bite. Elle me masse lentement. C’est bon. Elle sait comment faire. Aux premiers feux rouges elle se penche vers moi. Nos lèvres se sucent. Quand elle repart, je pose une main sur sa chatte…. Le chemin n’est pas long vers son immeuble. Elle habite dans une espèce de grand machin sans âme. L’ascenseur est rapide. Elle cherche toujours après ma queue.

Je ne la laisse faire que quand nous sommes chez elle. Nous sommes bien serrés pourtant quand elle arrive à faire sortir l’engin plus que mûr. Elle fait descendre le prépuce doucement. Je regarde en même temps qu’elle le gland qui sort de sa cachette. Elle le prend à plein main, je sens sa chaleur contre cet endroit sensible. Elle me trait.

Le derrière de sa jupe remonte avec ma main. La ceinture du slip descend avec ma main. Ses fesses sont chaudes. La fente de la raie s’offre à moi. Elle tient ma queue à pleine main. Elle s’attaque à ma ceinture qu’elle défait. Le pantalon tombe. Le caleçon suit le même chemin. Mon sexe est à elle quand elle commence à me branler. C’est une déesse qui caresse.

Mes doigts s’attardent sur son anus quand elle caresse mes couilles, passe sa main en dessous. Nous arrivons sur le cul de l’autre en même temps. C’est anormal de prendre du plaisir par ce genre de trou. Un autre trou nous sert : les bouches. Et puis ses amusements ne suffisent plus. Il nous faut du sérieux. D’un seul coup nous sommes nus. Une belle femme mature devant moi, une représentation de l’amour. Nous avons envie. Mon mat planté sur le ventre, sa moule ouverte pour moi. Un couple uni par le désir. J’ai envie d’elle partout, ma bouche, ma queue, ma main, mon cul.

Elle se laisse aller au bord du lit. Ses jambes s’ouvrent s’offrent. Je suis à genoux, ma tête entre ses cuisses. Son odeur de femme en demande m’attire. Quel goût de cyprine. Je prends dans la bouche tout l’abricot. Je fais le tri à l’intérieur. Elle tend le pubis. Je bouffe tout ce que je peux. Elle gémit en rafale. Deux doigts se dévouent pour caresser le cul. J’y entre à fond. Elle hurle son orgasme. Je viens sur elle pour l’empaler. J’entre sans douceur. Ses jambes m’entourent. Un seul corps baise. Ses oui, se mêlent aux miens.

J’éjacule dans un seul jet. Elle se dégage vite pour profiter du peu de sperme qui reste. Au petit matin, après une sodomie profonde, sa première, elle ne veut plus se jeter à l’eau. Elle me veut encore.
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