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La surprise du Chef

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Lue : 13614 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/03/2012

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La nuit était déjà bien avancée et plus personne hormis lui et moi était au bureau. J'avais encore sa semence chaude sur les seins et le visage quand il me lâcha très sûr de lui, sans réprimer un sourire narquois : « ça t'a plu hein cochonne... ». J'étais assise au bord du canapé de son bureau qui avait été ouvert en lit pour accueillir les ébats du président de la boîte et de sa deuxième assistante, plus utile à l'entreprise de part ses charmes, et je détournai la tête vers ma robe pour la ramasser. Il me saisit par le bras et me fit lever, sans mes talons, ma tête arriva à hauteur de son torse nu, alors je la redressai pour le regarder. Il m'ordonna d'écarter mes cuisses, ce que je fis en soutenant son regard, bien campée dans mon rôle de catin à titre privé mais pas exclusif, puisqu'il lui arrivait de me demander de combler un gros client pour signer un contrat ; il plongea une main coutumière de mon intimité en son centre, sa main ressortie excessivement trempée. Je déteste l'idée qu'il sache combien j'aime sentir sa queue en moi, et à quel point l'avoir entre mes cuisses me procure jouissance et félicité.

Il insista alors me montrant fièrement sa main maculée de ce fluide évadé de mon corps au moment du coït, il me fit ouvrir la bouche pour lui lécher les doigts, je m'exécutais avec une délectation secrète et il chuchota quelques mots que je n'entendis plus mais devinai remplis de l'arrogance des gens de pouvoir – sans prendre en compte nos statuts respectifs, eu égard au plaisir qu'il me donne il exerce une attraction indéniable sur moi. Bien que mon esprit s'en défende farouchement mon corps avide est sa chose, entièrement à lui. Mon assise professionnelle et les garanties de niveau de vie auxquelles j'accède ne sont rien en comparaison, elles rassérènent uniquement mon esprit. Car il m'arrive de me l'avouer à moi-même que j'aime terriblement le sexe et de n'y voir aucun mal. Le sexe entre adultes consentants et libres de leurs choix ne saurait nuire à quelque idée de morale à mon sens. J'étais à deux millimètres de lui et sentais son souffle chaud sur ma joue, quand il se pencha vers moi pour rajouter : « Je n'ai pas fini en toi et pourtant tu es mouillée d'avoir joui comme une salope..Tu as aimé que ma bonne queue s'occupe de tes envies de sexe, admets-le, même ton vagin a tremblé de plaisir ! ». Et il riait de toutes ses dents blanchies n'en pouvant plus de me voir résister et nier des évidences. Alors, au comble du désespoir je lui rétorquai : « Certes, j'avais très envie de baiser, mais un pénis reste un pénis et il suffit de fermer les yeux pour s'imaginer dans les bras de quelqu'un d'autre... ». Il rit plus fort encore. L'estocade n'avait pas portée visiblement et il m'assura : « Tu paieras très cher ton insolence, petite impertinente ! ». J'en frémis d'excitation... ce ne pouvait être qu'une punition à caractère érotique et hautement riche en sensation ! J'en salivai impatiente, le corps frissonnant... mais il s'habillait. Déception majeure pour l'heure, peut-être plus tard espérais-je m'habillant à mon tour.

Une semaine passa sans que rien n'arriva. Il ne me fit pas venir à son bureau même pour une gâterie. Si c'était ça la punition, me priver de sexe, ce pouvait bien être supportable – si on veut, encore faut-il que l'abstinence ne dure pas trop, étant sexuellement active et lui gourmand je m'étais allègrement habituée à ses nombreuses sollicitations. Et jamais il ne s'était passé une semaine, depuis la signature de mon CDI sous conditions, et, au vu de ce qui a été dit plus haut, semblent explicites et peu scrupuleuses mais ô combien savoureuses, sans qu'il ne profite des clauses tacites et officieuses de notre contrat.

La deuxième semaine fut particulièrement pénible. Il me faisait appeler auprès de lui pour regarder des vidéos de lui en scène avec d'autres femmes, parfois même il s'agissait de groupe d'hommes avec une ou deux femmes. Visiblement, c'était des vidéos tournées en amateur lors de ses voyages d'affaires. Le contenu était assez équivoque pour susciter en moi des envies monstrueuses qui ne cessaient d'enfler d'être prise sans ménagement pour apaiser le geyser de désir qui jaillissait au creux de mes reins. C'était cruel, beaucoup trop. Mais le pire vint quand le vendredi à 19h il me fit installer à son bureau avec pour seul éclairage minimaliste une des lampes surmontée d'un abat-jour. Je distinguais clairement son corps nu debout face au fauteuil sur lequel il m'avait fait asseoir et qui lui-même faisait face au canapé ouvert en lit. Sa main allait et venait sur sa queue raide, et ce sourire diabolique barrant son visage ne le quittait décidément plus depuis quinze jours. J'étais dans un état de transe telle qu'il aurait pu me prendre là tout de suite, sans préliminaires, je me sentais véritablement affamée de sa verge. Je voulus lui crier et même supplier : « stop, j'ai eu ma leçon, votre pénis est le roi du pénis, vous êtes un dieu du sexe et j'ai très envie que vous me possédiez ! ». Mais j'attendis patiemment le dénouement de son jeu, après tout j'aime être au bord de la crise d'envie et la libération me semblait tellement plus proche maintenant, et aussi tellement plus frustrante, affamante !

C'est alors qu'une jeune femme d'à peu près mon âge – j'ai bientôt 26 ans – fit son entrée uniquement vêtue de dessous. Elle passa devant moi sans me regarder, complice de mon bourreau, s'accroupit devant lui et pris « ma » verge dans sa bouche ! Oh c'était intolérable comme spectacle ! J'eus même envie de détourner les yeux tant j'aurais voulu être à « ma » place qu'elle occupait ! Il ne me refera pas ça, il me l'avait promis. Une fois, seulement il avait osé posséder une femme sous mon nez, mais c'était son épouse qui lui rendait une visite impromptue, et dénudée j'avais eu à me cacher dans le placard, d'où je voyais tout. Je ne nie pas qu'il me plait de voir deux corps s'embraser et s'emboiter, je dis seulement qu'une fois excitée on aimerait être l'un des deux corps à explorer en profondeur. Considérant la tension sexuelle à laquelle je suis soumise depuis deux semaines il ne peut que savoir l'inconfort d'une telle situation pour moi ! Se passer de sexe est facile il suffit de ne pas y penser ! Mais là, c'était différent, il s'était arrangé pour que mon environnement soit hypersexualisé !

Tandis que je fulminais et retenais difficilement un gémissement de complainte sentant le désir se transformer en douleur sous sa force s'accroissant, j'écartais insidieusement les cuisses pour envoyer des signaux trompeurs à ma tête que j'allais bientôt recevoir de quoi calmer mes appétences. Sa bouche avait été remplacée par sa main sur sa queue par laquelle elle l'attirait à elle vers le lit. Elle s'y laissa tomber la première sur le dos, les jambes repliées et ouvertes en signe d'invite. Il mena sa tête jusqu'à son string violet qu'il se mit à dévorer – c'était des dessous comestibles – il partagea un baiser langoureux avec elle, et également le fruit de sa récolte dénudant son puits d'amour. Le soutien-gorge subit le même sort. Il cala son pénis entre ses deux seins gonflés de désir et les ramena contre lui pour aller et venir entre ces deux excroissances laiteuses et abondantes. Quand le gland arrivait au niveau du menton elle baissait la tête pour le lécher. Il se tourna au bout d'un moment pour me faire face, me décocha un sourire hardi, logea sa queue dans la bouche de sa partenaire puis s'inclina pour passer une langue minutieuse et experte entre les lèvres charnues qui bardaient un résolument joli clitoris rose et gonflé. Elle gémissait de plaisir et moi de douleur. Je voulais m'approcher quémander un peu de ces attentions dont elle bénéficiait : « C'est moi qui devrais être offerte à ses caresses ! C'est moi qui meurs d'être délaissée depuis quinze longs et pénibles jours ! » me répétai-je, sans me rendre service ! Je devais m'efforcer de penser à autre chose... J'enviais le sort d'oubliés du désert. La soif d'eau est incomparable à la soif de sexe ! De l'un on peut espérer mourir et être libéré, de l'autre il faut pouvoir s'autoriser à se masturber, et quand bien même, la satisfaction qu'on tire de plaisirs solitaires n'égalera jamais celle de plaisirs pris dans les bras d'un bon amant ! Qu'importe de toute façon je ne lui ferai pas le plaisir de me voir aux abois me caresser devant eux, et puis trop prude...

Cela m'avait tout de même pris deux mois pour décider qu'une bonne situation professionnelle valait bien quelques sacrifices. Comme il me l'avait lui-même soufflé comme question : combien d'amants avais-je connu avant lui sans n’en tirer aucun bénéfice ou avancée dans ma vie, ou même évolution personnelle ? Une dizaine de rencontres décevantes ! Autant de raisons de changer une situation précaire en situation stable et gagner en indépendance et qualité de vie. Quelques fellations c'était là tout ce qu'il avait demandé pour la signature du CDI. Un jour que je l'avais dans la bouche il me proposa une prime substantielle pour me lécher. J'en mourrais d'envie mais je n'ai accepté, là encore travaillée par ma pudeur et mon sens moral en carton qui me pourrit relativement la vie sauf quand je parviens à lui opposé une sourdine salutaire, que quelques jours plus tard. Et ce cunnilingus au lieu de m'apaiser avait réveillé en moi des envies plus obscènes et je lui avais demandé subrepticement de me prendre, ce qu'il a fait magistralement. C'est ainsi que je suis devenue à l'insu de mon plein gré son objet sexuel à contre sou, à contre éthique. Les premiers mois tout à notre aise et à notre découverte on copulait très souvent. Ensuite, pour signer un gros contrat avec un client qui lorgnait sur mon décolleté, il se fit messager d'une demande explicite du vicieux sexagénaire moins bien conservé que mon patron d'une dizaine d'années son cadet. La prime était alléchante mais ce qui l'était bien plus était de m'imaginer la scène qu'il avait exigé : ligotée, totalement nue en pure offrande au désir sexuel d'un inconnu. L'excitation avait pris le pas sur le reste et j'avais lâché à l'adresse de mon patron plus timidement qu'hésitante « c'est d'accord, je ferai ça pour vous ». Et cela m'avait tant plu que j'appris à jouer de mes charmes armée d'un beau séant et de seins voluptueux pour attirer sur moi un regard autre que professionnel de visiteurs influents. Ainsi s'allia l'utile à l'agréable et de femme effacée et réservée je me découvris des tendances de femme fatale et sexy. Il m'arrive même de me sourire le matin devant le miroir en me trouvant belle et appétissante. Il faut dire qu'à mesure que se débridait ma sexualité, ma garde robes se faisait, elle, plus audacieuse et suggestive s'agissant de mes arguments, tout en respectant les codes vestimentaires de bureau.

L'agréable devint aujourd'hui objet de ma déconvenue ! Ils se sont mis de telle sorte que priorité de la visibilité soit donnée à l'accolade de leurs deux sexes. Tantôt il était sur elle lui relevant les jambes et la maintenait aux chevilles pour la posséder en profondeur avec une amplitude marquée dont le rythme était ponctué par des gémissements et soupirs de supplique l'invitant à aller plus fort. Tantôt elle surmontait son pieu dressé fièrement en me faisant face et s'agitait sur ce dard qui eut dû s'engouffrer en moi...! J'aurais voulu la haïr mais je les désirais, j'avais besoin d'eux pour jouir ! J'aurais tant voulu qu'ils s'occupent de moi autrement qu'en me narguant ! Ils se sont mis sur le côté, lui dans son dos la pénétrait en tenant la jambe du haut qu'elle avait relevé pour libérer l'entrée de ses orifices. Le rythme des fois s'accélérait et les mots devenaient plus crus et même odieux, mais surtout diaboliquement excitants : « Oh oui baise moi plus fort ! Défonce-moi ! Je suis ta chienne! » disait-elle et lui serinait des « t'aime ma queue salope ! Tu la sens dans ton cul chiennasse, quand il lui explorait l'anus de tout le long de son pénis ! Remue plus que ça sale pute ! ». De pouvoir ainsi lâcher prise totalement sur la bienséance il n'y a que le sexe d'aussi permissif et salvateur pour les aliénés que nous sommes. J'aime quand il a ses mots à mon endroit, rien ne m'excite plus que de l'entendre me dire « tu n'es qu'une salope qui adore la queue ! ».

Elle jouit, et jouit encore sous ses coups de butoir, tandis que moi je souffrais ! Il finit dans sa bouche et l'obligea comme il le fait avec moi quelques fois en maintenant une pression sur ma tête assez longtemps, à avaler sa semence. Et la bouche encore sale de notre amant il lui fit un signe de tête en ma direction. Elle vint à moi lascive et féline dans sa nudité d'amazone et se pencha en approchant son visage du mien et là, me donna un baiser salé auquel je répondis à pleine bouche, ouvrant et refermant des bras voraces autour de son corps nu et encore chaud du brasier qui avait eu lieu sous mes yeux. Elle se défit de mon étreinte et me dit : « à bientôt, prends soin de notre ami ». Et elle quitta la pièce nous laissant seuls. Il se rhabillait en soutenant mon regard désespéré, de ses yeux rieurs et il me demanda si je voulais qu'il me raccompagne au parking. J'acceptai espérant subir le même sort que la jolie brune à l'arrivée devant ma voiture ou même dans l'ascenseur. Il ne cessa de parler travail, ce à quoi je répondais de façon monosyllabique quand je le pouvais ou par périphrases. Il s'amusa une dernière fois de moi ouvrant la portière de ma voiture, m'y laissant entrer et la refermant sur moi, il se pencha en me susurrant à l'oreille : « demain j'aurais besoin de toi à 14h », « mais c'est samedi » rétorquai-je ! Et il répliqua éludant mon reproche à peine voilé : « repose-toi bien et sois à l'heure ».

A quatorze heures j'étais installée dans son bureau. Je m'attendais au pire après hier. Alors j'avais mis des bas brillants sous ma jupe de tailleur noir qui m'arrivait à mi-cuisses... et des fois que j'aurais besoin de me caresser (car il était hors de question que je me contienne cette fois !) j'avais pris la plus courte de mon armoire et m'étais dispensé de dessous ! Il voulait s'amuser de moi ? Sauf, que je sais le désir que je provoque en lui aussi ! Mon chemisier était seyant et affichait une légère transparence derrière les motifs géométriques de coloris bleu canard sur fond noir, on devinait clairement l'absence de soutien-gorge et si l'on me scrutait plus en avant on remarquait que mes seins pointaient déjà tout à leur orgueilleuse soif de caresses. J'avais délaissé volontairement ma veste sur le dossier de ma chaise de bureau en arrivant. J'étais prête pour la guerre des sexes.
Il me salua en entrant, s'inquiéta de ma nuit et de ma bonne forme, je le rassurai et lui renvoyai ses politesses. Il s'adossa nonchalamment contre son bureau croisant les jambes et les bras et plongea son regard dans le mien, puis sur ma poitrine : « un très joli lot... ». Je souris, et il se pencha pour m'embrasser, j'entrouvris mes lèvres en exhalant un soupir d'aise, mais il fit marche arrière en riant : « tu es chaude comme la braise.. tu es à point ma petite cochonne... ». J'en eus vraiment assez de ce petit jeu, j'explosai : « ça suffit à la fin ?! Je regrette ! Voilà c'est dit ! J'adore votre queue et j'en ai furieusement besoin ! Vous êtes le meilleur amant que je n'aie jamais eu et je pèse mes mots ! On peut arrêter de jouer maintenant ?! ». Je déboutonnais mon chemisier résolue et déterminée à me faire prendre de gré ou de « force », libérant mes protubérances mammaires je lui intimai : « baisez-moi là maintenant ! Je n'en peux plus ! ». Il pris une cigarette, l'alluma et s'assied négligemment derrière son bureau en se carrant sur son large fauteuil en cuir : « Humm... La tigresse s'exprime, si tu crois que c'était ça ta punition... tu te leurres ma grande ! Je vais t'enseigner le respect de son supérieur... » Et il se mit à rire à gorge déployée : « tu vas en prendre pour ton grade, langue de pute... une bite reste une bite ! Y a qu'une avaleuse de bites pour parler comme ça ! »... Finalement j'étais interloquée. C'était quoi la punition alors ??? Il y avait vraiment plus sadique que ces deux dernières semaines et hier soir son apogée ???

Il claqua des mains. Une porte s'ouvrit, puis une autre, de la première parurent quatre hommes, de la seconde encore trois autres. Une troisième s'ouvrit sur deux hommes. Ils étaient tous en tenue d'Adam, certains avaient déjà la queue dressée fièrement en conquérants, d'autres attendaient une stimulation supérieure.. ils n'avaient pour seul accoutrement qu'un masque en latex camouflant l'intégralité de leurs traits. Je compris tout de suite la teneur du châtiment ! Mais j'étais bien trop excitée pour fuir ! Mon patron vint jusqu'à moi et me dévêtit en me soufflant à l'oreille : « c'est sans danger, ils ont tous été testés et sont cleans, le seul risque encouru c'est que tu sois gavée de bites comme tu le mérites... ». J'en frissonnai de désir ardent ! Il poursuivait : « je vais t'expliquer les règles du jeu... Tu feras exactement ce que je te dirai de faire, en revanche il ne se passera rien que tu ne veuilles pas. Les codes sont les suivants ; si tu veux tout arrêter et ce à n'importe quel moment tu dois dire « rouge », les autres termes comme « arrête, stop, non pitié etc » ne les feront pas s'arrêter. C'est rouge, pour tout stopper net, compris ? ». J'acquiesçai consciente et consentante jusque-là mais trop impatiente de « jouer » pour dire le moindre mot. Il m'expliquait encore : « pour continuer ou augmenter la puissance du jeu tu dis vert, encore, marche aussi suivant le partenaire, mais ils feront de toi ce que je leur ai ordonné, c'est à dire absolument tout... ». Il prit un feutre rouge et passant derrière moi s'accroupit pour inscrire des mots sur mes fesses. Il me mena devant un miroir et me fit pivoter que je puisse voir écrit sur l'une et l'autre « Raie » et « Publique ». Un frisson d'excitation me parcouru tout le corps. Il se tourna vers ses hommes et leur dit : « Messieurs, elle est à vous... » me jetant un regard noir de désir, il ajouta : « c'est une vraie chienne, ne la ménagez pas... ».

Il se mit à la place que j'occupais hier soir, histoire de ne rien rater du spectacle et sortit sa queue pour la caresser.
Quant à moi, il ne m'avait laissé que mes bas, les hommes s'avancèrent et m'entourèrent en laissant le champ libre du côté du chef d'orchestre qu'il puisse tout voir. L'on me fit accroupir face à eux, et ils enfoncèrent tour à tour des queues dans ma bouche. Je m'appliquais à tous les contenter autant que possible sans en privilégier un plus qu'un autre. Pendant que des succions étaient effectuées sur des queues d'autres se faufilaient entre mes cheveux dénoués, sur mes joues, mes épaules... une véritable profanation de mon corps. Au bout d'un instant sans que je n'y comprisse rien d'un geste du Maître tous reculèrent et se mirent sur les canapés formant un U d'hommes nus. L'un, pourtant, était resté debout, vint vers moi avec un collier et une laisse que lui passa le Maître. J'étais encore les genoux au sol, je dégageai mon cou en rejetant ma tête en arrière pour qu'il me passe le collier. Une fois en laisse il me balada d'homme en homme pour les lécher sans me servir de mes mains qui ne devaient pas quitter le sol, que ceux d'en face aient une vue sur mon arrière train, ainsi exposé il révélait aussi ma grotte humide.

Quand le tour fut fait je fus arrêtée devant celui qui me promenait pour qu'il s'engouffre dans ma bouche à son tour. Tandis que je m'occupais de sa verge, je sentis des mains saisir mes hanches par derrière et un pénis glisser sans difficulté dans mon antre. Oh le bonheur exquis d'être prise, enfin... J'écartai inexorablement les cuisses et cambrai mes reins pour l'aider dans son invasion de mon vagin. Il en sortait une queue qu'une autre venait la remplacer. Les tailles, les rythmes et techniques variaient. Tous partaient à l'assaut d'un de mes orifices ainsi offerts. Tantôt l'un plutôt marteau piqueur, l'autre plus bourrin, ou encore plus langoureux et/ou énergique. Puis on me fit grimper sur le membre dressé d'un homme assis sur le canapé. Un autre partait à la conquête de mon anus. Ma bouche servait quant à elle de réceptacle furtif de queues. D'être ainsi pénétrée de partout procure un raz-de-marée de sensations qui m'étaient jusqu'alors inconnues. Mon palpitant accélérait la cadence à mesure qu'ils s'agitaient en moi en s'interchangeant. Pour varier les plaisirs aussi, c'était l'anus qui était bombardé en Andromaque pendant que les autres queues assuraient un défilé constant dans mon vagin. Certains jouissaient en moi, et pendant que les autres finissaient, ceux qui avaient déjà joui revenaient de plus belle. […] Des heures passèrent et je me sentais usée, à bout, je suppliais qu'on me laisse. Mon Maître vint à moi alors que j'étais au prise entre deux hommes et il me regardait, savourant le tableau, m'offrait sa queue à aspirer dans ma bouche. Des larmes d'humiliation perlaient à mes joues, mais je jouissais plus fort, un véritable orgasme faisant trembler tous mes membres. Jamais je n'avais autant joui de ma vie, je promets, et autant j'aurais voulu que ça cesse, autant c'était tellement bon que j'eusse préféré que la fin viennent d'eux. Ils défilèrent jusqu'à la tombée de la nuit et jouirent dans mon vagin, mon anus, ma bouche, mes seins, mes fesses, j'étais couverte de semence et laissée au milieu du canapé ouvert en lit. Je dormis peut-être quelques instants.

Je me réveillai, Mon Maître était à côté de moi et me regardait en me caressant les cheveux, les épaules, les seins... J'étais encore très épuisée, mais dans ses yeux je lus la flamme habituelle qui signe le début d'ébats entre nous... « Vous n'allez tout de même pas me demander de me donner à vous après tout ce que je me suis pris ?! » m'enquerrai-je surprise ! Il me rapprocha de lui en serrant mon corps contre le sien : « Justement, il ne serait pas juste que je ne profite pas de ma pute moi aussi... tu ne crois pas ?!... Tu as été parfaite, un vrai garage à bites ! Dès que je t'ai vue la première fois j'ai su que tu n'étais qu'une vicieuse qui aurait juste besoin de quelques coups de queue bien sentis pour se dévergonder... ». Il lécha mes seins salis par la semence des autres : « tu as un bon goût de chienne en plus... humm et tu sens le sexe ma salope... ». J'étais de nouveau excitée à ses mots. Le moindre de mes mouvements faisait perler à mes cuisses du sperme. Il avait une main devant ma grotte et la ramena blanchie à mes lèvres : « tiens, tu dégoulines du jus de couilles, sac à foutre... ». Il se plaça alors sur moi de tout son poids, se centra et introduisit son sexe dans ma fente lubrifiée comme jamais. Je l'encerclais de mes jambes et mes bras en une prison câline pour l'accueillir, soulagée qu'il me possède enfin. Je desserrais l'étreinte de mes jambes qu'il soit libre de s'agiter en moi. Ses coups de reins étaient énergiques, voire sauvages et abrupts : « alors tu la sens la différence entre les bites maintenant, sale traînée ! »...Je hurlai presque, de plaisir, heureuse de le retrouver enfin : « oh oui ! Oh oui ! Je la sens ! J'en veux ! Donnez-la moi ! J'adore votre queue ! Défoncez-moi ! » et il ne se fit pas prier, tout à la rage que je sentais en lui il souleva mes jambes pour me prendre plus profondément et plus fort. Au bout d'un moment il nous fit basculer collés par nos sexes, lui sur le dos et moi sur lui, je m'inclinai pour l'embrasser et il me dévora la bouche d'un baiser bestial, déployant mes dernières forces, je me mis à remuer énergiquement et désespérément sur cette verge qui m'avait tant manquée ! Je ne voulais pas perdre une miette de ce moment de pur délice ! Je disais aussi au bord de la folie : « Je me régale, c'est trop bon ! ». Il avait les mains sur mes hanches pour m'aider dans mes mouvements de va-et-vient : « vas-y, allez grosse cochonne prends ton pied sur ma queue ! »... Dans un gémissement intense et jouissant sur la verge unique de Mon Maître je lâchais décidément libérée de mes inhibitions et d'une voix rauque : « j'adore le sexe ! ».
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