ACCUEIL > En groupe > Récit : La vengeance de Greg 8

La vengeance de Greg 8

+19

Lue : 1005 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 01/06/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Après sa douche et le message de Greg, Chloé était un peu perdue, elle n’arrivait pas à comprendre pourquoi elle l’avait invité, pourtant son corps semblait réclamer encore sa dose de jouissance.
Mais voici que Greg désirait qu’elle trouve une autre fille pour occuper son mari pendant qu’il la baiserait, en rejoignant Paul dans le salon, elle se surprit à chercher laquelle de ses amies accepterait de coucher avec Paul.
Paul semblait autant déconcerté qu’elle, par ce qu’ils avaient vécu dans le magasin, jamais il ne l’aurait cru capable de tels actes en public et avec un jeune homme qu’elle ne connaissait pas.
Pourtant elle s’était offerte à lui, et elle était même prête à recommencer, il fallait juste qu’elle trouve une fille à offrir à son mari.
Alors que Paul levait un regard larmoyant sur elle, elle se souvenait qu’il avait eu sa dose de plaisir dans le magasin, elle n’était pas la seule à s’être abandonner, et il n’avait pas tellement cherché à la retenir.
Etonnamment, elle ne lui en voulait pas, elle avait découvert de nouveaux plaisirs dans cette expérience, et ne ressentait aucun regret.
Pourtant Paul essaya de se faire pardonner en se jetant à ses pieds, pour lui dire :
- Excuse-moi, j’aurais dû te faire sortir de ce magasin, pardonne-moi, s’il te plait.
Chloé prit quelques secondes pour lui répondre :
- Ne t’en fais pas, je ne t’en veux pas, nous avons tous les deux plongé dans la débauche aujourd’hui.
Paul fut rassuré, il se sécha les larmes et attendit que Chloé continue.
Elle passa alors sa main tendrement sur sa joue et lui dit :
- Cependant, maintenant, nous ne pouvons plus revenir en arrière, j’ai joui aujourd’hui, comme jamais je n’avais joui auparavant, et j’ai encore envie de gouter à cette jouissance.
Les yeux de Paul s’écarquillèrent de crainte, il resta sans broncher à genou devant Chloé, la laissant continuer :
- Je ne pourrais pas t’expliquer ce qui m’a pris dans le magasin, ce qui m’a poussé à m’offrir sans retenue et sans pudeur, mais c’était plus fort que moi, ça m’attirait, et j’ai très envie de recommencer, mon corps et mon esprit le réclame.
Sortant de sa torpeur, Paul se releva et lui dit :
- Je ne veux pas que ça détruise notre couple, je t’aime et j’ai honte d’avoir pris du plaisir avec les autres femmes.
- Je t’aime aussi, je ne t’en veux pas, j’ai ma part de responsabilité, je pense que nos désirs étaient plus forts que notre volonté, mais nous ne pouvons pas faire comme s’il ne s’était rien passé, et je n’en ai pas envie, mon corps réclame encore cette jouissance intense.
- Tu comptes retourner dans ce magasin ?
- Ce ne sera pas la peine, Greg vient demain midi, ici.
Paul en eut le souffle coupé, il ne sut quoi dire, il recula et s’effondra sur le canapé.
Chloé s’assit à côté de lui, et lui dit :
- Ne t’inquiète pas, il m’a demandé de te trouver une femme pour s’occuper de toi.
- Mais ….
- Dis-moi laquelle de mes amies, tu aurais envie de baiser, je vais l’appeler et essayer de la convaincre.
Paul n’en revenait pas, même s’il fantasmait souvent sur les amies de Chloé, jamais il n’aurait pu imaginer que sa femme lui propose un jour d’en baiser une.
Mais d’un seul coup, il se souvint qu’ils devaient avoir de la visite, le lendemain, alors il se dit qu’il avait trouvé le moyen de contrarier les plans lubriques de sa femme et de son amant, alors il lui dit :
- Chérie, tu as oublié mais ta sœur doit venir nous voir demain.
Chloé se mit à cogiter, sa sœur Blandine avait fêté ses 18 ans, il y a tout juste 3 mois, elle était surement encore vierge, et n’avait aucune expérience avec les hommes, et ne pourrait donc pas s’occuper de Paul pendant qu’elle baiserait avec Greg, cela la contraria.
Mais Chloé ne savait pas que sa sœur avait également gouté à la grosse bite de Greg et qu’elle était devenue une belle salope, dont tous les orifices avaient été dépucelé récemment.
Elle tenta tout de même de proposer à Paul :
- Tu sais, Blandine est majeure maintenant, et je suis sûre que tu serais ravi de pouvoir la dépuceler.
Paul n’en revenait pas de la proposition de sa femme, elle était vraiment prête à tout pour pouvoir baiser avec son amant.
Mais bien qu’il fût très surpris par cette proposition, le fait que sa femme lui propose de dépuceler sa jeune sœur, l’émoustilla et il ne put nier que même si l’idée l’avait choqué, elle lui plaisait énormément, il se mit à imaginer Blandine complètement nue sur leur lit, les cuisses grandes ouvertes, l’attendant impatiemment pour qu’il fasse d’elle une femme.
Chloé lut aisément dans les yeux de son mari, qu’il était déjà en train de s’imaginer baiser sa petite belle-sœur, réalisant elle-même, que sa proposition était plutôt extravagante, et qu’avant aujourd’hui, elle n’aurait jamais osé faire ce genre de proposition à son mari, mais à présent, elle était prête à tout pour satisfaire ses pulsions, quitte à sacrifier l’innocence de sa petite sœur.
En voyant la belle bosse que formait la bite de son mari dans son pantalon, elle abandonna ses derniers scrupules, et vint lui caresser la queue, en lui disant :
- Je ne savais pas que ma petite sœur t’excitait autant, mon salaud, faudra être gentil avec elle, tu seras sans doute son premier homme.
Perdu dans ses pensées lubriques, où il défonçait la chatte de la jeune Blandine, il répondit :
- Je sais être très doux, tu sais.
- Oui et si elle est aussi salope que sa grande sœur, tu pourras peut-être même lui mettre dans le cul.
Curieusement, Chloé commençait à être très excitée à l’idée que sa petite sœur baise avec son mari, elle ne put se retenir de lui sortir sa queue bien dure et se pencha dessus en lui disant :
- Tu me diras si elle suce mieux que moi.
Chloé se mit alors à pomper la queue de Paul, qui imaginait que c’était la bouche de sa belle-sœur qui coulissait sur sa bite.
Ils baisèrent tous les deux sur le canapé, l’un imaginant fourrer sa belle-sœur, l’autre ravie de servir d’objet de fantasme afin de convaincre son mari de la laisser baiser avec son amant.
Paul eut même le plaisir de pouvoir enculer sa femme, chose qu’il n’avait jamais pu faire jusqu’à aujourd’hui, mais alors que sa bite s’enfonçait dans le cul de Chloé, ce n’était pas sa femme qu’il enculait, c’était sa ravissante belle-sœur qui lui offrait gentiment son magnifique petit cul.
Il la défonça, faisant crier de plaisir Chloé, qui eut un orgasme intense lorsqu’elle sentit le sperme de Paul lui remplir les intestins.
Mais pour Paul, c’était le cul de Blandine qu’il fourrait, et alors que les giclées de sperme se calmaient doucement, et qu’il revenait à la réalité, il retira sa bite du cul de sa femme, en lui disant :
- Ok, pour baiser avec Blandine.
Chloé s’écroula sur le canapé, avec un sourire espiègle, elle venait d’avoir un orgasme puissant, mais surtout elle était ravie de pouvoir accueillir son amant sans aucune contrainte.
Si ce n’est sa sœur, mais si Blandine était comme elle à son âge, Paul n’aurait pas trop de difficulté à la convaincre d’ouvrir les cuisses et de la dépuceler.
Ils dînèrent et partirent se coucher en songeant à la journée du lendemain.


La nuit portant conseil, Paul se réveilla avec quelques scrupules à dépuceler sa belle-sœur, tandis que Chloé avait totalement accepter l’idée de faire en sorte que son mari et sa sœur baisent ensemble, et se demandait comment elle pourrait la convaincre d’ouvrir ses cuisses à son beau-frère.
Paul s’était levé avant Chloé et cogitait sur le fait que coucher avec sa belle-sœur allait mettre son couple en péril encore une fois.
Il cherchait les arguments pour convaincre Chloé qu’ils allaient commettre une grave erreur, lorsque celle-ci se leva.
Elle était rayonnante, elle était persuadée d’avoir trouvé la solution pour convaincre sa sœur d’abandonner son pucelage à Paul.
Alors que ce dernier allait lui énoncer ses arguments pour éviter qu’ils ne commettent l’irréparable, Chloé lui sourit et lui dit :
- J’ai la solution pour que Blandine accepte de baiser avec toi.
Paul fut pris au dépourvu, mais sa femme était tellement belle, tellement rayonnante ce matin, qu’il ne trouva pas le courage de l’interrompre :
- Voilà ce qu’on va faire : je vais aller dans la chambre avec Greg et on va baiser ensemble, tu n’auras qu’à attendre avec Blandine ou l’occuper ailleurs et quand tu m’entendras jouir, tu feras l’étonné et tu viendras voir avec elle ce qui se passe dans la chambre.
- Et tu crois qu’elle va réagir comment lorsqu’elle verra sa sœur baiser avec un autre homme que son mari ?
- C’est là que tu vas avoir un rôle important, je pense qu’elle est encore vierge, donc elle risque d’être très choquée, mais elle doit regarder et tu devras peut-être même la retenir pour qu’elle continue à regarder.
- Ok, pourquoi pas, mais si elle veut partir ?
- Tu la rattraperas, tu la consoleras et avec un peu de chance, tu pourras abuser d’elle.
- Donc si je comprends bien : si elle reste, c’est que ça l’excite et donc j’en profite et si elle part, je la console et je joue le gars outré qui a besoin de réconfort avec elle.
- C’est tout à fait ça.
Paul ne pouvait qu’admettre que le plan de Chloé avait de grandes chances d’aboutir, il se voyait déjà baiser avec la ravissante Blandine, et maintenant que tout semblait en place, il garda ses arguments pour lui, acceptant de participer à la débauche de sa belle-sœur.
Ils rangèrent l’appartement, et Chloé alla s’habiller pour accueillir son amant.
Elle venait de finir de s’épiler complètement et de se maquiller, elle allait enfiler sa plus courte minijupe portefeuille, avec un petit haut moulant qui épousait parfaitement les courbes de ses seins, lorsque tout son plan fut anéanti.
Paul entra précipitamment dans la chambre, il resta figé quelques secondes devant sa superbe femme nue, il la trouvait magnifique avec sa petite chatte toute lisse et son maquillage légèrement provocant, il reprit son souffle et lui annonça :
- On a un gros souci : tes parents accompagnent ta sœur.
Chloé se mit à cogiter à toute vitesse, Paul avait très envie de garder sa femme pour lui seul, et lui proposa :
- Il faut que tu annules ton rendez-vous avec Greg, il viendra une autre fois.
Mais Chloé avait tellement envie de sentir de nouveau sa grosse bite entre ses cuisses qu’elle ne put se résigner à annuler, et elle répondit :
- Non, on le fera passer pour un ami qu’on a invité et on attendra le départ de mes parents pour se lâcher.
Paul avait cru tenir le moyen de contrecarrer le plan de Chloé, pourtant elle était déterminée, mais vu comment elle avait réagi la veille, au magasin, il lui demanda :
- Tu es sûre de réussir à attendre que tes parents soient partis ?
Mais elle n’eut pas le temps de répondre, la sonnette retentit, elle dit à Paul d’aller ouvrir pendant qu’elle finissait de s’habiller.
N’ayant pas l’envie, ni le temps de chercher une tenue plus convenable à la venue de ses parents, elle enfila tout de même sa minijupe et son petit haut.
Elle allait sortir de la chambre lorsqu’elle s’aperçut qu’elle avait les fesses à l’air, elle avait eu l’intention de ne pas porter de sous-vêtements, pour être prête à se faire fourrer par son amant, mais la présence de ses parents avait tout compromis.
Elle les entendait déjà discuter avec Paul dans le salon, et ils lui demandaient ce qu’elle pouvait bien faire.
Elle ouvrit rapidement son tiroir de sous-vêtements et enfila un petit string, elle allait retirer son haut pour enfiler le soutien-gorge, mais la sonnette retentit de nouveau, elle savait que c’était son amant.
Alors elle abandonna le soutif pour se précipiter hors de la chambre et aller ouvrir, saluant rapidement ses parents et sa sœur, qu’elle trouva particulièrement jolie, aujourd’hui.

Il faut dire que, depuis que Blandine avait été dépucelé par Greg et qu’elle participait régulièrement aux partouzes chez ses amis, elle avait totalement changé sa garde-robe.
Ses parents avaient mis cela sur le fait qu’elle devenait une jeune femme, et qu’elle désirait plaire aux garçons.
Même si elle n’était pas au courant qu’elle allait revoir Greg, chez sa sœur, Blandine était toujours prête à exciter les hommes pour se faire baiser, elle s’était donc habillée d’une petite robe courte et légère, fendue jusqu’en haut de la cuisse droite, qui lui laissait le dos nu, et lui faisait un joli décolleté.
Après son fantasme de la veille, Paul en bavait déjà d’envie, et comme il ne voyait rien dans son dos, il devina qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.
Il se mit même à rougir lorsque Blandine surprit son regard appuyé sur ses tétons qui tendaient délicatement le tissu de sa robe.
Il fut très surpris qu’elle lui fasse un grand sourire et qu’elle bombe d’avantage le torse, ce qui faisait ressortir d’avantage sa poitrine bien ferme.
Mais la sonnette avait retenti une deuxième fois, et il allait se diriger vers la porte, sachant très bien de qui il s’agissait, lorsqu’il vit Chloé sortir en trombe de la chambre et foncer vers la porte.
Elle ne prit même pas le temps de faire la bise à ses parents et à sa sœur.
Profitant que les parents de Chloé soient interloqués par l’attitude de leur grande fille, Paul jeta un dernier coup d’œil à la poitrine de sa ravissante belle-sœur.
Il crut rêver lorsqu’il la vit défaire un bouton de son décolleté, en le regardant dans les yeux. Elle lui offrait volontairement une vue plongeante entre ses seins nus.
Ses tétons étaient encore cachés, mais il pouvait aisément les voir pointer fièrement sous le tissu.
Il n’en revenait pas, mais il sentait déjà sa bite se redresser doucement dans son pantalon.
Il en oublia presque la présence de ses parents et resta les yeux rivés sur les superbes seins de sa belle-sœur.
Il fut ramener à la réalité, lorsque Blandine tourna le visage et sembla à son tour très surprise.
Paul tourna à son tour le visage et se rappela leur invité surprise, lorsqu’il vit sa femme accoler à Greg et si ses parents ne l’avaient peut-être pas remarqué, Paul distinguait parfaitement la main de ce salaud sous la jupe de sa femme, pour lui peloter les fesses.
Mais tout comme les parents de Chloé, il fut complètement abasourdi de voir Blandine se rapprocher de Greg et venir l’embrasser en pleine bouche, et même lui rouler une pelle, alors que ce salaud pelotait le cul de sa sœur.
Chloé fut également très surprise par la réaction de sa sœur, mais elle avait maintenant la main de Greg sous son string et sentait un doigt s’enfoncer doucement dans sa chatte trempée, alors elle les laissa se rouler une pelle devant tout le monde, sans rien dire, elle eut un mal à fou à se retenir de se joindre à eux lorsque Greg lui enfonça un doigt dans le cul.

Odette et Germain, les parents de Chloé et Blandine furent totalement décontenancés par la réaction de leurs filles.
Ils avaient été, tout d’abord, très surpris que leur fille ainée arrive bras dessus, bras dessous avec un jeune homme qu’ils ne connaissaient pas, et Germain avait eu un doute sur la position de la main du jeune homme, mais il n’avait pas osé y croire, mais maintenant leur seconde fille se jetait au cou de celui-ci, lui roulait un pelle devant eux, sans aucune once de pudeur.
Sentant une certaine tension s’installer dans le salon, Blandine mit fin à son baiser langoureux, pour présenter Greg à ses parents, leur disant qu’il était un camarade de classe au lycée.
Curieuse, Chloé lui demanda :
- Vous sortez ensemble ?
Sans honte, Blandine lui répondit :
- Pas tout à fait, on est juste très proche.
Si les parents de Blandine n’avaient pas encore bien saisi la nuance, Paul et Chloé avaient parfaitement déchiffré ses propos et son comportement : Greg et Blandine couchaient ensemble.
Chloé était encore sur le coup de la surprise d’apprendre que sa petite sœur n’était plus vierge, lorsque celle-ci présenta Greg à leurs parents, celui-ci dut retirer ses doigts de ses orifices pour serrer la main de Germain.
Chloé ressentit une étrange sensation, lorsqu’elle vit leur poignée de main. Les doigts encore luisant de Greg sortaient tout juste de sa chatte et de son cul, elle regardait la main de son père s’imprégner de sa cyprine.
Chloé resta figée, elle sentait une chaleur troublante monter en elle, la vision des doigts de son père s’enfonçant dans sa chatte s’imposa à elle, et alors qu’elle aurait dû être écœuré par ces images, elle sentait sa chatte se mettre à mouiller d’envie.
Elle ne comprenait pas ce qui lui prenait, mais elle avait une envie folle de se faire fouiller la chatte par son propre père.
Elle pensait devenir folle, c’était maintenant la bite de son père, que son corps réclamait, et alors que Greg faisait la bise à Odette, Chloé se rapprocha de son père et se colla à lui pour venir lui faire la bise, en lui disant :
- J’ai oublié de t’embrasser, papa.
Mais en disant cela, elle mourrait d’envie de poser ses lèvres sur les siennes et d’enfoncer sa langue dans la bouche de son père, pour lui rouler une pelle enfiévrée.
Germain fut surpris que sa grande fille se colle à lui pour lui faire la bise, mais il y avait tellement longtemps qu’il n’avait pas senti le contact d’un corps de jeune femme et de seins bien fermes contre son torse, qu’il ne trouva pas le courage de rétablir une distance plus convenable entre eux.
Il fut de nouveau très surpris de sentir les lèvres de sa fille au coin des siennes, il pensa d’abord à une maladresse de sa part, mais lorsqu’elle posa, ensuite, la moitié de sa bouche sur la sienne, il ne sut quoi faire, il était très troublé par le contact de ses seins, dont il sentait les tétons bien dures frotter contre son torse, mais il s’agissait de sa fille, il ne pouvait pas laisser faire ça.
Peut-être pour y trouver du soutien, ou pour vérifier qu’elle n’avait rien vu, et qu’il pouvait en profiter sans risque, il jeta un œil à sa femme, qui lui tournait le dos.
Alors lorsque sa fille posa ses lèvres entièrement sur les siennes, il succomba à la tentation, et oublia qu’il s’agissait de sa propre fille, en l’embrassant tendrement.
Leurs lèvres étaient maintenant unies, mais Germain sentit que sa fille forçait le passage avec sa langue, il n’avait pas su résister à temps, et il était maintenant pris au piège, dans une sorte de délicieux sable mouvant, s’enfonçant doucement mais surement, plus profondément dans l’inceste.
Il entrouvrit la mâchoire et sentit la langue de sa fille s’enfoncer dans sa bouche. Comme par automatisme, il enfonça la sienne dans la bouche de Chloé et leurs langues se mirent aussitôt à danser l’une contre l’autre.
Il sentait qu’il bandait comme il n’avait pas bander depuis longtemps, Chloé avait bien senti la bosse de la bite de son père contre son ventre et se frottait contre elle pour la caresser avant de glisser une main entre eux, et venir l’empoigner doucement.
Heureusement pour eux, Blandine avait vu ce que sa sœur et son père étaient en train de faire, et même si elle aurait bien voulu être à sa place, elle fit en sorte que sa mère reste dos à eux.
Paul était complètement médusé de voir sa femme, rouler une pelle à son propre père, et maintenant elle lui caressait la queue, mais lorsqu’il vit Germain empoigner les seins de sa fille, il crut défaillir, si on ne les arrêtait pas, ils allaient finir par baiser dans le salon.
Greg sourit en les regardant, se disant qu’il était encore tombé dans une famille de frustrée sexuellement, et qu’il allait se faire plaisir de les dévergonder.
Alors il se rapprocha d’Odette qui a 47 ans, était resté une femme charmante, certes des seins moins fermes que ceux de ses filles, mais à force de séance de sport régulière, elle avait su conserver une silhouette svelte avec un fessier bien ferme, dont elle était très fière lorsqu’elle se faisait siffler dans la rue.
Elle avait essayé, avec son mari, d’inculquer une éducation stricte à ses filles, elle connaissait bien la perversité des hommes et jusqu’à aujourd’hui, elle était fière d’elle.
Odette aimait bien Paul, elle était heureuse que sa grande fille se soit mariée à cet homme charmant et attentionné, elle était à cent mille lieux, de pouvoir imaginer ce qu’il se passait dans son dos.
Alors que Greg lui apportait son apéritif en se collant à elle, Chloé avait ouvert la braguette de son père et avait glissé sa main à l’intérieur pour extraire sa bite bien dure du caleçon.
Germain avait totalement oublié où il se trouvait, la main douce qui lui empoignait et lui branlait la bite le rendait fou, il avait glissé ses mains sous le petit haut de Chloé et lui pétrissait les seins avec force.
Leurs bouches ne s’étaient pas quittées et Paul commençait à paniquer sur ce qu’il se passerait lorsqu’Odette allait les surprendre, mais il fut à son tour surpris par une main qui se posait sur sa braguette.
Il quitta des yeux, sa femme et son père, en pleine séance incestueuse, pour voir la main de sa belle-sœur commencer à caresser la bosse que sa bite formait dans son pantalon, il se rendit compte que sa queue était tellement raide, qu’elle poussait sur l’avant de son pantalon et qu’elle était parfaitement visible.
Laissant Blandine commencer à passer ses doigts le long de cette bosse, il fut troublé de se rendre compte qu’il bandait à cause de la scène immorale que sa femme et son père lui offrait.
Lorsqu’il vit la main de sa belle-sœur descendre sa braguette, et lui sortir sa bite bien dure, il se rappela où il était, il releva précipitamment la tête et fut soulagé en se rendant compte que Greg emmenait Odette sur la terrasse et qu’elle n’avait toujours rien remarqué de ce qui se déroulait dans le salon.
Et alors que Blandine s’agenouillait devant lui pour commencer à passer sa langue tout le long de sa bite, Chloé et son père s’étaient rapprochés de la table de la salle à manger.
Il vit Germain soulever sa fille par les fesses et l’assoir sur la table, Chloé se débarrassa de son string et écarta les cuisses, pour offrir sa chatte trempée à son père.
Lorsqu’elle sentit la bite paternelle cogner contre son pubis, elle l’attrapa pour la guider à l’entrée de sa chatte et pour la première fois depuis que leurs lèvres s’étaient trouvées, elle s’écarta de son père et lui dit :
- Vas-y, papa, baise-moi, défonce-moi.
Germain était pris dans une sorte de tourbillon de plaisir, il ne savait plus tellement où il était et avec qui il était, seul comptait ce corps de femme en chaleur qui lui branlait la bite, mais lorsqu’il entendit Chloé l’appeler papa, il revint à la réalité.
Il fut confus et honteux de se retrouver dans une telle situation, il se souvint de la présence de sa femme et des autres personnes, dont Paul, il les chercha des yeux et fut abasourdi de voir Blandine à genou devant Paul en train de lui pomper la bite.
Les yeux de Paul et Germain se croisèrent alors que les pieds de Chloé se verrouillaient dans le dos de son père et qu’elle l’attirait vers elle, faisant pénétrer la bite paternelle au fond de son vagin en feu.
Germain ne trouva ni la force, ni la volonté de s’extraire de la chatte de sa fille, il reposa ses mains sur les seins de Chloé et commença à la baiser, tout en regardant son autre fille pomper la bite de son beau-frère.
Tandis que Chloé commençait à geindre doucement sous les coups de bite de son père, à l’extérieur, Greg avait tenté sa chance avec Odette.
Dès qu’il avait aperçu Blandine se rapprocher de Paul, il savait ce qu’elle comptait faire, alors il avait posé sa main dans le dos d’Odette et lui avait proposé de prendre l’air sur la terrasse.
Elle avait accepté et l’avait accompagné jusqu’à la rambarde, Odette trouvait ce jeune homme étrange, pas véritablement attirant, non même plutôt le contraire, mais il avait quelque chose de particulier, et leur discussion était très agréable.
Curieusement, elle était sous le charme de ce jeune homme au physique ingrat, si bien qu’au cours de leur discussion, il posa de nouveau sa main dans son dos.
Odette l’avait parfaitement senti, mais elle ne réagit pas, et la laissa en place, elle était si bien au soleil et ne voulait pas s’offusquer pour une main maladroite, et alors que Greg lui montrait des vidéos humoristiques sur son téléphone, ils se rapprochèrent l’un de l’autre, se penchèrent sur la rambarde et Odette finit par oublier cette main embarrassante.
Mais alors qu’elle riait à plein poumons, Greg descendit doucement sa main sur ses fesses, elle ne s’en rendit compte que lorsque la vidéo se termina et qu’elle reprenait doucement son souffle.
Pendant Greg semblait chercher une autre vidéo, Odette estima qu’il ne semblait pas s’être aperçu qu’il avait sa main sur ses fesses, Odette mit ça sur le fait qu’elle avait sans doute fait glisser la main de Greg en riant et la laissa en place.
Elle regarda la seconde vidéo, oubliant encore une fois la main sur ses fesses, et se mit une nouvelle fois à rire de bon cœur, mais à la fin de la vidéo, elle eut une sensation étrange, la main ne semblait pas avoir beaucoup bougé, mais elle sentait un filet d’air lui passer entre les cuisses.
Si Greg n’avait pas lancé une autre vidéo, pour l’empêcher de tourner la tête et de voir ce qu’il se passait dans son dos, elle aurait pu s’apercevoir que sa jupe était maintenant complètement retroussée et que Greg avait la main posée sur sa culotte en dentelle.
Elle se mit une nouvelle fois à rire de bon cœur, ne sentant pas la main de Greg se glisser dans sa culotte pour venir lui caresser la chatte, ce n’est que lorsqu’elle sentit un doigt s’enfoncer dans sa chatte qu’elle se rendit compte de sa supercherie.
Mais elle était étrangement très humide et très excitée, elle ne trouva pas la force de se redresser et de lui résister, elle le vit simplement ranger son téléphone et lui dire :
- Ne bouge pas, je vais m’occuper de toi.
Elle resta donc penchée sur la rambarde et le regarda se placer derrière elle, elle le vit lui retirer sa culotte sans qu’elle ne fasse rien pour l’en empêcher, mais elle n’en avait curieusement aucune envie, elle ressentait maintenant un intense désir envers Greg, et lorsqu’il sortit son énorme bite bien dure de son pantalon, elle sut qu’elle avait sous les yeux l’objet de ses désirs interdits.
Alors qu’il se plaçait derrière elle et qu’il posait son énorme gland à l’entrée de sa chatte trempée, elle s’entendit lui dire :
- Vas-y, fourre-moi bien avec ta grosse bite, enfonce la tout au fond de ma chatte.
Odette ne se reconnaissait pas, jamais elle n’avait parlé si vulgairement avec son mari, et jusqu’à aujourd’hui, elle n’avait jamais été infidèle, et surtout, jamais elle n’avait baisé sur une terrasse d’un appartement, en plein jour.
Mais lorsqu’elle sentit l’énorme bite de Greg remplir son vagin en feu, ce fut comme une délivrance, elle attendait ce moment depuis si longtemps, qu’elle poussa un long gémissement de plaisir, et même si les voisins pouvaient l’entendre jouir, elle s’en moquait complètement.
Greg s’agrippa à ses hanches et commença à la défoncer, la faisant gémir de plus en plus fort, et comme beaucoup de monde mangeait sur la terrasse, Odette eut beaucoup d’admirateur.
Certains rentrèrent leurs enfants et crièrent au scandale, tandis que d’autres se contentèrent de regarder cette superbe femme jouir comme une folle.
Odette entendit les sifflets de ses admirateurs, et put les voir se branler tandis qu’elle se faisait défoncer et qu’elle jouissait comme jamais, et lorsque certains lui demandèrent de leur montrer ses seins, elle n’hésita pas une seule seconde, elle commença à défaire son corsage et Greg lui dégrafa son soutien-gorge pour libérer ses seins afin qu’ils puissent les voir se balancer au rythme des coups de bite, qu’elle se prenait.
Elle était maintenant à moitié nue sur la terrasse et se faisait défoncer la chatte par un jeune homme qui aurait pu être son fils, tandis qu’une demi-douzaine de mâle en rut se branlait en la regardant jouir comme une folle.
C’était extraordinaire pour Odette, jamais elle n’avait vécu pareil moment, c’était à la fois horriblement avilissant et fabuleusement excitant, elle eut un orgasme fantastique lorsqu’elle vit un des males éjaculer sur son balcon.
Greg sentit son vagin se contracter autour de sa bite et eut un mal fou à ne pas jouir à son tour, il la laissa doucement redescendre, et alors qu’elle reprenait elle-même les pénétrations, il lui dit :
- Et si on allait rejoindre tes filles ? je suis sûr que ces petites salopes s’amusent bien.
D’un seul coup, Odette se souvint qu’elle était en train de se faire défoncer la chatte sur la terrasse de Chloé, mais étrangement, même si elle craignait que ses filles la surprennent en train de se faire baiser comme la dernière des trainées, elle ne ressentit aucun remords à tromper son mari avec Greg.
A contrecœur, elle laissa Greg retirer sa grosse queue de sa chatte, laissant comme un grand vide en elle, elle se retourna et contempla la bite fantastique qui venait de la faire jouir.
Greg la laissa la manger des yeux et lui dit :
- Ne t’inquiète pas, tu vas encore pouvoir te la prendre, mais j’aimerais que tu voies par toi-même, comment tes filles sont de grosses salopes.
Odette ne comprit pas tout de suite, de quoi parlais Greg, seule comptait cette queue incroyable.
Elle suivit donc Greg à l’intérieur de l’appartement, et avant même d’avoir passé la baie vitrée, elle fut surprise d’entendre des gémissements de plaisir.
Lorsqu’elle entra, elle découvrit une scène inimaginable :
Tout le monde était à poil, son mari, ses filles et même son gendre, Germain était allongé sur le sol, Blandine lui chevauchait la bite, tandis que Paul lui fourrait sa bite dans le cul, pendant ce temps Chloé avait placé sa chatte au-dessus de la bouche de son père qui lui bouffait le clito avec appétit.
Les deux sœurs se roulaient une pelle passionné en jouissant comme deux belles salopes.

Odette était abasourdie par ce qui se déroulait sous ses yeux, mais pour autant, elle ne ressentait pas l’envie de crier au scandale, non, c’était même plutôt le contraire, elle avait, curieusement, très envie de les rejoindre.
Alors elle attrapa la grosse bite de Greg et lui dit :
- Viens me baiser à coté de ces deux petites putes.
- Avec plaisir.
Elle finit de se déshabiller complètement et rejoignit ses deux salopes de filles, Greg la suivit et Paul fut surpris en voyant Odette s’installer à 4 pattes à coté de ses filles.
Il regarda Greg lui fourrer son énorme queue au fond de la chatte et se dit que la mère était maintenant aussi salope que ses filles, et qu’il allait pouvoir en profiter prochainement.
Greg avait lancé son programme pour que leurs bites ne débandent pas, et ils purent baiser tous les 6 jusqu’à la tombée de la nuit, Paul fut même le premier à pouvoir enculer Odette, qui n’avait pas voulu une trop grosse queue pour sa première sodomie.
Germain, qui même s’il avait été surpris de la présence de sa femme au début, s’était vite fait à l’idée qu’il pourrait baiser ses filles autant qu’il voulait, s’il laissait sa femme se faire fourrer par n’importe quelle bite.
Tous les orifices des 3 salopes furent remplies de sperme et Greg stoppa son programme afin de permettre à tout le monde de reprendre des forces.
Comme ils n’avaient pas déjeuner, ils mourraient de faim, et même si les salopes avaient avalé une bonne quantité de sperme, elles avaient tout de même très faim, ils dinèrent donc tous à poil, et rentrèrent tous chez eux.


Les jours qui suivirent cet évènements furent totalement différents de leur petite vie d’avant.
Blandine continua bien entendu à se faire fourrer n’importe quelle bite au lycée, et par son père quand elle rentrait chez elle.

Chloé travaillait comme secrétaire dans une petite entreprise, depuis quelques mois, et Léon, son patron, ne mit pas longtemps à se rendre compte que l’appétit sexuel de son employé avait beaucoup évolué.
Il n’était pas rare qu’avant ce fameux WE, Chloé subisse quelques attouchements non désirés par Léon, mais dès le lundi après avoir baisé avec son père tout le week-end, et alors qu’elle portait un de ses tailleurs habituels, mais cette fois, complètement nue en dessous, Chloé était maintenant une nouvelle femme et se sentait prête à faire une petite surprise à son patron.
Léon venait de l’appeler, alors qu’habituellement elle se rendait dans le bureau de son patron avec dégout, aujourd’hui, elle se leva et se dirigea vers son bureau avec un sourire espiègle.
Léon était un homme de 55 ans, obèse, il mesurait 1,70m pour 110 kg, il n’avait aucune once de charisme, il profitait surtout de sa position et de son argent pour abuser des jeunes secrétaires qui ne restaient jamais très longtemps dans son entreprise.
Pourtant, ce lundi, il trouva que Chloé avait quelque chose de changer, sa coupe de cheveux, peut-être, mais il la trouvait différente.
Il lui demanda :
- Vous avez passé un bon WE ?
- Oui, très bon, mes parents m’ont rendu visite.
- Très bien, vous semblez différente aujourd’hui, vous avez fait quelque chose de particulier ?
- Oui, on a bai.., on a fait beaucoup de sport.
- Très bien, très bien, approchez, je vais vous donnez la liste des clients à relancer.
Chloé savait que c’était à ce moment-là, qu’elle devait le rejoindre derrière son bureau, et qu’il allait en profiter pour lui peloter le cul.
Mais alors qu’habituellement, elle se contorsionnait pour essayer d’échapper aux mains baladeuses de Leon, aujourd’hui, elle lui réservait une petite surprise.
Elle se plaça juste à côté de lui, et il n’avait pas encore énoncé le premier nom, qu’elle sentait déjà sa main sur son mollet.
En ne la sentant pas se dérober, il fut agréablement surpris et lui dit :
- Ah, apparemment vos parents vous ont mis du plomb dans la tête.
- Et pas que dans la tête, monsieur.
Léon ne releva pas, il était trop content que sa secrétaire ne cherche pas à s’échapper, il commença à énoncer la liste des clients, tout en remontant doucement sa main le long de la jambe de Chloé.
Lorsqu’il arriva à la bordure de la jupe, il arrêta son énoncé, il était intrigué, Chloé n’avait bougé d’un pouce, et il avait du mal à y croire, il la soupçonnait de vouloir lui tendre un piège.
Mais lorsque celle-ci écarta légèrement les jambes et lui dit :
- Vous pouvez continuer, monsieur.
Il crut rêver, il remonta doucement sa main sous la jupe de Chloé et arriva à la bordure de ses bas, il pouvait sentir la chaleur de sa peau, il n’arrivait plus à se concentrer sur la liste des clients, il ne manquait plus que quelques centimètres, et il allait enfin pouvoir toucher les fesses de sa secrétaire.
Même s’il craignait de tomber dans un piège, il n’arriva pas à se retenir et remonta encore sa main, il effleura la peau des fesses de Chloé, et attendit patiemment sa réaction.
Mais Chloé jubilait intérieurement, pour la première fois depuis des mois, elle se sentait maitre de son destin, et elle n’avait pas l’intention d’aider son patron, elle s’éloigna en lui disant :
- Bon puisque vous avez terminé, je vais m’occuper de ces clients.
Léon dû retirer sa main de sous sa jupe, il était perdu, il ne comprenait pas pourquoi elle n’avait pas bougé, et à aucun moment, il n’avait pensé qu’elle voulait qu’il la baise.
Il la laissa partir, sans savoir quoi dire, il passa la matinée à faire le tour de son bureau pour vérifier qu’il n’y avait pas une caméra cachée quelque part.
Cela fit sourire, Chloé qui s’amusait de voir son patron devenir anxieux.
Pourtant quand vint l’heure du déjeuner, même si elle s’était bien amusée avec lui, elle était frustrée de ne pas avoir pris un bon coup de queue, alors au lieu de rentrer chez elle comme habituellement, elle retourna dans le bureau de Leon, et lui dit :
- Je crois que vous n’avez pas fini tout à l’heure, il manque des clients.
Léon avait passé sa matinée à inspecter son bureau, il était certain qu’il n’y avait pas de caméra, pourtant il ne comprenait toujours pas pourquoi Chloé n’avait pas bougé.
Il s’installa à son bureau, la regarda des pieds à la tête, un long moment, et prit enfin une décision, en lui disant :
- Vous avez raison, venez ici, je vais finir ce que j’ai commencé.
Chloé pouvait lire dans ses yeux, qu’il allait enfin la baiser, et cela la fit mouiller énormément.
Elle reprit sa place à coté de Léon, et il ne perdit pas de temps cette fois, il glissa sa main directement sous sa jupe et vint lui empoigner une fesse.
Elle ne broncha pas, mais remarqua une belle bosse se former dans le pantalon de son patron, elle sentit sa main se glisser entre ses cuisses et l’entendit lui dire :
- Je n’arrive pas à lire les noms, penchez-vous et déchiffrez-les.
Obéissante et complètement trempée, Chloé se pencha sur le bureau de son patron, qui en profita pour soulever complètement sa jupe et découvrir ses fesses nues.
Léon resta stupéfait par ce qu’il avait sous les yeux, non seulement, cette petite salope le laissait lui peloter le cul, mais en plus elle se promenait sans culotte, il ne put se retenir plus longtemps, il se leva de son siège, et lui enfonça un doigt au fond de la chatte, faisant gémir de plaisir sa salope de secrétaire.
Il sentait qu’elle mouillait comme une folle, alors il lui dit :
- Je ne comprends pas, répétez.
Mais Léon lui enfonça un deuxième doigt au fond de la chatte, ce qui la fit gémir de plus belle, alors il lui dit :
- Je ne comprends toujours pas, je crois que vous méritez une bonne correction.
Léon sortit sa bite bien dure et la plaça contre la chatte trempée de Chloé, il n’eut aucune difficulté à s’enfoncer d’une seule poussée à l’intérieur, la faisant gémir de plaisir, tandis qu’il prenait un pied incroyable à sentir sa bite s’engouffrer dans cette fournaise.
Il s’agrippa à ses hanches et lui envoya un puissant coup de rein, en lui disant :
- C’est ça que tu cherches depuis ce matin, petite salope ?
Chloé sentait enfin un bite au fond de sa chatte, elle ne put que lui répondre :
- Oui, monsieur, allez-y, défoncez-moi, ma chatte est en feu, elle a besoin d’une bonne bite.
Léon ne se fit pas prier et commença à envoyer de puissants coups de queue au fond de la chatte de Chloé, qui gémissait de plus en plus fort.
Malheureusement pour elle, il ne s’était pas vidé les couilles depuis un bon moment, et sa chatte était tellement agréable, qu’il ne put résister très longtemps et lui envoya une quantité impressionnante de sperme au fond de la chatte.
Bien que la baise n’ait duré que quelques minutes, Léon était en sueur, il s’effondra sur son fauteuil, tandis que Chloé se redressait et rabaissait sa jupe.
Il reprit son souffle et lui dit :
- Tu es une sacrée salope, si j’avais su ça avant, ca ferait longtemps que je t’aurais baisé.
- Oh mais c’est tout récent, et sachez que pour me baiser de nouveau, il va falloir que vous revoyiez mon salaire à la hausse, sinon je vais me faire un plaisir d’apporter votre sperme à la police pour porter plainte pour viol.
- Salope !!
- Oui, c’est ce que je suis, et vous pourrez en profiter si vous sortez le pognon.

Léon n’eut pas tellement le choix, mais il ne le regretta pas, il put baiser et enculer Chloé autant qu’il le voulait, il put même se servir d’elle et de ses nouveaux talents de salope pour conclure quelques contrats juteux.



Pour Odette, ce fut également une révolution dans sa vie, ce qu’elle avait particulièrement apprécié dans cet évènement familial, c’était lorsqu’elle s’était fait baiser sur la terrasse devant les voisins.
Elle ressentait maintenant une certaine attirance pour l’exhibition et le sexe en public.
Dés le lundi, après ce fameux WE de débauche, elle changea radicalement sa façon de s’habiller, elle se mit à porter uniquement des minijupes, et alla s’acheter des sous-vêtements sexy, elle abandonna ses vieilles culottes pour les remplacer par des strings très alléchants.
Elle aimait son nouveau coté salope, mais après ses achats du début de semaine, elle n’avait toujours pas trouvé un mâle pour la baiser.
Pourtant de plus en plus d’hommes se retournaient sur son passage, pour mater son cul ou ses seins qu’elle mettait parfaitement en valeur avec des soutien-gorge push-up, qui lui faisait un décolleté très séduisant.
Lorsque le mercredi arriva, cela faisait 3 jours qu’elle n’avait pas baisé, et elle commençait à être en état de manque, elle n’avait jamais ressenti cette sensation, et il lui fallait une bite à n’importe quel prix.
Alors, lors de sa séance habituelle de jogging avec ses amis, elle choisit son legging le plus fin et ne mit aucun sous-vêtements, son petit haut moulait parfaitement ses seins et firent baver les hommes de son petit groupe lorsqu’ils la virent arriver.
Elle était ravie de son petit effet, les hommes avaient les yeux rivés, soit sur son cul dont le legging épousait parfaitement les contours et s’enfonçait profondément dans sa raie, soit dans son décolleté très plongeant.
Les autres femmes du groupe furent surprises qu’Odette s’habille si sexy, et certaines furent jalouse que leur mari s’intéresse un peu trop à son anatomie.
Mais plutôt que de laisser les hommes baver autour d’Odette, elles décidèrent de lancer la séance et commencèrent à trottiner.
De leur côté, les hommes attendirent qu’Odette parte à son tour et la suivirent de près.
Les regards de tous ces mâles commencèrent à bien exciter Odette, mais même si elle sentait sa chatte réclamer son dû, elle avait un plan et elle devait s’y tenir.
Après une petite demi-heure de course, elle ralentit le rythme et laissa les femmes prendre de l’avance, la plupart des hommes mariés furent obliger de rester à portée de vue de leur femme, et Odette se retrouva rapidement avec uniquement les 2 seuls hommes dont la femme n’était pas présente.
Elle attendit encore quelques foulées pour être certaine que le groupe de tête n’allait pas l’attendre, et puis d’un seul coup, elle fit semblant de se tordre la cheville.
Elle s’écroula sur le sol, et se tint la cheville, simulant parfaitement une entorse terriblement douloureuse.
Bien sûr, ses deux derniers chevaliers se précipitèrent sur elle, en lui demandant s’il pouvait l’aider.
Odette en profita pour écarter légèrement les cuisses afin qu’ils puissent admirer sa chatte fraichement épilée, dont le legging épousait parfaitement les contours.
Ses preux chevaliers, Vincent et Romuald, étaient deux beaux blacks, qui faisaient fantasmer la plupart des femmes du voisinage, et malgré qu’ils soient tous les deux mariés, ils n’hésitaient jamais à donner de leur personne pour satisfaire une libido débordante.
Pourtant jusqu’à aujourd’hui, ils n’avaient jamais « pratiqué » ensemble, mais Odette leur offrait un si agréable aperçu, qu’ils étaient prêts à partager.
Elle leur demanda de la porter jusqu’à un arbre afin qu’elle ne gène pas les coureurs, et bien entendu ses deux chevaliers glissèrent leurs mains sous ses fesses pour la soulever.
Elle les laissa faire, et s’accrocha à leur cou, les vit dévorer ses seins des yeux, tandis qu’ils sentirent aisément à quel point elle mouillait d’envie, tellement son legging était trempé.
Tout en faisant glisser leurs mains vers l’entrecuisse humide d’Odette, ils l’emmenèrent vers un coin isolé des regards, ils sentaient déjà leurs bites se gonfler de sang, prête à défoncer cette belle salope.
Mais alors qu’ils avaient maintenant leurs doigts qui titillaient les orifices d’Odette et qu’ils allaient enfin être à l’abri des regards, elle leur dit :
- Déposez-moi là les garçons, vous vous êtes bien occupés de moi, je vais vous montrer comment je peux être très dévouée à mon tour.
Vincent et Romuald se regardèrent, ils hésitèrent à continuer pour pouvoir la baiser tranquillement.
Comme ils semblaient encore hésitant, Odette retira ses mains de leur cou et les glissa dans chacun de leur short, pour aller attraper leur grosse bite en pleine érection, en leur disant :
- Ouh, mais qu’est-ce que je tiens là, allez, les garçons, déposez-moi, j’ai très envie de gouter à vos grosses bites.
Elle roula une pelle à chacun d’entre eux, et ils finirent par craquer en la posant sur le sol, et même s’ils étaient encore bien visibles du sentier, ils laissèrent Odette leur sortirent leur grosse bite noire et commencer à les sucer l’une après l’autre.
En voyant qu’elles étaient presque aussi grosses que celle de Greg, Odette se dit qu’elle allait pouvoir jouir comme une folle, et s’il y avait des voyeurs, cela ne ferait que rajouter à son plaisir.
Elle leur pompa la queue jusqu’à les rendre le plus dur possible, et ce fut Vincent qui fut le premier à avoir envie de fourrer autre chose que sa bouche de salope.
Il profita qu’Odette s’occupe de la queue de Romuald pour la contourner et s’agenouiller derrière elle, il remarqua alors qu’ils avaient déjà quelques admirateurs, ils restaient toutefois à bonne distance, alors avant d’aller plus loin, Vincent voulut prévenir Odette afin qu’elle sache qu’elle allait se faire baiser devant des voyeurs.
Il glissa sa main dans son legging trempé et tout en lui enfonçant 2 doigts dans sa chatte gluante, il se pencha à son oreille et lui dit :
- Regarde, ma grosse salope, tu as des admirateurs, tu veux qu’on te baise devant eux ?
Odette les avait vu depuis un bon moment, et les voir la mater en train de pomper deux belles bites noires, l’avait excité comme une folle, alors maintenant avec les doigts de Vincent au fond de sa chatte, elle ne put que répondre :
- Ouiiii, vas-yyyy, défonce-moi devant eux, je veux qu’ils m’entendent crier de plaisir.
- Tu n’es vraiment qu’une grosse salope.
Il descendit son legging, dévoilant ses fesses et sa chatte nue, il plaça alors sa grosse bite à l’entrée de la chatte d’Odette, qui se cambra afin de lui offrir sa croupe en chaleur.
Il enfonça sa grosse queue au fond de son vagin d’une seule poussée, faisant crier de plaisir cette belle salope.
Romuald, voyant que la chatte d’Odette était prise, s’attaqua à son petit haut et lui retira pour libérer ses superbes seins, elle était maintenant à poil en pleine forêt en train de se faire défoncer la chatte comme une chienne en chaleur et cela devant des voyeurs de plus en plus nombreux.
Mais Odette ne les quittait pas des yeux, alors qu’elle criait de plaisir sous les coups de bite de Vincent, elle laissa Romuald placer sa queue entre ses seins et comprit ce qu’il voulait d’elle.
Alors tout en jouissant comme une folle, elle se mit à lui faire une branlette espagnole, et vit que certains de ses admirateurs commençaient déjà à sortir leurs bites pour se branler en la regardant se faire baiser.
Les deux grands black abusèrent de sa chatte et de ses seins pendant plusieurs minutes, quand soudain deux des voyeurs qui en avait sans eut assez de regarder, avait tenté leur chance en approchant.
Mais alors que Romuald allait les rembarrer, Odette lui dit :
- Laisse-les approcher, je vais m’occuper d’eux, pendant que toi et Vincent pourrez me fourrer le cul et la chatte.
Comme la femme de Romuald n’était pas du tout porté sur la sodomie, il ne put refuser la proposition et laissa approcher les deux nouveaux, et leur demanda :
- Etalez vos vestes par terre, on va lui préparer un nid douillet à cette salope.
Ils acceptèrent et déposèrent les vestes sur le sol, Romuald laissa Vincent s’allonger dessus et Odette l’enjamba pour s’empaler la chatte sur sa grosse queue, elle se pencha ensuite en avant en écartant ses fesses et dit à Romuald :
- Allez, viens par ici, mon cochon, fourre-moi ta grosse queue au fond du cul.
Odette avait été récemment dépucelée du cul par Paul, mais durant le WE de débauche, elle avait pu tenter la sodomie avec la grosse bite de Greg, et depuis, elle savait que son cul était capable de prendre de très grosses queues.
Mais avec les deux grosses queues de Vincent et Romuald, ce serait sa première double pénétration avec des bites de gros calibre.
Pourtant, elle mourrait d’envie de les sentir toutes les deux, en même temps au fond de ses orifices.
Quand elle sentit le gros gland de Romuald se poser sur son anus, elle se détendit au maximum pour le laisser enfoncer sa grosse bite au fond de son cul, elle sentit ses sphincters s’ouvrir doucement et même si la bite de Vincent prenait déjà beaucoup de place dans son ventre, et lui procurait énormément de plaisir, elle ressentit une intense jouissance lorsque le gland de Romuald franchit ses sphincters.
Elle sentait son cul et sa chatte ouverts par deux grosse bites, et alors que les deux nouveaux lui donnaient leur bite à sucer, elle les attrapa et dit aux blacks :
- Allez-y, mes salauds, défoncez-moi par tous les trous.
Vincent et Romuald se synchronisèrent rapidement et Odette fut rapidement traversé par de multiples orgasmes, elle se faisait ramoner le cul et la chatte en alternance et elle se déchainait sur les deux bites qu’elle avait devant elle.
Elle était tellement ivre de plaisir, qu’elle les laissa enfoncer de plus en plus leur bite au fond de sa bouche, et bientôt alors qu’elle venait d’avoir un nouvel orgasme avec un coup de bite au fond de son cul, elle sentit la bite d’un des nouveaux franchir sa luette et son nez se retrouva au milieu de ses poils pubiens.
Mais cela lui procura encore plus de jouissance, elle se faisait baiser par tous les trous, et lorsque l’un des nouveau bloqua sa queue au fond de sa gorge pour lui gicler directement dedans, elle ne fit que déglutir et avala tout ce qu’il put lui envoyer.
Ce fut bientôt au tour de Romuald de lui remplir le cul, et il lui gicla une quantité impressionnante de sperme au fond du cul, en grognant :
- Tiens, sale pute, vide-moi les couilles avec ton cul.
Mais les soubresauts de la bite de Romuald provoquèrent l’éjaculation de Vincent, qui à son tour, fourra la chatte d’Odette avec son sperme.
Et alors que l’autre nouveau lui giclait au fond de la gorge à son tour, elle se sentit partir dans un monde de pur plaisir, et chaque giclée qu’elle recevait au fond d’elle, l’envoyait toujours plus loin.
Elle était un simple vide-couille et cela lui procurait un plaisir extraordinaire.
Lorsque ses trois mâles eurent fini de se vider les couilles au fond de ses orifices, ils retirèrent doucement leur bite, elle s’effondra alors sur Vincent et s’évanouit.
Lorsqu’Odette se réveilla, elle fut surprise de se retrouver sur son lit, complètement nue.
Elle était pourtant certaine de ne pas avoir rêvé cette baise phénoménale au milieu de la forêt, elle sentait encore le gout du sperme au fond de sa bouche.
Elle se leva et sortit de la chambre, pour essayer de comprendre ce qu’elle faisait ici, mais elle comprit rapidement ce qu’il s’était passé, en voyant Vincent et Romuald fourrer leurs grosses bites dans le cul et la chatte de Blandine, tandis qu’elle pompait la queue de son père.
Ils avaient dû la ramener chez elle, Blandine n’avait sans doute pas pu résister à l’envie de se faire défoncer par les voisins, et tout comme la mère dans la forêt, la fille semblait en pleine extase avec trois bites rien que pour elle.
Odette vit sa fille avoir un orgasme et se rappela comment elle-même avait joui comme une folle, avec toutes ses bites autour d’elle, au milieu de la forêt.
Elle se rapprocha alors du trio, et vint rouler une pelle à ses voisins, tandis qu’ils défonçaient sa salope de fille.
Depuis ce jour, Blandine et Odette reçurent souvent la visite des voisins, et Greg les aida même à convaincre leurs femmes de laisser Vincent et Romuald remplir le cul et la chatte des deux salopes quand ils le souhaitaient.

Greg avait franchi une nouvelle étape de sa vengeance, il ne lui restait plus que la mère de Carole et d’Audrey à pervertir et sa vengeance serait totale.


A SUIVRE.
19 vote(s)


Histoire de bobby28

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La vengeance de Greg 8

Le 01/06/2021 - 21:53 par Thierry
Ouï bien mieux, continue a ouvrir tout les soit disant interdit. Misanthrope

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :