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La vengeance de Greg 9

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Lue : 978 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 24/06/2021

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Il ne restait donc plus à Greg que deux mères du groupe des salopes, à dépraver.
Mais la mère de Carole n’était autre que la proviseur du lycée, et celle d’Audrey, la bibliothécaire du lycée, sa vengeance touchait au but, mais il risquait gros s’il échouait sur les dernières étapes.

Il se décida donc à commencer par la mère d’Audrey, mais avant cela, il devait améliorer son programme afin qu’il ne cible que la personne désirée.
Il voulait pouvoir baiser la fille ou la femme désirée sans que toutes les autres autour ne se transforment également en grosse salope.

Et après avoir passé plusieurs jours à modifier les paramètres et les fonctionnalités de son programme, Greg s’estima enfin prêt à tester la nouvelle version.
Mais pour cela il lui fallait une femme qu’il n’avait pas déjà baiser, il réfléchit sur les possibilités qu’il pouvait avoir, il lui fallait une personne totalement étrangère à son cercle de salope, il chercha un long moment, quelle serait la bonne personne pour effectuer son test.
Et d’un seul coup, il tomba sur les photos de famille que sa mère exposait dans l’escalier, il vit la photo de sa cousine, Laurence, il avait toujours eu un faible pour elle, ils avaient souvent joué au papa et à la maman lorsqu’ils étaient petits, c’est même avec elle qu’il avait expérimenté ses premiers bisous sur la bouche.
Ils avaient pratiquement le même âge, et en regardant la photo de sa superbe cousine aux longs cheveux noirs et à la poitrine bien ferme, et maintenant qu’il avait une bonne expérience de la chose, il l’estima à du 85C.
Il se dit que Laurence serait la personne parfaite pour son test, mais il ne fallait pas qu’elle soit influencée par la débauche d’Isa et de Monica, il fallait qu’il fasse son test chez elle ou à l’extérieur.
Et donc, juste après avoir défoncer le cul de sa mère, et le lui avoir rempli de sperme, il lui demanda d’appeler sa sœur, afin qu’il puisse savoir si sa cousine, Laurence, serait disponible pour l’accompagner au cinéma.
Monica, encore essoufflée de son dernier orgasme, lui dit :
- Toi, tu veux coucher avec ta cousine.
- Peut-être maman, j’aimerais voir si vous êtes toutes des salopes dans cette famille.
Monica lui roula une pelle, et lui répondit :
- Tu sais, mon garçon, ma sœur n’est surement pas aussi ouverte que moi aux relations incestueuses.
- Appelle-la, et demande-lui juste si Laurence serait disponible pour aller au cinéma avec moi.
- Ok ok je vais l’appeler, mais n’insiste pas trop, je ne voudrais pas avoir un scandale familiale à gérer.
- Ne t’inquiète pas, je sais où m’arrêter.

Monica attrapa son téléphone et appela sa sœur, Maeva, elle trouva amusant de devoir satisfaire aux politesses habituelles, alors qu’elle était toujours à poil à côté de son fils, dont le sperme suintait de son cul.
Elle demanda enfin si Laurence serait disponible dans la semaine pour aller au cinéma avec Greg, et après quelques secondes où Maeva alla poser la question à sa fille, Greg eut enfin sa réponse et rendez-vous fut pris pour le lendemain après-midi.
Greg passa sa soirée à peaufiner les derniers détails de son nouveau programme, et s’endormit devant son écran.
Il passa la matinée du lendemain sur son ordinateur, il refusa de baiser une de ses salopes, il voulait se réserver pour sa cousine, et être en forme si son programme fonctionnait.
L’heure fatidique arriva et comme ni l’un, ni l’autre n’avait le permis, ils durent prendre les transports en commun, et c’est à ce moment-là que Greg mis en place la première étape de son plan, qui était sans doute, la plus facile.
Pour que son programme fonctionne, il devait enregistrer la voix de sa cousine afin que son programme établisse la fréquence idéale qui lui permettrait de stimuler la libido et de désinhiber les tabous de Laurence.
Pendant leur conversation, il regarda souvent son téléphone pour voir si son programme avait fini de calculer la bonne fréquence, mais ils arrivèrent au cinéma avant que son programme n’ait terminé ses calculs.
Ils firent la queue pour acheter leur ticket, et toujours aucun résultat du programme, Greg commençait à désespérer, il se dit qu’il avait dû oublier un paramètre, ou oublier une ligne de code.
Ils entrèrent dans la salle de cinéma qui était bondée, ils arrivèrent à trouver deux places, mais pas l’une à côté de l’autre, ils étaient dans le même rangée, mais séparée par l’allée, Greg avait un vieux couple à côté de lui, tandis que Laurence avait un jeune homme à sa droite.
Greg avait totalement oublié son programme, se disant qu’il avait encore du travail à effectuer pour que ça fonctionne, lorsqu’au moment où les lumières se tamisèrent, son téléphone vibra.
Il jeta un œil discret et constata que son programme avait enfin trouvé la fameuse fréquence, comme il n’était pas à coté de sa cousine, il hésita à effectuer son test, mais il devait au moins voir si ça fonctionnait.
Alors il lança le programme, il scruta autant qu’il put la réaction de sa cousine, mais lors des passages sombres du générique du film, il ne voyait pas grand-chose.
Il put tout de même remarquer qu’elle avait légèrement écarté les cuisses, et comme elle était en minijupe, son voisin sembla s’intéresser un peu plus à sa voisine.
Greg allait mettre fin à son test, désirant attendre un meilleur moment pour le continuer, mais alors qu’il allait arrêter le programme, le vieux à côté de lui grogna et lui ordonna d’éteindre tout de suite son écran.
Il ne sut quoi dire ou quoi faire, et rangea immédiatement son téléphone, laissant le programme continuer son œuvre.
Il surveilla tout de même ce qu’il se passait de l’autre côté de l’allée, et pendant les passages suffisamment lumineux, il put constater que les choses avaient évolués, apparemment le voisin de sa cousine avait posé sa main sur sa cuisse, sans qu’elle ne l’en empêche et commençait à remonter doucement sous sa jupe.
Mais s’il avait été plus proche, il aurait pu voir que c’est sa cousine qui avait ouvert les hostilités, et dès qu’il avait lancé le test, sa cousine avait doucement glissé sa main sur la braguette de son voisin, tout en écartant les cuisses.
Ce dernier avait été tout d’abord surpris, mais après avoir découvert la ravissante créature qui commençait à lui masser la bite, il la laissa faire et envoya à son tour sa main sur sa cuisse.
Lorsque Greg la vit remonter doucement sous la jupe de Laurence, celle-ci avait réussi à sortir la bite bien dure de son voisin, et la branlait fermement.
Greg les vit se rouler une pelle, tandis que sa cousine se faisait maintenant fouiller la chatte par les doigts de son voisin.
Heureusement pour eux, l’obscurité de la salle leur permettait d’être suffisamment discret, mais lorsque la bouche du jeune homme descendit dans le cou de Laurence, Greg la vit ouvrir son corsage et offrir ses superbes seins à son inconnu.
Qui les fit aussitôt sortir du soutien-gorge et se mit à sucer les tétons bien durs, Greg pouvait presque entendre les râles de plaisir de sa cousine, il hésita à rallumer son téléphone pour stopper le test qui semblait parfaitement concluant.
Mais le vieux le surveillait de près, et heureusement pour sa cousine et son voisin, personne ne semblait avoir remarqué leur petit jeu érotique.
Greg dut se contenter de scruter de l’autre côté de l’allée, et apparemment sa cousine désirait gouter à la bite de son voisin, il la vit se pencher sur lui, et devina aisément à ses mouvement de tête, qu’elle pompait la queue du jeune homme avec appétit.
A son air réjoui, ce dernier semblait prendre son pied avec la bouche de Laurence, et après seulement une ou deux minutes, Greg le vit se contracter et supposa qu’il était en train de jouir dans la bouche de sa cousine.
Voyant qu’elle ne redressait pas, il soupçonna qu’elle devait tout avaler et continuer à le pomper.
Greg s’était mis à bander, il était jaloux du voisin de sa cousine, et était pressé de pouvoir baiser cette belle salope.
Alors profitant d’un passage captivant du film, il ralluma son téléphone et stoppa son programme, il vit alors Laurence se redresser brusquement, elle avait du sperme plein la bouche, la jupe retroussée et le corsage ouvert, mais elle se leva d’un bond, et se mit à courir vers la sortie.
Greg la suivit et eut tout juste le temps de la voir se précipiter vers les toilettes.
Il se rapprocha et l’entendit pleurer, il toqua à la porte et lui demanda si tout allait bien.


Laurence n’arrivait pas à comprendre ce qu’elle avait fait, elle se souvenait parfaitement avoir été caressé la bite de son voisin, mais ne pouvait expliquer son geste.
Elle se souvenait avoir laissé son voisin lui fouiller la chatte, lui avoir rouler une pelle, et le laisser lui lécher les seins
Mais ce qui la perturbait le plus c’était qu’elle se rappelait parfaitement lui avoir dit qu’elle voulait lui sucer la bite.
Elle sentait encore le gout de son sperme dans la bouche et dans sa gorge, elle était écœurée de ce qu’elle venait de faire, elle pleurait à grosse larme, jusqu’à ce que Greg toque à la porte.
Elle ne voulait surtout pas que son cousin apprenne ce qu’elle venait de faire, elle prit de profondes inspirations pour essayer de retrouver un semblant de sérénité, et lui répondit :
- Oui, oui, j’avais juste besoin d’aller aux toilettes.
- Ok tu veux y retourner après ?
Laurence ne se voyait pas retourner à côté de son voisin, après ce qu’elle venait de vivre, il devait certainement la considérer comme une salope, et il n’avait pas vraiment tort, alors elle répondit à son cousin :
- Non, je n’aime pas trop le film, ça te dérange si on rentre plus tôt ?
- Non, pas du tout.
Laurence remit de l’ordre dans sa tenue, sécha ses larmes et essaya de retrouver une attitude normale, avant de sortir des toilettes.

Ils reprirent les transports en commun, et profitant que les places à l’arrière du bus soient libres, ils s’y installèrent.
Greg vérifia que personne n’avait une vue directe sur eux, et ralluma son programme.
La réaction de sa cousine fut immédiate, il vit ses cuisses s’écarter lentement et ses genoux venir cogner contre ses cuisses, elle était dans une posture plutôt obscène, mais semblait lutter intérieurement.

Effectivement Laurence était rassurée de s’éloigner du cinéma et du lieu de son délit, elle n’avait rien dit depuis qu’ils étaient montés dans le bus et avait suivi Greg au fond du bus.
Elle essayait de comprendre ce qu’il lui avait pris dans le cinéma, pendant que son cousin semblait occuper avec son téléphone.
Quand d’un seul coup, elle ressentit la même sensation que dans le cinéma, elle avait été surprise la première fois, mais cette fois-ci, elle la reconnaissait, c’était une sensation terriblement grisante, une extase et une plénitude totale, accompagné par un puissant désir de jouissance.
Alors en sentant ses cuisses s’ouvrir presque par leur propre volonté, elle commença à paniquer, pourtant elle sentait son corps réclamer puissamment un plaisir intense.
Elle sentait son entrecuisse complètement trempée, ses seins étaient durs à lui en faire mal, et ses tétons pointaient tellement fort qu’ils étaient parfaitement visibles sous son corsage.
Elle n’arrivait toujours pas à comprendre la raison de ce désir sauvage, mais lorsque Greg posa sa main sur sa cuisse en lui demandant :
- Tout va bien, tu as l’air d’avoir chaud, tu transpires à grosse goutte.
Le contact de la main de son cousin sur la peau de ses cuisses l’électrisa, et eut raison de ses dernières réticences.
Elle se mit à défaire les boutons de son corsage et libéra ses seins en lui disant :
- Oui, je meurs de chaud, tu crois que tu peux m’aider ?
Greg était totalement satisfait, et devant les seins appétissants de sa cousine, il jeta un dernier regard à l’intérieur du bus, pour vérifier que personne ne les épiait, et tout en glissant sa main entre les cuisses de Laurence, vint poser sa langue sur son téton dur comme de la pierre.
Laurence poussa alors un long râle de satisfaction, et laissa son cousin glisser sa main dans sa culotte pour lui fouiller sa chatte trempée.
Son corps avait enfin ce qu’il réclamait et elle ressentait une intense jouissance à satisfaire ses désirs.
La langue et les doigts de son cousin la faisait jouir et plus rien n’importait que d’offrir son corps à Greg.
Lorsqu’il remonta sa bouche sur son cou pour prendre enfin possession de ses lèvres, elle envoya sa langue dans la bouche de son cousin sans ressentir la moindre honte, sans qu’elle ne contrôle son corp, ses mains partirent à la recherche de la bite de Greg, elles ouvrirent sa braguette et sortirent sa queue, qu’elle sentait grossir sous ses doigts.
Elle ne la voyait pas encore, mais elle lui semblait énorme, ses doigts n’arrivaient même pas à en faire le tour.
Alors désirant voir la chose impressionnante qu’elle sentait vibrer sous ses doigts, elle se recula et dit à Greg :
- Laisse-moi la voir
Greg se rassit sur son siège et laissa sa cousine admirer son énorme bite.
Laurence n’avait pas une grande expérience des sexes masculins, elle n’était plus vierge depuis très récemment, et sa première fellation, elle venait de la faire à un inconnu dans le cinéma.
Mais en voyant et en branlant l’énorme queue de son cousin, elle ne put que lui dire :
- La vache, elle est énorme ta bite.
- Si elle te plait, tu peux y gouter comme celle du gars du cinéma.
Découvrant que son cousin l’avait vu sucer la bite d’un inconnu dans le cinéma, Laurence fut surprise de ne ressentir aucune honte ou aucun remords, d’avoir succombé à ses pulsions avec cet inconnu.
Elle ne répondit pas, et se pencha simplement sur le sexe bien dur de son cousin et se mit à le lécher avec gourmandise.
Greg lui caressa les cheveux, et lui dit :
- Oui, vas-y, suce-moi bien, fais-moi jouir comme l’autre salaud.
Laurence enfonça la bite de son cousin dans sa bouche et se mit à la pomper avec envie, en se rappelant parfaitement comment l’inconnu lui avait éjaculé dans la bouche.
Et alors qu’elle en avait honte quelques minutes auparavant, à cet instant précis, elle désirait plus que tout, gouter au sperme de son cousin, elle voulait qu’il se vide les couilles dans sa bouche, c’était devenu un besoin primaire, comme-ci sa vie en dépendait.
Alors, elle se mit à pomper de plus en plus fort la queue de Greg, il se retint autant qu’il put, mais même si Laurence débutait encore dans le taillage de pipe, elle était plutôt douée, et Greg finit par lui gicler dans la bouche.
Lorsqu’elle sentit la première giclée lui cogner contre le palais, elle ressentit un plaisir incroyable, et chaque giclée qui lui remplissait de plus en plus la bouche, ne faisait qu’accroitre ce plaisir, et alors qu’elle commençait à avaler le trop plein de sperme dans sa bouche, elle fut traversée par un orgasme violent.
Plus elle avalait de sperme, plus elle jouissait, c’était l’extase totale.
Lorsque les giclées finirent par se tarir elle garda la bite de Greg dans la bouche et finit par la lui nettoyer avec sa langue gourmande.
Ce fut à ce moment-là que Greg choisit de stopper son programme, et attendit de voir sa réaction.

Laurence était toujours penchée sur la bite de Greg et continuait de la lécher avec appétit, lorsqu’elle ressentit une sensation étrange, c’était comme au cinéma, comme-ci elle était libérée d’une entrave, comme-ci quelque chose sortait de son corps.
Elle avait encore une fois une bite et du sperme plein la bouche, mais cette fois, c’était celui de son cousin.
Elle ne sut comment agir, elle n’osait pas se relever et devoir affronter le regard de son cousin, et hésitait à continuer à sucer cette énorme bite qui commençait à ramollir doucement.
Elle ne ressentait plus cet intense désir, mais pourtant elle se souvenait avoir joui comme une folle en avalant le sperme de Greg, et elle en avait encore le gout dans la bouche.
Alors lorsque Greg lui dit :
- Relève-toi, tu m’as bien vidé les couilles, ma belle salope.
Ne sachant quoi faire d’autre, elle lui obéit et devant son air satisfait, elle conclut qu’elle avait rempli son rôle de salope à la perfection, et étrangement elle n’en avait pas du tout honte.
Greg se refroqua, alors elle se souvint qu’ils étaient à l’arrière d’un bus et se dépêcha de remettre de l‘ordre dans sa tenue.
Ils descendirent au prochain arrêt, Greg la prit par les hanches pour l’accompagner jusque chez elle, et lui dit :
- Je ne savais pas que tu avais des talents de suceuse.
- Moi non plus, avoua-t-elle peut-être un peu trop vite.
Greg était totalement satisfait son programme fonctionnait parfaitement, certes un peu long à se mettre en place, mais une fois la fréquence trouvée, il pouvait faire ce qu’il voulait de sa victime.
Il raccompagna Laurence jusque chez elle, et alors qu’ils allaient ouvrir la porte d’entrée, ils entendirent des cris de jouissance provenant de la fenêtre de la chambre des parents de Laurence.
Ils furent tous les deux surpris et Greg demanda :
- Ton père est déjà rentré ?
- Non, je ne crois pas, il ne doit rentrer qu’à la fin de la semaine
Le père de Laurence était commercial, il se déplaçait dans la France entière, et ne rentrait chez lui que pour le week-end.
Il était évident pour Laurence que sa mère avait un amant, et qu’elle était en train de coucher avec lui.

Effectivement, Maeva se pensant seule pour quelques heures, avait appelé le voisin, son amant depuis plusieurs mois, et était en pleine jouissance lorsque Laurence et Greg étaient arrivés devant l’entrée.
Vu la chaleur, elle avait laissé les fenêtres ouvertes, n’imaginant pas une seule seconde que sa fille et son neveu l’entendraient crier de plaisir sous les coups de queue de son amant.

Devant l’incrédulité de Laurence, Greg lui demanda :
- On fait quoi ?
- …
- Ça te dirait de les surprendre, et de voir qui est l’amant de ta mère ?
La proposition de Greg surpris Laurence mais la tenta curieusement, alors elle demanda à Greg :
- Tu comptes faire comment ?
Il lui expliqua rapidement son plan, et même si Laurence sembla troublée par certaines propositions osées, elle accepta de jouer son rôle.

Ils rentrèrent donc dans la maison et Laurence cria :
- Maman, on est rentré.
Maeva et Lucien sursautèrent, l’un sortit précipitamment de la chatte de l’autre et chacun se dépêcha de récupérer ses affaires pour se rhabiller.
Mais l’un comme l’autre, ils étaient frustrés de n’avoir pas été jusqu’à la jouissance totale.
Maeva se dépêcha de se refaire une beauté et descendit retrouver sa fille et son neveu, même si elle avait encore le teint rougi par le plaisir, elle fit son possible pour avoir une attitude tout à fait banale.
Elle les retrouva assis sur le tapis du salon, en train de préparer un jeu de carte, elle leur sourit en leur disant :
- Eh bien, vous rentrez tôt, le film est déjà fini ?
Laurence ne sut quoi répondre, connaissant très bien la raison de leur départ précipité, mais Greg répondit :
- Laurence ne se sentait pas bien, alors on a préféré rentrer
- Oh ma chérie, quelque chose ne va pas ? demanda Maeva
- Euh …
- Oh rien de grave, elle a sans doute avalé quelque chose d’inhabituel
Sachant très bien de quoi parlait Greg, Laurence lui jeta un regard irrité et osa lui répondre :
- C’est vrai que la deuxième fois, c’est beaucoup mieux passé.
Maeva ne comprit pas du tout l’allusion, mais comme convenu avec Lucien, celui-ci devait s’échapper discrètement, pendant qu’elle discutait avec sa fille et son neveu.
Mais c’était sans compter sur la fourberie de Greg qui avait demandé à Laurence de verrouiller la porte d’entrée, ne laissant aucune échappatoire à l’amant de sa tante.
Ce dernier, tout content d’avoir réussi à descendre de l’étage sans se faire remarquer, fut beaucoup moins réjoui de se retrouver devant une porte verrouillée.
Il tenta de faire signe discrètement à Maeva pour qu’elle vienne lui ouvrir.
Mais sachant très bien que l’amant allait tomber dans leur piège, Laurence et Greg s’était placé sur le tapis du salon pour avoir une vue dégagée sur la porte d’entrée.
Comme prévu, l’amant en question se fit remarquer, et Laurence fut totalement bouleversée de découvrir que l’amant de sa mère n’était autre que Lucien.
Il faut dire que Lucien était leur voisin depuis de nombreuses années, il était même un bon ami de la famille, et Laurence le considérait un peu comme son troisième grand père, puisque ce charmant monsieur avait tout de même 68 ans.
En sachant qu’il couchait avec sa mère, Laurence le regarda avec dégout, et sachant en quoi consistait la suite du plan de Greg, elle lui fit non de la tête.
Mais ce dernier ne l’entendait pas pareil, il invita donc le fameux Lucien à se joindre à eux, tandis que Maeva, confuse, chercha une excuse bidon à sa présence.
Laurence était partagée entre la crainte et l’écœurement, elle craignait que Greg ne continue le plan qu’ils avaient prévu et savoir que sa mère couchait avec le vieux Lucien l’écœurait profondément.

Lucien était tout aussi confus que Maeva, et lorsque Greg lui proposa de se joindre à leur jeu de carte, Laurence savait ce qu’il prévoyait pour elle, mais il était hors de question qu’elle poursuive leur plan.
L’idée de séduire l’amant de sa mère, lui avait d’abord paru amusante, mais maintenant qu’elle savait qu’il s’agissait de Lucien, elle ne désirait plus du tout continuer.
Pourtant Lucien, un peu pris au dépourvu, ne put refuser l’invitation de Greg, et s’agenouilla sur le sol, en face de Laurence.
Celle-ci était assise en tailleur et selon le plan de Greg, elle devait montrer sa culotte à l’amant de sa mère, mais maintenant elle n’en avait plus du tout l’intention.
Pourtant comme prévu, Greg demanda à Maeva si elle pouvait leur apporter à boire, celle-ci accepta volontiers, un peu soulagée de pouvoir s’éloigner et de pouvoir réfléchir à tête reposée.
Mais dès que Maeva eut le dos tourné, Greg enclencha de nouveau son programme et aussitôt Laurence ressentit une bouffée de chaleur lui envahir tout le corps.
L’aversion pour Lucien s’évanouie totalement, et alors que Greg distribuait les cartes, elle se mit à tirer lentement sur sa jupe et au deuxième tour de distribution, Lucien put apercevoir la jolie petite culotte de Laurence.
Lorsqu’elle vit les yeux de son vieux voisin se figer sur son entrecuisse, elle sentit sa chatte se mettre à mouiller abondamment, et au troisième tour de distribution, elle avait suffisamment remonté sa jupe pour que Lucien puisse apercevoir une petite auréole d’humidité sur sa petite culotte.
Greg stoppa la distribution et comme Lucien avait les yeux rivés sur la culotte trempée de Laurence, il lui dit :
- Oh tu es encore toute trempée, tu devrais la retirer pour la faire sécher.
Toute obéissante, Laurence commença à tirer sur les bords de sa culotte, devant les yeux exorbités de Lucien.
Faisant semblant d’avoir du mal à la retirer, elle fit sa mine la plus innocente et demanda à Lucien :
- Oh elle est coincée, vous voulez bien m’aider, Mr Lucien.
Elle leva les pieds en direction de Lucien, tout en laissant bien en évidence sa culotte de plus en plus humide.
Lucien était complètement ahuri par ce qu’il avait sous les yeux, et même si la tentation était grande, la présence de Greg semblait le retenir, alors lorsque celui-ci lui dit :
- Allez-y, elle n’attend que ça cette petite salope.
Lucien ne se le fit pas répéter deux fois, et glissa ses mains sous la jupe de Laurence pour attraper l’élastique de sa culotte.
Celle-ci souleva les fesses afin de l’aider à lui retirer ce sous-vêtements gênant.
Elle se retrouva la chatte à l’air devant son vieux voisin, et alors qu’elle ne ressentait que répugnance pour lui quelques minutes auparavant, à cet instant, elle désirait plus que tout, qu’il vienne lui fourrer sa queue entre les cuisses.
Alors elle se rassit et laissa les cuisses bien ouvertes afin que son vieux voisin puisse bien voir sa chatte suinter de cyprine.
Mais Maeva revint de la cuisine et Greg stoppa son programme.
Laurence ressentit comme une nouvelle libération en elle, ses pulsions s’étaient stoppées instantanément et elle réalisa qu’elle avait les cuisses grandes ouvertes et offrait la vue de sa chatte à l’air à son vieux voisin, qui avait encore sa culotte à la main.
Elle eut tout juste le temps de rabaisser sa jupe avant que sa mère ne découvre son indécence, elle vit Lucien ranger rapidement sa culotte dans sa poche, mais alors qu’elle aurait dû être de nouveau dégoutée par ce vieux pervers, elle se mit à ressentir une étrange fierté.
Elle le voyait scrutée son entrecuisse à chaque fois qu’elle jouait une carte, et alors que le programme de Greg était toujours éteint.
Elle se mit à remonter discrètement sa minijupe à chaque carte et à la fin de la partie, lorsqu’elle vit ce vieux pervers se lécher les lèvres d’envie, elle sut que sa chatte était tout juste visible.
Heureusement pour elle, sa mère avait préféré s’allonger sur la terrasse afin de ne pas paraitre trop proche de Lucien.
Quand à Greg, il n’avait pas perdu son temps, lorsqu’il avait dû éteindre précipitamment le programme sur Laurence, il en avait profité pour lancer un nouvel enregistrement quand Maeva avait apporté les boissons, et tout au long de la partie, il attendait les résultats du programme.
Il fut agréablement surpris de voir que Laurence remontait doucement sa jupe et qu’elle n’avait plus besoin du programme pour assumer son côté salope.
A la fin de la partie, lorsque son téléphone vibra, il regarda discrètement et vu que le calcul de fréquence avait été plus rapide pour Maeva, alors il se leva et dit :
- Continuez sans moi, je vais prendre l’air.
Il régnait une étrange tension sexuelle dans le salon, alors que Laurence avait encore remonté sa jupe pour dévoiler complètement sa chatte nue, Lucien se mit à lui envoyer des cartes entre les cuisses, en essayant de viser son clitoris bien gonflé.
Elle se mit à pousser un petit cri mêlé de surprise et de jouissance au premier contact d’une carte sur son clito et lorsqu’elle vit Lucien continuer, elle ouvrit les cuisses autant qu’elle put et lui offrit la vue complète de sa chatte trempée.
Lucien jeta un œil dehors, vérifia que Maeva et Greg semblaient occupés, pour se rapprocher de la jeune salope, et lui dire :
- Ah je crois que cette carte était pour moi.
Mais au lieu de prendre la carte, il posa sa main sur la chatte brulante et offerte pour enfoncer son vieux doigt à l’intérieur.
Laurence poussa un long râle de satisfaction, elle se surprit à attendre ce contact depuis le début de la partie, et maintenant qu’elle sentait le doigt de Lucien coulisser dans son intimité, elle était comblée.
Tout en continuant de fouiller la chatte trempée de Laurence, Lucien se rapprocha doucement et lorsqu’il fut assez proche, il s’attaqua aux boutons de son corsage.
Laurence voyant que son vieux voisin désirait voir et toucher ses seins, l’aida dans sa tâche, et se retrouva rapidement les seins à l’air avec maintenant 2 vieux doigts qui coulissaient dans sa chatte.
Mais elle ne ressentait plus aucun dégout pour Lucien, au contraire, alors qu’il la faisait jouir avec ses doigts et que sa langue prenait possession de ses tétons, elle envoya sa main à la rencontre de sa vieille bite.
Elle la trouva rapidement et la sentit bien dure derrière son pantalon, elle n’eut aucun mal à la faire sortir et se mit à la branler fermement.
Elle sentit les lèvres de Lucien descendre sur son ventre et tandis qu’il pivotait sur lui pour approcher sa bite de la bouche de Laurence, la sienne vint se poser sur le clitoris de la jeune salope.
Laurence poussa un long gémissement lorsqu’elle sentit Lucien lui sucer le clito, elle s’allongea complètement et le laissa l’enjamber pour placer sa bite au-dessus de sa bouche.
Elle se mit à la pomper comme elle avait pomper celle de l’inconnu au cinéma et celle de Greg dans le bus, mais cette fois-ci, elle semblait le désirer encore plus fort, et le fait que Lucien lui bouffait le clitoris ne faisait qu’accentuer son plaisir et son désir.

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Du coté de Greg, il avait rejoint sa tante sur la terrasse, avec la ferme intention de savoir si elle couchait uniquement avec Lucien ou si elle accepterait également de se faire fourrer par la bite de son neveu.
Comme elle s’était allongée sur le transat, pour prendre un bain de soleil et essayer de calmer sa frustration, Greg se plaça juste au-dessus de sa tête et posa ses mains sur ses épaules, en lui disant :
- Tu devrais mettre de la crème, tata, le soleil est encore haut.
Maeva était plongée dans ses pensées, et ne l’avait pas entendu, elle sursauta et lui dit :
- Euh, oui, oui, tu as raison.
- Donne-moi la crème, je vais te l’appliquer.
Encore un peu confuse, elle lui passa la crème et laissa son neveu commencer à lui étaler la crème sur les épaules.
Il lui massait en même temps les épaules et cela lui faisait un bien fou, elle se détendit complètement et ne se rendit compte que les mains de son neveu descendaient dangereusement sur ses seins qu’un peu trop tard.
Greg n’avait pas encore activé son programme, il voulait voir si sa tante s’abandonnerait à lui sans y être pousser par son programme.
Il avait fait glisser ses mains jusqu’au bord de son décolleté et lui massait le haut de sa belle poitrine que Greg estima à du 90D.
Maeva était si bien, et elle ressentait encore cette frustration de n’avoir pas eu le temps de jouir avec Lucien, alors elle se dit qu’elle pouvait bien profiter encore un peu de ces caresses et qu’elle pourrait y mettre fin si elles allaient trop loin.
Greg prit confiance, il glissa ses mains sous le décolleté, et commença à peloter les seins encore bien fermes de sa tante.
Celle-ci était si bien, elle sentait sa chatte frétiller d’envie, et même si la morale lui ordonnait de tout arrêter maintenant, elle fit semblant de s’être assoupie et laissa son neveu lui pétrir ses seins.
Greg se mit à jouer avec ses tétons durcis, et Maeva eut de plus en plus de mal à continuer à feindre l’assoupissement, elle mourrait d’envie de gémir de plaisir.
Quand elle le sentit se déplacer et s’assoir à côté d’elle, elle se demandait ce qu’il allait faire, elle eut rapidement la réponse en sentant sa main se poser sur sa cuisse et remonter dangereusement sous sa jupe.
Mais il se mit à lui pincer les tétons avec son autre main et Maeva dut se mordre la lèvre pour ne pas gémir de plaisir, elle se dit qu’il savait y faire le petit salaud.
Alors oubliant tout sens moral, elle le laissa glisser sa main entre ses cuisses, et lorsqu’elle sentit ses doigts sur sa petite fente fraichement épilée, elle se rappela qu’elle avait totalement oublié de remettre une culotte avant de descendre de sa chambre.
Et lorsque le doigt de Greg rencontra son clitoris gonflé, elle ne put se retenir d’avantage et tout en lui ouvrant ses cuisses, elle poussa un long râle de plaisir.
Elle ne pouvait plus feindre d’être endormi, alors elle ouvrit les yeux et se vit les cuisses grandes ouvertes et les seins à l’air avec les doigts de son neveu qui jouait avec ses tétons bien durs, tandis qu’elle sentait 2 doigts s’enfoncer au fond de sa chatte trempée.
Elle était tellement excitée, qu’elle ne trouva rien d’autre à lui dire que :
- Vas-y, mon petit salaud, continue, fais du bien à ta tata.
Greg se mit à faire coulisser ses doigts dans la chatte de sa tante, et tout en avançant son bassin, lui répondit :
- Si ma salope de tante veut bien s’occuper de moi aussi.
Sans pouvoir se raisonner, Maeva se redressa et entreprit de sortir la queue de son neveu, elle sentait une bosse énorme sous son short et elle fut impressionnée de voir l’engin qui se dressait devant elle.
Elle se mit à la branler en lui disant :
- Ouahou, mon garçon, elle est vraiment énorme ta bite.
- Et elle va bien te faire jouir, tu vas voir.
Maeva ne put qu’admettre qu’elle avait hâte de sentir un tel engin au fond de son ventre, alors pour faire plaisir à son neveu qui lui fouillait toujours la chatte, elle se pencha sur son énorme mentule et se mit à la lécher et à la sucer.

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Dans le salon, Laurence venait d’avoir un orgasme, Lucien l’avait fait jouir en lui bouffant le clito et en lui fouillant la chatte et le cul, c’était la première fois qu’on lui léchait la chatte aussi bien et la première fois également qu’elle se faisait doigter et lécher le cul, le plaisir qu’elle y avait pris était tellement intense, qu’elle avait dû recracher la vieille bite de Lucien pour crier son plaisir.
Celui-ci l’avait laissé jouir et une fois qu’elle fut redescendue de son orgasme, il lui dit :
- Eh bien, telle mère, telle fille, vous êtes vraiment de sacrées salopes toutes les deux.
Elle reprit doucement son souffle et réalisa d’un seul coup, qu’elle venait de jouir comme une folle avec l’amant de sa mère.
Mais étrangement, elle n’en avait pas honte du tout, malgré l’aversion qu’elle avait pu avoir envers Lucien, sa langue et ses doigts l’avaient fait jouir intensément et elle avait très envie de continuer.
Lucien l’avait parfaitement lu dans son regard de petite salope, et désirant profiter de cette fraicheur, il lui dit :
- Je t’ai fait jouir, ma belle et j’aimerais que tu me rendes la pareille.
Encore un peu désorientée, Laurence répondit naturellement :
- Oui, bien sûr
- J’aimerais que tu fasses quelque chose de particulier
- Ah ? Quoi donc ?
- J’ai remarqué que tu es très sensible de l’anus, et tu sais les hommes le sont tout autant que les femmes.
- Ah bon ?
- Oui et j’aimerais beaucoup que tu me caresses l’anus
- D’accord.
Comme elle avait les fesses de Lucien juste sous les yeux, elle commença à les lui caresser doucement et à glisser un doigt autour de son anus.
Elle sentait la bite de Lucien tressaillir et elle l’entendait grogner de plaisir, il lui demanda ensuite :
- Oui, c’est bon, continue et enfonce ton doigt, comme je t’ai fait.
Elle lui obéit et commença à enfoncer doucement son doigt dans le cul de Lucien, il se mit à grogner encore plus fort et après quelques va et vient du doigt de Laurence, il lui dit :
- Mmmm, ouiiii, c’est bon, maintenant lèche moi le cul.
Lucien attendait particulièrement ce moment, et jusqu’à aujourd’hui, jamais il n’avait réussi à trouver de salope qui avait accepté de lui lécher le cul.
Mais étonnamment, Laurence n’hésita pas une seule seconde, elle avait tellement joui avec la langue de Lucien sur son anus, qu’elle était tout à fait prête à lui rendre la pareille.
Pour la première fois de sa vie, Lucien sentit une langue chaude et humide contre son cul, la sensation était si douce et si agréable qu’il faillit jouir instantanément,
Il encouragea Laurence à continuer :
- Mmmm, ouiiiii, continue ma petite salope, c’est trop bon ce que tu me fais.
Les mains posées sur chacune des vieilles fesses et la langue qui pointait à l’entrée du vieux cul de Lucien, Laurence ressentait une sensation très grisante, faire jouir un homme en lui léchant le cul, lui procurait un étrange contentement.
Il continuait à grogner de plaisir et prise d’un désir lubrique, Laurence se mit à enfoncer sa langue de plus en plus profond dans le cul de Lucien.
Celui-ci n’en espérait pas tant, mais le plaisir était si fort, qu’il sut qu’il n’allait pas tenir très longtemps, il résista autant qu’il put, mais lorsqu’il sentit que Laurence lui avait enfoncé toute sa langue dans le cul, il finit par craquer et éjacula sur le tapis du salon.
Laurence continua de l’enculer avec sa langue et se mit à le branler avec ses mains, Lucien était en pleine extase, il jouit une quantité impressionnante de sperme, et Laurence eut bientôt les mains couvertes de son sperme.
Une fois que les giclées se tarirent, elle retira sa langue du cul de Lucien et celui-ci, à bout de souffle, se retourna et s’effondra.
Dans un soupir, il lui dit :
- Tu m’as fait jouir comme jamais, petite salope.
Et en voyant les mains de Laurence pleine de son sperme, il rajouta :
- Allez, avale-moi tout ça, je suis sûr qu’une salope comme toi, adore le sperme.
C’était en fait le troisième sperme de sa vie et de la journée que Laurence s’apprêtait à avaler, et Lucien avait raison, elle commençait vraiment à y prendre gout, elle n’hésita pas un seul instant, et se mit à se lécher les doigts pour avaler tout le sperme de Lucien.
Lucien reprenait doucement son souffle en regardant Laurence se lécher les doigts avec gourmandise, il se dit que la fille était encore plus salope que la mère.
Il se rappela alors que cela faisait un moment qu’il ne l’avait pas vu, et heureusement pour lui et sa fille, mais il se demanda ce qu’elle pouvait bien être en train de faire dehors avec Greg.
Mais maintenant que le salon était un peu plus silencieux, il pouvait entendre des gémissements de plaisir provenant de la terrasse, il fut surpris, étant un ami de la famille, Lucien connaissait bien Greg, et il ne pouvait pas imaginer que la tante et le neveu baisent ensemble.
Pourtant il connaissait bien ses gémissements, il baisait Maeva depuis suffisamment longtemps pour les reconnaitre, alors il se leva et prit la main de Laurence en lui disant :
- Viens voir je crois que ta mère se fait baiser par Greg.
Depuis ce qu’il s’était passé au cinéma, la journée de Laurence avait été tellement riche en évènement invraisemblable, qu’elle ne fut même pas surprise, elle suivit Lucien vers la baie vitrée, et découvrit sa mère allongée sur le transat, complètement nue, les jambes croisées dans le dos de Greg, tandis que celui-ci lui besognait la chatte avec force, avec son énorme bite.
Elle l’entendait crier de plaisir et encourager Greg à la défoncer encore plus fort :
- OUIIII, ENCOREEEEEE, PLUUSSSS FORRRRRTTT, DEFONCE TA SALOOOOPPPEEEEE DE TAAANNNTTEEEEEE.
Laurence et Lucien regardaient Maeva jouir comme une folle, l’un à côté de l’autre derrière la baie vitrée, et comme Lucien avalait toujours une petite pilule bleue lorsqu’il venait baiser Maeva, il se mit à rebander rapidement devant cette scène incestueuse.
Il posa sa main sur les fesses de Laurence et comme sa jupe était encore retroussée sur ses hanches, il glissa ses doigts dans la raie de ses fesses, pour aller lui caresser l’anus.
Laurence avait parfaitement senti la main de Lucien sur ses fesses, mais voir sa mère jouir comme une folle sous les coups de queue de Greg, la fit mouiller d’envie, et après ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, elle ne fut pas le moins du monde perturber par cet accouplement incestueux.
Alors lorsque Lucien lui enfonça de nouveau un doigt dans le cul, elle se cambra d’avantage, et se mit à gémir de plaisir en regardant sa mère se faire défoncer.
Lucien bandait maintenant bien dur, et le joli cul de Laurence si gentiment offert lui faisait énormément envie.
Au fil de mois d’adultère avec Maeva, il l’avait convaincu de le laisser lui dépuceler l’anus et elle avait été incroyablement surprise d’apprécier se prendre une bonne bite dans le cul.
Mais même si elle appréciait énormément la sodomie, elle n’avait pourtant jamais osé le proposer à son mari de peur d’éveiller ses soupçons et il n’y avait que Lucien qui avait, pour le moment, pu la faire jouir en l’enculant.
Donc ayant perçu les mêmes prédispositions anales chez Laurence, Lucien lui écarta les fesses et plaça sa gland contre son anus.
Celle-ci le laissa faire, elle avait énormément joui, juste auparavant, avec les doigts de Lucien dans son cul, et voir sa mère se faire défoncer par son cousin comme la dernière des salopes, l’excitait énormément, alors lorsque Lucien enfonça sa bite dans son cul, elle ne ressentit aucune douleur, et même si c’était la première queue qui s’introduisait dans cet orifice, ce ne fut que pur plaisir.
Lorsqu’elle sentit les poils pubiens de Lucien lui chatouiller les fesses, elle sut qu’il lui avait enfoncé toute sa bite dans le cul et elle en fut incroyablement comblée.
Elle le sentit se pencher sur elle pour empoigner ses seins et lui dire :
- Tu es vraiment une bonne salope, et comme ta mère, tu vas adorer te faire enculer.
Il se mit à faire coulisser sa vieille bite dans le ravissant petit cul de Laurence et celle-ci se mit à pousser des gémissements de plaisir.
Mais Lucien ne put se retenir longtemps d’accélérer les enculades, il se mit faire claquer les fesses de Laurence, la poussant de plus en plus contre la baie vitrée, en la faisant crier de plaisir.

Ses cris de jouissance finirent par se faire firent entendre de la terrasse, et comme Greg avait eu envie de changer de position pour baiser sa tante, celle-ci reprenait son souffle doucement, encore sous l’effet de son dernier orgasme.
Alors lorsqu’elle entendit les cris de plaisir de sa fille, elle se retourna et la vit le visage et les seins écrasés contre la baie vitrée tandis que Lucien se déchainait derrière elle.
Curieusement, elle ne fut pas du tout troublée de voir sa fille se faire baiser par son amant, elle était encore sur son petit nuage de plaisir, et voir sa fille jouir avec Lucien ne fit que l’exciter davantage.
Alors lorsque Greg la fit mettre à 4 pattes sur la terrasse, elle lui obéit et vint s’écarter les fesses en lui disant :
- Mets-la moi dans le cul, mon garçon, je suis sûr que ce vieux pervers est en train d’enculer ma fille.
Greg ne se fit pas prier, mais sa queue était beaucoup plus imposante que celle de Lucien et même si Maeva adorait se prendre une bite dans le cul, elle écarquilla les yeux en sentant le gland lui ouvrir les sphincters comme jamais, lorsqu’il eut réussi à s’enfoncer à l’intérieur, elle poussa un long soupir et dit à Greg :
- Oh putain, elle est vraiment énorme ta bite, vas-y doucement.
Greg commença donc à enfoncer doucement sa queue au fond du cul de sa tante, et tandis qu’elle sentait l’énorme engin de son neveu s’enfoncer lentement dans ses intestins, Maeva regardait sa fille jouir sous les coups de queue de plus en plus violent de Lucien.
Laurence ne prêtait plus tellement attention à sa mère, seul comptait cette bite qui lui ramonait le cul avec force et puissance, et elle criait de jouissance, elle prenait un plaisir incroyable à sentir la queue de Lucien lui défoncer le cul.
Il la traitait de salope, de trainée, de sale pute comme sa mère, et cela la faisait jouir fabuleusement.
Mais d’un seul coup, il s’arrêta, laissant sa bite au fond de son cul, et il lui dit :
- Regarde, petite salope, ta mère est en train de se faire enculer par son neveu, vous êtes vraiment deux grosses chiennes toutes les deux.
Laurence était exténuée par toute cette jouissance, depuis qu’elle avait offert sa culotte à Lucien, elle n’avait pas arrêté de jouir, et elle sentait encore sa vieille bite palpiter au fond de son cul, alors elle lui répondit avec un toupet qui l’a surpris :
- Et tu adores fourrer ta vieille bite dans le cul de chienne en chaleur, comme nous.
Lucien était en sueur, jamais il n’aurait pu imaginer que la mère et la fille soient d’aussi grosses salopes, alors pris dans une sorte frénésie lubrique, il poussa Laurence à l’extérieur, et tout en gardant sa bite au fond de son cul, il la fit avancer vers sa mère, qui commençait à gémir de plaisir sous les coups de queue de Greg dans son cul.
Il fit mettre Laurence à 4 pattes devant sa mère, et les deux salopes se mirent bientôt à crier de plaisir toutes les deux, grâce aux bites qui leur ramonaient le cul.
Lucien était totalement ivre de plaisir, il voulait voir jusqu’à quel point ces deux salopes iraient dans la débauche, il se mit à pousser sur la tête de Laurence afin qu’elle se rapproche de celle de sa mère, et comme il s’y attendait, aucune des deux n’hésita à envoyer sa langue dans la bouche de l’autre, et elles se mirent à se rouler une pelle en se faisant enculer sauvagement.
Cette vision de pure débauche eut raison des dernières forces de Lucien, et même s’il avait déjà bien joui lorsque Laurence lui avait bouffé le cul, il envoya de nouveau de longues giclées de sperme au fond du cul de la jeune salope.
Il se cramponna à ses hanches et se vida les couilles au fond de ses intestins.

Laurence et Maeva étaient toutes les deux, dans un état second, le fait de se faire enculer devant sa mère ou sa fille ne les dérangeaient pas du tout, et lorsque Lucien avait poussé sur la tête de Laurence, c’est presque naturellement qu’elles avaient joins leurs lèvres et leurs langues, comme pour concéder qu’elles étaient toutes les deux de belles salopes.
Alors lorsque Lucien éjacula dans le cul de Laurence, elle le laissa se vider les couilles au fond de ses intestins, mais ne lâcha pas les lèvres de sa mère, et quand il eut fini de jouir et qu’il ait libéré son rectum, elle se redressa et vint caresser les seins de sa mère.
Maeva était en pleine extase, elle se faisait défoncer le cul par son neveu, et sa fille lui pelotait les seins avec douceur, elle eut un orgasme violent, jamais elle n’avait atteint un tel niveau de plaisir, alors lorsque Greg sortit son énorme bite de son cul, et qu’il leur dit à toutes les deux :
- Approchez, mes salopes, venez récupérer votre récompense.
Laurence cessa d’embrasser sa mère et lui dit :
- Viens, maman, on va se le partager.
Maeva avait toujours refusé d’avaler le sperme de son mari et même celui de Lucien, mais devant la proposition de sa fille, elle la suivit et vint l’aider à pomper la grosse bite de Greg.
Il ne mit pas longtemps à leur envoyer, chacune leur tour, de puissantes giclées de sperme dans la bouche, et alors que Laurence avalait maintenant le sperme sans sourciller, la première gorgée de Maeva fut comme une révélation.
Elle ne sut dire si c’était la présence de sa fille ou cette situation plutôt incroyable, mais elle trouva le sperme de son neveu, étrangement aphrodisiaque.
Alors elle imita sa fille, elle ouvrit la bouche et tira la langue pour accueillir le sperme de son neveu avec envie, elles finirent par se rouler une pelle passionnée pour se partager les dernières giclées, tandis que leurs mains se glissèrent entre les cuisses de l’autre pour aller caresser le clitoris de leur incestueuse partenaire.
Lucien s’était assis sur le transat et n’arrivait toujours pas à croire que la mère et la fille soient aussi salope, mais malgré la pilule bleu, il venait de jouir deux fois en peu de temps, il allait lui falloir reprendre des forces pour pouvoir de nouveau les baiser.
Greg laissa la mère et la fille continuer à s’embrasser et à se caresser, et vint s’assoir à côté de Lucien.
Il lui demanda :
- Ça fait longtemps que tu baises ma tante ?
Avec ce qu’il venait de vivre, Lucien fut un peu pris au dépourvu, il ne chercha pas tellement à se trouver une excuse et répondit :
- Eh bien, ça fait plusieurs mois maintenant, ça a commencé à la mort de ma femme.
- Ah bon ? vous avez couché ensemble à son enterrement ?
Un peu honteux, Lucien n’osa pas avouer son moment de faiblesse, ce fut Maeva qui avait entendu leur discussion et comme elle avait fini de se partager le sperme avec sa fille, lui répondit :
- Oui, ça a commencé ce jour-là, Lucien n’était pas bien, et comme j’étais seule à avoir pu me libérer pour aller à l’enterrement, nous nous sommes vite retrouvés seuls.
Curieuse, Laurence lui demanda :
- Et vous avez couché ensemble ?
- Eh bien, tu sais ma chérie, ton père n’est pas souvent présent, et je pense que nous sommes un peu pareilles toutes les deux, nous avons de gros besoin sexuels.
- Tu avais déjà trompé, papa, avant ?
- Non, jamais, j’avais toujours réussi à résister aux nombreuses tentations, et je me soulageais avec mes sextoys.
- Et donc Lucien est ton premier amant ?
- Oui, comme je te l’ai dit, les invités sont vite partis et on s’est retrouvé seuls et je ne sais plus trop comment c’est arrivé, mais nous nous sommes embrassés, et nous nous sommes retrouvés dans son lit.
Désirant avoir tous les détails de l’adultère de sa mère, Laurence se tourna vers Lucien et lui demanda :
- Tu te souviens, toi, comment c’est arrivé ?
Lucien était encore un peu perdu par ce qu’il venait de vivre, mais il avait deux superbes salopes, complètement nues devant lui, alors il se dit qu’il n’avait plus rien à cacher et raconta le fameux événement :
« Tous les invités étaient partis, et Maeva était la seule à être rester pour m’aider à surmonter mon chagrin.
Comme je n’avais pas tellement le moral, elle m’a proposé de faire un peu de ménage chez moi et de préparer le diner.
Malgré ma tristesse, j’étais ravi qu’un charmante femme comme ta mère daigne prendre de son temps pour s’occuper d’un veuf comme moi.
Et je peux l’avouer aujourd’hui, elle était venue en minijupe qui laissait voir ses superbes jambes, qui ne me laissait pas indifférent. »
Maeva intervint dans son récit :
- Je n’avais trouvé que ça à mettre, il faisait chaud, et je n’avais pas grand-chose de noir.
- En tout cas, c’était très agréable à regarder.
Laurence les interrompit :
- Et donc ?
Lucien continua son récit :
« Tu connais ta mère et son aversion pour la poussière, elle passait un peu partout dans la maison, et éliminait chaque grain de poussière.
Je la suivais discrètement pour reluquer ses fines gambettes, et son ravissant petit cul.
Quand elle est passé dans la chambre, elle s’est attaquée au-dessus de l’armoire où était stocké un vieux carton, que j’avais totalement oublié.
Ce carton contenait les sextoys de ma défunte femme, ils n’avaient pas servi depuis longtemps, mais dans son grand nettoyage, ta mère le fit tomber, et tout son contenu se renversa sur le lit.
Il y avait plusieurs godes de différentes tailles, des menottes, des baillons, et d’autres accessoires.
Ma femme aimait bien être attaché et jouissait énormément lorsqu’elle simulait être forcée.
Donc devant tous ces jouets un peu particuliers, étalés sur le lit, une ambiance un peu étrange s’était installée dans la chambre. »
Maeva reprit le récit :
« J’ai remarqué une belle bosse dans le pantalon de Lucien, ses yeux passaient de moi aux sextoys, et comme j’étais un peu frustrée de la veille avec ton père qui ne m’avait pas touché du week-end.
J’ai demandé à Lucien, s’il voulait que je les essaie. »
Lucien :
« Je n’en ai pas cru mes oreilles, mais de revoir tous ces jouets m’a rappelé toutes les séances torrides que j’avais eu avec ma femme, alors j’ai dit à ta mère que j’en serai ravi. »
Maeva :
« J’ai donc pris un des godes, au hasard »
Lucien :
« Le plus gros, en fait »
Maeva :
« Oui, il me faisait très envie, et cette situation m’excitait de plus en plus, alors je suis monté sur le lit, j’ai commencé à faire passer le gode entre mes seins, je l’ai sucé en regardant Lucien, dont la bosse semblait vouloir déchirer son pantalon.
Alors je me suis dit que s’exhiber n’était pas trompé, et comme j’étais déjà trempée, j’ai remonté ma minijupe et j’ai commencé à glisser le gode entre mes cuisses et à le frotter contre mon clitoris par-dessus mon string.
J’ai fermé les yeux et je me suis mise à gémir de plaisir.
Lorsque j’ai rouvert les yeux, Lucien avait sorti sa bite et se branlait en me regardant me caresser, et j’avoue qu’à cet instant, j’avais très envie de sa bite.
Alors quand il m’a dit : retire ton string, tu le sentiras mieux contre ta chatte.
Je lui ai obéi, j’ai retiré mon string et j’ai recommencé à frotter le gode contre ma chatte, je mouillais tellement, qu’il luisait de ma mouille. »
Lucien :
« Elle était tellement désirable, tellement excitante, que je n’ai pas pu m’empêcher de faire comme-ci elle était ma femme. »
Maeva :
« Il m’a demandé ou plutôt ordonner de me déshabiller.
Ton père ne m’avait jamais parlé sur ce ton si dominateur, et ça m’a excité encore plus, alors j’ai encore obéi, et je me suis mise complètement nue devant Lucien.
Il a attrapé ensuite les menottes et m’a ordonné de m’allonger, cette autorité m’excitait tellement que je ne pouvais pas lui désobéir.
Il m’a alors attaché les poignet à un barreau du lit, et à commencer à me caresser la chatte.
J’étais attaché, totalement offerte, mais je voulais qu’il me caresse, j’ai écarté les cuisses pour qu’il me fouille la chatte autant qu’il voulait.
Il a approché ensuite sa bite de ma bouche et m’a dit :
- Suce, salope !
J’ai carrément plongé sur sa queue, je lui ai pompé comme une affamée.
Lucien :
« J’ai bien failli jouir dans sa bouche de salope, tellement elle me pompait bien, mais j’avais trop envie de la baiser, de fourrer ma bite au fond de sa chatte brulante.
Alors j’ai retiré ma queue de sa bouche et je me suis placé entre ses cuisses. »
Maeva :
« J’avais le corps en feu, je mourrais d’envie d’être baiser, j’avais totalement oublié que j’étais mariée, et que j’allais coucher avec notre voisin.
Il me fallait cette bite, alors comme il jouait avec moi, je l’ai supplié :
- Baise-moi, fourre-moi ta bite.
Et il m’a répondu... »
Lucien :
« Je ne voulais pas la baiser qu’une seule fois, je voulais qu’elle devienne ma maitresse, alors je lui ai dit :
- Si tu veux ma bite, il faut que tu deviennes ma maitresse. »
Maeva :
« Je n’ai pas hésité, j’avais trop envie de sa bite, alors j’ai accepté, et il m’a baisé pendant un long moment.
Il a joui en moi, et m’a laissé attacher sur le lit, seule dans la chambre, j’ai commencé à paniquer, mais il est revenu et m’a dit :
- Tu seras mon vide-couille jusqu’à ce soir, je te libérerai quand j’aurais les couilles bien sèches.
Etrangement, ça m’a beaucoup excitée, alors j’ai attendu qu’il revienne et qu’il me baise à nouveau, et à chaque fois qu’il revenait, j’ouvrais les cuisses et j’étais impatiente de sentir sa bite en moi.
J’avais un orgasme à chaque fois qu’il jouissait en moi, j’adorais être sa chose, à son service pour lui vider les couilles.
Il m’a gardé toute la nuit, et si tu te rappelles ce jour-là, je t’ai dit que j’allais rentrer tard, que tu n’avais qu’à te commander une pizza.
Et alors que j’étais au téléphone avec toi, il me fourrait la chatte, j’ai joui énormément en essayant de me retenir de gémir. »
Laurence se souvint de jour-là et dit :
- C’est vrai que je me rappelle que je te trouvais bizarre au téléphone.
- Et pour cause, il m’a fourré la chatte juste après que j’ai raccroché.
- Et donc depuis ce jour-là, tu couches avec lui ?
- Oui, et je ne le regrette pas, même s’il t’a baisé aussi, j’ai découvert ma véritable nature grâce à Lucien.
- Et moi, grâce à Greg, on dirait bien.
Greg intervint :
- Je peux vous dire que vous n’êtes pas les seules salopes de la famille.
- Ah bon ? demandèrent-elles ensemble.
- Oui, en fait, j’ai déjà couché avec ma sœur et ma mère, donc c’est presque génétique dans cette famille.
Toutes les deux surprises, elles mirent un moment à digérer cette révélation et Laurence lui demanda :
- Et ton père est au courant ?
- Eh bien, en fait, il baise souvent avec Isa, pendant que je baise maman.
Maeva devina aisément les pensées perverses de sa salope de fille et lui dit :
- Non, ma chérie, je ne pense pas que ton père accepte ce genre de relation, il n’est vraiment pas porté sur la chose.
- On ne peut pas savoir si on n’essaie pas.
- En tout cas, tu sais déjà que je ne t’en voudrais pas si je vous surprends en train de baiser.
- Très bien, alors je vais tenter ma chance, ce WE.
- Mais tu oublies aussi ton petit copain, Max.
Laurence se rendit compte que depuis son aventure au cinéma, Max lui était totalement sorti de la tête, c’était pourtant avec lui qu’elle avait perdu son pucelage, mais même si elle l’aimait beaucoup, il ne l’avait pas fait jouir autant que Greg ou Lucien.
Alors devant son désarroi, Maeva lui dit :
- Ecoute, j’ai peut-être une solution, si tu veux, si je vois que tu as réussi à convaincre ton père, je peux m’occuper de Max, je l’ai déjà vu souvent louché sur mes fesses et sur mes seins, je suis sûre que j’arriverais facilement à l’attirer entre mes cuisses.
- Merci, maman, mais tu sais, il n’est pas très doué.
- Oh il suffit de lui apprendre, j’adore être dominé, mais j’aime bien aussi jouer les dominatrices.
- Ok, alors on fait comme ça.

Lucien était impressionné de voir jusqu’où les deux salopes étaient prêtes à aller pour satisfaire leurs besoins de sexe, mais même s’il avait encore très envie de profiter d’elles, il avait d’autres obligations et dû les laisser entre les mains et surtout sur la grosse bite de Greg.

Greg, qui avait d’ailleurs, été très excité par le petit récit de l’adultère de Maeva et comme il semblait qu’il n’avait pas besoin de son programme pour pervertir sa tante, il profita de se retrouver seul avec les deux salopes de la maison, pour passer la nuit avec elles.
Il les emmena dans la chambre parentale, et après que Maeva ait montré à sa fille tous ces petits jouets de plaisir, il les baisa et les encula toutes les deux, et Laurence put même utiliser les sextoys avec sa mère.
Elle s’attacha même un gode ceinture et put baiser sa mère alors que Greg l’enculait.
Ils baisèrent et jouirent tous les trois pendant toute la soirée, et ils recommencèrent après diner, jusqu’à épuisement total.

A SUIVRE.
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Histoire de bobby28

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Commentaires du récit : La vengeance de Greg 9

Le 24/06/2021 - 22:08 par Thierry
Je dît ouï continue dans là jouissent parfait. Misanthrope

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