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Le bagne sexuel 1

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Lue : 18280 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 11/12/2011

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La salle des ventes de l'Hostellerie des Flandres était bondée. Les objets mis en vente aujourd'hui étaient d'un caractère très inhabituel. Dès leur entrée, le commissaire priseur et l'huissier de justice saluèrent l'héritière de la collection Duval et sa compagne. Un bref rappel à l'ordre de l'huissier fut nécessaire pour modérer le brouhaha de cette foule tonitruante et passionnée. Le fait qu'elle soit composée majoritairement de dames expliquait, sans doute, ce niveau sonore intolérable. Accalmie de courte durée. La première œuvre fit son apparition sous les applaudissements enthousiastes des premiers rangs.

Maître Suzelle Wagnier n'avait jamais présidé une vente publique devant pareille assistance. Elle se félicita d'avoir accepté l'idée de sa jeune amie d'exposer ces objets d'un érotisme torride sur les plus courus des sites lesbiens du net. L'excitation de ces dames était telle qu'elle comprit rapidement que sa tâche serait rude. Son marteau faillit exploser le bureau avant qu'elle ne parvienne à calmer à nouveau l'assemblée. Le succès de la vente était d’ores et déjà garanti. Pas question cependant d'omettre de souligner la qualité des objets qu'elle s'apprêtait à adjuger.
- Plusieurs des œuvres, mises en vente publique ce jour par Madame Selvoir, ont obtenu les plus prestigieux prix d'art moderne de ce début du vingt et unième siècle. Conséquemment, la mise à prix des sculptures, toutes à l'échelle humaine, ne débutera jamais sous les 100.000 euros. La faculté d'enchère se fera par tranche minimale de 1.000 euros. Nous commençons, de suite, par ce buste de marbre blanc dénommé "adolescence tourmentée". Vous remarquerez la précision de la gravure du collier d'esclave que porte la captive. Mise à prix 110.000 euros! Qui dit mieux?

Pour cet objet non primé et considéré pourtant comme mineur, les enchères s'affolèrent immédiatement, à la grande joie de la sculpturale propriétaire, postée à droite de l'estrade réservée aux officiels. A ses côtés, une sublime mulâtre étirait, entre ses longs doigts manucurés, les boucles auburn de sa chevelure luxuriante. Sur l'insistance de sa compagne, elle décroisa les jambes et remonta lentement sa robe étriquée jusqu'aux plis des aines. Se sentant dévorée par mille regards inquisiteurs, elle écarta progressivement ses longues jambes cuivrées. C'était sa façon à elle d'avouer à celles et ceux qui en doutaient encore, que sa fente lisse ne supportait pas plus une toison disgracieuse que l'inconfort d'une culotte liberticide.

Le buste venait d'atteindre les 150.000 euros en moins d'une minute. La commissaire priseur ressentait des picotements dans le poignet qui tenait le marteau. Elle était la mieux placée pour savoir qu'il restait une vingtaine de sculptures à adjuger avant d'être libérée de sa tâche. Non pas qu'elle soit pressée de rentrer chez elle pour retrouver sa compagne, non. L'objet de son impatience se situait à moins de deux mètres de sa chaise et venait de rejeter lascivement ses longs cheveux en arrière. Le regard de Suzelle faisait des allers-retours entre le public et cette irréelle beauté métis qui se trémoussait sur son siège de paille rêche. Madame Selvoir échangea un regard complice avec la fonctionnaire. Elle glissa, ensuite, un mot à l'oreille de sa voisine qui lui sourit en retour. Dans un geste de bravade, la vicieuse gamine ajusta, de deux crans, la large ceinture qui lui cerclait la taille.
- 175.000, une fois, deux fois, trois fois, adjugé à Monsieur au premier rang !

Tandis que trois appariteurs s'employaient à présenter le chef d'œuvre de la vente, Maître Wagnier mit à profit cette courte pause pour reprendre ses esprits et annonça :
- Premier prix de l'exposition d'art moderne 2010 de la ville de Paris. Voici la pièce maîtresse de la vente! Un marbre sur pied, haut d'un mètre quatre vingt cinq, intitulé " Plaisir et perversion"! Mise à prix 200.000 euros! Je vous rappelle, si nécessaire, que toutes les œuvres présentées sont signées de la regrettée Solange Duval. Celle-ci est la dernière qu'elle a terminée deux jours avant sa disparition.

En moins de deux minutes, les enchères s'envolèrent et atteignirent plus de 400.000 euros. L'école de Colette Duval faisait donc toujours référence, deux ans après son décès accidentel et la fermeture de son établissement. Maître Wagnier avait eu l'occasion d'assister à l'élaboration de cette statue. C'était d'ailleurs la seule fois qu'elle avait posé le pied dans l'école de Colette malgré les liens étroits qui les unissaient. Bien que très large d'esprit, elle avait été choquée par l'utilisation comme modèle de la propre fille de l'artiste, soumise aux caprices de Christelle Selvoir, qu'elle venait d'épouser selon la loi belge. C'est d'ailleurs ce jour là que Christelle entama, sur les conseils de Solange et les siens, la procédure d'adoption d'Opale. Comme si Solange savait que ses jours était comptés et qu'elle craignait que la prunelle de ses yeux s'égare dans les méandres d'une lubricité que sa compagne se plaisait à entretenir avec la jeune métis.

Maître Waignier était assaillie d'images érotiques en regardant l'impudique statue. Elle se remémora l'application de Solange à caresser l'esclave enchaînée, les cuisses largement écartées, les chevilles ancrées au sol et les poignets, liés dans le dos et reliés au treuil du plafond de la salle de sculpture. Tiens! S'il ne tenait qu'à elle, elle exigerait que l'on repositionne illico cette chaîne oubliée sur la statue. Elle était restée plus d'une heure, ce soir-là, à assister aux orgasmes répétés du modèle. L'esprit créatif de Solange ne s'éveillait qu'à l'acmé de la jouissance de la fille. Quelques élèves, soigneusement sélectionnées, se relayaient pour ranimer la libido de l'esclave quand Solange n'en pouvait plus. Cette soirée l'avait marquée à jamais. Elle se souvint que, prise au jeu, elle avait interrogé Christelle sur la durée des séances de pose de la jeune fille. La répartie brutale de Solange la stupéfia quand elle rétorqua que le modèle ne devient intéressant, pour son esprit créatif, qu'amenée au bout de l'épuisement. C'est à dire après deux ou trois heures, parfois plus, d'orgasmes répétitifs. Elle avoua que ce soir, ce serait plus long car cette présence étrangère l'excitait visiblement mais que c'était d'autant mieux pour l' épilogue de son ouvrage. Oubliant toute réserve, Suzelle se plut à donner quelques conseils à Christelle, s'inspirant des petits sévices qu'elle administrait journellement à sa compagne. Emportée par l'excitation ambiante, elle agrippa les tétons de cette esclave trop docile pour les torsader à mort. Des larmes coulèrent sur ses joues et son sexe, comme nourri de cette douleur si vive, se mit à couler de plus belle. Christelle remarqua le trouble grandissime de la gamine et insista pour que la punition s'accentue. Elle s'empara d'un bâton qui trainait dans un coin et l'abattit sur la splendide croupe exhibée. L'expression de son visage quand Opale cria son plaisir se retrouvait toujours dans la statue qui venait de franchir les 500.000 euros. D'un coup de coude, l'huissier sortit de ses rêves la commissaire priseur. Il lui suggéra qu'une suspension de séance serait bienvenue pour tout le monde et elle en particulier.
- Dix minutes de pause! La salle annexe est ouverte pour ceux qui souhaiteraient admirer les autres pièces qui seront mis en en vente par la suite.

Dans le petit bar qui jouxtait la salle de vente, Maître Wagnier retrouva quelques vieilles connaissances. Toutes des rencontres de club super privé. Toutes des rapaces obsédées par la chair fraîche. Elle regretta que Lara, sa jolie soumise, n'ait pu se libérer. A coup sûr, elle aurait saisi l'occasion de la proposer aux quelques débauchées qui l'entouraient. Probable qu'elle se serait défendue un peu pour le principe mais rapidement, elle aurait capitulée comme à chaque fois. Ce n'était un secret pour personne. Suzelle aimait fréquenter les clubs lesbiens avec sa compagne qu'elle adorait partager si l'occasion se présentait. Après les salutations d'usage, la conversation s'orienta naturellement vers cette magnifique fille délurée qui ressemblait étrangement aux statues de Colette Duval. Maître Wagnier se retrouva vite accablée de questions précises concernant cette inconnue du microcosme lesbien luxembourgeois. Elle ne dut son salut qu'à l'entrée remarquée de Madame Selvoir, flanquée de l’affriolante mulâtre. Un silence éloquent marqua la pose de la première fesse de la belle sur le tabouret du bar. Il émanait d'elle une sensualité époustouflante. Son sourire enfantin et avenant achevait de séduire la plus revêche des dames de l’assemblée quant une jeune fille se précipita sur la belle.
- Opale, ma petite maso chérie! Cela fait déjà si longtemps que nous n'avons plus joué avec toi. C'est à cause de cette vieille que tu nous boudes nos petites réunions.

La mère adoptive, agressée, s'interposa sèchement.
- A chaque âge ses divertissements, ma chérie. Il arrive toujours un moment dans la vie où le jeu de marelle devient inintéressant. Opale préfère maintenant les femmes de quarante ans, plus imaginatives et grisantes pour ses sens. Retourne jouer avec tes copines et ne nous importune plus!

Refroidies par la vigueur des mots échangés, toutes les amies de Suzelle préférèrent rester avec leurs interrogations non résolues. Toutes sauf une dame frôlant la soixantaine, véritable sapin de Noël, qui étalait sa fortune en une multitude de bijoux, tous plus onéreux les uns que les autres. Profitant du pas de retrait de la provocatrice, elle interpela brutalement la beauté cuivrée:
- Tu ne te souviens probablement plus de moi, mais sache que je connaissais ta génitrice dès avant ta naissance. Je suis même celle qui a organisé la saillie qui t'a conçue au beau milieu de l'Afrique Equatoriale. Ta pauvre mère était en manque de grossesse et ce n'est pas son amie de l'époque qui aurait pu y remédier. Je ne t'avais plus revue depuis l'anniversaire de tes douze ans. Tu es devenue une splendide femelle, bien charpentée et chargée d'hormones comme je les aime. C'est fou comme tu ressembles au bel étalon que j'avais choisi pour engrosser ta mère. C'était le meilleur esclave de la plantation de mon grand père. Tu dois avoir quantité de frères et sœurs en Afrique, tu sais. Le sexe? Il ne pensait qu'à ça. Il était infatigable, comme ta mère d'ailleurs, dans un autre style. Elle se faisait retourner jour et nuit par toutes nos soubrettes. Ce qu'elle aimait le plus, c'était quand je l'obligeais à dormir dans le baraquement des filles. Pour quelques pièces, elles se mettaient à dix pour la trifouiller toute la nuit et l'empêcher de fermer les yeux. Au petit matin, elle insistait pour accompagner les filles au travail et être traitée comme elles par les contremaîtres. Ta maman était une esclave dans l'âme, je crois. Je ne saurai jamais si elle était vraiment masochiste. Par appréhension, j'ai toujours interdit à mes sbires de la frapper. Si je pouvais refaire ma vie, j'aurais moins de scrupules aujourd'hui. J'ai toujours conservé la nostalgie de ces années libertines où l'argent permettait toutes les débauches.

Christelle Selvoir n'avait perdu aucun mot de cette intéressante conversation.
- Je ne connaissais pas Colette sous ce jour-là. Vous m'étonnez, madame....
- Appelez-moi Lise! J'espère que je ne t'ai pas choqué, Opale?

Opale était blafarde. Se trouvant soudainement obscène, elle tenta de rectifier sa tenue en desserrant sa large ceinture et en tirant sur le bas de sa robe. D'un geste autoritaire, Christelle l'arrêta.
- Qui t'a autorisé? Tu sais bien que je déteste quand tu caches tes charmes.

Pour ne rien cacher de son décolleté saisissant, elle écarta largement les pants de sa robe, affichant quasiment ses tétons aux dames fascinées par la rigidité de sa poitrine juvénile. Elle resserra d'un cran encore la ceinture jusqu'à découvrir totalement ses jambes parfaites, lui provoquant un frisson généralisé.
- Tu es aussi obéissante que ta mère quand il s'agit de t'exhiber et d'échauffer celles qui te regardent.
- Bon sang ne saurait mentir, chère Lise. Rien ne lui fait plus plaisir que d'être exhibée. Je collectionne les problèmes avec elle. Cette petite guenon est affublée d’une boulimie sexuelle qui me dépasse souvent.

Les sens sans dessus-dessous, Maître Wagnier finissait par en oublier sa fonction.
- Le meilleur moyen de ne pas être débordée serait certes de la prêter comme...
D'un coup de coude, l'huissier sortit la magistrate de ses fantasmes et appela les enchérisseurs à regagner leur place.

A la reprise de la séance, nonante pour cent des spectateurs étaient rentrés chez eux, heurtés sans doute par la tournure insolite que prenait la vente. Seule une dizaine de dames et un vieillard reprirent possession de leurs sièges dans une ambiance électrique. Opale se colla à Christelle, cherchant une improbable protection. Celle-ci l'obligea à joindre ses mains dans le dos et se mit en tête d'ériger ses tétons au grand bonheur des spectatrices et au grand trouble de la jeune femme.
- Nous en étions à 500.000 euros pour Monsieur au premier rang. Qui dit mieux?

L'interruption de la vente n'avait pas été propice aux surenchères. La superbe sculpture s'adjugea à 500.000 au vieux monsieur qui quitta immédiatement la salle. Les appariteurs n'avaient pas encore terminé d'amener les dix huit pièces restantes que la dizaine de dames encore présentes se levèrent d'un seul homme...enfin, vous me comprenez. Elles étaient ostensiblement toutes complices et proposèrent une offre groupée d'un million d'euros pour acquérir l'entièreté de la collection. Madame Wagnier se tourna vers Christelle qui était en pleine réflexion. La propriétaire estima assez rapidement que l'offre était trop faible. Elle proposa d'augmenter l'offre de cinquante pour cent, histoire de régler les frais de succession. Le fisc poussait à sa porte pour récupérer l'impôt impayé. Lise, leur porte-parole, ne se laissa pas démonter et ajouta, en guise de bravade, 500.000 euros, d'accord, à condition d'y ajouter l'original en la personne d'Opale. Elle prétendait même être en mesure de lui fournir une attestation fiscale lui permettant de déduire un coquet montant de la note fiscale. La mère adoptive crut d'abord à une blague de mauvais goût mais Lise revint à la charge en s'adressant directement à Opale.
- 500.000 euros et je t'emmène au soleil, en Afrique, sur les traces de ta mère. Je te demande simplement de me donner six mois de ta vie et d'offrir ta jeunesse aux Africaines.
Maître Wagnier se devait d'intervenir. Son huissier menaçait de se casser les dents sur son stylo.
- Partager sa compagne si elle est consentante est une chose acceptable. Asservir une personne et abusez d'elle sans son accord en est une autre. Vous vous trompez d'époque, chère Lise. L'esclavage est prohibé par les règles du droit international depuis belle lurette.
- La Somalie est une terre de non droit, Maître. Particulièrement dans la région où j'exerce. Je vous garantis que personne ne m'empêchera d'utiliser les talents de cette enfant comme bon me semble.

Je peux, sans crainte de me tromper, vous assurer que notre équipe saura tirer le meilleur parti de ses qualités physiques. Elle correspond exactement à ce que nous recherchons. Veux-tu bien te lever, ma petite, que nous puissions admirer ta croupe? C'est cela. Mets-toi de profil maintenant et montre-nous tes seins! Ne sommes-nous pas entre femmes, après tout?
Maître Wagnier était sidérée de l'aplomb avec lequel Lise commandait Opale. Et plus encore de la docilité de cette gosse qui se dépoitrailla sans gêne aucune après avoir recueilli l'assentiment de Christelle. L'huissier de justice fut convié à regagner ses pénates ce qu'il fit, non sans jeter un dernier coup d' œil à l'arrogante poitrine d'Opale.
- Philippe! Ferme convenablement la porte de la salle derrière-toi! Il y a trop de fenêtres dans ce local. Je vous suggère de nous rendre près du bar pour discuter finances.
Dès qu'elle eut franchi la porte du bar, Lise reprit, sans perdre un instant, le contrôle de la situation.
- Avance, ma gazelle! Et place-toi au milieu de notre cercle! Montre-nous à quel point tu peux te cambrer, ma beauté! C'est très bien. Pose tes mains sur ta nuque et fais bien ressortir ta poitrine! Est-ce une première pour toi de t'exhiber en public?

La première syllabe chevrotante de la soirée sortit de la bouche de la miss.
- Non, pas vraiment, elles m'y obligeaient souvent mais seulement devant...
- Elle veut vous faire croire qu'elle n'a jamais fait cela devant autant de personnes, chère Lise, ajouta Christelle tout en ôtant la ceinture de sa protégée. Débarrasse-toi de tes chaussures, vite fait! Je ne t'ai pas demandé d'écarter les jambes, il me semble, vicieuse. Contente-toi d'être nue! Je n'ai aucune intention de te gâter devant tout ce monde.
- Si vous voulez vous faire une opinion de la fermeté des chairs de l'animal, mesdames, ne vous gênez surtout pas! Nous discuterons prix ensuite en fonction de ce que vous attendez d'elle. Imperceptiblement, les enchérisseuses s'étaient dangereusement rapprochées de l'objet de leur convoitise et l'empêchaient de resserrer les cuisses. Les commentaires et questions salaces fusaient de toute part mais sans jamais s'adresser à l'intéressée, comme si elle n'était pas concernée par la transaction.
- Joli sexe, très bien dessiné et très réactif, perlant généreusement dès l'intrusion d'une pulpe de doigt. Je te soupçonne, Christelle de l'avoir faite épiler électriquement.
- C'est exact. Voici une bonne année, je crois. Sexe, aisselles et autres poils disgracieux.
- Délicieux clitoris bien saillant et immédiatement accessible, le fripounet!

Les yeux d'Opale révulsaient lentement et ses gémissements réprimés trahissaient le grand désordre de ses sens.
- J'adore les peaux uniformément mate, café au lait mais pas trop. C'est ce que j'appelle le fruit d'un brassage génétique réussi. Elle a les yeux en amande de sa mère et la finesse des traits de ton père. Tiens! A-t-elle déjà été liée?
- Pas à ma connaissance, du moins pas en dehors d'une nécessité artistique impérieuse ! Je me suis toujours efforcée de ne pas l'abîmer. Je vous préviens. Ne jouez pas trop avec ses seins sinon elle va vraiment couler beaucoup!
- Je sais. ma fille a fréquenté, durant deux ans, l'école de sculpture. Elle m'a souvent rapporté que son meilleur aphrodisiaque était de se balader les seins nus tout en s'amusant à faire saillir ses pointes.
- Il me semble, Magda, que ta fille nous a révélé bien d'autres automatismes inconvenants dont était affublée cette demoiselle.
- Veux-tu parler de ses masturbations frénétiques ou de sa façon originale d'aborder les gens?
- Je vous arrête. Vous venez d'avoir la démonstration du grave problème d'Opale. Elle n'a aucune notion de ce qui est mal et sans chercher à l'excuser, je vous demande de la comprendre. Elle vit toujours à l'époque du paradis terrestre. Vous pourriez la croire libertine et aguicheuse mais c'est sa façon d'être et de se comporter. Le simple fait d'entrer dans une galerie commerçante et de se sentir admirée la fait chavirer et la pousse à s'exhiber. Le signal qu'elle envoie aux voyeurs laisse parfois à penser qu'elle est prête à s'offrir. Faites-lui le plaisir de la caresser doucement et prenez le temps d'écouter ce que j'ai à vous dire!

Opale est sans doute née avec cette faculté rare d'érotiser toutes ses conversations et ses contacts humains. Au tout début de son adolescence déjà, elle était inconsciente de l'impact de sa beauté. Sa mère et moi nous sommes battues pour corriger ce défaut. A l'école, il ne se passait pas un jour sans qu'on nous rapporte un problème de comportement. Nous avons tout essayé pour la corriger. Il faut me croire. Finalement, sa mère a renoncé et lui a payé une scolarité privée, à domicile, dès ses quatorze ans. Nous avons choisi cette manière, stupide sans doute, de la protéger de la société et des garçons surtout. Sur l'insistance d'une amie, nous avons mandé deux couples de préceptrices dans la trentaine. Elles avaient un passé irréprochable et une vie commune de plusieurs années, sans histoires. Nous croyions ainsi la mettre à l'abri d'abus sexuels de toutes sortes. Colette les avaient bien prévenues qu'Opale était très câline et très demandeuse d'attouchements génitaux. Au décours d'une réunion interminable avec les quatre profs, elles parvinrent à nous convaincre qu'une certaine permissivité vestimentaire, entre autres, serait favorable à son éducation et à son apprentissage. L'école de sculpture nous accaparait tellement que nous commîmes certainement une erreur de vigilance impardonnable. Dès la première semaine de cours, ces deux couples de gouines ont jeté leur dévolu sur Opale. Prétendues adeptes d'un concept de sport-études intégré, les demi-heures de cours s'enchainaient avec les demi-heures de sports intensifs. Pour éviter de fastidieux changements de tenue, Opale suivait ses cours en mini-short d'athlétisme et soutien bandeau étriqué. Elles se relayaient, durant les cours théoriques, pour exacerber ses désirs et la mettre sur des charbons ardents avant de la confier à leurs collègues du cours suivant. Celles s'appliquaient, une demi-heure durant, à la faire jouir comme un objet sexuel magique et inépuisable sur l'appareillage sportif détourné de sa vocation. Il nous était formellement interdit d'approcher de l'étage. Les deux couples pervers avaient accaparé la salle de sport de notre école et s'y enfermaient pour éviter d'être dérangées. Pourtant, la fille de Colette engrangeait très vite sa matière.

A raison de sept heures de cours par jour, son bagage culturel avait déjà atteint, à 17 ans, un niveau universitaire de premier cycle. Hélas! L'étendue de ses connaissances ne l'empêchait pas de devenir de plus en plus socialement inadaptée. Les week-end viraient au cauchemar dès qu'une ou des amies venaient nous rendre visite. Elle découpait aux ciseaux les vêtements que nous lui offrions pour donner libre cours à son exhibitionnisme et abuser de ses galbes ensorcelants. Notre femme d'ouvrage me confia un jour qu'Opale, c'était zéro robe, zéro sous-vêtement à lessiver mais minimum cinquante shorts trempés par semaine. Après discussion avec les enseignantes, elles admirent avoir surpris Opale, à plusieurs reprises, se masturbant sur la poutre de la salle de gym. Ceci expliquant cela. Selon leurs dires, elle profitait de leur absence, lors de chaque pause entre deux cours, pour s'envoyer plusieurs fois en l'air. De commun accord, nous avons convié, à la demande des quatre complices, une psychologue soit disant de renom. Celle-ci s'avéra, beaucoup trop tard hélas, avoir été sous la putain d'un des deux couples durant plus d'un an. La psy insista pour que nous ne culpabilisions surtout pas Opale et que nous la laissions évoluer sous sa stricte surveillance, sans intervenir. Elle demanda carte blanche pour la gérer, avec en contrepartie, l'assurance qu'elle parviendrait à canaliser sa libido. Elle exigeait simplement un tête à tête d'une petite heure chaque soir, dans le but honorable de "modeler" sa sexualité en friches. Dans un souci d'efficacité redoublée, elle proposa d'allonger les heures de cours de sept à huit heures. Nous comprîmes, trop tard sans doute, l'insistance dont ses quatre préceptrices avaient fait preuve, à cet instant, pour loger à l'atelier. Le fait d'éviter d'inutiles déplacements n'expliquait pas tout. Elles proposèrent d'intensifier leur enseignement qui, de cinq jours sur sept, occuperait toute la semaine. Et cela pour quelques mois. La psychologue, complice, trouva l'idée géniale. Cela permettrait à ses professeurs, dans un premier temps, de la suivre 24h sur 24 car bien entendu, elle dormirait, chaque nuit, dans la chambre de deux comparses désignées par le sort. Dans un deuxième temps, la psychologue pourrait tester sur elle diverses thérapies d'avant-garde, susceptibles de remettre dans le droit chemin les adolescentes les plus difficiles. Il était essentiel que l'accès à l'étage soit totalement interdit à tout le personnel, élèves compris bien entendu. Nous fîmes installer une porte de sécurité en bas de l'escalier et remîmes les clés aux enseignantes. Durant trois mois, Colette ne revoyait plus sa fille qu'à l'occasion du repas du soir car même les autres repas étaient servis au pied de la dite porte. La première à se féliciter de ce nouveau schéma éducatif fut la femme d'ouvrage. De cinquante shorts, la lessive n'en comportait plus aucun, pas plus que d'autres vêtements car Opale étudiait nue. Histoire de reprendre confiance en elle et de réinvestir sainement son corps. Les seules tenues qu'elle était autorisée à porter étaient celles qu'elle portait pour souper et le sempiternel pyjama qu'elle emportait sous le bras pour aller se coucher. Apprendre en s'amusant, telle était leur devise. Et les résultats ne se firent pas attendre. Opale passa brillamment un jury central et reçut un diplôme de licence en informatique.

Deux mois plus tard, elle était titulaire d'une licence en anglais. Surtout, elle était de plus en plus radieuse et épanouie. Exténuée aussi certains soirs mais qu'importe, elle avait retrouvé son équilibre. Quoi de plus normal que de tomber endormie dans son assiette après d'aussi rudes journées. Stupidement, Colette et moi attribuions sa fatigue à l'intensité de son travail d'étudiante et à la pratique sportive intensive. Elle insistait même pour retourner en salle de sport, une heure ou deux, avant de se mettre au lit. Cela se voyait dans son corps qui...
- Cela se voit et se sent toujours, Christelle. Votre soumise est vraiment un bel animal.
- Un fauve, dirais-je! Je suis convaincue que ses qualités physiques feront d'elle un superbe forçat. Ravie aussi d'apprendre qu'Opale n'est donc pas qu'une ravissante idiote.
- Après six mois, le bilan était tout ce qu'il y a de plus positif pour ses enseignants. Opale ne tarissait pas d'éloges sur ses profs et inversement. Et la psychologue refusait même de se faire payer malgré qu'elle passait parfois près de deux heures, seule avec Opale. Rarement seule en fait. Elle nous avait gentiment demandé l'autorisation de se faire accompagner par deux filles qui faisaient leur mémoire de fin d'études sur les femmes hypersexuelles. Colette et moi adorions leur parler. Il était évident que ces filles faisaient ménage à trois. Elles adoraient venir chez nous et discuter, des heures et des heures avec Opale. Ce qui fit que Colette accepta sans la moindre hésitation leur demande de passer le mois d'août, toutes ensemble, prof y compris, sur une île grecque répondant au doux nom de Mytilène. Opale venait de fêter ses dix huit ans. Quoi de plus sécurisant pour nous que de la plonger dans le bain de la société avec ses quatre prof et trois psychologues adultes? Avant de partir, Opale nous supplia de lui payer une épilation électrique définitive sous le fallacieux prétexte qu'elle se sentirait gênée de se raser, deux fois par semaine, devant les autres, dans la promiscuité d'une auberge de jeunesse. Colette accepta tout naturellement. Elle était si heureuse de voir sa fille enfin ouverte au monde. Chaque soir, Opale lui confiait combien elle se plaisait en la compagnie de ces filles. Sa métamorphose avait été aussi rapide que radicale. Elle était devenue une vraie femme en l'espace d'une année. Certes, Colette soupçonnait une relation ambigüe entre Elsa la psychologue et son enfant mais qu'importe pourvu qu'Opale y trouvât son bonheur! La veille du départ fut consacrée à sa visite annuelle chez le gynéco. La seule chose que Colette me rapporta de cette visite fut le reçu de l'implant hormonal que le gynéco avait renouvelé à la demande d'Opale, sous prétexte de règles douloureuses. Dire que la pauvre Colette imagina que sa fille prenait une contraception pour se protéger de rapports hétérosexuels alors que son seul but était de ne plus avoir de règles et rester disponible en permanence pour ses maîtresses! Deux semaines avant la fuite à Lesbos, pour se rassurer et être certaine que sa fille ne manquerait de rien, Colette avait pris soin de garnir son compte bancaire de 10.000 euros.

Je les vois encore passer, toutes les huit, le contrôle de l'aéroport. Colette qui leur criait de prendre bien soin de son petit trésor. Les filles qui lui répondaient qu'elles s'occuperaient bien de leur petite princesse d'amour. Et Opale qui se trémoussait dans son short blanc en rassurant sa mère avant d'éclater de rire.
"Elles ne me feront que du bien, maman, dix fois plus qu'à la maison, encore. Elles me l'ont toutes promis, même les filles qui nous attendent là-bas vont me choyer. Ne panique pas! Je te tiendrai au courant par internet, tous les soirs si je peux, maman"
Colette ne se doutait toujours de rien. Sa dernière phrase me rappela un conversation qu'on m'avait rapportée, six mois plus tôt. Me revint à l'esprit la répartie d'une élève qui, s'était vantée d'avoir surpris la fille de la directrice, à cheval sur les cuisses de deux dames qui la masturbaient. Je vous ennuie peut-être avec mon histoire?
- Pas du tout, Christelle! Continue! Cela te fait autant de bien qu'à nous. Quant à cette petite gueuse, ces réminiscences l'ont mise en transes.
- Je disais, qu'une heure auparavant, j'avais remarqué, dans le rétroviseur du monospace qui nous conduisait à l'aéroport, l'étrange manège de deux de ses préceptrices qui semblaient faire glisser son short moulant à mi-cuisses. J'étais quasi certaine qu'elles s'étaient servies de la serviette que je laisse toujours sur la lunette arrière pour ôter la buée, pour la glisser sous ses fesses. Je n'aurais pu le jurer mais il me semblait avoir saisi l'instant fugace du plaisir qu'Opale avait pris. Pas suffisamment d'arguments pour inquiéter Colette cependant. Dès notre arrivée à Liège, j'ai fouillé comme une folle mon monospace jusqu'à ressortir un essuie trempé sous la banquette arrière qu'occupait Opale et les deux profs, quelques heures plus tôt.

Mon coeur s'accéléra quand, me remémorant la scène, il m'apparut que notre enfant n'avait pas été caressée par un des couples, mais bien par une fille de chaque couple. Feignant de ne pas entendre Colette qui me demandait de l'aider à préparer le souper, je récupérai la clé de la porte de sécurité dont j'avais fait faire un double pour le cas où. Je me précipitai tour à tour dans la salle de gym, la salle de cours et les deux chambres du premier. Le lit d'Opale était toujours dans son carton d'emballage posé sur un mur du couloir. En ouvrant une garde-robe, je tombai sur un carton ayant contenu douze litres d'huile de vison, estampillé "spécialement conçu pour les muqueuses irritées". Il n'en restait qu'une bouteille à moitié vide. Tout le contenu de la valise que nous lui avions préparé se trouvait entassé dans un tiroir. Tout sauf son nécessaire de toilette. Logique, finalement quand on décide de passer ses vacances dans un camp de naturistes. Dans la malle à roulettes, une dizaines de vibromasseurs de toutes tailles, autant de masques opaques pour les yeux, de boules destinées à étouffer les cris et une caisse de gants latex taille M. Dans la chambre voisine, j'eus la surprise de trouver l'ancien ordinateur portable qu'Opale avait changé pour un modèle plus performant quinze jours plus tôt. A peine allumé, je tombai sur son agenda électronique. Jour après jour, heure par heure, elle comptabilisait ses orgasmes en marquant d'une croix de couleur en face de l'heure de survenue. Elle utilisait des couleurs pour les différencier.
jaune = orgasme de petite fille(30 secondes)
ça ne compte pas pour les profs
orange=orgasme qui me fait trembler(moins de 2 minutes)
ça compte mais cela ne vaut qu'un point
vert= orgasme très fort qui ne dure pas longtemps(2-3 minutes)
ça, c'est deux points
bleu= orgasme très très fort (2-3 minutes) qui ne mouille pas beaucoup
c'est pour trois points
rouge= orgasme qui me fait mouiller beaucoup, beaucoup (+ de 3 minutes)
ça, c'est cinq points
noir= orgasme torrentueux qui n'arrête jamais (toujours + de 10 minutes et parfois une heure)
ça vaut dix points mais c'est très fatiguant

Et puis, ce bout de texte qu'elle avait écrit à un de ses contacts du net:
"Les cours théoriques, ce n'est pas du pipeau. Une vingtaine de minutes seulement, mais de l'intensif. Pendant que l'une parle, l'autre met sa main dans ma culotte et fait grossir mon clitounet ou joue avec mes pointes de seins pour me déstabiliser. Au début, c'était difficile de ne pas jouir mais après quelques jours, je suis parvenue à résister cinq minutes. Maintenant, je sais que c'est mieux pour la suite. je jouis beaucoup plus fort après et je marque plus de points. Puis dix minutes pour évaluer mes connaissances. Et si j'obtiens un bon résultat, je passe en salle de sport. Quand je suis bien épuisée, c'est l'heure de la récompense. Elles me mettent une boule en plastic dans la bouche et me bandent les yeux. C'est super, un bon gros orgasme entre mes deux profs. Si j'ai bien mouillé, c'est fini. Sinon, elles recommencent jusqu'à ce que j'ai marqué au moins dix points. Tu sais que je suis l'élève de deux couples de professeurs. Toutes les heures, je passe d'un couple à l'autre. Elles veulent que je marque au moins cent points avec chaque duo, tous les jours. Ca fait deux cent points minimum par jour. C'est super kiffant. Elles sont exigeantes mais je sais que c'est pour mon bien. Il faut en passer par là pour devenir une femme. Il faut cela pour que je puisse séduire les filles. Elles me disent qu'une suffit d'habitude. Je leur réponds alors que je ne me sens pas prête à m'attacher à une seule fille. Que je n'imagine ma vie qu'en appartenant à plusieurs femmes. Au moins cinq, pour sentir leurs mains partout, jour et nuit. Il parait que cela s'appelle "esclave sexuelle". Alors, c'est cela que je veux devenir. Je leur ai tant répété que j'aimerais être leur prisonnière qu'elles sont parvenues à convaincre mes mamans de me cloîtrer à l'étage comme elles l'avaient fait avec Elsa. Elsa c'est la psychologue qui a juré de faire de moi une femme fatale si je lui obéissais en tout sans cafarder. Je ne sais pas comment elle s'y est prise mais elle est parvenue à ses fins. Je ne descends plus qu'une heure le soir pour m'alimenter. Elle passe me voir tous les jours avec deux nouvelles filles très vicieuses qui me mettent dans toutes les positions pour me faire jouir avec leurs vibromasseurs. Elles me disent que je suis si belle quand je jouis. Elles disent aussi que si je leurs appartenais, elle me ferait mouiller jour et nuit. Je voudrais tant leur appartenir toute entière même si je sais que maman ne voudra jamais. Si je réussis bien mes examens, Elsa m'a promis que nous irons tous ensembles au mois d'août prochain dans une île peuplée de femmes. Elle a pris plein de photos de moi, toute nue et toute luisante d'huile de vison. Je suis très excitée depuis qu'elle a mis mes photos sur le net. J'aurais préféré qu'elle me présente comme une vraie femme mais elle a refusé de tricher sur ma présentation. Elle a fait une copie de l'agenda électronique. Tu sais celui où je marque chaque jour les points que j'ai obtenus. Depuis des mois, je m'entends dire qu'une vraie femme doit être capable de jouir toutes les cinq minutes, je suis quasi certaine de paraître ridicule avec mes cinquante ou soixante orgasmes les meilleurs jours. Je ne suis même pas encore un quart de femme. Jamais elles ne voudront de moi. Surtout qu'Elsa insistait lourdement sur mes orgasmes qui venaient de plus en plus mouillés. Tant qu'à rester honnête, autant les prévenir tout de suite que je trempais un essuie de bain toutes les heures pendant les cours. De quoi dégoûter à vie mes futures partenaires. Après bien des discussions, elle a finalement accepté d'ajouter, pour les appâter, que je ne ferai pas d'histoire pour me donner en public, sur la plage par exemple ou dans les broussailles, pour ne pas mouiller les draps. J'avais tellement peur que personne ne veuille de moi que j'étais prête à tout pour plaire. Elsa m'a dit que quelques photos de ma croupe pourraient les stimuler en mentionnant que, si je ne donnais pas satisfaction, il ne faudrait pas hésiter à me donner la fessée."
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Histoire de opaline

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Commentaires du récit : Le bagne sexuel 1

Le 18/12/2011 - 21:51 par julien2012
C'est très chaud et bien écrit. D'Opale à Opaline, il n'y a qu'un pas. La suite ne risque pas de manquer d'intérêt.

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