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Le balcon

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Lue : 40034 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 22/01/2007

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J'ai rencontré Jérôme chez Sandra, ma meilleure amie. Sandra a toujours su s’entourer de beaux mecs et Jérôme faisait partie de la liste. C’était mon type d’homme et j’ai tout de suite craqué sur lui. Après une soirée pleine d’allusions j’ai accepté son invitation chez lui, le lendemain, histoire de « finir notre conversation ».

J’ai fantasmé sur Jérôme toute la nuit, je me suis imaginée ses mains et sa bouche visitant la moindre parcelle de mon corps. J’ai laissé libre cours à mon imagination et me suis caressée à plusieurs reprises. Nue sur mon lit mes mains et mes doigts ont progressivement libérés des fantasmes sur la soirée à venir. J’avais envie de me montrer aussi délurée et vicieuse que Sandra, de partager avec elle mes intentions pour la soirée. Mon appel l’a amusée.

Le lendemain en fin d’après midi elle est arrivée chez moi avec une petite robe noire sous le bras et un large sourire. Elle m’a accompagnée pendant toute ma préparation et j’ai suivi ses conseils. Le premier ne m’a guère surprise, Sandra a toujours envié mes seins fermes. Elle m’a regardé enfiler la robe qu’elle avait amené pour moi et m’a demandé de ne rien mettre dessous, d’afficher ma poitrine nue sous le décolleté particulièrement provocant de sa robe. Elle m’a taquiné un peu sur la soirée en me prévenant que Jérôme était un sacré gourmand et nous nous sommes quittée devant ma voiture. Son dernier geste a été de m’arrêter alors que je tirais sur sa robe qui dévoilait à mon goût trop largement mes cuisses. Nos regards se sont échangés, sont devenus plus coquin, et elle m’a fait promettre de ne plus y tirer dessus de toute la soirée. J’ai promis.

Lorsque Jérôme m’a ouvert je n’avais qu’une idée en tête, réaliser un des fantasmes de la nuit précédente. La robe choisie par Sandra a fait son effet. Sous mon sourire amusé Jérôme passait régulièrement de mes seins à mes jambes. Je me sentais prendre de l’assurance et l’encourageais à plonger dans mon décolleté par quelques gestes calculés. Au milieu de l’apéritif j’étais capable de garder mes yeux dans les siens et de me pencher exagérément devant lui pour récupérer quelques pistaches. Plus la soirée avançait et plus mon jeu de séduction s’affirmait, plus la robe remontait dangereusement au fur et à mesure que mes mouvements.

J’avais envie de sentir Jérôme contre moi et notre face à face autour de la table de salon devait s’achever. J’ai me suis levée lentement pour me diriger vers le balcon mon verre à la main. Est ce que Sandra aurait eu le culot de se diriger vers la chambre avec un grand sourire ? Moi pas. Je crois que je voulais simplement lui donner l’occasion de se rapprocher plus librement. En tout cas j’étais loin d’avoir prémédité ce qui s’est passé par la suite.

Je m’étais accoudée à la balustrade pour admirer la vue magnifique qu’offrait son balcon. En dehors du voisinage en léger contre bas on pouvait voir la mer et je sentais le vent marin caresser mes cuisses, s’engouffrer sous ma robe. J’étais impatiente que Jérôme me rejoigne et lorsqu’il a allumé le balcon je ne me suis pas retournée. Je voulais qu’il puisse regarder à sa guise mes jambes dénudées et mes fesses tendues. J’espérais qu’il vienne s’accouder près de moi et qu’il renforce l’intimité que nous avions commencé à créer. Au lieu de ça il m’a surprise en venant doucement se coller derrière moi et glisser ses mains sur mes cuisses. Instinctivement j’ai esquivé, même si c’était faiblement. J’ai eu un geste de recul lors de son avance alors que j’étais venu m’envoyer en l’air !!!! Sandra aurait probablement collée ses fesses contre son membre. Elle l’aurait probablement invité à s’aventurer sous sa robe.

Ma réaction et cette pensée sont probablement la cause de tout ce qui a suivi. Je me suis ravisée et je suis revenue docilement prendre ma place dos contre lui avant de guider ses mains sous ma robe. Jérôme à découvert que j’étais nue sous ma robe et sa réaction fut immédiatement. Sans la moindre hésitation et sans se soucier du fait qu’il relevait amplement ma robe au passage, il a largement remonté sa main droite pour venir caresser les lèvres de mon vagin. Il était très habile et je n’ai offert aucune résistance, n’ai fais aucun geste pour réajuster ma robe alors que je me tenais sur un balcon bien éclairé, offerte aux regards. J’étais partagée entre l’envie de me retourner pour l’embrasser et l’envie de ne surtout pas bouger pour l’inciter à continuer. Jérôme a compris l’invitation. Deux doigts de sa main droite ont glissé en moi tandis que son autre main est venue se poser sur mes fesses pour les redessiner doucement de ses doigts. Je me sentais délicieusement céder et ne voulais surtout pas qu’il s’arrête en si bon chemin. Je me suis cambrée un peu plus sous sa main droite qui faisait des miracles et j’ai laissé sa deuxième main remonter ma robe haut sur mes hanches.

Je me rappel avoir regardé rapidement autour de moi, consciente de me montrer complètement indécente. Je savais que nous pouvions être surpris à tout moment mais je n’avais pas envie de l’arrêter. J’ai objecté un timide « non » lorsque le majeur de sa main gauche a commencé à appuyer contre mon anus et il se contenta de délicieusement le masser, probablement pour ne pas prendre le risque d’un refus plus catégorique. Un refus ! Excitée comme je l’étais par la situation il en n’était plus question. Sa main s’est un peu plus appuyée et j’ai tendu de plus belle ma croupe, ne gardant qu’une main pour me soutenir contre la balustrade pendant que de l’autre je commençais à caresser mes seins. Loin d’avoir peur d’être vue je cherchais maintenant du regard un éventuel voyeur pendant que je sentais les doigts de Jérôme glisser en moi, de part et d’autre. Ses doigts s’activaient en moi, entrant progressivement plus profondément à chaque mouvement, chaque progression de la main droite étant accompagnée par une progression de la gauche. C’était délicieux. Tous mes sens étaient à l’écoute de ses doigts, de la lente progression de son majeur dans mon anus. Je sentais ma rosette se dilater, s’ouvrir et l’empresser d’aller toujours plus loin.

Le regard vague sur les lumières des pavillons avoisinants, je me faisais délicieusement doigter des deux côtés sur son balcon éclairé en plein vis-à-vis. J’étais offerte à m’importe quel voyeur. Jamais jusqu’à maintenant je ne m’étais imaginée un jour en pareille situation mais je ne pouvais qu’admettre y ressentir un plaisir d’une extraordinaire intensité. Sans me retourner (surtout pas), je me suis redressée pour me coller à Jérôme, prenant soin de conserver d’une main ma robe bien relevée pendant que de l’autre je me frayais un chemin vers sa braguette, son membre. Je voulais sentir son membre nu et chaud dans mes mains, contre mon corps de plus en plus impatient. Jérôme profita de cet instant pour arrêter ma masturbation et remonter ses mains sur mes épaules. J’ai perçu au contact de son membre un surcroît d’excitation lorsqu’il a descendu les bretelles de ma robe jusqu’à mes coudes et exhibé mes seins tout en bloquant mes bras serrés le long de mon corps. M’exhiber semblait lui procurait du plaisir et je n’étais pas partie pas le décevoir. Le vent caressait ma peau et complétait mon sentiment de nudité pendant que j’entourais déjà de mes doigts son membre droit comme un I. Ma main prisonnière derrière mon dos commençait à le masturber, à le découvrir. Elle frottait délicatement sa chatte contre ma bite.

C’est à ce moment là, alors que je commençais à me pencher à nouveau en avant, les cuisses écartées, que mon regard a croisé celui d’un admirateur. Le voisin me regardait sans se cacher, debout sur la terrasse de sa maison, à guère plus de cinquante mètres en contre bas. Il avait les mains dans les poches de son peignoir et me fixait. J’ai senti mon désir se nourrir de son regard et je ne l’ai pas lâché des yeux lorsque je me suis penchée pour que le sexe de Jérôme s’engouffre en moi sans le moindre effort. J’ai offert mon plus beau regard de vicieuse à cet inconnu et j’ai accentué mon mouvement de recul contre le membre Jérôme. Je voulais qu’aucune ambiguïté ne lui soit permise sur ce que je venais de faire. Je me rappel avoir même entrouvert ma bouche et posée ma langue sur ma lèvre supérieur pendant que le membre de Jérôme s’enfonçait en moi. Jérôme est devenu dominateur. Ses mains sont venues s’accrocher à mes hanches pour imprimer un long mouvement de va et vient puissant. D’un geste ferme il me rabattait vivement contre son membre et faisait claquer bruyamment son ventre contre mes fesses. Je pouvais le sentir entrer au plus profond de moi et ressortir presque entièrement de mon vagin avant de le remplir à nouveau pleinement. J’étais comblée. Le souffle court j’exhibais mon plaisir. Je prenais soin de garder mes seins bien apparents et de régulièrement lancer des regards de braise à mon voyeur.

Avec le recul mon meilleur souvenir de cette expérience est sans conteste le moment où empalée sur son membre au bord de l’éjaculation, Jérôme a relevé mes cheveux pour mieux dévoiler mon visage. D’une main il les a tenue bien en arrière et a légèrement tiré dessus, me forçant ainsi à docilement relever un peu la tête alors que de l’autre main il glissait deux doigts dans ma bouche pour que je les suce. Jamais je n’avais sucé avec autant de vice deux simples doigts. Mes yeux ne quittaient pas mon voyeur, j’imaginais son membre dans ma bouche en suçant les doigts de Jérôme. A ce moment précis je pense que j’aurais tout accepté. J’ai senti Jérôme se tendre pour aller encore plus loin en moi et le soubresaut annonciateur de son éjaculation. Les spasmes de son membre m’ont déclenché un orgasme que j’ai accueilli les yeux ouverts et rivés sur le voisin, espérant de tout cœur qu’il puisse y lire que mon orgasme lui était aussi dédié, que dans ma bouche c’était son membre que j’imaginais.

Ç’était notre première fois. Je ne me serais jamais crue capable d’un tel acte et jamais j’aurais imaginé y prendre autant de plaisir. Cette nuit là J’ai perdu une partie de mes tabous et j’ai surtout découvert mon goût pour l’exhibition. Pour mon plus grand plaisir j’ai appris par la suite que ce n’était qu’un début, mais ceci est une autre histoire. Une autre histoire qui commença dés le lendemain soir et que je suis maintenant prête à raconter si vous le désirez, si vous le réclamez.


Carole.
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Histoire de Carole M

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Commentaires du récit : Le balcon

Le 02/02/2014 - 00:47 par TIGERsweet
Je suis l'homme au peignoir... continues tu va me rendre FOU!!!
Le 23/01/2012 - 21:18 par Dan1987
La suite, pitié la suite.

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