ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Le bungalow du cocu heureux 3

Le bungalow du cocu heureux 3

+17

Lue : 2030 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/09/2012

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Chapitre 3. Envie ou besoin? Echanger n'est pas tromper

Au matin, je vais acheter des croissants, Mylène, nue au-dessus du drap offre un spectacle émouvant. La jambe du dessus, remontée, découvre un abricot tuméfié, adorable cible, j‘y dépose un baiser. Trop fatiguée elle n’a plus pris de douche quand j’ai quitté son corps, son minet sent fort. Elle dort, conscience tranquille, brave épouse. En route je croise Léo. Devant le bâtiment de l’accueil un attroupement attire notre attention. Nous nous renseignons. Le maître nageur a été retrouvé inanimé et on l’a hospitalisé. La gendarmerie enquête. Il est fort probable que le jeune homme ait été victime d’un mari jaloux. Ce Gérard serait un coureur de jupons irrésistible, beaucoup de vacancières se laisseraient séduire. Tous les maris ne sont pas permissifs, tous ne sont pas aveugles. Avec qui ce don Juan de camping a-t-il passé la soirée ou la nuit? Trouvez la femme, vous aurez le mari et le coupable.
-Je crains, me dit Léo, que tu n’aies des emmerdes. J’avais juré de ne rien dire. Mais il faut préparer une riposte. En rentrant du bal, Léa et moi avons voulu vous saluer. Ta femme était avec le beau gosse et ils s’amusaient à « hue-coco », jouaient à papa maman. Enfin, tu vois ce que je veux dire?

-Je sais, j’ai tout vu, Gérard et ma femme, toi et Léa. J’étais à proximité depuis le début de leur rencontre
-Et tu as laissé faire? Il a fallu que les empêche de continuer et toi tu regardais!

En quelques mots je lui parle de mon fantasme, du plaisir que j’ai pris à les regarder s’aimer, à voir ma femme épanouie monter au septième ciel avec enthousiasme. Il comprend. Je précise que j’ai connu un regain d’amour grâce à cette expérience. Il me félicite et se dévoile.

- Mais alors, ça change tout. Moi aussi j’ai un fantasme, j’aimerais tellement coucher avec ta femme. Je n’osais pas. Depuis des mois je tire la langue, je bave dans mon calcif. Toi tu rêves de jouer au voyeur. Pour te faire plaisir, je suis prêt à me lancer et à la farcir devant toi aussi souvent que tu le souhaiteras. Tu aimes voir ta femme culbutée par un autre? Tope là, je suis ton homme, puisque l’autre est hors d’usage, je vais m’occuper d’elle. Veinard, quand les vacances seront terminées, je pourrai continuer à la baiser pour ton plaisir. C’est formidable, non?
-Mais Léa?
-Elle me secondera. Elle est attirée par Mylène. On commence aujourd’hui?
-Doucement! En premier oublie ce que tu as vu. Tu ne sais rien, sauf que j’ai passé la soirée et la nuit avec ma femme. Si tu sais garder pour toi certaines choses, je favoriserai les contacts.
Léo s’engage et va faire la leçon à Léa.
Pour m’assurer de son silence et me mettre à l’abri de soupçons aussi injustes que probables, j’aboutis exactement à l’opposé de mes prévisions. Je voulais briser un rapprochement entre Léo et Mylène, je ne voulais pas perdre ma femme dans une liaison adultère cachée, or je la livre ouvertement à l’homme qui la convoitait en silence et à sa femme qui en pince pour elle.

Mylène s’éveille enfin.
-Que c’est chou. Des croissants pour le petit déjeuner. Tu as un journal?
-Non, mais j’ai des nouvelles. Les gendarmes enquêtent dans le camping. Le jeune maître nageur avec lequel tu as dansé hier soir, a été retrouvé assommé sur un chemin près de la piscine cette nuit. Il a une réputation de don Juan et la maréchaussée cherche à savoir avec quelle femme il a passé la soirée. Un mari, trompé hier ou un autre jour, pourrait fort bien s’être vengé et l’avoir assommé, dit-on.
Les traits du visage se sont tirés. Mylène est soucieuse et arpente le mince espace du séjour nerveusement.

-On m’a demandé ce que j’avais fait hier soir. J’ai répondu qu’en raison de la fatigue du voyage nous avions quitté le bal assez tôt et que nous nous étions couchés.
-Parfait, mon amour. Je ne dirai pas à quelle heure tu es rentré.
-Aurais-tu des raisons de penser que je serais le coupable?…
Il n’est plus l’heure de tourner autour du pot. Nous sommes au centre du cyclone, l’enquête risque de venir troubler notre vie. Je me lance:
-Léo m’a promis de ne pas parler de son intervention ici à la fin du bal. Léa suivra la consigne.
-De quoi parles-tu? Tu n’as rien à me cacher?
-Non. J’ai juste une révélation à te faire. Je t’ai vue quitter la piste en compagnie de Gérard, je vous ai suivis, j’ai assisté à votre congrès, en silence, depuis la terrasse. J’ai tout vu, tout entendu. Je t’ai vue l’embrasser, le branler, lui sucer le sexe. Je l’ai vu te laisser masturber, te bouffer la chatte. J’ai assisté à votre accouplement, toi sur la table, pattes en l’air, fente percée et limée, je t’ai entendue grogner ton orgasme quand il t’a envoyé la purée. Je t’ai vue aussi le tirer par la queue pour le chevaucher sur le canapé. Enfin j’ai assisté à l’arrivée de Léo et de Léa.
-Mon Dieu! C’est horrible. Je suis perdue. Pourquoi n’as-tu pas réagi? Tu aurais dû m’empêcher de faire une bêtise!
-Depuis des années j’espérais te voir dans les bras d’un autre. Je n’osais pas te le demander. Hier les choses se sont faites toutes seules, certes tu m’as trompé, mais tu m’as enfin offert le spectacle attendu. J’ai béni le ciel. Je m’apprêtais à vous espionner cet après-midi lors de votre rendez-vous. Hélas ton complice est à l’hôpital. Je serai aussi frustré que toi. Encore heureux si on ne m’arrête pas pour une agression que je n’ai pas commise.
-Jure-moi que tu ne lui as rien fait.
-Pourquoi me serais-je privé de cette séance que tu lui promettais meilleure, plus passionnée et plus longue? Je vous aurais épiés et à ton retour j’aurais doublé ton plaisir comme cette nuit. Que vas-tu faire sans lui?
-Tu ne me dénonceras pas aux gendarmes? Je te promets de ne plus recommencer, mon amour. Le moment d’égarement est passé. Tu me dis que c’est un coureur de jupons. Le petit crétin.
-Je n’en sais rien, je répète ce que j’ai entendu. Mais il me convenait, ce garçon. Il t’a fait jouir presque aussi bien que moi. C’était si beau, si excitant pour moi. Et je songeais à lui quand je te préparais à coucher avec deux hommes, lui et moi, ou lui et un autre. Un seul point me tracasse, ce séducteur ne charrie-t-il pas une m.s.t. à te refiler.
-Tu ne m’aimes plus?
-Est-ce à toi de poser cette question? Je t’aime, tu m’as montré que tu m’aimais après le départ de ton jeune amant. Désormais quand tu feras l’amour avec un autre, laisse-moi assister à la scène, ainsi tu me montreras que tu m’aimes autrement, davantage encore. Tu me permettras de vivre ton bonheur, de me réjouir du plaisir reçu de l’autre. Tu es si belle quand tu jouis, cela me donne d’étranges frissons de t’entendre geindre sous les coups de boutoir d’un autre et cela me booste. Tu l’as déjà constaté par devant et par derrière.
-Gros cochon. Mais je me suis régalée. Alors, je pourrais coucher avec un autre homme et tu ne te fâcherais pas? Tu m’étonnes, pourtant tu as laissé faire. Et si je ne veux pas?
-A condition que tu ne le fasses plus en cachette, tu pourras coucher avec qui tu voudras. Tu as franchi une barrière, je serais très déçu de te voir renoncer à d’autres aventures. Au contraire, tu as carte blanche pendant la quinzaine des vacances. Choisis des hommes qui te plaisent et prends ton pied autant que tu veux. Mais n’oublie pas la seule condition: je veux assister. Sinon ne me considère plus comme ton mari.
-Je n’avais pas l’intention de te tromper. Les jeunes m’avaient serrée de près. Pour leur échapper, j’ai dit que j’étais fatiguée. Gérard a proposé de me reconduire. Et puis arrivés ici, il m’a embrassée. C’était inattendu. Un baiser, ce n’est pas grave. Je ne l’ai pas pris au sérieux. Il a embrassé mon cou et m’envoyé sa main au panier et j’ai perdu le contrôle de la situation.
-Allons Mylène, ne déforme pas les faits.
Mais je te jure, c’est toi que j’aime.
-C’est parce que j’en suis persuadé que je te demande de te faire prendre par des inconnus uniquement préoccupés par l’envie de te saillir. Ta jouissance sera la mienne et je t’aimerai encore plus fort. Mais évite de me donner des explications tirées par les cheveux, ne me prends pas pour Simplet. Reconnais simplement que tu as eu une bonne grosse envie de ce garçon et que tu l’as amené chez nous pour te faire tringler. Ca je peux le comprendre.
-Merci. Tu insistes pour que je continue? J’essaierai de te donner ce plaisir. Il faudra trouver des partenaires.
-Ce n’est pas un problème, tu plais. Contre les accusations des copains de Gérard qui t’ont vue en sa compagnie et qui vous ont vus vous éloigner du bal, tu auras besoin du témoignage de Léo et de Léa. . Pour commencer assure-toi du silence de ces deux là.
-Comment?
-Achète-le! Fais l’amour avec eux. Mais attention, à l’avenir je veux assister à tes joutes amoureuses.
Récapitulons. Tu étais fatiguée. Gérard a proposé de te raccompagner. Nous nous sommes rencontrés près du bloc sanitaire numéro 1. Nous avons remercié le garçon et nous sommes rentrés ensemble.
Je suppose que ton signalement a déjà été communiqué aux gendarmes. Rejoignons ton collègue et sa femme et obtenons rapidement leur silence. Cela nous évitera des ennuis.
Je n’ai pas besoin de menacer ou de forcer d’une manière quelconque. Mylène ne se scandalise pas de cette proposition. Pour la bonne cause elle est immédiatement décidée à payer du don de son corps la discrétion de Leo et Léa. L’idée l’a séduite sur le champ, je la soupçonne de trouver que c’est un bon moyen de venir au devant de mon fantasme. Et puisque je le veux, elle fera ce sacrifice de sa vertu avec plaisir.
Nous traversons le chemin et sommes accueillis par le couple. Nous concluons un accord. Léa et Léo pourront en ma présence donner à Mylène des marques d’amour, la posséder à volonté et la rendre sexuellement heureuse. Ils pourront composer des figures à deux ou à trois: mais devant moi uniquement. Mylène promet de se soumettre à leurs fantaisies pendant la durée du séjour. Une clause inattendue m’est imposée par elle et les futurs ordonnateurs et maîtres de ses plaisirs: je serai non seulement présent mais aussi actif. Nous formerons un quatuor amoureux.
Peu de temps après arrive une petite troupe. Léo indique à ceux qui nous cherchent que nous sommes sortis. Il n’en sait pas plus.
-Hier soir? Ils ont quitté le bal avant nous, ils étaient fatigués par le voyage. Quand nous sommes rentrés, ils lisaient dans le séjour, en pyjamas et chemise de nuit; nous leur avons souhaité une bonne nuit.
Les autres s’éloignent. Une minute de silence suit le retour de Léo dans le séjour.
-Eh! Bien, dit Léa, si on prenait un apéritif pour fêter notre accord. Tenue de rigueur, le bas du maillot de bain ou rien. Oui, c’est mieux et plus conforme à nos attentes: A poil. Exécution
Elle donne l’exemple, arrache son soutien-gorge, le regard provocateur. Evidemment quand on a des seins pareils on les montre, ils sont pleins, lourds mais pas affaissés, arrogants avec des tétons durs sur des aréoles larges et brunes. J’en ai des fourmis dans les doigts, mes lèvres tremblent de l‘envie de les baiser. La plus timide tout à coup, c’est Mylène. Elle a un peu honte de montrer sur ses seins magnifiques les énormes suçons d’une nuit d’amour. Elle paraissait plus à l’aise avec son quasi inconnu qu’avec moi et ce couple au moment de franchir le pas et de se déshabiller entièrement. Elle est à la disposition de Léa et de Léo. Elle n’a pas compris ce que pourrait être ma participation active. C’est l’autre couple qui va diriger nos ébats.
-Alors Jean, qu’attends-tu pour déshabiller ta femme. Tu nous l’offres, à toi de déballer le cadeau.
Mylène a l’air résignée. Pourquoi y a-t-il du désespoir dans ses yeux quand je m’approche pour ôter blouse, short, soutien-gorge. Pour faire bonne mesure le string coquin enfilé ce matin en vue de son rendez-vous commence à descendre au-dessus des genoux.
-Léa, voici ma femme, je te la confie. Léo Mylène vous appartient, comme elle l’a décidé volontairement. Faites-en bon usage.
-Levons nos verres à la suite de notre réunion. Jean, Léa te déshabillera. Ma chère Mylène, s’il te plaît dénude-moi et vois comme tu excites ma queue.
Léo perd son sang froid. Il n’a pas fallu longtemps pour les mettre à l’aise ces deux là. Comment Léo a-t-il convaincu aussi vite Léa? Mylène a plus de mal à s’adapter à cette situation nouvelle. Elle avait choisi Gérard, elle se soumet à la nécessité de faire taire nos amis. Elle avait eu envie du jeune homme, elle a besoin du couple. La nuance ne m’échappe pas.

- Etes-vous certains de prendre une bonne décision. Jean si tu insistes je me donnerai à Léo. Attention, tu devras supporter les conséquences. Léa es-tu sûre de toi?
-Mais, oui, fais-toi plaisir et contente mon Leo. Crevez l’abcès et vous serez soulagés, la vie sera plus simple pour nous quatre.
Mylène nous observe puis vide son sac.
-Depuis quelques mois, Léo et moi pratiquons le covoiturage. Depuis des mois j’ai envie de faire l’amour avec lui. Depuis des mois je lutte pour dominer ce désir, parce que je t’aime mon cher Jean. J’ai résisté à l’envie de me jeter à son cou au retour du travail, par amour de toi, mon Jean chéri.
-Chérie quitte tes nuages. Est-ce par amour de moi que tu m’as cocufié hier soir? Tu aurais dû me prévenir au lieu d’agir en douce. N’en parlons plus, ce qui est fait est fait. L’essentiel arrive. Ici, tu vas te donner avec ma bénédiction et devant moi. C’est un partage du plaisir. Tu vas connaître de nouveaux frissons et des orgasmes voulus par nous quatre. Il n’y a rien de tordu, pas de tricherie, juste la recherche du plus grand plaisir avec le consentement de chacun. Tout ce qui te rendra heureuse fera mon bonheur, tout.
-J’ai espéré en vain que Léo se décide à m’embrasser et à me bousculer. Chaque soir j’ai attendu qu’il ose, qu’il m’embrasse, qu’il caresse mes seins. Certaines fois son pantalon était tendu, je me disais qu’il finirait par craquer et que nous aboutirions sur la moquette, qu’il m’arracherait ma culotte, qu’il ferait sauter mon soutif, qu’il m’empoignerait entre les jambes et m’embrocherait. Hélas il s’est montré si correct. Je mouillais ma culotte, j’avais des fourmis dans la grotte. Il ne voyait rien.
-Oh! Non, ce n‘est pas possible. Et moi j’attendais un signe clair, un encouragement, depuis des mois! Oui, je bandais dans mon pantalon. Moi aussi je te désire Mylène. Que de temps perdu. Mais c’est vrai, nous n’aurons aucun sentiment de culpabilité puisque nous sommes tous d’accord, toi, moi, ma chérie Léa et ton généreux mari. Jean tu es un mec formidable. Béni soit ton fantasme magnifique.
S’il savait pourquoi je suis venu à Argelès. S’il savait quels soupçons je nourrissais. Le sort m’a joué un sacré tour. Regardons l’avenir!
-Eh! Bien, réjouissez-vous, ne vous gênez plus. J’attends votre union, j’en serai le spectateur attentif
-Et moi, je pensais que c’était déjà fait, ajoute Léa.
Je n’étais pas seul à avoir des soupçons.
-Allez, mon mari adoré, réalise ton rêve. Baisez, foutez, soulagez cette tension. Je le redis: Après tout sera plus simple. Déversez vos humeurs. Tringle-la joyeusement. Donne tout. Fais-lui le feu d’artifice du quatorze juillet. Jean et moi n’attendons que ça. Donnez-vous en spectacle devant nous.
-Oui, mais si je tombe vraiment amoureuse de ton mari, que direz-vous, vous deux?

En guise de réponse, j’enlève la dernière barrière, je fais glisser le long des jambes le string. Mylène est toute nue devant moi. Je dépose un baiser de mari amoureux sur son pubis aux boucles brunes, hume l’odeur matinale de sa chatte. Qu’elle connaisse le bonheur, qu’elle soit heureuse comme elle le souhaite et advienne que pourra. Si elle tolère ma présence pendant la baise, c’est qu’elle a encore un peu d’amour pour moi. Cette pensée me console. De plus en plus j’ai conscience d’être cocu, depuis hier au moins, et, je le sais, ce n’est qu’un début. Je lui ai donné carte blanche pour ces vacances. Qui pourrait imaginer une suite où redevenue femme chaste, elle serait uniquement occupée à se faire piner par son légitime. Elle retrouvera Léo. Elle aura Léo dans la peau. Heureux si je peux encore assister à leurs rapports charnels, heureux si j’existe encore aux yeux de cette femme inassouvie. Car c’est bien une telle femme que j’ai surprise en proie à ses démons, défoncée, et foutue par le maître nageur à la musculature avantageuse et prête maintenant à assouvir le démon qui la travaille depuis des mois en se donnant enfin à Léo l’amoureux transi qui n’osait pas.
Elle va dévorer du mâle, elle va se soumettre, se faire sauter et bourriner sans réfléchir, par besoin de libération sexuelle, c’est une expédition dont elle ne sortira pas indemne. Marquée par Gérard, elle recevra en vagin tellement d’empreintes sexuelles, elle conservera une fringale sans limites des relations sexuelles multiples. Qu’y puis-je? Assister, c’est déjà beaucoup, me réjouir de la savoir sexuellement comblée, de lire la jouissance sur son visage en extase; ce sera mon lot de cocu consentant. Mais le fait d’être témoin désormais me rend complice, et je vais essayer d’être un cocu heureux. On ne se moque pas de moi, on me laisse voir et je suis même invité à participer: il vaut mieux avoir une petite part que d’être entièrement exclu. Mylène ne me méprise pas, Mylène veut réparer son erreur en s’exhibant devant moi, elle accepte que je la voie gravir les marches de la jouissance procurée par Léo. J‘ai même de l‘admiration pour ma femme qui a su ne pas céder à l‘attirance qu‘elle avait envers lui; des mois de résistance auxquels il est normal que je mette fin.
Mon refus serait une torture pour elle, je dois permettre et encourager. Elle a eu une conduite héroïque jusque dans l’aveu des tentations fait là devant nous. J’ai eu l’idée d’acheter le silence de Léo et de Léa, Mylène ne l’a pas rejetée: pour me faire plaisir, puisque je lui ai enfin fait part de mon vieux fantasme. Et devant le couple ami elle me laisse frictionner légèrement sa vulve prête à accueillir bientôt le serpent de Léo. Dans ses yeux je lis tant d’amour pour moi. Là est mon bonheur, dans l’expression de sa reconnaissance.
Léa examine le corps marqué.
-Quel est le sauvage qui t’a fait ces horribles suçons? Les jeunes ne savent plus aimer le corps des femmes et le vénérer. Ce Gérard t’a saccagée, c’est un jeune con. Quel manque de classe. Mais ça doit être enivrant de se faire bouffer la moule par un pareil abruti. Tu me raconteras tout, sa force, son savoir faire, ton plaisir sous ce jeune amant. Il faudra que j’essaie de me faire troncher par lui. Moi aussi j’ai des fantasmes.
-Tu te trompes, ces marques sont l’œuvre d’un mari amoureux excité par le spectacle que Gérard et moi lui avons présenté sans le savoir. Il est bizarre, il m’aime comme un fou et en même temps il veut me voir prise, et farcie par un ou d’autres hommes. Alors, s’il le veut, je le veux aussi. Pour lui je me ferai trousser, sabrer, sauter et je hurlerai mes orgasmes pour les partager avec lui.
29 vote(s)


Histoire de Veilleur

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Le bungalow du cocu heureux 3


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :