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Le client 6

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Lue : 1717 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/05/2016

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Le matin, pendant qu'on discutait sur le lit, après mes orgasmes, je lui avais dit qu'elle n'était pas farouche et qu'elle ne repoussait pas les mains baladeuses indirectes, me demandant ce que c'était, j'ai dit, "vous ne pouvez pas lui toucher le sein, mais si vous dites que le tissu a l'air soyeux en le touchant et donc le sein en même temps, elle laissera faire.

Ainsi renseigné, il m'avait dit après coup, qu'il avait tous les atouts pour la satisfaire, campé devant lui, elle lui demanda si elle avait bien choisi, il dit oui, ne se démontant pas, posant son pied sur le canapé, elle lui dit, vous savez, vous pouvez toucher ce que vous avez acheté, il pose son revers de main sur le bas de sa jambe, puis voyant qu'elle réagit comme je lui ai dit, il s'enhardit et c'est sa paume qui caresse la jambe et remonte.

N'est-ce pas que c'est doux, oui dit-il en remontant encore, il caresse maintenant sa cuisse, elle lui dit, "humm, vous avez la main douce", elle regarde et touche son soutif en lui disant, la dentelle est fine, il comprend le message, et en caressant toujours sa cuisse, il touche le soutif et le sein, sa main sur la cuisse arrive aux attaches, elle dit, "ho, vous n'êtes pas sur le voile là".

Il recule aussitôt ses mains et elle lui dit, "mais non, continuez, je n'ai pas dit de les enlever", il les remet et s'enhardit encore plus sur sa cuisse, pour garder un équilibre, elle le tient sur une épaule, je m'aperçois qu'elle est beaucoup moins farouche que je lui avais dit, elle ne sait presque rien du client, et elle agit comme si elle était avec celui d'Henri.

Je savais à l'époque, par une ruse, que leur couple jouait avec lui, en dansant dans le noir, j'avais mis le parfum de Marie et il m'avait tripoté en croyant que c'était elle, une autre fois encore, j'avais même été plus loin, pour l'instant, ça se passe en plein jour, il a remis ses mains, et sur un sein, et sur sa cuisse.

Je ne vois pas bien sa main sur son sein, mais là ou elle se trouve, je me doute que ce n'est plus le tissu qu'il malaxe, quant à celle sur sa cuisse, sur le haut de sa cuisse, et a la tête qu'elle fait, surtout quand elle l'a penchée en arrière, je me dis, ça y est, elle s'envole, le client plonge dans ses seins et lui frotte le clito, après quelques encouragements pour qu'il continue, quelques encouragements pour qu'il accélère, elle l'étouffe entre ses seins en jouissant.

Elle l'embrasse sur la joue en lui disant, "merci pour tout", il lui demande s'il pourra lui en acheter d'autres, elle répond, "attendez, je ne viens de vous remercier que pour un bas", elle se lève pour venir voir ce que je fais, je file dans ma chambre, faire celle qui range mon tiroir à dessous.

J'ai proposé de manger à la maison, ce qu'on a fait, avec une soirée CD, le client a été avec ma carte de membre au vidéo club plus loin et a ramené deux films qu'on avait en tête, j'avais dit à la copine, que le client était un type bien, du même genre que celui d'Henri, mais sans le coté coquin, elle m'avait dit, "mon œil".

Autant, il est facile de mentir à un employeur, (pas tous), ou à un flic ou tout autre individu rackettant pour l'état, autant, je déteste mentir gratuitement à quelqu'un que j'apprécie, sauf si le but est de ne pas froisser ou risquer d'envenimer une situation, et dans le cas présent, c'est une très bonne amie, elle sait quand je dis la vérité, et elle sait quand je la cache, comme moi, elle a jugé le client, de plus, je lui en avais déjà parlé en bien, avant le tour d'avion.

Comme il est entendu que nous restons là, elle me dit, je dors ici, entre nous, ce n'est pas, est-ce que je peux, c'est, je fais ou je vais faire, les cachoteries que l'on se fait, c'est quand on ne veut pas ennuyer l'autre avec, il y a quelque année, elle avait des ennuis d'argent, il a fallu qu'on le découvre pour l'aider, elle va à la douche.

Je prépare le repas, quelque chose de léger, je dis à mon client, "pas trop déçu de votre weekend, il y a des imprévus", il répond, "déçu, d'être au paradis, votre copine est charmante aussi", je lui demande comment s'est passé le moment où j'étais dans ma chambre, il me répond en me mettant dans la même configuration.

Me touchant le sein et le sexe, il me dit, "j'ai eu l'immense plaisir de lui en donner", comme elle peut revenir, je me pousse un peu et je lui dis, je l'avais dit qu'elle n'est pas farouche, je regarde si elle n'arrive pas, et je lui fais une bise sur la joue, en disant, " merci pour elle, la veinarde".

Je retourne en cuisine, j'entends une exclamation, je vais voir, après sa douche, elle est passée dans ma chambre me piquer un déshabillée ou le poids en gramme ne doit être qu'a un seul chiffre, un déshabillé que je ne mets que lorsque je joue avec mon mari, je lui demande si elle ne veut pas que j'ouvre la fenêtre si elle a trop chaud.

Je lui dis, mets la table, moi aussi, je vais me doucher, il l'aide, quand je reviens, elle est à côté de lui sur le canapé, je reviens en robe de chambre, elle lui dit, "ho, regardez, voilà mémère", on se chamaille un peu, elle défait ma ceinture, je remonte son "vêtement", lui mettant les fesses à l'air, plus forte que moi, elle m'allonge sur le canapé, en me débattant, je lui arrache complétement mon déshabillé, un vêtement bas de gamme.

Le client s'était levé pour ne pas prendre un mauvais coup, en chahutant, avec mes pieds, j'essayais de la faire basculer, on s'amusait comme de vraies gamines, nue, elle se relève en tenant ce qu'elle peut, en cachant son sexe et ses seins, moi, j'ai la robe de chambre complètement ouverte.

Je me lève et me remets, je lui dis, vient maligne, on va dans ma chambre, et je lui dis, "ha toi, la prochaine fois, je ne te dirais plus rien", je lui redonne un déshabillée plus correct, mais très sexy aussi et je mets le même genre, quand on revient, il dit, "je voyais déjà beau, et maintenant, je vois double", comme on reste à la maison, je dis, "aller un petit apéro, soyons folles, mais attention, n'allez pas abuser de nous".

Je suis un gentleman dit-il, la copine en faisant la moue, répond, "ho quel dommage", n'ayant plus rien à vraiment cacher, je lui dis, "ho, ce n'est pas bien ça", il nous dit, "ho, mais si vous voulez, je peux enclencher le mode pervers et vicieux", et là, en cœur, on fait, "hummmm ouiiiii", la copine rajoute, "c'est quoi le mode pervers et vicieux.

Je fais, aller à table, le client ne fait que des compliments, la copine aimerait être comme moi, il lui répond qu'elle est belle, elle est différente, elle répond qu'elle aimerait avoir tout de moi, je lui dis que j'aimerais être plus grande, le client dit, "on aimerait tous avoir quelque chose, moi, j'aimerais en ce moment, avoir 30 ans de moins"

Il est vrai qu'on se plaint sur ce qu'on aimerait avoir, mais qu'on ne se satisfait pas de ce qu'on a par rapport à ce qu'on pourrait ne pas avoir, après le repas, nous nous installons sur le canapé, lui au milieu, on se colle à lui, je lui dis, vous voyez avec vos bêtises à la carte bleue, on est devenue collantes, il répond que la prochaine fois, il aura ouvert plein de comptes dans plusieurs banques pour avoir plusieurs cartes, pour qu'on colle davantage.

J'avais déjà discuté avec feu le client d'Henri, pour me "plaindre" de sa générosité, que cela nous fait plaisir, mais c'est l'individu qu'on aime même sans ses cadeaux, il répondait à juste titre, que ce qu'il a sur terre, il ne l'emmènera pas dans l'au-delà, et que de faire plaisir aux personnes qu'il aime, est un plaisir intrinsèque.

Nous avions beaucoup sympathisée avec lui et pendant longtemps, il était amoureux de Marie, ça se voyait comme le mensonge sur un politicard, nous étions très amis, avec ce client, a ce moment-là, c'était pareil, mais pas encore à ce point, je ne le connaissais coquinement que depuis peu, même si j'avais bon espoir qui était de la même race, de celle des hommes discrets qui savent garder pour eux, ce qu'on n'aimerait pas que d'autres sachent.

Hé oui messieurs, s'il n'y avait pas ce genre de grandes gueules de vantards qui chantent sur les toits, leur soit disant exploit, d'avoir trouvé une conne pour les satisfaire, de façon même minable bien souvent, vous baiseriez bien plus, et comme cela n'est pas marqué sur votre front, on classe tout le monde "grande gueule" et on teste ceux qu'on pense être différent, (et toc, ceux qui se reconnaîtront, vont me mettre une note négative).

Nous regardons le premier film, avec ses mains baladeuses sur nous, mais nous l'avons vu jusqu'au bout, pour le deuxième, c'était différent, sans qu'il soit érotique, quelques scènes l'étaient, lorsqu'on discutait avec la copine, on échangeait nos idées, nos expériences, nos fonctionnements, elle disait que sans sexe, elle tenait facilement une semaine, mais qu'après, ça devenait dur et qu'au bout de deux semaines, ça commençait à lui dégouliner entre les cuisses.

Avec bien sûr, un coup de gode tous les trois jours rajoute-t-elle, à cette époque, je lui avais menti, mais je lui avais dit la vérité quelque mois après, en fait, personnellement, je tiens une journée, j'arrive à en tenir deux, mais la troisième, sans me dégouliner entre les cuisses comme elle dit, il faut que je me gode, ça me fait tenir le jour suivant, mais le cinquième, le premier qui m'effleure, me fait presque jouir.

La configuration est dans un cas sans ennui, pas de problème de santé, ni dans la famille proche, pas de souci, en étant l'esprit libre de tout emmerdes, je comprends parfaitement ceux ou celles qui ont des soucis, aient la libido en berne, je suis comme tout le monde, je suis passé par là aussi.

La copine, elle, elle a deux semaines de manque, elle déborde, moi, je n'ai que 36 heures, je commence, à déborder, elle commence à venir à côté de moi, je me retrouve donc entre eux deux, et elle lui dit, elle est coincée, on va la dégripper, faite comme moi, elle me caresse la cuisse, le sein, le client fait pareil, je me débats, mais en riant, elle me déséquilibre et me fait tomber sur ses genoux, le cul a l'air vers le client qui me touche.

Dans notre couple de gouines, c'est elle qui me commande, aucune de nous ne fait l'homme, sauf à tour de rôle avec le gode ceinture, le client a sa main sur mon sexe et elle son doigt sur mon anus, ne pouvant lutter pour me dégager, je ne peux que subir et le plaisir m'envahit, je suis aux ordres, elle s'allonge sur le canapé, pour que je la suce en étant à genoux, lui le client me suce.

La copine, malgré qu'elle ait eu un acompte avec le client, est en manque, elle ne tarde pas à jouir dans ma bouche, le client m'a enfoncé son pouce dans la chatte, et me la suce, entre son pouce et l'index, il me frôle le clito, il me suce l'anus aussi, ce qui m'excitait le plus dans tout ça, c'est que le client me découvre en situation de bisexualité, une fois que j'ai jouis a mon tour, on se jette l'une sur l'autre, on s'embrasse se tripote.

Le client regarde, la copine lui dit, "vous pouvez toucher partout ou vous avez envie, sans restriction", bien évidemment, c'est la copine qui a son attention, c'est de la viande fraiche, par moment, il essaie de ne pas faire de jalouses, afin de le dédouaner, je lui indique qu'il porte toute son attention sur elle.

Je vais chercher le gode ceinture et des godes, je la baise en la mettant sur moi, qui suis assise sur le canapé, je lui malaxe les seins, il lui suce le clito à genoux par terre, elle jouis dans sa bouche, il ne la lâche pas, il la vide complètement.

À toi me dit-elle, sauf qu'elle me sodomise, étant plus grande, et ma chatte libre, le client me suce plus confortablement, elle lui dit de prendre un gode et de me l'enfiler, il obéit promptement, la vibration dans ma chatte et mon clito roulant entre ses dents.

Je jouis à mon tour, je gueule comme une salope, ma voix est rauque, le plaisir est maximum, limite insupportable et si bon, avec la copine, nos têtes étant à la même hauteur, je me tourne et on s'embrasse pendant que je jouis encore.

Après cela, la copine déboutonne la braguette du client, qui gêné va pour me dire qu'elle va voir qu'il ne peut pas faire grand-chose, je lui fais chut, venant mettre mon visage contre le sien, je lui dis à voix basse, ne pensez qu'à votre plaisir, laissez vous aller, elle vous récompense du plaisir que vous nous avez donné, je me mets à genoux sur le canapé et je lui donne mes seins, la copine est une bonne suceuse aussi.

À sa façon de me serrer, je sais qu'il est en train d'arriver, et voilà qu'il jouit en étouffant son cri sur mes seins, il donne des coups de bassin, je le serre aussi pour qu'il la laisse bien le vider, une fois fait, elle n'avale pas, elle va dans la salle de bains, cracher et se rincer la bouche.

Après cela, on éteint la télé, le client va à la douche, on l'entend dire bonsoir dans le couloir ou nos portes sont fermées, et en entrant dans sa chambre, il nous voit toutes les deux s'aimer, je dis bien, s'aimer, car avec la femme de la boutique ou le client m'avait emmené, on faisait du sexe.

Je suis sur elle, le client vient a cote, le client n'ose pas nous déranger, elle lui dit, on ne vous plaît pas, il dit ho que si, elle lui dit, alors, faites ce que vous avez envie, je prends les choses en main, je lui dis de se mettre en levrette, les fesses en l'air, et je lui donne un gode, il l'excite au plus haut point, je lui enfile le gode ceinture ensuite, (au client), un peu réticent, honteux, je vais derrière lui, je caresse son corps et l'encourage à la défoncer.

Une fois qu'elle a joui, je leur dis, que je les laisse, il est évident, que pour un homme, deux femmes dans son lit, c'est son fantasme, mais c'est un homme pour deux femmes qui s'ennuient, même si l'homme est performant.

A part les vantards qui croient, quand on leur dit que c'était bien, pour ne pas les décevoir ou vexer, les fois où j'étais avec une femme qui n'était bi que pour faire plaisir à son mari, je me suis ennuyée à mourir, j'ai donc laissé la copine seule avec lui, pour qu'il ne s'occupe que d'elle.

Elle m'a rejoint une bonne heure après, ou nous avons refait l'amour et nous avons dormi ensemble, le matin, nous avons eu le petit-déjeuner au lit, trop de sexe, tue le sexe, nous n'avons rien fait d'autre, il nous a juste embrassé sur les seins, mon mari est arrivé avant midi, nous avons mangé à la maison.

L'après-midi, j'ai demandé à mon client de m'accompagner à la boite pour envoyer un fax oublié et devant arriver lundi de bonne heure, c'était un prétexte pour que ma copine ait son coup de sexe avec mon mari, mon mari n'avait rien eu depuis vendredi non plus, la demi-heure aller-retour plus le temps du fax, ça suffisait amplement.

Au boulot, je le fais aller dans la salle de réunion, là ou on s'est vu la première fois, avec son "collabotrouduc", je vais dans mon bureau une petite minute, pour justifier le fax, et je retourne dans la salle de réunion, je le fais asseoir là ou était son trouduc, et je rejoue la fois où il m'avait presque insulté.

Comment Mr trouduc, mes charmes ne vous feront pas donner la préférence dit je en m'asseyant sur la table devant lui, jupe relevée pour pouvoir mettre un pied sur cette table, il joue le jeu, il me tripote en me disant, "oui madame, des salopes comme vous, on peut en avoir des moins cher", l'endroit m'excite et me remettre dans le contexte ou ce type m'avait insulté m'excite.

Si ce trouduc m'avait dit la même chose, mais en étant que tous les deux, çà m'aurait excitée, mais devant tout le monde, ça m'a vexée, j'enlève mes chaussures pour que les fers des talons ne marquent pas la table, et je monte dessus à sa demande, pour lui faire un striptease, il me demande également de me masturber devant lui, même si je sais qu'il n'y a presque pas de risque qu'on nous surprenne, il peut y avoir un directeur ou mon patron qui ayant les clefs et codes, peut faire comme moi.

Sans souhaiter cela, cette possibilité m'excite encore plus, je lui indique le moment ou le plaisir monte et là, il me bouffe la chatte, pour son plus grand plaisir, je lui ai donné un orgasme violent sans qu'il ne se donne beaucoup de mal, une fois soulagée.

Ma raison revient, car si un directeur ou mon patron avait fait irruption, il est évident que je me serais laissé faire sur le coup de l'excitation, mais j'aurais dû démissionnée de honte ensuite, hors de question que ma situation soit du à mon cul et hors de question qu'on sache que je me fais culbuter par le premier venu, qu'il soit directeur ou livreur.

Voici ce qu'il m'était arrivé quelques années plus tôt, comme j'avais déjà dit, quand un rendez-vous libertin était pris avec un homme, afin d'être sensible à ses touchers dés le départ, mon mari me laissait 48 heures en manque, on avait donc un libertin, à aller voir le vendredi soir.

Dans cette boite où je travaillais à l'époque, dans le secrétariat, la trentaine, pistonnée par un bon client de mon mari, j’avais trouvé ma place dans ce boulot, pistonné pour entrer, mais donnant satisfaction professionnellement, J’avais acquis quelques libertés comme de ne plus pointer et avoir des horaires libres.

Un début d'après-midi, un jeudi, je m'aperçois qu'un dossier n'a pas été remis au coursier, je téléphone au client pour savoir si cela peut attendre, il me dit que c'est très ennuyeux, et qu'il lui faut impérativement avant 16h, avec mon patron, nous cherchons une solution, mais la seule qui me vient a l'idée, c'est que du fait que c’est sur mon chemin pour rentrer chez moi, à mon ancienne adresse, je me propose d'aller le lui porter en passant.

Comme il le veut impérativement avant 16 h, mon patron me dit, oui, c’est très urgent, tant pis, allez-y et rentrez directement, regardant sa montre, il suggère même que je parte maintenant, je dis ok, je prends le dossier, contrôlant que tout y est, 45 minutes après, j'étais sur place, je me renseigne au gardien, je lui donne le nom de la personne qui m'attend, il me donne l'étage, le sept ou huitième, je ne me souviens plus exactement.

Je monte par l'ascenseur, je me dirige à son bureau et je lui remets le dossier, le type me propose un siège avec un sourire, je suis en tailleur jupe courte, bas noir, chaussures à talons moyens, chemisier avec un petit décolleté ouvert, mais non-vulgaire, prétextant que j'ai un autre client, comme lui, qui attend expressément son dossier, je ne suis restée que trois minutes par politesse, supportant avec un sourire commercial sa drague à deux balles en sous-entendu.

Je quitte son bureau et me dirige vers l'ascenseur, j'appuie pour le faire venir et quand la porte s'ouvre, deux jeunes hommes, la vingtaine, étaient déjà dedans, l'air peu engageant, j'ai eu un mouvement de recul, mais me suis reprise aussitôt, je monte dans la cabine et me mets face à la porte, leur tournant le dos, je leur dis un bonjour presque inaudible, ils ne répondent pas, l'ascenseur est un six personnes.

Des qu'il démarre, l'un d'eux dit tout fort "regarde, ça se trouve, c'est cette salope qui nous a désigné pour être viré", j'en ai déduis que ces deux-là venaient d'être licenciés, et me voyant venir de l'étage de la direction, me prenant pour une complice, ils étaient en colère, surtout celui qui m'insultait, je réponds, sans me retourner, mais dites donc soyez polie, le même type appui sur le bouton stop.

J'appuie sur le RDC, il appuie sur stop aussitôt, j'appuie encore, il stoppe de nouveau, pendant ce temps, il me traitait de tous mots d'oiseau femelle, il déversait sur moi sa colère, d'avoir été viré, j'avais une peur relative, car malgré tout, s’ils m’avaient fait du mal, ils étaient facilement repérables et ils le savaient, au pire, je me disais, ils vont me chahuter et l'idée ne me déplaisait pas.

Surtout dés que l'ascenseur serait arrivé au RDC ou un autre étage ou des employés passent sans arrêt, j'étais rassurée sur ce point, je ne l'ai pas non plus énervé plus qu'il n'était en répondant à ses insultes, je reconnais aussi que ça ne m'est pas désagréable d'être bousculé, j'adore même cela, déjà, ils ne me connaissent pas, et je ne viens jamais ici, de plus, ils ne reviendront pas non plus.

À chaque fois qu'il appuyait sur le bouton stop, il en profitait aussi pour me frôler la hanche ou le bras, comme je ne disais rien et ne me poussais pas non plus, il ne se gênait pas, ça me change des faux culs de dragueurs, qui me prennent pour une conne, en débitant leurs baratins, que seule une demeurée pourrait croire.

L'ascenseur est arrêté et il continue "regarde là, ça se trouve, elle se fait sauter par le directeur", j'appuie pour descendre, lui, il appuie sur stop, je n'ose répondre pour ne pas l'énerver et fatiguée d'appuyer inutilement, je dis, "bon quand vous en aurez marre d'être là, on redescendra", et je croise les bras montrant que j'ai tout mon temps.

Il répond, « c’est ça oui" il continue disant "regarde son cul », je ne le vois pas, mais je devine qu'il s'accroupit derrière moi, il continue à me traiter et me touche les chevilles, surprise, je fais un soubresaut, mais rester immobile, excitée même, je ne suis pas contre un petit attouchement, ses mains remontent très lentement, je le laisse faire sans montrer mon trouble non plus.

Comme je ne me débats presque pas, il continue à remonter ses mains en disant, "regarde, je suis sûr qu'elle aime ça", il est loin de se douter qu'il a entièrement raison, arrivé presque en haut des bas, à ce moment-là, son copain un peu trouillard, qui lui a déjà dit deux ou trois fois d'arrêter, de laisser tomber, appui sur RDC, l'autre, accroupie toujours, avait remonté ses mains et touchait l'élastique des bas.

Il ne le savait pas, mais j'étais déjà toute humide, arrivée au RDC, il se relève en me frôlant les fesses, la porte s'ouvre et un vigile attendait, me demandant, "ça va Mme, on nous a signalé des cris dans l'ascenseur," les deux derrière moi devaient être blêmes, mais j'ai répondu, en me tournant vers eux, "oui, nous avons entendu des cris aussi, ça semblait venir des escaliers apparemment".

Le vigile dit, "ha d' accord, merci, je vais aller voir, au revoir Mme", il est parti aux escaliers, les deux jeunes m'ont suivit penaud jusqu'à dehors et à ma voiture en s'excusant plusieurs fois, le plus virulent, disant qu'il a agi comme un imbécile, me remerciant encore, je monte dans la voiture, je démarre et j'ouvre la vitre, je leur dis de ne pas juger d'emblée la prochaine fois, le virulent s'excuse encore une fois de ce qu'il m'a fait.

En commençant à rouler, je lui dis " dommage que ton ami ait appuyé sur le bouton RDC", j'ai ensuite accélérée et je suis partie, je n'ai pas pu voir sa tête, ce petit con m'avait excitée, les jours suivant, j'ai regretté de ne pas avoir appuyé moi-même sur le bouton stop, pourquoi je ne leur ai pas dit une fois dehors, c'est simple, la magie de l'instant n’y était plus, être surprise sur le coup à chaud, est une chose, le faire en le demandant en est une autre beaucoup moins intéressante.

A suivre.
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Histoire de annizette

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