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Le cocu se rebiffe

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Lue : 5494 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/03/2013

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J’habite dans une petite rue, liaison entre une artère passante et une autre rue très peu fréquentée. Quatre demeures de chaque côté donnent sur cette voie. Tous les habitants se connaissent et savent tout de chacun. Ainsi ai-je remarqué depuis quelques semaines le stationnement d’une voiture jaune tantôt en début, tantôt en milieu ou en fin de rue, à l’heure où je retourne au travail vers 13 heures 50. Encore n’est-elle présente que certains jours. J’ai relevé sa présence uniquement le lundi et le jeudi. Je demanderai ce soir à ma jeune épouse Louise si elle sait à qui appartient cette auto en stationnement aujourd’hui encore juste devant la mienne. Elle n’a pas de signe professionnel, n’est le véhicule ni d’un médecin ni d’un infirmier par exemple.

A l’arrêt au stop je constate que la police contrôle les voitures. Zut, j’ai oublié les papiers dans leur pochette sur ma table de nuit. Je fais demi-tour. Au moment d’entrer dans ma rue j’aperçois Louise : elle court vers la voiture jaune, monte du côté passager, claque sa porte. Que signifie ce départ précipité ? La Clio démarre, je prends son emplacement, me dépêche d’aller prendre la pochette. Au passage je m’assure de l’absence de ma femme dans la cuisine et je note le parfait état des lieux, la vaisselle est faite, un bouquet de roses rouges décore la table du salon, tombé du ciel après mon départ il y a quelques minutes. Je ne me suis pas trompé, ma femme me trompe !

La Clio jaune quitte le contrôle, la police s’en va, il est quatorze heures. Je serai en retard, tant pis.

Je veux savoir où ma femme se rend dans la voiture d’un inconnu, je les suis. Ils montent au centre de loisirs, s’arrêtent à la piscine olympique, y entrent, se dirigent vers la caisse. Je monte au bar dont la baie vitrée donne sur le bassin de cinquante mètres. Je reconnais la silhouette de Louise en maillot de bain. Elle ne sait pas nager, refuse de m’accompagner à l’eau et a toujours prétendu ne pas avoir de tenue de bain. Et pourtant elle porte avec élégance un deux pièces ajusté à ses formes. Elle se dirige vers l’échelle en tenant par la main un bel homme à la chevelure brune, athlétique, qui bombe ses pectoraux, fier de guider cette jeune femme. Je rêve !

Dans l’eau il ne la quitte pas. Ils ont choisi un secteur calme, Louise s ‘allonge dans l’eau, le type la maintient en surface d’une main glissée sous son ventre. Tout est clair : Louise prend des cours particuliers de natation. Elle me réserve une surprise, un jour elle me proposera de l’emmener à la piscine et m’éblouira en nageant mieux que moi. Ce maître-nageur vient la chercher à domicile, deux fois par semaine vraisemblablement. Elle aurait pu m’en parler. Pour l’instant sa nage est hésitante.

Arrivée au milieu d’une longueur, tout à coup elle bat des mains, s’affole et son accompagnateur la rattrape, lui sort la tête de l’eau et la tient contre lui pour qu’elle se calme. Ils sont face à face dans l’eau, sans doute ventre à ventre. Louise passe ses bras autour du cou de son sauveur, discute, toujours collée à lui. Leurs têtes se rapprochent et j’ai la surprise d’assister à un baiser de ma femme et de son entraîneur. Veut-il l’encourager, mais est-il nécessaire de s’embrasser aussi longuement ? Enfin Louise reprend ses mouvements. Elle s’arrête de plus en plus fréquemment, embrasse l’homme et continue.

Vingt minutes plus tard, main dans la main comme mari et femme ils retournent au vestiaire, je vais me placer à l’extérieur pour assister à leur sortie. Ils ne retournent pas à la Clio mais vont au casino, taquinent les bandits manchots, reprennent leur chemin et s’engouffrent dans un cinéma. Je retourne au travail, retarde d’une heure pour une semaine ma reprise de l’après-midi, je range mes affaires avec vingt minutes d’avance et je vais me poster à l’entrée de mon quartier. A 16 heures 53 la Clio dépose Louise devant la maison et s’en va. Je la suis pendant 1 500 mètres. Elle stationne le long du trottoir devant un immeuble à étages. Je me range derrière la Clio et volontairement j’entre tout doucement dans son pare-choc. Le conducteur sort, inspecte sa voiture, la mienne. Je le rejoins, présente des excuses.
- Ce n’est rien, il n’y a pas de dégâts. Inutile d’établir une déclaration d’accident.
-Voyez votre garagiste, mon assurance prendra en charge les frais s’il y a lieu. Pouvez-vous me donner vos coordonnées.

Ma victime se nomme Rodolphe Marche, habite dans cet immeuble. Pour lui, je suis André Doudut, avec un » t », j’habite dans la ville à une adresse qu’il ne vérifie pas. Je m’en vais. A la maison, dans notre appartement de l’étage, Louise chantonne, arrange dans un vase des roses rouges achetées cet après-midi pendant les courses.

Comme j’ai menti en donnant une fausse adresse à Rodolphe, elle me ment sur l’heure d’arrivée et l’origine de ces fleurs, offertes à coup sûr par Rodolphe. Elle est douce, joue à l’amoureuse, m’embrasse tendrement, m’annonce pour la soirée des jeux amoureux. Hélas, je dois rendre une visite à un collègue de travail. En réalité je vais réfléchir dans un bar où j’invoque l’esprit de la bière. A minuit je retrouve une épouse endormie. Elle a un amant, entraîneur, compagnon de jeu, accompagnateur, taxi et que sais-je encore. J’attendrai d ‘avoir fait le point sur notre situation pour redevenir éventuellement son mari. S’ils ne prennent pas de précautions l’autre peut lui faire un enfant, je n’en serai pas le père. Pour moi, plus d’étreintes, plus d’accouplement aussi longtemps que durera une probable liaison. Après j’aviserai
- Ce midi je mangerai à la cantine.

Louise me regarde avec étonnement. Le mardi je mange habituellement avec elle. A treize heures trente je suis arrêté à proximité du domicile de Rodolphe. J’ai mon caméscope. S’il rencontre Louise, je filmerai. Il roule devant, prend une direction inattendue, se range le long d’un trottoir et attend. Un homme sort d’une maison. Je lance mon caméscope. Rodolphe bouquet de roses rouges en main pénètre dans la même maison, revient à son volant, bientôt suivi d’une blonde bien en chair. Il prend la route du centre de loisirs, entre à la piscine, donne un cours de natation à la blonde pulpeuse curieusement vêtue d’un maillot de bain deux pièces identique à celui de Louise hier. La séance ressemble fort à celle de la veille avec ma femme. Du bar je filme discrètement les arrêts et les baisers dans l’eau. Ensuite je filme le couple au casino. Tiens, au lieu d’aller au cinéma, Rodolphe conduit la dame dans un hôtel. Que peuvent faire dans un hôtel, l’après-midi, un homme et une femme ? J’en ai assez filmé pour ce mardi. Je retourne au domicile de la femme adultère, note l’adresse et le nom du mari. Quelques minutes avant dix-sept heures une Clio dépose une blonde aux cheveux défaits devant sa porte.

Ce Rodolphe a du succès. Ce soir j’ai un terrible mal de tête, je ne peux pas faire l’amour à Louise. Le lendemain mercredi à treize heures trente j’attends Rodolphe, je le file. J’assiste au départ d’un probable mari, à l’offrande d’un bouquet de roses rouges et à l’envolée avec le galant d’une rousse à gros seins. Je filme la séance à la piscine, la demi-heure au casino, l’entrée au cinéma puis la sortie. Tout est réglé comme du papier à musique. La dame rousse précède de peu le retour de son mari. Si mes observations se confirment, demain, jeudi, la voiture jaune s’arrêtera devant notre maison. Rodolphe a établi un cycle : ma brune le lundi, une blonde le mardi, une rousse le mercredi, le jeudi est pour Louise, le vendredi pour la blonde et le samedi ou le dimanche pour la rousse. Il a conduit la blonde à l’hôtel le mardi, les deux autres au cinéma le lundi et le mercredi. Il y a fort à parier que Louise finira son jeudi après-midi à l’hôtel. Je pourrais enrayer son programme en restant chez moi le jeudi après-midi. Je préfère vérifier de visu.

Donc le jeudi je filmerai les allées et venues de Rodolphe et Louise. Ensuite il me suffira de filmer le séjour de la rousse à l’hôtel samedi. Si tout se passe comme calculé, je ferai avec Louise une mise au point dès lundi et j’ai mon plan pour déranger le train-train de ce séducteur.

Voilà la Clio, Louise sortie, rebrousse chemin en courant avec un nouveau bouquet rouge avant de monter dans l’auto jaune. Piscine, casino et hôtel se succèdent. Le passage au casino dure un quart d’heure de plus et les complices se précipitent vers l’hôtel pour rattraper le temps perdu. Louise n’hésite pas, agit comme une habituée. Inutile d’attendre la sortie. Ce soir je travaillerai plus tard, c’est arrangé avec mon contremaître.

Je n’assiste pas au retour du couple. Quand je rentre vers vingt heures Louise m’attend, me sert mon repas puis se dit fatiguée et va se coucher. Elle ne supporterait pas de faire l’amour, et je dois être capable de la comprendre puisque ni lundi, ni mardi, ni mercredi je n’ai été en état de la satisfaire.
- Tu te venges ?
- Si ça te fait plaisir de le penser, ce n’est pas gentil, mon amour.

La blonde verra un film le vendredi. La rousse se rendra à l’hôtel le samedi. J’ai désormais de quoi faire un montage assez simple. Je confie mes prises de vues à mon ordinateur, je laisse apparaître les dates. Quand j’aurai tout filmé, six copies sur DVD vont faire des heureux.

Lundi, je fais un faux départ et je m’installe dans la rue voisine. J’observe. Rodolphe débarque avec son bouquet de roses rouges. Louise m’a expliqué que l’achat de fleurs de qualité, bio, garantissait au bouquet une longue vie. Le troisième bouquet en huit jours crée l’illusion de fleurs impérissables. J’ai fait semblant de gober l’explication. Il y a du nouveau, Rodolphe s’est reposé le septième jour et aujourd’hui, malgré la présence de belle maman au rez-de-chaussée, il pénètre dans la maison. J’y vais aussi, sans me presser. Je ne fais pas de bruit, j’attends à la porte du salon. A l’intérieur on discute tranquillement. Louise rit de plus en plus souvent, de plus en plus fort. J’entre.

Louise tente de quitter les genoux de Rodolphe. Lui d’une main posée entre ventre et cuisse la maintient assise, dit
- Reste, pourquoi t’effrayer. Nous ne faisons rien de mal.

La pâleur de Louise dit tout le contraire, mais elle obéit.
- Tu es le mari de cette chère Louise. Évidemment, qui d’autre se permettrait d’entrer sans frapper. Mais, je te connais

Louise me sauve
- Tu as vu notre photo de mariage
- Ah ! Oui. Mon cher ami tu as fait un beau mariage. Je regrette de n’avoir pas pu y assister. J’étais sur la liste des invités de Louise en qualité d’ami ancien et d’ex fiancé, abandonné à ton profit, Heureux Jean
- J’ignorais, cher Rodolphe.

Je viens de l’étonner. Il m’observe un instant.
- Je te remets, chauffard. Le garagiste m’a rassuré. Quel hasard. Louise, ton mari a heurté mon pare-choc, il y a quelques jours

Louise est soulagée. Elle sait pourquoi j’ai appelé son amant par son prénom. Elle voudrait quitter les genoux, mais il la retient.
- Ma chère Louise, soyons honnêtes. Que veux-tu dissimuler. Jean ne s’offusque pas de te voir ainsi assise, n’est-ce pas ?

Je ne réponds pas, j’observe toutefois que les jambes de ma femme sont à califourchon sur une cuisse de l’ami, comme si elle était à cheval. De légers mouvements d’avant en arrière et d’arrière en avant sur la jambe de l’homme lui ont redonné des couleurs, malgré elle.
- Cher Jean, un jour je suis venu me faire pardonner mon absence à vos noces. Louise a bien voulu passer l’éponge. Depuis nous nous sommes revus. Souvent elle s’ennuie à la maison quand tu travailles. Nous avons donc passé un accord. Comme je travaille habituellement du matin, je consacre deux après-midi à mon amie chaque semaine.
- Je me demande pourquoi Louise ne m’en a jamais parlé.

Le malin a réponse à tout. Louise ne saurait que dire.
- Par délicatesse. Elle ne veut pas t’offenser, craint une manifestation de jalousie, veut ménager ta susceptibilité. Oui, c’est une âme délicate.

Il se fout de moi. Une femme qui se fait tripoter à la piscine, qui couche avec lui à l’hôtel et qui est surprise assise sur ses genoux à la maison est une âme délicate ! Il continue
-Vois comme elle souffre de cette révélation. Pourtant je m’évertue depuis des mois à lui faire comprendre qu’elle ne te vole rien quand elle me reçoit en ton absence. Ce qu’elle m’accorde ne te prive de rien, car à l’instant où elle me l’offre tu es dans l’impossibilité d’en profiter.
- C’est évident. Mais…

Il me coupe :
- Voilà, chère Louise, ton mari est d’accord. Tu lui appartiens chaque jour vingt-quatre heures et nous ne nous retrouvons que cinq ou six heures par semaine. Pendant ces heures je te console, je te donne l’affection qu’il ne peut pas te donner à cet instant, je suis son substitut. Tu as besoin d’être écoutée et je te prête mes oreilles, tu as besoin de signes d’affection et je t’embrasse tendrement, ton corps aime les contacts et mes mains te caressent, touchent ta peau. Tout cela ce sont des marques d’amitié.
- Soit, mais je suis là, il me paraîtrait normal de prodiguer ces soins à ma femme moi-même.
- Tu es certainement venu chercher un objet oublié. Tu es ici pour quelques minutes et tu vas retourner au boulot. Tu es donc là sans l’être vraiment, ton emploi du temps te déclare absent
-Admettons, je ne suis pas là vraiment. Je m’assieds dans ce fauteuil, je me tais et je regarde ce que vous faites le lundi de 14heures à 17 heures. Essayez donc de me montrer comment vous agissez lorsque le mari travaille.
- Quelle chance tu as Louise. Ton mari est supérieurement intelligent et compréhensif. Ne crois-tu pas que nous pourrions satisfaire sa curiosité, sans tricher, sans limites. Jean, ai-je bien entendu ? Tu veux voir tout et jusqu’où nous nous amusons pour occuper ces rares heures

Je fais oui de la tête.
- Nous alternons les sorties, piscine, patinoire, casino, cinéma et les jeux d’intérieur surtout ceux qui unissent deux êtres qui s’estiment. Permets-nous de te montrer le plus et tu imagineras facilement les exercices plus simples.

Louise n’a pas l’air rassurée. Cependant lorsque Rodolphe la fait agenouiller entre ses jambes et désigne sa braguette elle obéit immédiatement. Ses doigts ouvrent le pantalon, extraient une verge de belle dimension.
- Ma chérie, (car tu es absent, elle est à moi), ma chérie montre combien tu aimes ma grosse queue, fais-moi une merveilleuse fellation.

Sans un regard pour l « ’absent », Louise manipule une hampe de plus en plus importante dont elle commence à lécher le gland surdimensionné. Les dimensions exceptionnelles de l’engin ont compté autant que le baratin de son ex fiancé : elle est persuadée que ce que j’appelle adultère, n’est pas une tromperie. Elle est mariée avec moi, elle m’est dévouée quand je suis avec elle. Mon absence fictive en ce moment justifie pleinement ses gestes. Elle avale avec difficulté le chibre, mais elle y met tout son cœur. Une main caresse ses cheveux. Rodolphe me fait un signe, attire mon attention avec malice, lance l’autre bras par-dessus le corps penché sur son sexe, saisit le bas de la robe, le tire à lui et découvre la croupe de ma femme. Je cherche mais je ne trouve pas : Louise ne porte pas de culotte. Ce n’a jamais été une habitude. Tout change quand je suis absent.
- Bien, si nous nous rendions caresse pour caresse.

Rodolphe s’allonge parallèlement à la table, sur le tapis de laine, Louise se place au-dessus, toujours avec l’intention de le reprendre en bouche. Les voilà engagés dans un soixante-neuf formidable. Ils font absolument abstraction de moi, se lèchent, se sucent, se masturbent, s’arrachent des grognements et des plaintes. Je vais chercher mon appareil dans le living. Mon déplacement passe inaperçu. Je les filme. Louise doit se coucher sur le dos. Rodolphe lève ses deux chevilles, place son énorme manche à l’entrée du vagin et descend, descend. Il ne peut s’empêcher de regarder l’ « absent », il triomphe. Que je sois présent ou non, son regard me dit :
- J’ai la plus grosse, je suis le meilleur et je baise ta femme quand je veux.

Il remarque mon caméscope et brutalement s’arrache à l’étreinte du con en transes et s’écrie
- Non, tu es absent, tu ne peux pas filmer.
- Tu as raison, continue à sauter la femme de l’absent. J’ai compris ce que vous faites et je me retire. On m’attend au travail.

Je ne comprends pas pourquoi Rodolphe dit nerveusement
-Ne pleure pas, mon ange.

Le soir, Louise m’attend, repeignée, maquillée. Je repousse ses baisers, je refuse de lui adresser la parole après une phrase lapidaire
- Désormais considère que je suis transparent, invisible, absent comme cet après-midi.

Elle finit par se décourager et sort. Qu’elle aille au diable ou à Rodolphe si elle veut. Sa soumission au séducteur est un signe de crédulité qui frise la bêtise ou la preuve d’une dépravation irréversible. Se laisser prendre par son ex devant moi en niant ma présence demande une dose de vice hors du commun. Je termine mon film, mes DVD sont complétés.

Le lendemain à midi, avant le passage de Rodolphe, je me rends chez la blonde. Son mari me reçoit, je lui remets un DVD pour lui et un pour son épouse, à voir ensemble ou séparément. J’ai la chance de trouver le mari de la rousse qui tient son mari amoureusement par le cou. Ils accueillent avec étonnement mon cadeau. Je précise à chaque couple que je suis le mari de la brune qui apparaît dans le film. En fin de DVD j’ai mis les noms et adresses des trois dames.

A mon retour, Louise se met à genoux devant moi, me supplie d’oublier ses erreurs. Je charge son ordinateur, je lui demande de sécher ses larmes pour bien observer toutes les scènes filmées. Je fais ma valise et quand elle a fini de regarder mon film, je lui souhaite bien du bonheur avec Rodolphe.
- Pourquoi me dis-tu que c’est un salaud ? Qu’es-tu toi qui le recevais en secret depuis des mois.
- Ne pars pas, je suis enceinte, je n’ai pas eu mes règles.
- Bébé conçu en mon absence.
- Je ne comprends pas pourquoi tu m’abandonnes.
- C’est précisément parce que tu ne comprends pas, que je te quitte

Rodolphe a fui trois furies et vit loin, très loin.
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