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Le feu du quatorze Juillet

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Lue : 1112 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/03/2021

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Bonjour, je m’appelle Sandra, jolie blond âgée de vingt cinq ans. Je suis célibataire, et vient passer quelques jours de vacances chez ma sœur Lucie, qui habite dans le sud de la France. Denis, son mari, a toujours fantasmé sur moi. Mais malgré l’attirance que j’ai pour lui, j’ai toujours repoussé ses avances.
Ce soir, c’est la fête du quatorze juillet, avec bal, et feux d’artifices. Cédric, le fils de ma sœur, insiste auprès de sa mère, pour aller aux feux. « Tu n’as que huit ans, lui rappelle ma sœur.»
Devant la tristesse de mon neveu, et la réponse négative de ma soeur, je me propose de l’accompagner. Finalement, ses parents acceptent.
Vers dix heures, nous regagnons la place du village. Il fait une chaleur caniculaire. Je suis simplement vêtue d’une jupette de tennis, et d’une chemise nouée sur le ventre. Cédric a mis un bermuda, et un polo. D’après le regard des garçons que je croise, je doit être très appétissante.
Une fois arrivés, nous nous mettons en bonne place derrière les barrières de sécurité. En tante protectrice, je passe un bras de chaque côté de mon neveu, pour le protéger, en prenant appuie sur la barrière.
Après une longue attente, les lumières s’estompent, et plonge la place dans le noir. Les feu d’artifice va être tiré.
Soudain, je sens une main qui effleure mon genoux. Je la repousse d’un mouvement de jambe. Mais, avec la foule qui se bouscule, la marge de manœuvre est limité pour repousser un éventuel assaut. Dans l’impossibilité de me retourner, je suis obligé de subir. D’autant que la main est passée sous ma jupette, et atteint le haut de mes cuisses. Un doigt écarte ma culotte, rentre en contact avec le fin duvet de mon pubis. Je serre les cuisses, en vain. L’intrus poursuit son ascension, pour atteindre mes lèvres intimes.
Mais de part ma position, et afin de protéger mon neveu, l’accès est réduit. La main se retire. « Ouf », sauvé.
C’est tout au moins ce que je pense.
L’inconnu revient à la charge.
Cette fois, ce sont les deux mains qui passent de chaque côté de ma jupette, au niveau de mes hanches. Elles saisissent l’élastique de ma culotte, la font glisser sur mes cuisses, puis tomber à mes chevilles. Je me retrouve nue, sous ma courte jupe.
Cette situation, inédite, m’excite comme rarement jusque là. Même au cours de relations éphémères, je n’ai jamais ressenti, une telle excitation.
Une main passe devant mes lèvres gonflées de désir, et se plaque contre ma chatte. L’autre main se forge un passage entre mes fesses. Un doigt joue avec mon clitoris entièrement décalotté, l’autre taquine mon petit trou, le pénètre doucement. Ces vicieuses caresses me font énormément mouiller.
Je pousse un long soupir. Mon neveu me demande si ça va. Je lui dit que oui, de regarder les feux, tandis que le mien s’active entre mes cuisses.
J’écarte une jambe, pose un pied sur la barrière, pour mieux m’offrir à cette pénétration indécente.
Je me fais fouiller la chatte et le petit trou, sans aucune retenue, au risque de me faire remarquer par les autres sectateurs.
Dans cette position, je suis comme une chienne qui se fait prendre en pleine rue, sans même connaître son agresseur.
Mais très vite, le désir fou qui me prend, à raison de ma honte.
Le majeur de la main gauche, est enfoncé dans ma rosette dilatée, et font de lent va et vient. Les doigts de l’autre main, branlent violemment ma chatte, doigte mon bouton.
Au bout de dix minutes de se traitement de choc, j’atteins un puissant orgasme, que j’étouffe dans le cheveux de mon neveu.
Après quelques douces caresse, les doigts s’activent à nouveau dans ma chatte dévastée. Je deviens folle de désir. J’ai envie de sexe, brut, hard.
Je sens la cyprine couler sur mes cuisses, tandis que mon petit trou, reçoit la visite d’un deuxième doigt. Je glisse une main pour les maintenir enfoncés en moi.
A ma grande surprise, je trouve la main infiniment petite.
« Mon dieu, me dis-je, qui cela peut-il être. C’est quand même pas un gamin »
Mais mon corps répond de plus en plus aux caresses. Il brûle d’un désir aussi fort qu’en enfer.
Lors de mes relations, on ne m’a jamais sodomisée, et là, ce sont des doigts inconnus qui sont en train de le faire. Tout mon corps frémit, accepte cette pénétration infernale.
Un deuxième orgasme se prépare, je le devine terrible, fort. Mon souffle s’accélère. Pour ne pas hurler ma jouissance en pleine foule, je mord mon avant bras à pleine dents.
Je râle, des mots inaudibles sortent de ma gorge enrouée. Je grogne comme une cochonne en chaleur.
« Enfoiré, tu sais que je me régale...c’est bon, t’arrêtes pas...»
Comme s’il avait entendu mes propos, l’inconnu continue à jouer avec mon corps soumis de jeune femme. Je l’encourage même, à pousser sa main profond dans mes entrailles.
J’envoie une main en arrière, pensant attraper sa queue pour la branler. Mais elle bute sur le torse de mon agresseur.
« Ce vicieux, il s’est mis à genoux pour ne pas être vu, et mieux me branler. Oh putain, si au moins je pouvais bouger mon cul.
« Non, pas ça...je jouis encore...vas-y, encules moi, niques moi.»
Je pense à voix basse. J’ai envie de hurler, de me sentir encore plus possédée par cet inconnu, qui me rend folle de plaisir.
Je sens les doigts qui se heurtent contre la fine paroi, qui sépare mes orifices.
Une main se retire, alors que les doigts font rouler mes lèvres intimes, comme pour les apaiser.
En dépit de toute raison, de toute moralité, j’en veux encore. On ne m’a jamais fait jouir comme ça.
Mais petit à petit, l’autre main se retire, alors que l’autre me restitue mon string.
Pendant cet instant, j’aie eu une envie folle de me de faire baiser, à tel point, que l’idée de ramener mon neveu, m’a traversé.
Je ne pouvais pas lui faire ça.

Le bouquet final est tiré dans le ciel. J’ai hâte que la lumière revienne, pour voir enfin celui qui a réveillé la salope qui sommeillait en moi. Je tire un mouchoir en papier de mon sac, et essuie la mouille qui souille ma chatte.
Ca y est, la place s’allume. Je me retourne, cherche dans la foule. Je reste scotchée.
En effet, trois mètres devant moi, j’aperçois un nain, debout sur un banc, en train de se lécher goulûment les doigts. Il me lance un regard qui ne laisse aucun doute. C’est bien lui qui s’est joué de moi...le vicieux
C’est sa petite taille qui explique la taille des mains, et la hauteur de sa poitrine. Il me regarde en souriant, me fait un signe de la main, et se fond dans la foule.
« Le salaud, comme il s’est amusé avec moi. Il m’a fait jouir trois fois, comme jamais.

- Mais à qui parles-tu tatie, et ce mouchoir tout mouillé que t’as dans la main...t’as pleuré ?
-Heu...c’est pour jeter mon chéri...allez, rentrons.

Pendant la nuit, je n’ai de cesse s’échafauder toutes sortes de plans, pour retrouver ce nain inconnu. Je veux encore me faire prendre, mais dans un endroit ou je pourrai crier mon plaisir.
Le lendemain, j’apprends qu’un cirque est installé sur le terrain de foot. Il fait peut être parti de la troupe. Il me faut à tout prix, le revoir. Je veux m’offrir à lui, qu’il me saillisse comme une chienne que je suis devenue ce soir, pendant le feu d’artifice.
Je trouve qu’il n’a autant mérité son nom.
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Histoire de Aurore34

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