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Le pari du futur cocu

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Lue : 8110 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/10/2012

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Bonjour, pour le moment, je continuerai de parler de moi sous le pseudonyme de Saquelle, au fil de mes aventures, si elles vous plaisent, peut-être dévoilerais-je davantage d'informations sur moi, mais cela n'a pas d'importance actuellement car c'est d'une amie dont il va s'agir ici. Tout ce que vous saurez ... C'est que je suis belge !

Nous sommes en août, il y a quelques années maintenant, toujours en contact avec la plupart de mes amies d'enfance (notamment grâce aux méthodes actuelles de communications). Aux détours d'une conversation, j'avoue mon manque envers une amie, son départ vers la France et Paris a évidemment rendu le contact physique impossible. Elle s'appelle Sara et elle est de cinq ans mon aînée.

Coucou toi, tu vas bien ?
Oh, je vais plutôt bien, Sara ! Comment se porte ma parisienne d'amùr ?
Très bien, grand soleil en ce mois de juillet que du bonheur !
Ah, ça, ça doit pas te manquer, nous il pleut des cordes ... Comme d'hab' quoi ^^
J'avoue que ... Non, enfin, Paris, ce n'est pas le Sud de la France non plus.
Je donnerais cher pour un rayon de soleil ...
Tu sais quoi ? Je suis professeur maintenant donc en congé, pourquoi ne pas passer à la maison.
Hum ... Sérieuse ? Si oui, j'en parle à mes parents et je te tiens au courant.

Mes parents étant au travail, justement, nous poursuivons sur des banalités, sa vie à l'école, son récent mariage (loin d'être une banalité pour elle, mais vous comprendrez un intérêt moindre de mon côté) et des choses et d'autres. Ce mariage était attendu, Sara a quitté la Belgique non pas pour le boulot, mais pour suivre son amour, c'était dans la suite logique des choses. Contrairement à ce que je vais vous conter.

Quelques jours plus tard, j'accepte son offre et nous décidons que je viendrai loger chez elle la première semaine d'août sans pour autant avancer un jour arrêté sur mon départ. Me voilà dans le Thalis et puis rapidement dans le RER D (comprenez l'humour, j'ai cru perdre un an de ma vie dans la Gare de Nord que je ''visitais'' pour la première fois). Moi qui suis belge, je n'avais pas bon d'y être car les rumeurs ont bonnes allures dans notre pays sur vos RER. Mais je n'ai eu aucun incident autre qu'un homme ivre à me reluquer sans cesse (à midi).

Je descends du métro et me retrouve devant un premier embranchement rien que pour sortir de la Gare de Melun, qui est une très jolie ville au demeurant. Comprenez que pour moi, Melun, c'est Paris ! Bref, je suis avec mes sacs, mes grosses lunettes de soleil (utile comme promis par Sara) et je cherche ma belle dans cette foule. Au final, c'est elle qui me trouve. Il ne me faut pas deux secondes pour lâcher mes sacs et l'enlacer. Je relève mes lunettes sur mes cheveux et je la regarde.

Plus grande que moi, elle doit atteindre le mètre septante-cinq (soixante-quinze ^^). Sara a de longs cheveux blonds et frisés, des lunettes pour la vue laissant entrevoir un magnifique regard d'émeraudes. On ne peut reprocher à cette femme qu'un nez cassé et une timide poitrine. Après de longues embrassades, nous quittons cette station pour traverser la ville, et rejoindre une maison assez spacieuse.

Nous rentrons immédiatement dans le salon depuis la porte d'entrée, deux sofas, une table basse et un canapé des plus moelleux. Sur la gauche, il y a la cuisine et une bibliothèque servant également de chambre d'amis, soit ma chambre durant ce séjour. À droite, non loin du salon, la salle à mange et au fond, il y a une pièce pour la machine à laver, sécher ainsi qu'une buanderie. Enfin, en face de l'entrée une rampe d'escalier menant à leur chambre et la salle de bain.

Je suis heureuse de retrouver mon amie, mais j'apprends à la haïr fort malgré elle au deuxième jour : son fameux restaurant grec, dont elle me dit le plus grand bien, ne semble pas passer et je suis clouée au lit. J'espérais que cela allait vite passer, je ne m'imaginais pas rester des jours au lit, ça serait vraiment dommage ...

D'autant que ce soir-là, un ami du couple vint s'inviter. Visiblement au courant de ma présence, il demanda après moi, mon amie lui signala que je n'étais hélas pas en état et que je dormais. Certes c'était faux, mais elle le croyait vraiment. Il sembla déçu, avec du recul, cette soirée, je pense qu'il y avait manigance pour qu'il la termine avec moi. Oui, au fil de leur soirée, j'apprends que l'homme est manque. Ce qui semblait être une simple allusion revient constamment à la charge.

C'est parce que c'est ta femme sinon je la croquerai.
Peuh ... Tu y arriveras pas, même sans ça !
Ah ouai ? J'prends le pari que je peux la séduire.
N'importe quoi, les garçons.

J'entends au son de sa voix que Sara est un peu pompette. Mais je la sais fidèle, contrairement à moi. Après tout, elle a tout de même changé de pays pour suivre celui qu'elle aime, ce qui n'est pas rien pour la femme frivole que je suis. Hélas, je suis obligée à la chasteté, peut-être aurais-je été providentiel pour ce couple ... Une occasion de perdue.

La conversation reprend ces calmes parures, je m'endors. C'est le bruit d'une bouteille brisée qui me réveille, j'ouvre doucement la porte, prête à intervenir si finalement les avances de Thomas s'était faites trop pressantes pour Mathias. Mais il n'en est rien, Sara roucoule, amusée. Son mari est dans le canapé et le dragueur boit dans le sofa, Sara à ses côtés.

Tu assumes le pari, l'ami ?
... mouai ...

L'instant d'après, je vois Sara embrasser Thomas, je suis abasourdie. Pour l'instant, cela reste assez chaste, mais les baisers s'embrasent lentement, Mathias semble disparaitre pour les deux amants. Je vois les bras de l'homme disparaitre dans le dos de mon amie puis en ressortir, un soutien-gorge en main, il est donc parvenu à le retirer sans passer par le chemiser, l'absence de bretelles aidait indéniablement.

Sara s'arrête, s'écarte, un éclair de fidélité venait-il de la traverser ? Certainement car son regard se jeta rapidement sur son mari, mais Thomas ne veut pas la perdre maintenant et il la couche sur le sofa, ouvrant doucement le chemisier afin d'y découvrir une poitrine excitée. Il roule sa langue autours de ses tétons, Sara reste immobile. Mais son corps chasse son esprit et ses mains viennent attraper les cheveux de l'homme, cédant au plaisir.

Le fauteuil ne cesse de grincer, visiblement, c'est difficile de supporter cette vision pour Mathias et je dois dire que je le comprends. Même si de mon côté, je n'arrive pas à fuir cette intimité, cette trahison que je contemple. D'ici, je vois les pointes de Sara en pleine érection, visiblement assujettie à la recherche de la volupté suprême. Mon ventre me lance, mais ce n'est plus le grec de ce midi, je suis déchirée par cette vision, à la fois entre l'envie et la crainte. Sara aimait Mathias, j'en étais certaine, mais cette histoire pouvait ... envoyer tout en l'air.

Tant pis, je ne me vois pas interrompre leur ébat. Thomas s'enhardit, lui laissant à présent le haut à l'air, se mettant lui-même torse-nu, plus personne ne doit douter de l'issue. Il la redresse doucement tout en descendant sa langue jusqu'à son nombril autours duquel il semble s'amuser avant de descendre vers une prison de tissus.
Mets-toi nue, Sara.
Hum... Oui ... Oui ...
Ne me regarde pas ainsi ... Tu as déjà fait ton choix.
Pardonne moi chéri.

Dit-elle en se déshabillant sensuellement, pour Mathias s'en est trop. Il se lève enfin. Va-t-il faire arrêter cette scène et flanquer le traitre dehors ? Il n'en est rien il s'en va vers la cage d'escalier.

Mets au moins un préservatif.

Finit-il sans un regard pour sa femme, vu sa position en hauteur, je décide de me retirer un peu dans la chambre pendant quelques secondes. Je ne sais pas ce qu'il s'est passé pendant, mais ils n'ont pas perdu de temps debout, Sara lui fait une fellation à genoux, pourquoi s'humilie-t-elle de la sorte ? C'était quelque chose que je me refusais, mais vu la hargne qu'elle mettait à s'appliquer, elle semblait avoir dépassé le stade de ces considérations.

Alors ça te plait d'avoir une belle bite comme la mienne ?

J'avais la gorge nouée, c'était ce genre de spectacle détestable, mais tellement attirant, je ne parvenais pas à décrocher le regard de la bouche appliquée de mon amie. Heureusement, son envie précédait sa conscience, et elle préférait cette gâterie plutôt que de répondre à l'insolent. Thomas colle ses mains autours de ses cheveux et l'oblige à un mouvement plus rapide. Pour lui, elle n'est rien d'autre qu'un trou visiblement. Lorsqu'elle se retire pour respirer, je l’entends rire avant d'elle-même remettre le couvert.

Oh oui, c'est qu'elle aime ça, l'infidèle.

Juste rappel à l'ordre, mais qui sonne comme un coup d'épée dans l'eau, c'est bien trop tard pour que son infidélité, permise ou non, puisse refréner ses pulsions. Il la relève et la tourne vers moi, je me glace. Ce n'est qu'un hasard de leurs amours, son regard se porte en ma direction, mais dans le vague. Innocemment, donc, Thomas me montre la masturbation virile à laquelle il soumet le sexe de mon amie. Sara chante, roucoule, gémit, toute son envie est enfin stimulée. De son autre main, le Juda apporte sa flute aux lèvres de Sara qui boit sans la moindre protestation.

Trois doigts la pénètrent. Cela a été si vite que je ne doute pas de l'excitation de Sara, livrée à ses démons. Doucement, il les retira, forçant mon amie à goutter son propre miel, tout en se réservant un doigt pour lui. Une fois les deux satisfaits, l'homme recommence ses caresses endiablées, sauf que sa main libre vient à présent malmener son sein gauche, elle pourrait protester, mais non, elle en redemande !

Il la décale doucement et la fait se courber vers le canapé. Son chant devient des hurlements de plaisir, ainsi positionné, Thomas a cru qu'il était temps de la prendre furieusement ... Sans le préservatif demandé par le mari et la femme n'est plus en mesure de s'en rendre compte. Ses coups de reins sont rapidement furieux, il coulisse, il la prend, il la bourre, bref, ça n'a rien à voir avec l'amour, ce n'est qu' une scène sexuelle passionnée ... et adultère.

Humm ... On va réveiller le voisinage si tu continues !
C'est ... C'est pas grave ...
Et ton amie ?

D'un coup, je bascule sur le côté, en sueur, tremblante, je constate alors qu'inconsciemment ma main se portait à mon entrejambe et me faisait du bien. Je viens doucement frotter mon front, cette subite mention de moi m'avait-elle révélée.

Hum ... Elle... hum... est malade et dort...

Voilà que cet aveu me permet de venir regarder la scène, au fond, je ne suis qu'une perverse malgré la surprise qui me tiraillait l'estomac. Ils ont encore changé de position, cette fois Thomas est assis sur le sofa et Sara a les genoux de part et d'autre de l'homme s'empalant joyeusement. Je ne lui savais pas une soif aussi insatiable. Ce voyeurisme me rendait folle, j'alimentais le feu volontairement en moi à présent.

Soudain il se retire, son pénis coulissant entre les lobes de ses fesses pour jouir à grosses saccades. Je vis le jet s'épancher sur la table basse. Leurs lèvres se nouent et un long baiser commence. Je vois la puissance du membre premier se mourir peu à peu. Thomas la quitte et va boire un peu de vin, heureux d'avoir eu ce qu'il comptait trouver en ce lieu : un orgasme.

C'était parfait, Sara. Merci.
Je ... De rien, mais c'est loin d'être fini !
Hey, je suis un vieux célibataire, tu m'en demandes trop là !

Elle ne dit rien, mais je la sais insatisfaite et en colère d'avoir servi de poupée vivante, ses joues s'empourprent, sa conscience lui revient et elle pose ses pieds sur le sofa, entourant ses genoux de ses bras. Thomas continue de faire son charmeur, mais il se rhabille déjà, sans se laver. Je n'en revenais pas, il avait pris la femme de son pote et assumait pleinement son intérêt égoïste. Sara le raccompagne, presque forcée pour garder un peu de dignité.

Une fois seule, je la vois rapidement nettoyer la table. Sara gravit les escaliers et passe un bon quart d'heure dans la salle de bain. Je la vois suivre le couloir de l'étage lentement, restant hésitante devant la porte de sa chambre. Elle y entre. Je ne sais pas ce qui s'y est passé, mais c'était garni en noms d'oiseaux.

JE SAIS ! MAIS ...
MAIS RIEN DU TOUT ! TU NE DORMIRAS PAS À MES CÔTÉS !

Je vis la porte s'ouvrir à la volée, la mienne se referma presque aussitôt avant que je me glisse dans mes draps. Mon cœur se souleva quand j'entendis ma porte s'ouvrir et sentir son corps se faufiler contre moi, partie précipitamment, elle ne portait qu'un string et un chandail. Je sentis ses larmes chaudes couler sur moi, je brûlais de la réconforter, mais je ne voulais rien laisser paraître. Je fis mine de me réveiller difficilement.

Humm... Sara ?

Elle pleurnichait dans mon dos et je me retournai pour la voir, je l'enlaçai doucement, moi-même nue, je n'avais pas de pyjama, je détestais ça. Mais ce n'était pas grave et puis si cela l'indisposait, c'était de sa faute. Mais pour l'heure, j'étais l'amie confidente dans les bras de laquelle elle allait pleurer. Passant de longues minutes ainsi, elle finit enfin par parler.

J'ai fait une grosse connerie ...
Je ... Quoi donc ?
Un homme est venu ce soir, un soi-disant ami. Je sais pas comment on s'en est retrouvé là, mais j'ai rendu mon homme cocu.
Oh ... Je t'avouerai ne pas avoir pu m'empêcher de t'entendre je pensais que c'était avec Mathias moi.
Non ... Je ne suis qu'une putain ...
Mais non ...

La forçant à se taire la plaquant contre mon épaule où elle pleura abondamment. Je lui caressai ses cheveux, elle était encore chaude comme la braise.

Tu pues le vin, ma chérie. On mettra ça sur ce compte et tu demanderas pardon à ton homme ... Il sait que tu l'aimes, ce n'est qu'un égarement provoqué, ce n'est pas toi ça !
Oui ...

Et la voilà qui se glissa entre mes seins pour y pleurer. Cherchait-elle le moelleux de mon corps ou la marche de l'adultère était-elle toujours enclenché ?
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Histoire de Saquelle

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