Le séminaire 4

Vers 11h00, alors que j'étais assoupie, on frappa à ma porte. Je sortis doucement de mon sommeil, enfilait rapidement un peignoir et partis ouvrir. Monsieur Hugon était là et s'inquiétait de mon absence.
- Désolé, je ne me sentais pas très bien et j'ai demandé à Monsieur Richard si je pouvais rater cette matinée.
- Oui je sais, c'est d'ailleurs lui qui m'envoie. Il semble que tout le monde ait eu droit à vos charmes... tout le monde sauf moi et je viens réparer cette erreur!!
Il joignit le geste à la parole et sans gêne, tira sur le cordon de mon peignoir. Les deux pans de celui-ci s'ouvrirent pour découvrir mon corps.
- wahou, ils ne m'avaient donc pas menti, vous avez des seins énormes!!
Monsieur Hugon n'était pas du tout mon type d'homme et j'avoue que j'étais fatigué de tout cela. Je tentais bien de reculer mais il m'attira à lui, et s'agrippa à mes fesses.
- Restez là ma chère... Je sens qu'on va bien s'amuser.
Il tenta de m'embrasser mais je le repoussais légèrement. Cela l'excita encore plus...
- Arrêtes de faire ta sainte nitouche... les autres m'ont raconté que tu étais une sacré salope... à mon tour d'en porfiter.
Sur ce, il me poussa sur le lit. Il se coucha sur moi et plongea sa tête sur mon entrejambe. Il me lécha le sexe et enfonça en même temps deux doigts dedans et un autre dans mon anus.
Je commençais à sérieusement mouiller sous ses caresses. Il me redressa, me fit retirer mon peignoir et dégrafa son pantalon. C'était le huitième sexe que je découvrais en 48 heures et celui ci était de taille normale, courbé avec un gland violacé.
Il m'attrapa autoritairement par les cheveux et me ficha son sexe dans la bouche. Je manquais d'étouffer tellement il avait été brutal. Il me faisait mal aux cheveux en me tenant fermement. Il allait et venait dans ma bouche comme s'il cherchait à me baiser la bouche.
- Fous toi à 4 pattes sale pute, je vais t'enculer...
Son vocabulaire contrastait avec l'homme distingué que je connaissais. Il cracha sur mes fesses et me mit de nouveau un doigt dans les fesses. Il joua un moment avec puis je sentis son sexe prendre sa place. Il s'enfonça lentement mais complètement. Une fois au fond, il commença des mouvements profonds et violents, s'agrippant à mes hanches. Il grognait en me prenant ainsi. C'était très excitant de me faire baiser aussi sauvagement et de me faire traiter de pute ou de salope.
Il m'attrapa par le cou et me redressa, m'obligeant à me cambrer davantage. Je sentais son sexe au fond de moi Il me baisait avec force. Je m'écroulais sur le lit, fesses relevées et il continuait son pilonnage en règle, son ventre claquant sur mes fesses.
Il se retira et me retourna. Il releva bien haut mes jambes et de nouveau me sodomisa. J'avais les jambes repliées sur ma poitrine et je le voyais suant comme un boeuf se déchaîner dans mes fesses.
Il continua de longues minutes et soudain, j'eus un orgasme. pour la première fois de ma vie, je jouis pendant une sodomie. Il eut un petit rictus de contentement mais cela ne l'arrêta pas.
Finalement, il se retira et s'écroula à côté de moi. Il me saisit par la nuque et dirigea ma tête vers son sexe. Je le repris dans ma bouche et le suçais.
- vas y salope, pompes ma queue... je vais te jouir dans la bouche... je crois que t'adores avaler...
Je m'appliquais et sentis rapidement son sexe secoué de spasmes se mettre à cracher sa semence.
Il jouit une grande quantité de sperme et j'avalais le tout en plusieurs fois.
Il se mit à rire.
- nom de dieu, quelle salope!!! je sens qu'on t'a trouvé un nouveau job à la boîte!!! tu vas devenir la videuse de couille officielle!!!! T'arrêtes pas de me sucer, je sens que tu vas me redonner envie!!

Je continuais ma fellation et il me baisa de nouveau, finissant de jouir sur mes seins...

Le séminaire se termina... enfin... et nous reprîmes le train pour un retour sur Paris. J'étais épuisée mais du tout de même sucer Youssef dans le train après qu'il m'ait coincé aux toilettes!!

De retour à la maison, je n'osais croiser le regard de mon mari. J'étais honteuse. Ces deux jours m'avaient transformé en salope...

Le lundi suivant, je fis venir le médecin et lui demandais un arrêt de travail. Je n'étais pas vraiment malade mais j'avais terriblement mal aux mâchoires, aux fesses et aux muscles du vagin...

Je reçu tout de même un coup de fil de Monsieur Richard qui m'annonça que j'avais une promotion et que mon salaire serait multiplié par deux. C'était officiel, je devenais la pute de ma société!!