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Le voisin de palier

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Lue : 5939 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 30/07/2019

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Je me prénomme Estelle, je viens d'avoir 19 ans et j'entre en fac de médecine à Paris. Mes parents m'ont trouvé un petit appartement au 5ème étage d'un immeuble dans le 10ème arrondissement. Je viens d'y emménager, une grosse semaine avant le début de mes cours. C'est un petit deux pièces assez lumineux au bout d'un couloir qui dessert 5 autres appartements.

Dès le premier jour, après avoir déballé mes cartons, j'ai visité un peu le quartier à la recherche des bonnes adresses pour ma future vie d'étudiante. J'ai vite trouvé mes marques en me baladant quelques heures chaque jour. Lors de ces sorties quotidiennes, j'ai eu l'occasion de croiser plusieurs habitants de l'immeuble. Quelques étudiants habitant aux étages inférieurs, une vielle dame croisée au premier et une maman et ses trois enfants qui semblaient habiter au dernier étage juste au dessus de mon appartement.
Je pensais que ce serait cette famille qui pourrait me déranger en faisant du bruit mais dès le 3ème soir, c'est de l'appartement voisin que les nuisances sonores furent les plus gênantes; En effet, alors que je bouquinais dans mon lit, adossée au mur de ma chambre, des gémissements provenant de derrière le mur arrivèrent à mes oreilles. Ce fut d'abord comme une douce plainte mais rapidement les gémissements se transformèrent en râles et parfois en petits cris. J'entendais également nettement les craquements du lit et ce dernier devait être contre le mur et régulièrement il tapait contre celui-ci. C'était très troublant et je dois l'avouer excitant. Ce qui me surprit le plus c'est que les ébats de mes voisins durèrent près d'une heure avec une intensité rare. J'entendais parfois la voix de l'homme, une voix rauque qui encourageait sa partenaire. Au moment de l'explosion finale, la fille n'arrêtait pas de crier et j'imaginais sa tête plongée dans un oreiller pour tenter d'étouffer l'expression bruyante de son plaisir. Le bruit de claquement de peau contre peau me laissait deviner leur position. Je l'imaginais, elle à quatre pattes, fesses relevées, la tête écrasée sur le lit, et lui s'agitant derrière elle.

Toutes ces pensées n'avaient fait que m'exciter davantage et je me caressais en même temps les accompagnant dans leur jouissance.

Le silence revint enfin et je m'endormis, le clitoris encore gonflé du plaisir que je m'étais donné. Du haut de mes 19 ans, j'étais toujours vierge. C'était un choix de ma part. Issue d'une famille très catholique, je m'étais promis de rester vierge jusqu'au mariage pour offrir cette partie la plus intime de mon être à mon futur époux. Malgré tout, je savais me donner du plaisir et j'avais également appris à freiner les ardeurs de mes derniers petits copains grâce à mes mains mais aussi à ma bouche. C'est fou ce qu'un garçon est moins entreprenant lorsqu'il vient de jouir !!

Je m'endormie donc ce soir là, des images érotiques plein la tête. A ma grande surprise, les gémissements de ma voisine reprirent au milieu de la nuit et de nouveau le lendemain au réveil. Quelle santé pensais je en écoutant, cette fois-ci, l'oreille collée au mur !

Deux jours plus tard, ce fut de nouveau la même chose mais il me sembla d'emblée que la voisine n'était plus la même, ces gémissements étaient très différents et je me dis que mon voisin avait l'air d'être un chaud lapin et qu'il collectionnait les conquêtes. Ce scénario se reproduisit quasiment tous les deux jours et je dus bientôt acheter des boules kies afin d'éviter de voir mes nuits écourtés par les moeurs de mon voisin.

J'avoue que plusieurs fois je me suis caressée en écoutant collée au mur, imaginant leurs positions et physique. Je n'avais encore jamais croisé ce fameux voisin. Un soir alors que je rentrais de mes cours, lorsque j'arrivais sur le palier, il était là, devant moi entrain de quitter son appartement et de fermer sa porte. C'était un grand type, d'environ 30 ans. Il devait être d'origine africaine. En me voyant, il me fit un grand sourire et me salua. Je répondis aimablement mais je baissais les yeux, intimidée par cet homme dont j'entendais les frasques sexuelles quasi-quotidiennes.
Alors que j'apprêtais à ouvrir ma porte, il m'interpella
- ah vous êtes ma nouvelle voisine ?
- euh oui...
- je m'appelle Traoré me dit-il en me tendant sa main.

Je tendis la mienne.
- enchantée, moi c'est Estelle !
- bienvenue dans l'immeuble !
- merci !
- si je fais trop de bruit quand je rentre le soir, n'hésitez pas à taper du poing contre le mur, me dit il avec un grand sourire
- ah... euh... ok...c'est gentil !
- bon allez je file, bonne journée !!
- bonne journée à vous aussi !
- on se tutoie entre voisins me dit il avant de partir

Le soir même, je l'entendis rentrer. Je glissais un oeil depuis l'arrière de ma porte et vis qu'une fois de plus, il ne rentrait pas seul. C'était une jolie blonde plus âgée que lui qui l'accompagnait et il ne me fallut pas attendre très longtemps avant de l'entendre gémir dans la pièce d'à côté. J'étais très troublée, je me demandais comment il faisait pour ramener presque chaque soir une nouvelle femme et surtout je me demandais ce qu'il pouvait bien leur faire.
Étonnamment, ce soir là, il semblait déchaîner et il fut beaucoup plus bruyant qu'à l'accoutumée. Pourtant je restais discrète et ne tapais pas au mur comme il me l'avait demandé. Nue comme un ver sur mon lit, je me caressais frénétiquement jusqu'à l'orgasme tandis qu'il concluait dans une débauche de râles et de cris de sa partenaire.

Cette nuit là, je rêvais de mon voisin et je me réveillais trempée de sueur vers 2h du matin, Je me levais pour aller boire et j'entendis la porte de mon voisin s'ouvrir. Discrètement j'allais épié par l’œilleton posé sur la porte. La femme était entrain de partir et ils s'embrassèrent une dernière fois devant ma porte. Je n'en revenais pas, car je découvris le dos nu de mon voisin mais également une partie de ses fesses. Il se retourna soudain vers ma porte et eut un petit sourire en fixant l'oeilleton derrière lequel je me mis à rougir de honte de les observer et surtout d'être repérée !

Deux jours plus tard, alors que je me préparais à manger, on frappa à ma porte. C'était Traoré. Je lui demandais un instant, juste le temps d'enfiler autre chose que mon tee-shirt blanc à moitié transparent que je portais. Je lui ouvris et il me fit un grand sourire en se penchant vers moi pour me faire la bise.
- désolé de te déranger, je voulais savoir si tu pouvais me dépanner d'oeufs... me demanda-t-il tout naturellement.
- euh, je dois avoir ça...

Je retournais dans ma cuisine et ouvris le frigo.

- t'es bien installée me dit il alors qu'il était entré dans l'appartement.
- ah oui merci... il t'en faut combien ?
- deux si c'est possible ?

Je lui tendis les deux oeufs tandis qu'il continuait à regarder.

- ça sent rudement bon ce que tu cuisines me dit-il en voyant ce qui cuisait dans la casserole.
- oh c'est pas grand chose...
- tu me fais goûter ?

Un peu surprise, je lui tendis la cuillère qui trempait et je le regardais faire.

- c'est super bon ! me dit il, quand est ce que tu m'invites !!!??

je souris prenant ça pour une boutade mais il insista.

- je suis dispo demain... ou même ce soir si tu en as assez ?

Il ne manquait pas d'air et s'incrustait à mon dîner. J'aurais dû trouver une excuse mais je restais muette.

- bouges pas, je m'occupe de la boisson.

Il ressortit et revint quelques instants plus tard avec une bouteille de vin.

- tu aimes le vin ?
- euh... oui... mais...
- allez je t'en sers un verre... ils sont où tes verres ?

Je lui indiquais le placard et le laissais faire comme chez lui. Tandis que le repas continuait de mijoter, il s'installa dans mon petit canapé et me fit signe de le rejoindre. J'étais intimidée mais docile et je m'assis à ses côtés. On trinqua et je bus mon verre d'une traite.
C'est alors que je sentis sa main sur ma cuisse. Ce fut comme une décharge électrique. Je ne bronchais pas, me servant un nouveau verre de vin que je bus tout aussi vite. Traoré s'enhardit alors, sentant l'effet qu'il faisait sur moi. Il se colla un peu plus à moi. Sa main droite caressait ma cuisse tandis que la gauche se glissa derrière mes épaule, m'enlaçant. Je ne bougeais pas, à la fois excitée et terrorisée.

Sa main remonta vers mon entrejambe. Autoritairement, il m"écarta les cuisses. Ses doigts se plaquant contre mon sexe au travers de mon pantalon. Je le laissais complètement faire, écartant largement mes cuisses, ne me concentrant plus que sur la chaleur qui naissait au creux de mes reins.
Il me fit tourner la tête et sa bouche se souda à la mienne. Son baiser fut sensuel et bestial. Il se redressa et vint se mettre à genoux au pied du canapé. Ses mains dégrafèrent mon jean. Je soulevais légèrement mes fesses et il tira sur mon vêtement entraînant par la même occasion mon petit string.
Il avait tellement sûr de lui que je le laissais faire. Il glissa ses mains sous mes fesses et me tira vers lui collant immédiatement sa bouche à mon sexe humide.

Sa bouche et sa langue me firent alors découvrir des plaisirs insoupçonnés. Il était d'une redoutable efficacité. Sa langue aspirant, léchant, suçant mon clitoris gonflé par le plaisir, si bien que je laissais partir dans un orgasme terrible en quelques minutes, laissant échapper un profond râle de plaisir et de bonheur.

Il se redressa, s'essuyant du revers de la main sa bouche luisante de ma mouille. Il se releva complètement et retira son tee-shirt, laissant apparaître un torse musclé, noir comme l'ébène. Je le regardais faire, retrouvant peu à peu mes esprits. Il dégrafa son pantalon et le tira vers le bas. Il portait un slip déformé par son sexe. Il en attrapa les côtés et le fit descendre me faisant découvrir un membre à moitié gonflé mais déjà très gros.
Il poussa ses vêtements plus loin et s'approcha de moi. Je me retrouvais avec son sexe devant mon visage. J'en tremblais d'excitation. Je me devais de lui rendre la pareille et je le pris en bouche. Le membre se fraya un chemin entre mes lèvres et je le sentis gonfler encore tandis que ma langue tournait autour. Je m'appliquais, suçant avec délectation ce sexe hors norme.

Il m'encourageait de sa voix douce et chaude.
- c'est bien bébé... fais doucement comme ça... elle est trop bonne ta bouche !!

Il avait glissé sa main à la découverte de ma poitrine et me malaxait un sein, agaçant le téton qui pointait sous mon petit pull.

Il se retira soudain et m'aida à me relever. Il me retira mon haut, dévoilant ma poitrine libre de tout soutien. Il m'embrassa de nouveau et me pelota les seins. Je sentais contre moi son membre désormais dur comme de la pierre.
Je le repoussais doucement.
- je suis vierge... lui dis-je timidement... et je veux le rester... je suis désolé!
- pas de soucis bébé... y'a plein de moyen de se donner du plaisir autrement !!

Il m'entraîna vers ma chambre et nous nous allongeâmes, étroitement enlacés. Il me laissa faire et je le repris dans ma bouche, Je le sentis prendre mes hanches et me tirer vers lui. Sa bouche se plaqua de nouveau alors sur ma vulve trempée et pendant de longues minutes, nous nous donnâmes du plaisir mutuellement.
Sa langue glissa gentiment vers mon anus et je la sentis s'y enfoncer. Il me tenait par les fesses et les écartait pour pouvoir plonger toujours plus loin. Je me laissais faire, appréciant cette caresse nouvelle pour moi. Il glissa alors son pouce dans mes fesses et commença à le faire tourner. Cela dura plusieurs minutes, ses doigts jouaient dans mes fesses, dilatant doucement mon petit trou.

Son sexe dans ma bouche était toujours aussi dur et avait atteint des proportions monstrueuses. Je commençais à avoir mal aux mâchoires et je me contentais de le branler, le serrant fort dans mes mains.

Traoré me fit rouler sur le côté et se releva, il retourna vers le salon et revint quelques instants plus tard avec un préservatif. Il s'en affubla.

- je t'ai dis que je ne voulais pas lui dis-je
- t'inquiètes bébé, tu vas rester vierge... je vais te prendre par derrière, tu vas voir, c'est encore meilleur !!

Il me retourna comme une crêpe et me tira vers lui, collant mes fesses à son bas-ventre. Je le laissais faire, attendant avec impatience et inquiétude la suite des événements. Je sentis alors son sexe appuyer sur mon petit trou.Il fit cela en douceur et son membre prit gentiment sa place entre mes fesses. C'était une sensation ni douloureuse ni agréable, une sorte de gêne remplacée rapidement par une chaleur intense. Son sexe s'enfonçait inexorablement, centimètre par centimètre.
Je compris que j'étais déflorer de ce côté là lorsque je sentis son ventre toucher mes fesses. Il était complètement en moi. Il ne bougeait plus comme pour me laisser m'habituer à ce corps étranger en moi.

C'est finalement moi qui lui indiqua que j'étais prête. J'ondulais doucement du bassin et il commença alors de lents vas-et-viens sortant presque la totalité de son membre avant de le replonger entièrement.

Je me mis à me caresser en même temps tandis que ses mouvements s'accéléraient. Il me prit pendant de longues minutes, mon petit trou était complètement dilaté et son sexe coulissait désormais très facilement malgré son calibre.

J'ai joui deux fois sous ses coups de reins sans vraiment savoir d'où venait mon plaisir. Je me suis surpris à crier tandis que les orgasmes me tétanisaient. Je m'écroulais sur le lit tandis qu'il continuait à aller et venir. Il se retira, enfin, et me retourna. Je le vis arracher son préservatif et il vint se positionner au dessus de moi. Son sexe était tendu prêt à exploser. Je le pris à pleines mains et le caressais lentement, sentant la sève monter. Il gonflait encore et soudain, un premier jet de sperme jaillit, s'écrasant sur mon menton et mes seins. Ce fut alors plusieurs jets qui sortirent avec puissance, m'aspergeant les seins et le cou. Je n'en revenais pas d'une telle quantité de sperme. Il s'approcha un peu plus de moi et je le suçais de nouveau, finissant d'avaler les dernières gouttes de sa semence.

Il me regarda avec un air triomphant et je l'allumais un peu plus en me caressant les seins, étalant son sperme. Il alla chercher la bouteille de vin entamé et en bu une gorgée. Il me la tendit et je fis de même. On s'embrassa de nouveau et je sentis contre moi son sexe encore raide.
Il me demanda s'il pouvait se passer sous la douche et je le regardais s'y rendre, admirant ses fesses musclées et rebondies. Je le rejoins sous la douche et nous nous embrassâmes passionnément.

Traoré est ensuite rentré dans son appartement. Le lendemain, je l'ai entendu avec une nouvelle femme. Je n'étais pas jalouse, je savais désormais que je pouvais moi aussi profiter de ses services...!!
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Commentaires du récit : Le voisin de palier

Le 10/02/2024 - 01:59 par Lila
Merci, c'est très bien écris et très agréable à lire
Le 27/04/2021 - 15:04 par gentlman3324
Très bon récit, belle écriture, quel plaisir de lire...!! merci

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