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Le wagon

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Lue : 19462 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/01/2010

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Le wagon
Voilà une histoire qui m’est arrivée il y a de cela environ 6 mois l’hiver dernier:
Bien décidé de partir skier cet hiver-là, je décide de partir dans les Alpes, pas très loin de la Suisse dans une station que je connais déjà bien. Je n’avais pas envie de partir avec ma voiture si bien que j’ai décidé de prendre le train, ce qui allait m’éviter bien de la fatigue.

Arrivé après Annecy, je m’installe dans le dernier tortillard menant en bas de ma station fétiche. Le wagon de queue dans lequel je m’étais installé ne comportait aucun voyageur à mon grand étonnement, j’avisai alors deux femmes en uniforme de contrôleuses à qui je demandai où étaient les autres passagers du train. Elles m’expliquèrent alors que j’avais dû forcer très fort la porte d’accès puisqu’elles avaient fermé l’accès de ce wagon aux voyageurs pour pouvoir se reposer après les contrôles des billets :
- Ce n’est pas grave, installez vous , d’autant que vous êtes plutôt chargé ! dit la plus jeune d’entre elles. Environ la trentaine, elle était assez jolie avec de jolis cheveux longs roux et ses taches de rousseur. L’autre me proposa d’installer mes skis plus vers l’arrière du wagon.
- Donnez moi vos affaires, là bas, elle ne risqueront pas de tomber ou de s’abimer, dit l’autre agente. Je la remerciai. Pour sa part, elle avait environ 45 ans, brune aux cheveux courts, plutôt sexy. Après avoir installé mes affaires, nous nous sommes installés tous les 3 à un emplacement où 4 places se font faces.

Nous avons discuté de choses et d’autres, ou j’allais, bien évidemment et d’où je venais. Elles étaient du coin et allaient souvent skier en cette saison dans la station dans laquelle je me rendais, et elles me donnèrent de bons conseils sur les restaurants à fréquenter, les pièges à touristes à éviter. Au bout de 2 stations, la plus jeune d’entre elles qui s’appelait Héloise nous salua puisqu’elle finissait son service et son mari l’attendait sur le quai. Marie et moi nous retrouvions alors seule face à face dans ce grand wagon et continuions notre conversation :
- Et vous ? Où rejoignez vous votre famille ? Lui demandai-je.
- Mon mari vit à Lyon et je dormirai cette nuit de l’autre côté de la frontière, à Genève me répondit elle. « Et c ‘est ainsi 2 fois par semaine, c’est plutôt agréable de se retrouver célibataire loin de mes deux enfants et de mon mari, ça me rappelle mon célibat ! » Dit elle en souriant, tandis qu’elle releva sa jambe gauche sur le petit promontoire le long de la cloison.

J’eus alors le loisir d’apercevoir sa jolie culotte de dentelle blanche par l’entrebâillement de sa jupe grise, ce qui ne manqua pas de m’émouvoir…Elle me regardait fixement en souriant, ayant deviné mon émoi, je lui demandai alors :
- Et que faites vous de vos soirées de célibataire ? Ciné ? Resto ? Télé ?
- Je vous laisse deviner me répondit elle avec un air coquin cette fois ci en écartant ses cuisses complètement.

Cette fois-ci je compris qu’elle voulait vraiment se montrer à moi.
- C’est plutôt bien d’avoir un wagon à sa disposition, ça me donne des idées
- Quel genre d’idées me demanda-t-elle en poussant sur le côté sa culotte, dévoilant ainsi une belle chatte très brune.
- Le genre que vous faites tout pour me donner, plaisantais-je.
- Est-ce que cette idée ne serait pas de vous occuper de ma chatte par exemple? elle eut à peine fini sa question que je lui entrais mon pouce dans sa bouche afin qu’elle le suce.
- Je trouve que c’est une excellente idée , lui répondis- je en me baissant pour atteindre son beau minou tout rose. Je fis aller et venir doucement mon index sur ses lèvres écartées pour l’exciter, elle avait le souffle court et elle ne me lâchait pas du regard.

Je décidai de prendre les choses en main ; je me penchai sous la tablette qui nous séparait et lui écarta les cuisses et présenta mon visage face à son beau sexe tout en la regardant droit dans les yeux. Ayant deviné mes intentions, elle en soupira d’impatience, je lui plongeai enfin ma langue entre ses lèvres et la lui enfonçai le plus profondément possible, elle poussa un cri qui n’eût échappé à personne si le wagon n’avait pas été désert ! Je la léchai goulûment ainsi pendant plusieurs minutes, prenant un plaisir fou à donner du plaisir à cette belle femme que je ne connaissais pas il y avait encore une demi heure.
- Maintenant je voudrais voir si vous baisez aussi bien que vous léchez , me lança-t-elle. J’avais un gourdin terrible et je ne savais pas si elle aurait voulu que je la prenne ou qu’on en reste à ce petit cunni vite fait bien fait, mais voilà qu’elle réclamait maintenant ma queue et je ne me fis pas prier : je l’allongeai sur le côté de façon à l’allonger sur la banquette, je sortis ma queue bien raide devant elle et lui dit :
- Cela vous convient-il chère dame ?
- Oh oui amplement, cher monsieur dit elle , elle se cambra pour se relever et d’un coup avala ma queue dans sa bouche et me suça comme une affamée pendant une bonne minute après quoi je la poussai pour la forcer à se pencher, lui souleva les jambes, fis glisser mon gland le long de sa fente à 3 ou 4 reprises puis m’enfonça d ‘un coup dans sa belle chatte offerte en lui donnant de grands coups de butoir frénétiques.

Visiblement, elle adora cette entrée en matière puisqu’elle jouit une première fois très rapidement, j’étais heureux de l’avoir fait jouir, elle , une femme d’expérience qui n’en était sans doute pas à sa 1ere cavalcade extra conjugale. Je la limai comme un fou, ma queue était de plus en plus dure et elle était maintenant fascinée par le spectacle de mon membre s’enfonçant en elle. Elle me regarda alors et me dit :
- C’est de loin le meilleur voyage que j’ai fait en train
- Je vous retourne le compliment, lui répondis-je. Je prenais un plaisir fou à baiser cette belle femme qui en redemandait, je n’avais même pas pris la peine de la déshabiller, elle avait sa jupe retroussée jusqu’à la taille, et elle gardait sa culotte écartée pour mieux m’offrir sa chatte, son chemisier encore boutonné sous sa veste portant son badge de contrôleuse.
- J’ai envie de vous bouffer les seins ! lui-dis je. Je lui dégrafai alors sa veste et déboutonnai son chemisier et découvris son mignon soutien gorge blanc d’où je libérai deux beaux seins bien blancs et fermes.
- Oooh! Voilà de beaux nénés de jeune femme », la complimentais-je, en me penchant sur elle pour lui sucer ses tétons tout roses. Cela lui plut tout de suite, en plus de lui lécher les seins, je continuai de baiser sa chatte trempée et elle eût presque aussitôt un 2è orgasme. Cette garce m’excitait comme rarement je l’avais été et je sentais que cela ne tarderait pas à être mon tour de prendre mon pied.
- « Viens ! »me dit-elle, lâche tout maintenant
- Oh oui je vais venir, votre chatte est trop bonne, je sens monter du jus, et il va y en avoir beaucoup!, lui dis-je. Ma respiration commença à se faire de plus en plus courte alors qu’elle me regardait fixement, devinant que j’allais bientôt jouir à mon tour. Alors que je n’en pouvais plus, je retirai ma queue de sa fente pour me branler sur ses tétons. Elle m’empoigna alors ma queue et me branla tout en gardant mon gland dans sa bouche, mon pénis cracha alors de longues giclées et je ne pus m’empêcher de crier en sentant sa bouche m’aspirer tandis qu’elle continuait d’aller et venir avec sa main. Elle retira mon membre de sa bouche et me regarda en souriant ;
- «Cétait bon? », de ses lèvres coulait un peu de sperme.
- C’est plutôt à vous qu’il faut le demander, c’est la 1ère fois qu’une femme avale mon sperme, lui dis-je.
- J’adore sentir une queue venir dans ma bouche, et je sais que les hommes adorent ça, c’est pas vrai?
- Oh oui ! C’est vrai, c’était trop bon, mais je sens qu’il m’en reste encore! J’étais tellement excité que je me sentais près de jouir une 2è fois, ma queue était encore bien raide et je lui dis :
- Si vous le voulez bien, je voudrais venir sur vos seins
- « Encore! dit-elle, étonnée, Ou vous voudrez, vous m’avez tellement bien baisée… »

Cela finit de me mettre le feu, de nouveau je, je sentis le foutre monter et me branlai de plus en plus fort entre ses adorables seins, je jouis une nouvelle fois, cette fois-ci en recouvrant sa poitrine de bonnes giclées de sperme, elle les massa lentement, étalant l’épais liquide avec ses doigts.
- C‘était trop bon, la remerciais-je.
- «Cette fois, c’est moi qui vous retourne le compliment, il y a longtemps que mon mari ne m’a pas faite jouir comme ça », dit elle en se léchant les doigts, goûtant ainsi mon sperme une dernière fois.

Je l’aidai ensuite à se relever en l’embrassant à pleine bouche, elle m’avait vraiment donné beaucoup de plaisir et je tins à l’en remercier. Nous nous sommes rhabillés mutuellement et avons repris notre conversation, et après un quart d’heure , le train étant arrivé à ma destination, je descendis en l’embrassant une dernière fois. Ni elle ni moi n’avons voulu demander les coordonnées de l’autre, ayant peu de chances que nos vies se recroisent un jour, et nous nous sommes quittés dans un long regard.
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Histoire de denislamalice

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