Léchage d'anus et femme fontaine.

L'histoire qui va suivre va raconter la première fois que j'ai mangé un cul et la première fois que Julie a été femme fontaine.

Cette histoire a eu lieu en mars ou avril 2007. J'avais rencontré Julie quelques mois plus tôt en juillet 2006 un soir de finale de coupe du monde. La soirée s'annonçait morose mais sans le savoir j'allais rencontrer la femme de ma vie. Mais bon le but n'est pas de vous faire découvrir notre rencontre. A l'époque malgré mes 22 ans je n'avais pas trop d'expérience sexuelle. J'avais bien eu quelques histoires avec quelques filles mais rien de très sérieux et surtout rien de bien folichon niveau sexe. Du missionnaire, une ou 2 levrettes et une fellation. Donc pas de quoi pavaner devant les copains.

Julie bien que plus jeune ( 18 ans ) était légèrement plus expérimentée que moi sans toutefois être une experte. Elle avait connu une seule relation sexuelle mais bien plus longue que toutes mes conquêtes rassemblées. Elle connaissait tous ce que j'avais fait mais connaissait aussi le cunnilingus, l'andromaque et la fessée. Donc comme je disais rien de bien transcendant non plus.

On a appris tous les 2 à dépasser nos limites. À expérimenter des choses. Avec Julie ça a toujours un peu fonctionné pareil, à plusieurs jours de sexe intense, 6 ou 7 jours de suite à le faire 3 ou 4 fois par jour ( record de 8 ), succèdent des périodes de calme plat. Durant les 2 premières années les périodes de calme plat duraient maximum 3 jour. La fougue des débuts.

Pour l'histoire que je vais raconter on sortait de 3 jours sans sexe, et il y avait une tension sexuelle entre nous bien palpable. J'avais décidé d'aller la chercher au lycée car elle finissait à 15h30 le mardi. Sur le trajet du lycée à chez sa mère elle reçu un appel de sa mère qui lui annonçait qu'il n'y aurait personne chez elle avant 19h30 et qu'il faudrait qu elle se charge de faire cuire le gratin pour pouvoir manger à 20h00. Après avoir raccrochée elle me dit avec une voix sensuelle:
- mes 2 frères ( nés d'une 2ème union ) sont récupérés par mes grands parents à l'école ( comme très souvent le mardi ) et une de mes soeurs dort chez une copine et l'autre à sport. Quand à mon beau père il fini à 19h30 et ma mère à 19h15. On va avoir l'appartement juste pour nous 2. Tout ça en me lançant un grand sourire qui en disait long sur ses intentions. D'ailleurs un fois sa phrase terminée elle posa sa main sur ma cuisse. Les 10 minutes de trajet qu'ils restaient me parurent interminables.

À peine le pas de la porte de chez sa mère passé nous nous sommes embrassés comme si on ne s'était pas vu depuis de longs mois. Personnellement je bandais comme un fou, et mon jean me faisait un mal de chien. Julie qui descendait ses mains sur mon corps sentit la bosse à travers mon jean. Elle ouvrit mon pantalon ce qui contribua à me soulager. Puis elle s'agenouilla sortit ma bite du caleçon et me suça. Une pipe merveilleuse, bien effectuée alternant le rythme. Bref encore aujourd'hui c'est sans doute la meilleure fellation que l'on m'ai faite ( avec celle effectuée par Cathy dans l'histoire la seule et unique fois où j'ai trompé ma femme ). Julie continuait de me sucer comme une mort de faim. J'étais aux anges mais sentait aussi que si ça durait trop je n'allais pas tenir longtemps. Je lui demande de remonter et de m'embrasser. Nos langues se sont à nouveau liées. J'adore l'embrasser juste après qu'elle m'ai sucé, sentir ce mélange de sa bouche avec un petit goût de ma bite. Je crois que ça décuple la sensation d'un simple baiser.

Après quelques minutes sans cesser de nous embrasser nous avons quittés l'entrée pour sa chambre. Une fois arrivés dans sa chambre je pris les commandes. Je lui enleva son pull et lui ôta son soutien gorge. Je caressais vigoureusement ses 2 seins qui pointaient déjà. Je léchais et mordillais les mamelons ce qui la faisait sursauter a chaque fois. Je faisais rouler ses tétons sous mes doigts et n'hésitais pas à tirer légèrement dessus ce qui la faisait gémir de plaisir. J'avais l'impression que mon sexe allait exploser tellement il était dur. Je déboutonais le jean de Julie et le fis glisser jusqu'à ses genoux. Julie était bloquée entre le mur derrière elle et l'armoire sur sa droite. Vu qu'elle ne pouvait pas se dégager je me suis déshabillé entièrement face à elle, le sexe dressé comme rarement. J'étais le chasseur, elle était ma proie. Une proie sans résistance qui s'est déjà que son sort est réglé, sauf qu à la différence de la vie sauvage le supplice sera un orgasme et non la mort.

Je me recula de quelques centimètres de façon à la voir, profiter de sa beauté, de son excitation que je voyais à ses lèvres gonflées, ses seins pointés, et le scintillement de son regard. Cette lueur veut dire fais de moi ce que tu veux je suis bouillante. Je me rapprocha d'elle la prit par les cheveux et la força à se mettre à 4 pattes au sol. Elle avait son jean et son string au niveau des chevilles, je contemplais sa vulve et son trou du cul. Puis dans un élan alors qu'on en avait jamais parlé avant je me mis à 4 pattes derrière elle et je commença pour lui lécher l'anus. Doucement au départ car je ne savais pas si j'aurais son approbation. D'approbation il n'y a pas eu, elle me fit comprendre que ma langue sur sa rondelle lui faisait énormément plaisir. Elle se cambra plus de façon à ce que je puisse lui dévorer le cul de manière énergique. Je m'appliqua le plus possible et je dû être très bon vu les gémissements qu'elle poussait. Je continuais à lui dévorer l'anus comme si c'était la dernière fois que je le faisais. Je sentais son anus devenir de plus en plus mou sous l'effet de ma langue.

Julie couinait et haletait de plus en plus fort. Je me sentais surpuissant, ma langue la faisait devenir dingue sans que je n'ai besoin de lui lécher la chatte ou de lui titiller le clitoris. J'avais entendu dire qu'on pouvoir avoir un orgasme anal mais étant a l'époque relativement jeune je pensais que c'était une légende urbaine. Mais en fait non, Julie était en train de prendre un pied d'enfer sans que je ne lui touche autre chose que son anus. Elle s'était d'ailleurs cambrée encore un peu plus. Je continuais à lui bouffer le fion, mais j'ai décidé de lui rentrer 2 doigts dans son vagin. Elle était trempée, je ne l'avais jamais vu aussi trempée. Mes 2 doigts sont rentrés sans aucun effort. Après plusieurs aller retour, je les ai ressorti j'aurais pu les essuyer, ils dégoulinaient de mouille,un peu comme si je les avais passés sous l'eau. Julie hurlait de plus en plus. Elle me supplia de la baiser.

Je la pris tel quel en levrette sur le lino de sa chambre. Je la pillonais à une sacrée cadence. Ça a duré approximativement 3 minutes ou ma bite faisait des aller retour et la faisait hurler a chaque rentrée car je tapais dans le fond à chaque aller. Après 3 minutes plus qu'intense je m'écroula sur elle en sueur. Mon coeur battait à une vitesse folle, il fallait que je laisse redescendre mon rythme cardiaque avant de pouvoir continuer. Julie me prit par la main et m'emmena sur le lit. Elle me dit:
- tu en as assez fait laisse toi faire.
Je lui souries en retour. J'étais allongé sur le lit que le dos, Julie vint prendre position sur ma verge dressée pour elle. Elle posa une main sur mon cœur qui battait toujours la chamade. Elle ondulait du bassin gérant la vitesse et la longueur de la pénétration. Elle accéléra le rythme pendant que j'avais ses 2 seins dans mes mains. Elle sortit de mon sexe et me demanda de me mettre debout. Elle plaça ses 2 seins autour de mon sexe et m'a terminée en branlette espagnole. La première de ma vie. Après nous être calinés pendant de longues minutes je me leva et je vis sur le lino une flaque. Julie avait vraiment mouillée grave au point de faire une flaque sur le lino. J'avais déclenché les prémices d'une éjaculation féminine intense.

J'étais pas peu fier. Pour un premier bouffage de cul je m'en étais super bien tiré. Il me faudra plusieurs années avant de pouvoir la sodomiser ( cf la soumission de ma femme ) mais j'ai su cet après-midi là qu'un jour j'y aurais droit si j'arrivais à lui redéclencher un orgasme anal. Puis après s'être rhabillée elle alla mettre le gratin à cuire comme sa mère lui avait demandé. Je la caressais pendant qu'elle enfournait le plat. Une fois relevé elle m'embrassa amoureusement et me chuchota à l'oreille :
- la prochaine fois que tu veux prendre des initiatives n'hésite pas c'est fabuleux, merci mon chéri.