Les aventures d'une secrétaire (partie 2)

Voilà plusieurs jours que j'allais travailler depuis notre petite aventure et que je ne voyais pas Simon. Il faut dire que la charge de travail était importante et il passait toutes ses journées sur chantier. Je m'apprêtais tous les jours avant de venir me faisant des films à mon bureau sur comment il pourrait rentrer et me prendre passionnément. Le soir en rentrant, j'enlevais toujours ma culotte humide de tous mes fantasmes et je me touchais avec mon vibromasseur, déçue que ce ne soit pas la belle bite de Simon…

Pourtant, une dizaine de jours plus tard, alors que je venais de me faire une infusion et que je m'étais rassise à mon bureau. J'entendis le bruit d'une portière dans la cour de l'atelier. Je regardai à la fenêtre et vit sa voiture. J'ai de suite senti une bouffée de chaleur m'envahir. Et bien qu'impatiente, je ne voulais pas lui laisser l'impression que je l'attendais.

Lui, par contre, semblait pressé de me voir. Quelques secondes seulement après s'être garé, il arrivait à ma porte.

J'étais assise, les jambes serrées pour me forcer à garder une certaine contenance. Je voulais qu'il vienne à moi. Qu'il soit le prédateur et moi sa proie.

Ce jour là, j'étais habillée simplement, avec la vague de chaleur, j'avais opté pour une robe d'été bleu nuit. Elle avait de fines bretelles et un décolleté qui laissait deviner une poitrine généreuse, sans être vulgaire. Je ne portais pas de soutien-gorge et juste un shorty en dentelle. Lui, portait un jeans de travail et un t-shirt blanc. Ce genre de jeans lui allait à la perfection, laissant deviner ses fesses magnifiquement rebondies.

Il s'adressa à moi:
- " J'ai été attiré par cette bonne odeur de menthe"
Déçue de la tournure de la conversation je lui dit:
- "Ho ce n'est que mon thé, tu veux y goûter ?"
Volontier!

Il s'approcha de moi, mais plutôt que de prendre ma tasse, il se pencha et m'embrassa doucement les lèvres.

- "Mmh, il est parfumé mais je n'ai pas saisi toute sa saveur".

Je posa la tasse et me leva pour l'embrasser à pleine bouche. Il glissa sa main dans mes cheveux ondulés, je mis mes mains sur son torse. Comme j'aimais sentir son corps musculeux de travailleur. Nos langues s'entremêlèrent dans un baiser fougueux et passionné et alors que je me serrais contre lui, je sentis son sexe grossir de plus en plus.
Quand finalement, je touchai sa verge à travers son jeans, il me repoussa.

Il fit un pas de recul, me scruta de haut en bas et posa ses mains sur mes épaules. Il fit glisser les bretelles de ma robe, et celle-ci tomba au sol, me laissant nue devant lui seulement couverte par mon shorty.

Sa voix devint rauque: " mon Dieu, ce que tu es belle".

Je n'y tenais plus et dans un murmure je répondis :"prends-moi".

Il me retourna, poussa avec sa main sur mon dos pour que je me penche. Je posais les deux mains sur le bureau et me cambrais autant que je le pouvais, lui offrant ma chatte humide de désir. Je l'entendis ouvrir son pantalon, sa respiration était forte et haletante. Je sentais son envie même dans son souffle.

Il ne prit pas la peine d'enlever ma culotte et la repoussa juste sur le côté. Je sentais son gland à l'entrée de mon vagin. Il y entra avec délicatesse. Sa bite me remplissait bien et dans cette position je sentais, quand il s'enfonça jusqu'à la garde, qu'il atteignait le fond.

Après ce premier mouvement, il s'assura que c'était bon pour moi. Une fois qu'il eût été rassuré, il se mit à me prendre avec passion. Ses mouvements étaient vigoureux et réguliers, il savait se servir de son gros chibre. Il continua ainsi pendant plusieurs minutes, s'agrippant à mes hanches pour donner la mesure et mettre plus de force de son mouvement. Le claquement de nos corps accompagnait mes petits cris et gémissements. Je jouis rapidement une première fois, sentant les pulsations de l'orgasme dans mon vagin et cette douce chaleur m'envahir. Heureusement que nous étions seuls aujourd'hui au bureau parce que je ne retenais plus mes cris…

Je relevais ma jambe droite pour la poser sur le bureau et lui offrir encore un peu plus de liberté de mouvement et il en profita pour glisser un doigt entre mes fesses. Quand je sentis son doigt je fus surprise, mais tellement excitée que je le laissais faire. Et puis je pris vite goût à cette sensation alors que je n'avais jamais pratiqué la sodomie.

Dix minutes s'étaient écoulées et il m'attrappa les cheveux et les tira:
-"T'aimes ça, te faire baiser par ton collègue !"
-" Oui, vas-y, sers-toi de moi! Je veux sentir ton sperme tout chaud dans ma chatte"

A ses mots crus, il augmenta la cadence et après quelques coups de rein, sa bite se mit à cracher sa semence en moi et nous avons joui en même temps.

Tandis que je me retournais vers lui pour l'embrasser, je vis mon autre collègue, Luc, la bite en main. Il était dur et semblait vouloir son tour…


À suivre