Les aveux de Cécile

Voilà quelques années maintenant que Cécile et moi nous nous sommes séparés. Notre rupture n’a pas été facile car nous aimions beaucoup le sexe et avions eu quelques expériences libertines très chaudes malgré notre jeune âge : la vingtaine passée de peu.


Après une relation de 5 ans et quelques rencontres libertines, Cécile et moi avons officialisé notre rupture auprès de nos amis mais, en secret, nous avons eu du mal à nous séparer et ainsi, nous avons continué à nous revoir pour des relations très chaudes sans engagement. Malgré tout, Cécile prit ses distances car elle désirait que l’on se sépare vraiment afin de pouvoir être plus disponible et retrouver quelqu’un d’autre.

Le temps me parut bien long et l’absence de sexe, surtout avec elle, était difficile à vivre pour moi. Un couple d’amis, Sylvie et Rachid, sachant que l’on était séparés ont proposé à Cécile de venir en Tunisie en vacances pour 2 semaines, me laissant ainsi seul. Dès son retour, je fus ravi de la revoir et l’invitai chez moi pour voir un film.

Même si je désirais très fort qu’elle craque et qu’elle me saute dessus, je voulais aussi respecter ses désirs de chasteté alors j’attendis, encore et encore et, rien ne se passa. J’étais fier mais très frustré. Le lendemain matin, nous sommes sortis pour faire quelques courses. Nous discutions et je lui ai expliqué que j’étais à deux doigts de craquer mais que j’étais content que tout se soit passé selon ses désirs.

Sa réponse m’apparut aussi inattendue qu’irréelle. Elle était contente de voir que je m’étais bien tenu et concernant ma frustration sexuelle de ces dernières semaines, elle m’expliqua qu’elle savait ce que c’était. Pourtant, elle s’était un peu foutue de moi car sa frustration n’avait pas été aussi forte que la mienne.

Elle m’avoua avec le sourire en coin qu’elle avait « rencontré » quelqu’un en Tunisie ! Alors mon cœur se mit à battre très fort. Je commençai à la questionner sans interruption. Tout d’abord, si elle avait couché avec lui. La réponse fut oui. S’il habitait en France et était en vacance en Tunisie. Elle me dit que non. Alors, je compris qu’il s’agissait d’un tunisien. Alors elle commença à tout me raconter.

C’était un conducteur de calèche qui emmenait les touristes en promenade. Elle avait expliqué la veille à Sylvie et Rachid qu’elle ne pourrait jamais sortir avec un tunisien car ce n’était pas son genre, elle n’aimait pas trop leur état d’esprit. Sylvie et surtout Rachid était un peu choqués car ils étaient eux même un couple franco-tunisien. Elle me dit qu’elle fut totalement discréditée lorsqu’ils ont appris qu’elle sortait avec le conducteur de calèche.

C’est ce qu’elle leur a dit bien entendu mais en fait, on ne pouvait pas parler de rencontre sexy, on ne pouvait même pas dire qu’ils sortaient ensemble, Cécile m’avoua en voyant mon excitation prendre le pas sur ma jalousie qu’elle voulait juste du sexe.

Elle savait le goût prononcé que j’avais de la voir se faire prendre par un autre homme. Il est vrai que là je ne vis rien mais elle décida de tout me raconter. Elle m’expliqua que le premier jour elle repoussa ses avances pas très insistantes mais très claires. Dès le lendemain, elle le fit entrer dans sa cahute et passa à la casserole.

Ce tunisien parlait un français approximatif et ne bénéficiait pas d’une grande culture. Il n’avait jamais entendu parler du sida et n’avait pas même de capote. Cécile n’en avait pas non plus mais elle était tellement en chaleur qu’elle ne résista pas et fit comprendre au mec ce qu’elle voulait. Je lui ai demandé des détails, je voulais voir comment elle avait vécu les choses.

Elle me dit qu’elle l’avait emmené près de son lit où elle s’était assise. Elle en profita pendant qu’il était encore debout pour poser les mains sur son pantalon et sentir son sexe se tendre. Elle baissa son pantalon aux chevilles et constata que son sexe pas tout à fait encore en érection était très large sans être trop long. Ils ne se connaissaient pas et ne s’étaient presque jamais parlés mais elle prit son sexe dans la main puis dans la bouche et le suça « comme une chienne » selon ses termes.

J’étais fou à entendre ces mots sortir de sa bouche et le sexe de ce tunisien y entrer et en sortir. Elle m’avoua adorer se donner en spectacle pour lui, ce tunisien parlant pas très bien le français et qui lui avait dit savoir ce que les européennes en vacances ici venaient chercher. Encore des mots qui me firent bander d’excitation. Cécile est allée en Tunisie donner à un étranger qui n’avait aucune bienveillance pour les blanches une fellation comme j’aurais aimé qu’elle m’en fasse.

Cécile me répéta qu’il lui avait dit traiter les femmes volages françaises comme des putes. Elle le savait donc et pourtant lui donna tout ce qu’il voulait. Elle n’avait pas de capote mais Cécile se mit toute nue quand même et s’allongea sur le dos. Et après lui avoir fait promettre de ne pas éjaculer en elle, écarta les jambes. Je voulais plus de détails et demandai s’il avait fourré sa langue dans sa petite chatte. Elle me dit que non. Malgré mon excitation, Cécile ne me disait pas ce que je voulais entendre mais s’en tenait bel et bien à la stricte vérité.

Elle m’expliqua qu’il n’avait pas été tendre. Qu’il avait pris son large sexe dans sa main, qu’elle avait eu un peu d’appréhension quand il l’avait approché de sa chatte. Mais il l’enfila sans problème car Cécile mouillait beaucoup de se faire prendre comme ça sans retenue. Toujours avec beaucoup de détails, Cécile m’expliqua qu’il la pénétra longuement en lui écartant les jambes afin de bien sentir son sexe la pénétrer et surtout afin de bien voir sa petite chatte de blanche s’écarter pendant ses incessants aller-retours.

Puis elle pensa qu’il en avait assez alors il accéléra le rythme, toujours en matant sa chatte. Cécile m’avoua qu’elle avait pris son pied en l’observant se régaler comme il le faisait. Elle m’a avoué avoir joui deux fois et c’est à la deuxième reprise qu’il décida de se retirer et de lui mettre tout son foutre sur le ventre. Il se leva, rapprocha son sexe du visage de Cécile et lui mit son sexe dans la bouche. Cécile le suça encore un peu avant qu’il lui dise : « vous êtes de vraies salopes ».

Cécile n’était pas très fière à ce moment là mais elle m’a dit que ça ne l’avait pas empêchée de recommencer. J’étais tellement excité, il n’était pas question que seul ce mec profite d’elle comme ça, je ne l’avais jamais connue aussi perverse et ce soir là, j’ai pu aussi en profiter et je lui ai passé dessus plusieurs fois en pensant à ce mec qui avait bien profité de cette petite chatte blanche en chaleur.