les débuts de ma soumission

Je suis Virginie, une femme séparé de 60 ans. J'ai rencontré mon nouveau compagnon et maître il y a 4 ans. Sur un défi je suis devenu sa cougar soumise. Il a 4 ans de moins que moi. Il a su combler quelques unes de mes lacunes et m'ouvrir à d'autres plaisirs.

Je suis venue raconter ce récit parce qu'il m'a otdonné de m'inscrire sur au moins un site d'histoire de sexe pour écrire l'un de mes excellents moments de plaisir.

Le récit que je vais vous raconter date du début de ma soumission. Il avait un séminaire au mois d'août d'une semaine à Paris et étant disponible je l'ai imploré de pouvoir le suivre sur la capitale. Il n'a pas oublié de me rappeler les conséquences de ma venue avec lui. J'étais consciente que ma soumission prendrait un autre virage que celui que nous vivions dans notre ville ou nous étions reconnaissable.
J'ai obtenu son accord à genoux devant lui, les mains dans le dos, ma tête entre ses cuisses...

Nous avons pris nos billets pour un TGV en première et il a choisi des siéges en fin de wagon côte à côte. J'étais impatiente de ce séjour qui selon moi présageait une nouvelle facette de ma soumission. Dans l'attente de notre départ, j'ai commencé à faire une liste pour remplir mes valises. Il y avait une partie d'une d'elle qui serait consacrait aux jeux qu'il avait prévu pour notre séjour. Certains de mes jouets ne prennent pas trop de place mais certaines tenues n'avaient pas cette avantage. La place restante devait servir à mes vêtements journaliers.

Quelques jours avant notre départ, il a souhaité inspecter mes valises. Pendant son inspection j'ai senti son agacement, qui s'est transformé en petite tornade quand il a commencé à vider mes bagages. J'étais complétement honteuse de l'avoir mécontenter. La seule partie de la valise qui était encore intacte contenait les jouets et tenues de soumission.
Il s'est tourné vers moi et m'a simplement dit de son ton autoritaire ''mets toi en position''. Je savais pourquoi, pas besoin de lui demander, je me suis mise sur le lit à genoux la tête sur l'oreiller, mon postérieur bien cambré. Quand la cravache s'est abattu sur mon cul j'ai commencé à compter à haute voix en le remerciant de m'appliquer cette punition . Aprés le premier coup de cravache j'ai senti ma peau rougir et ma chatte qui commençait à dégouliner. Aprés le 5 iéme et dernier coup, il a caressé ma fente trempée et m'a ordonné de jouir, je lui ai obéi et j'ai joui immédiatement en giclant, inondant sa main qu'il s'est empressé de venir me faire lécher. Je me suis écroulée sur le lit complétement exténuée. Aprés avoir repris mes esprits, il m'a ordonné de faire ma valise sous ses instructions. Tous les vêtements qu'il a commencé à choisir étaient très sexy voir ambitieux pour quelqu'un de mon âge. Je n'ai fait aucune remarque mais il m'avait vu être dubitative concernant certaines tenues, il a compris et m'a rappelé que nous ne connaissions personne à Paris et que je devais être une belle salope soumise. Petit détail, j'ai oublié de me décrire. Je suis assez grande, cheveux blonds courts, yeux bleus clairs, j'ai un 90C qui tombent un peu mais encore haut pour mon âge, un petit ventre rond, un cul ferme et appétissant, des cuisses fuselées avec presque pas de cellulite et des genoux fins et de petits mollets. J'attire encore le regard des hommes et j'ai pu le constater de certaines femmes aussi. Voilà j'ai rectifié mon oubli.
Mes valises sont prêtes, jupes courtes, robes à boutons, débardeurs, chemisiers transparents, escarpins, cuissardes et biensur aucuns sous vêtements. Il aime me savoir les seins libres et la chatte prête lorsque nous sortons.

Le jour attendu est arrivé, je suis stressée pour notre voyage, il a choisi mes vêtements et je porte une jupe en jean mi-cuisses et un débardeur à bretelle blanc assez moulant. Le UBER nous attend devant l'immeuble et je respire, c'est une conductrice. Elle descend pour nous aider à ouvrir le coffre de la voiture et me salut, il se penche et embrasse notre Uber, Bonjour Catherine, merci de ta disponibilité, elle rigole, me regarde de la tête aux pieds, sourit et me dit ''tu es très jolie''. J'ai le souffle coupé et je prononce un petit merci du bout des lèvres. Nous démarrons, je regarde mon maître en voulant comprendre mais il ne dit rien, au contraire il glisse une main entre mes cuisses et remonte doucement en faisant coulisser ma jupe vers le haut. J'essaye de l'arrêter, je vois son regard qui m'ordonne à le laisser faire, son regard me fait mouiller, pire ma jupe remontée me permet d'ouvrir mes cuisses plus facilement. Sa main remonte, caresse mes lévres, son doigt rentre d'un coup sans résistance tellement je suis trempée. Mes fesses glissent vers le bord du siége, son doigt remonte vers mon bouton à jouir et je commence à partir. D'un coup je me rappelle où nous sommes, je regarde notre conductrice qui nous épie dans son rétroviseur. Elle me sourit et m'envoie un baiser. Je n'en peux plus, il m'ordonne de jouir, je perds le contrôle de mon corps, je crie mon plaisir et un long jet gicle de ma chatte arrosant le tapis de la voiture. Je léche ses doigts avec le regard de Catherine qui semble m'envier. Il plonge ses doigts dans ma chatte et se penche en avant pour que Catherine les léche. Elle regarde dans le rétroviseur et je vois ses yeux noisettes sur mon débardeur, je baisse mes yeux et je comprends en voyant mes tétons encore durs percés le fin tissu. Notre trajet arrive à sa fin, j'ai eu le temps de me nettoyer un peu et de remettre ma jupe pour que je puisse sortir de la voiture sans rien dévoiler. Bagages roulant sur le trottoir Catherine nous embrasse et me dit merci tu as bon goût. Je suis encore avec mon plaisir.

Nous nous dirigeons vers notre compartiment et aprés avoir rangé nos valises nous prenons nos sièges. Je commence à comprendre le choix des siéges, le seul passager qui peut nous voir et celui assis de l'autre coté du couloir. Des hommes, que je suppose d'affaire à la vue des costumes cravates envahissent le compartiment, je redoute que l'un d'eux vienne s'asseoir sur le siège à coté. Mais ils restent grouper à l'avant du compartiment. Je commence à être rassurée en envisageant un siége libre.
Le TGV commence à prendre de la vitesse, je vais pouvoir questionner mon maître sur Catherine mais il n'en est rien. Il m'ordonne de remonter ma jupe et de poser mes fesses nues sur le siège, je m'exécute et je me sens dégouliner à nouveau. Il me commande de me carresser, prend son téléphone commence à filmer le compartiment pour finir sur moi, je suis déjà prête à jouir mais il m'ordonne de me retenir. Ma grotte est trempée et mes doigts font un bruit de clapotis que j'essaye de diminuer en les rentrant et sortant doucement. Il arrête de filmer et m'invite d'un regard a stopper. J'étais impatiente de jouir pour qu'il puisse garder ma jouissance en cadeau.
Le TGV ralenti nous allons rentrer en gare. Ma jupe est toujours sur mes hanches, je pose mes mains sur mes cuisses pour cacher ma nudité. Certains passagers descendent d'autres montent. Un groupe d'hommes et femmes se dirigent vers nous, ils se connaissent et échangent bruyamment. Je perds confiance concernant la place de l'autre côté du couloir. Ils s'installent et la place est prise par un homme âgé en tout cas plus que moi ! Lol.
Le train repart, le téléphone ressort et le film commence. Je suis déjà trempée, son regard est clair pas besoin qu'il parle, je me caresse et je suis déjà sur le point de jouir. Il filme encore le compartiment et enregistre le brouhaha du dernier groupe à être monté. Son regard dans mes yeux sont sans commentaire, je dois jouir. Le plaisir est là, une pression de mon index sur mon clito et je part la bouche bien ouverte pour ne pas crier les yeux grands ouverts en le regardant par défi d'avoir réussi son ordre et je m'écroule sur mon siège.
Je tourne la tête vers la fenêtre et par réverbération je constate que notre voisin n'a rien remarqué je suis soulagée !
Notre voyage continu je rabats ma jupe et nous partons chercher un café au compartiment bar.
Une petite halte s'impose pour me rafraîchir, je rentre dans le wc suivi de mon maître. Il me filme pendant que je me nettoie et me demande si j'ai compris ce que ce voyage entrainait. En même temps que je répondais que je m'en doutais il a desseré sa ceinture, ouvert son pantalon et m'a ordonné de le sucer. Je me suis mise à genou sans attendre et j'ai pris sa queue en bouche pour finir de le faire durcir. Pendant qu'il continuait à filmer il a placé sa main derrière ma tête et a forcé ma bouche comme j'aime, pour une gorge profonde faisant sortir mon jus de gorge à chaque mouvement. Le lieu était étroit mais il prenait son élan pour bien s'enfoncer. On entendait quelqu'un s'impatienter à la porte mais il s'en fichait et sur une dernière poussée il s'est vidé au fond de ma gorge dans un râle bestial me permettant d'avaler toute sa semence. J'ai pris le temps de bien le nettoyer, récupérant sur le bout de la langue une dernière goutte de foutre. Il s'est rajusté et nous sommes sortis sous les yeux d'un homme surpris qui s'est arrêté de pester.
Aprés le café, nous sommes repartis vers nos places (on n'a pas croiser notre râleur). En arrivant, nos places avaient été prises par les ''bruyants'' sans gêne. Nous les avons gentiment déloger et la valse des siéges a changer notre voisin par une voisine. Le trajet avait encore une halte remplissant complétement le wagon. Au bout d'un moment une torpeur a envahit une partie des passagers et un calme relatif s'est installé. Mon maître m'a ordonné de me remettre dans ma position et en vérifiant que ma voisine sommeillait j'ai remonté ma jupe et j'ai écarté les cuisses permettant à ses doigts de venir me fouiller et branler. J'étais excitée au maximum et je n'ai pas tardé, avec son autorisation, a jouir. Mais il ne voulait pas que cela s'arrête et il m'a fait jouir encore 3 fois et s'est immobilisé d'un coup. Je l'ai regardé et ses yeux regardaient la vitre, j'ai tourné la tête et j'ai vu notre voisine nous épier. J'ai essayé de cacher ma nudité et de m'enfoncer au fond de mon siège mais j'ai été rattrapée par mon maître qui m'a interdit de faire cela. Je l'ai supplié du regard mais il aussitôt tourné la tête et il a parlé à notre voisine. J'ai pu entendre les mots spectacle, intéressant, excitant et essayer, elle a eu un mouvement de tête pour dire oui. Mon maître s'est levé et la voisine a pris sa place à côté de moi pendant qu'il restait debout à l'angle des siéges. J'étais affolée mais il a parlé à l'oreille de cette femme qui devait avoir mon âge, de taille moyenne, les cheveux bruns et longs, un chemisier contenant une poitrine menu et libre et qui laissait apercevoir des tétons trés longs et déjà dur. Elle l'a regardé pour voir un hochement de sa tête me désignant. Elle s'est penchée vers moi et à murmurer à mon oreille qu'elle m'avait vu jouir plusieurs fois et que cela l'avait étonné et excité, de la même maniére je l'ai informé qu'il m'était déjà arrivé de jouir encore plus de fois. Je pensais que nous allions en rester là mais elle a tourné la tête vers mon maître qui s'est à nouveau penché vers elle pour lui parler longuement. Elle m'a alors regardé et j'ai senti sa main se poser sur ma cuisse, j'ai sursauté et regardé mon maître qui avait repris son téléphone pour filmer. J'ai compris que ce voyage serait remplis de surprise. La main de ma voisine avait continué sa progression vers ma vulve trempée. Elle s'est penchée vers moi et à commencer à me parler crûment entraînant l'ouverture de mes cuisses. Je sentais sur mon bras le téton durci de son sein gauche, sa voix murmurant des mots connus et utilisés avec de temps en temps la chaleur d'un baiser sur mon coup. Elle m'a doigter profondément je sentais sa main fine que j'essayais de pousser pour la faire entrer entièrement pour qu'elle me fiste. Encore une fois je ne pouvais plus résister et losque j'ai joui presque en silence j'ai plaqué ma bouche sur la sienne en giclant sur le sol du compartiment. Quand j'ai senti sa main quitter ma chatte je l'ai rattrapé et en la reposant sur mes lévres je lui ai demandé de le faire encore. Elle m'a regardé en souriant et ses doigts en bougeant ont repris possession de mes lévres. J'ai commencé à caresser ses tétons a travers son chemisier et de mon autre main je caressais les miens, j'ai senti sa main essayer de me fister sans que je la force ce qui m'a fait jouir encore une fois. Cette fois ci c'est sa bouche qui est venu sur la mienne pour étouffer mon plaisir. A ce moment là une annonce dans les haut-parleurs nous a séparé par crainte d'ètre surpris par les voyageurs émergeant de leur sommeil. Elle a regagné sa place aprés que je l'ai remercié du moment accordé, j'ai remis ma jupe en place et j'ai filé au wc pour me rafraîchir à nouveau. A mon retour mon maître dialoguait avec elle et lui montrait son téléphone. Je me suis assise et notre voisine est partie vers les wc. Mon maître m'a félicité de mon attitude et j'ai pu me blottir dans ses bras pour le remercier de ses attentions à mon égard.
Notre voisine a mis du temps pour reprendre sa place mais j'ai quand même remarqué ses joues roses et le clin d'œil qu'elle nous a adressé avant de s'asseoir....
Une certaine effervescence avait commencé dans le compartiment comme si tout le monde allait descendre alors que le train n'était pas encore en gare. Une attitude encore incomprise.
Notre voisine s'affairait également à préparer sa valise et nos ''bruyants'' avaient recommencé a s'interpeller à travers le wagon.
Mon maître calmement installé avait déjà envisagé une suite et ma main a vite trouvé son sexe qui dépassait de son pantalon. Je branlais sa colonne de chair et ma chatte recommençait à dégouliner. Notre voisine de retour vers son siège nous a regardé et s'est penchée pour me murmurer que j'avais de la chance d'avoir un homme comme lui. Elle a fait glisser sa main vers sa queue et la caressé avant de passer ses doigts sur sa bouche. Elle nous a souhaité un bon séjour et est repartie vers son groupe aglutiné vers la sortie. Tous les voyageurs attendaient l'ouverture de la porte maintenant que le train s'était immobilisé, il a mis sa main derrière ma tête et docilement je suis venu pomper sa bite profondément. Sa queue était trempée de mon jus de gorge, nous étions seuls en dehors des passagers qui passaient devant la fenêtre, il m'a fait mettre debout, remonté ma jupe et m'a assis sur sa bite qui s'est facilement enfoncée au fond de ma grotte à foutre. En quelques mouvements il a grogné et j'ai senti son foutre me remplir. Il m'a redressé et m'a présenté sa queue pour que je la nettoie, aprés ce geste de soumission je lui signale que je sentais son sperme sortir de ma grotte il m'a ordonné de tout récupérer avec mes doigts et de tout avaler. Cela n'a pas été simple mais j'ai réussi a ne pas faire tomber une goutte sur le plancher qui n'avait pas encore séché de mon plaisir.

Nous avons quittté le train et nous sommes partis cherché notre Uber pour regagner notre hôtel. Le trajet a été effectué tranquillement pendant que nous regardions défiler les lieux de nos peut-être futurs jeux sexuels.

Le séjour fera peut-être l'objet d'une nouvelle histoire. Nous avons revu Catherine à notre retour. Malheureusement notre voisine ne nous a jamais contacté par la suite. Mais si elle vient à lire ce récit, qu'elle sache que j'ai pris beaucoup de plaisir et que nous continuons à voyager en TGV...