Les deux copains de mon fils

Bonjour. Je m’appelle Carole, quarante deux ans, et bien que divorcée depuis deux ans, je suis une femme comblée, a tous points de vue, j’ai un travail qui me permet de vivre décemment, un fils, Kilian, formidable, qui va fêter ses dix huit ans.
Je tiens à lui faire une surprise, aussi, ai-je invité, à son insu, une dizaine de copains et copines.
Depuis que je suis séparée, je n’ai eu connu aucune relation, même pas la moindre aventure. Quelques petits flirts peut-être, lors d’une soirée entre amis, mais qui ne se sont jamais concrétisé au lit.
Pour aller faire mes courses, je me suis vêtue simple. Jupe à mi-genoux, petit gilet boutonné, tendu par mes superbes seins, libérés de soutien-gorge.
J’arrive à la cime de l’escalator, et me dirige directement vers la cafétéria, et commande un café. C’est à ce moment que deux ados me rejoignent.
- Bonjour, madame, disent-ils en cœur.
- Tiens...Lucas et Sylvain, quel hasard de vous rencontrer ici.
Lucas et Sylvain sont les deux meilleurs potes de Kilian, beaux comme lui. Un temps, je les soupçonnais de fantasmer sur moi. Faut dire que j’ai gardé un corps superbe, qui attirer les convoitises de mecs en manque de sexe.
- On se baladait...regardait s’il y avait de nouveaux CD, dit Lucas.
- Au fait, je compte sur vous samedi...c’est l’anniversaire de Kilian.
Ils ne risquent de manquer cette soirée pour rien au monde. Que le fait de ma présence, contribue à entretenir l’espoir, de pouvoir me draguer. Je trouvais cela très excitant, et avoue m’en amuser. Imaginez, deux potes de mon fils qui fantasment sur moi.
- Bien sûr, madame, c’est nôtre copain.
- Justement, je venais faire des achats pour samedi.
- On peut vous aider, proposa Sylvain
- C’est vrai...ça ne vous dérange pas ? Ben avec plaisir alors…
Je lis dans leur regard que leur proposition n’était qu’un prétexte pour rester avec moi, et que la présence d’une jolie femme, faisant les course avec eux, faisait la jalousie de certaines gens. Cela ne me gênait pas, bien au contraire, et me permettait de mesurer encore mon pouvoir de séduction.
Nous voila donc engagés dans les rayons, et autre têtes de gondoles.
C’est en me penchant sur le caddy, que je surpris le regard de Lucas plonger dans l’échancrure de mon gilet, ce qui me décrocha un petit sourire.
Après avoir vidé les courses dans la voiture, nous reprenions l’escalator, pour nous rendre cette fois, au rayon boissons.
- Doucement, dis-je, pas trop fort les alcools.
- Mais madame, c’est l’anniversaire de vôtre fils, fit remarquer Lucas.
- D’ailleurs, j’espère que vous allez trinquer avec nous.
- Ah ça...je sais pas si Kilian sera d’accord que je me mélange avec vous.
Malgré ces quelques remarques, je leur laisse le choix des boissons, sans trop regarder les degrés inscrit sur les bouteilles.
Une fois les achats terminés, nous nous dirigeons vers les ascenseurs. Direction, rez-de-chaussé.
Soudain, je sentis le regard de Lucas se poser sur moi. Il tendit la main, et me caressa la joue. En la retirant, il la fit glisser au niveau de mes seins.
Jugeant l’intervention maladroite, je me contentais de lui sourire.
Ce que je n’avais pas remarqué, c’est que Lucas avait appuyé au huitième étage, puis sur rez-de-chaussé. Tout ça pour rallonger la course, et profiter le plus possible, de la maman de leur pote.
Dans la descente, les attouchements se firent plus précis. Tandis que Lucas tentait de faire sauter un bouton de mon gilet, pour y glisser sa main, Sylvain, lui, essayait de glissé la sienne sous ma jupe. Je leur fit les gros yeux, et leur dis d’arrêter, que j’étais la maman de leur meilleur potes, et qu’ils pourraient être mon fils.
Ils s’excusèrent, et pour se faire pardonner, me proposèrent de me filer un coup de main à décharger les course chez moi. Ne voulant pas qu’ils croient que, malgré leurs écarts de conduites, j’étais fâchée, j’acceptais.
Sur le chemin du retour, Lucas s’installe sur le siège passager. Il est, et de loin, le plus coquin, et le plus entreprenant des deux. Je le vois reluquer sur mes jambes, d’autant qu’en me mettant au volant, ma jupe remonta haut sur mes cuisses. Lucas en profita pour y poser une main, qu’il fit glisser vers mon entre jambes.
- Arrêtes...tu vas nous faire avoir un accident.
- Justement, dit-il, la seule façon de l’éviter est de vous laissez faire…
A force d’insister, il retira sa main. Tout ça m’avait excitée, et sentis une légère humidité, sur ma fente épilée.
Après avoir tout rangés dans les placards et les frigos, je leurs proposais un à boire. C’est à ce moment que Lucas sort une bouteille de vodka, achetée en catimini, au supermarché. Ils s’installent au salon, et je sors trois verres.
Je n’ai pas l’habitude de boire, aussi, certainement un peux éméchée, j’allais m’asseoir entre les deux garçons. Décelant ma faiblesse et ma vulnérabilité, Lucas m’attira à lui, et me prit les lèvres, tandis que Sylvain déboutonna et ôta mon gilet.
Malgré mon état, je vis les deux ados cloués net, en découvrant les superbes seins, bien ferme de la maman de leur pote.
La surprise passée, Lucas s’attaque désormais à la jupe, qu’il fait glisser, entraînant avec elle ma culotte. Je me retrouve entièrement nue, devant les deux adolescent, potes de mon fils. Sevrés depuis bientôt deux ans, je décide de m’offrir. Je laisse les mains surfaient sur mon magnifique corps, accepte les doigts qui pénètrent ma chatte, excite mon clitoris. Je m’abandonne totalement.
Les garçons se déshabillent à leur tour. J’hésite longtemps à prendre leur sexe en main, mais l’hésitation s‘estompe vite, en voyant ses queues tendues en mon honneur. Je me penche et prend même celle de Lucas en bouche, tandis que Sylvain, a enfouie sa tête entre mes cuisses, et me bouffe la chatte. Je gémit de plaisir sous les vicieuses caresse des jeunes garçons.
Je suis bien décidée à repousser les interdits, acceptant même le doigt qui taquine son petit trou, ce qui me fait gémir d’avantage.
Les mensurations des deux ados, sont équivalentes, au-delà de celle que j’ai connu jusqu’à aujourd’hui. Je me souvient de celle de son mari, tout à fait normale, mais en deçà de celle que je suis en train de sucer, et de celle que le branle d’une main experte.
Sans tout à fait m’en rendre compte, la langue qui léchait ma chatte, et les lèvres qui aspiraient mon clitoris, déclenchent en moi, un terrible orgasme.
Sylvain et Lucas en furent surpris.
- Ouah...quels salauds vous êtes tous les deux.
Sylvain retire sa bouche et ses doigts de ma chatte ruisselante. Il s’accroupit, guide sa queue en totale érection, et me pénètre. Mon dieu, qu’elle douce impression, bientôt deux ans que je n’ai pas pris un coup queue, et voila que c’est une gamin de dix huit ans qui me le met. Cette pénétration me fait prendre plus profondément en bouche la bite de Lucas. Là encore, ça fait une éternité que je n’ai pas taillé une pipe, et c’est encore un jeunot de dix huit ans qui en profite. Cette jeune queue, je la sens vibrer sous ma langue, et refuse de la perdre lorsque les jets de sperme giclent dans sa bouche. J’avale tout goulûment, à la surprise du jeune garçon, dont ce doit être la première fois, avec une vraie femme. J’ai moi même été surprise d’être parvenue à tailler une pipe à ce jeune garçon, et de tout avalé, me rappelant que mon mari n’avait eu droit que très rarement à cette faveur, et encore, je me souvient éjecter sa bite de ma bouche, et le laisser jouir sur ses seins.
J’eus un joyeux sourire, à la pensée que j’allais faire subir le même sort, à la queue de Sylvain. Après une deuxième rasade de sperme dans ma bouche, aussi puissante et abondante que la première, je poussais Sylvain sur le canapé, l’enjamba et m’empala sur son calibre. Lentement, je commençais à onduler, cambrant mes reins et ma croupe au maximum. Je sentis Lucas s’approcher derrière moi, son gland taquiner mon petit trou. J’eus un léger sursaut, n’ayant jamais subi une double pénétration. De temps en temps, au cours d’une baise, mon mari me mettait un doigt, mais rien à voir avec la longueur et le diamètre, de la bites de ces deux ados.
Je serrais les dents, et décidais d’offrir la virginité de mon petit orifice à cet intrus. Une légère douleur d’abord, puis la plénitude du plaisir.
Je reprenais goût au sexe, car ce ne sont pas les quelques gâteries manuelles qui parvenaient à assouvir mes désirs.
Pendant deux heures, je retrouvais les sensations que je croyais perdues à jamais, et ce grâce à ces deux ados infatigables, qui ont sus me donner la jouissance qui me manquait.
Nous gisions enlacés sur la moquette, épuisés, ma main caressant leur virilité, les leurs caressant mon corps, qui n’avait plus de secret pour eux. Je voulais leur proposer d’aller à la chambre, me faire prendre dans mon lit, mais il était trop tard, mon fils allait renter.
C’est avec regret que je leur demandais de partir. Je leur demandais toutefois, de me promettre de ne rien dire sur cette relation.
Sylvain et Lucas l’ont bien compris, et m’ont promis de garder pour eux ce secret.
Sous la douche, je ressassais cette torride après-midi, n’en revenais pas d’avoir accepté cette double pénétration. Mais après le plaisir que Sylvain et Lucas m’avaient procurés, je ne pouvait leur refuser le moindre de mes orifices, en plus de ma bouche.
Puis vint la soirée anniversaire. Malgré les réticences de mon fils, Sylvain et Lucas insistaient pour que je trinque avec eux, et me proposèrent même de danser. Si la tenue de Sylvain était correcte, il n’en fut pas de même pour Lucas, qui me serrait un peu trop.
Vers minuit, les invités commencèrent à quitter la villa. Il ne restait que Sylvain et Lucas, qui m’aidèrent à coucher Kilian, épuisé par l’abus d’alcool.
Ils prirent le risque de me demander s’ils pouvaient partager mon lit.
Lit que je leur ouvris pour une nuit de plaisir, de jouissances et d’orgasmes.