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les mamans de mes élèves
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Je m’appelle M. Diop, professeur de CM2, originaire du Sénégal. Depuis mon arrivée dans cette petite ville française, j’ai appris à naviguer entre les regards curieux et les attentes d’un rôle que je tiens avec sérieux : celui du professeur charismatique mais irréprochable. Ce soir, c’est la réunion parents-professeurs, un rituel monotone de discussions sur les bulletins et les chamailleries d’enfants. La salle de classe, avec ses dessins d’élèves et son odeur de craie, est mon domaine. Pourtant, ce soir, une tension inexplicable me serre la poitrine, comme si l’air était chargé d’une énergie prête à déborder.
Mme Dubois entre en premier, la mère d’un élève turbulent mais brillant. Elle a une quarantaine d’années, blonde, avec une silhouette athlétique sculptée par le sport – probablement du crossfit, à en juger par ses jambes musclées et son dos droit. Sa tenue, un legging noir moulant et un haut ajusté, met en valeur chaque courbe. Elle s’assied, un sourire éclatant aux lèvres, et je commence l’entretien : les notes de son fils, ses progrès, ses petites disputes dans la cour. Elle écoute, mais ses yeux verts glissent sur moi, s’attardant sur mes mains larges, mes épaules carrées, mon visage. Son regard est trop insistant, trop chaud, mais je me dis que c’est mon imagination.
À la fin de l’entretien, elle ne se lève pas. Elle joue avec une mèche de cheveux blonds, croise les bras pour accentuer sa poitrine. « Vous savez, M. Diop, votre énergie dans cette classe… c’est magnétique. Mon fils ne parle que de vous. » Sa voix est douce, presque caressante, et je sens mon pouls s’accélérer. « Ces soirées doivent être épuisantes, non ? Toujours les mêmes parents, les mêmes questions… Vous ne rêvez pas d’un peu… de liberté ? » Le mot « liberté » résonne, chargé, et je bredouille un « merci », tentant de rester professionnel. Mais elle se penche, son parfum – citron frais mêlé d’une touche musquée – m’enveloppe, et je sens une chaleur monter.
Elle se lève, contourne le bureau, s’appuie contre le bord, si près que je sens la chaleur de son corps. « Parfois, il faut savoir lâcher prise », murmure-t-elle, sa main effleurant mon bras. Ce contact, léger mais brûlant, fait craquer quelque chose en moi. La fatigue des entretiens, la solitude d’être un étranger dans cette ville, la puissance contenue que je porte dans ma carrure… tout ça me rend vulnérable. Je pose ma main sur la sienne, hésitant, mais elle ne me laisse pas réfléchir. Ses lèvres trouvent les miennes, affamées, et je cède, l’embrassant avec une intensité qui me surprend. Mes mains glissent sous son haut, rencontrant sa peau ferme, et elle gémit, un son rauque qui fait vibrer ma poitrine.
Son legging est baissé en un instant, révélant un string noir en dentelle et des cuisses puissantes. Mes doigts tremblent en défaisant ma ceinture, et elle m’aide, ses mains s’enroulant autour de moi, ses yeux pétillant devant ma taille. Elle sort un préservatif, l’enfile avec une dextérité qui me fait grogner, et me guide en elle. Je la soulève légèrement sur le bureau, la pénétrant lentement, savourant la chaleur étroite de son corps. Ses jambes musclées s’enroulent autour de moi, et le bureau grince sous nos mouvements. Je me perds dans le rythme, ses gémissements rythmés par mes coups de reins.
C’est alors que la porte s’ouvre. Un craquement discret, mais qui me glace. Mme Martin, la mère d’un élève sensible, entre, en avance pour son entretien. Elle a un style strict : chignon serré, chemisier blanc boutonné jusqu’au col, jupe crayon gris anthracite, comme une institutrice d’un autre temps. Elle s’arrête net, ses yeux bruns écarquillés, fixés sur nous. Je m’attends à un cri, une fuite, mais elle reste figée, son souffle s’accélérant. Ses joues s’empourprent, et je vois ses doigts serrer son sac, ses lèvres trembler. Puis, son regard glisse vers moi – ou plutôt, vers l’endroit où nos corps se rejoignent. Elle se mord la lèvre, et je comprends, avec un frisson, qu’elle est fascinée, hypnotisée par ma présence, par ce qu’elle devine de ma virilité.
Mme Dubois ralentit, mais ne s’arrête pas. Elle tourne la tête vers Mme Martin, un sourire audacieux aux lèvres. « Tu veux nous rejoindre ? » dit-elle, sa voix rauque, comme une invitation à un jeu interdit. Mon cœur s’emballe. Je devrais tout arrêter, mais l’idée est enivrante – la salle de classe, les dessins d’enfants, le risque d’être découverts. Je regarde Mme Martin et murmure, ma voix grave roulant sur mon accent sénégalais : « Viens. »
Elle hésite, puis avance, ses talons claquant doucement. Elle s’arrête derrière Mme Dubois, ses mains tremblantes effleurant ses épaules. Puis, comme si un barrage cédait, elle glisse ses doigts sous le haut de Mme Dubois, caressant ses seins avec une avidité qui contraste avec son allure coincée. Mme Dubois gémit, arquant le dos, et je sens mon excitation grimper à un niveau presque insoutenable. « Pas un bruit », je murmure à Mme Martin, posant une main sur sa bouche, sentant ses lèvres chaudes sous mes doigts. Les couloirs pourraient être pleins, et ce danger amplifie chaque sensation.
Mme Dubois guide les mains de Mme Martin sur sa poitrine, et je les regarde, hypnotisé par leurs corps qui se synchronisent. Mme Martin descend une main le long du ventre musclé de Mme Dubois, trouvant son clitoris, et les gémissements qui s’échappent d’elle me rendent fou. Je continue mes va-et-vient, plus puissants, sentant Mme Dubois se contracter autour de moi. Elle jouit, ses spasmes m’enserrant, et je vois la jalousie dans les yeux de Mme Martin. Elle veut ce que Mme Dubois a eu. Elle veut moi.
« Vos dix minutes sont écoulées… À ton tour », dis-je, ma voix grave, autoritaire. Mme Martin s’agenouille, ses mains tremblantes défaisant ce qui reste de ma ceinture. Mais avant qu’elle ne me prenne dans sa bouche, je l’arrête doucement, voulant voir son corps, sentir son désir. Je relève sa jupe crayon, déboutonne son chemisier avec une lenteur délibérée, et son corps se révèle à moi. Sa peau est d’une blancheur éclatante, presque lumineuse dans la lumière tamisée de la salle, contrastant avec ma peau sombre. Ses petits seins, fermes et délicats, pointent sous un soutien-gorge en dentelle blanche, leurs aréoles roses à peine visibles. Je fais glisser le soutien-gorge, et ses tétons durcis me font grogner d’envie. Mes doigts explorent plus bas, et je découvre son minou, impeccablement épilé, lisse comme de la soie, luisant déjà de son excitation. Cette perfection inattendue, cachée sous son allure guindée, me rend fou, et je sens mon désir pulser plus fort.
Elle me prend enfin dans sa bouche, ses lèvres serrées autour de moi, ses yeux brûlant d’une fascination presque fébrile. Mes mains s’enfoncent dans son chignon, le défaisant, et ses cheveux châtains tombent en vagues désordonnées. Elle est vorace, ses doigts pétrissant mes fesses, l’autre main explorant ma base, et je lutte pour garder le contrôle. Mme Dubois, remise de son orgasme, se glisse entre les cuisses de Mme Martin, sa langue trouvant son minou lisse. Mme Martin tremble, un cri étouffé par ma main, et son orgasme explose, son corps convulsant sous l’assaut.
Je l’attire vers moi, enfile un nouveau préservatif, et la pénètre d’un coup, brutal et précis. Sa peau blanche rougit sous l’intensité, et ses petits seins tressautent à chaque poussée. Je couvre son cri d’un baiser profond, ma langue explorant sa bouche. Mme Dubois, penchée sur elle, mordille ses tétons, ses doigts dansant sur son clitoris. Les deux femmes se touchent, leurs mains explorant leurs corps, leurs gémissements se mêlant dans un chaos sensuel. Mme Martin pince les seins de Mme Dubois, et je sens mon contrôle vaciller. Son minou, si lisse et serré, m’enveloppe, et chaque mouvement est une torture délicieuse.
L’orgasme monte en moi, mais je me retiens, voulant prolonger cet instant. Mme Martin jouit à nouveau, ses spasmes me serrant si fort que je grogne, mes mains agrippant ses hanches. « Vas-y… », murmure-t-elle, essoufflée, et je lâche tout. Mon orgasme explose, violent, me secouant jusqu’au plus profond de moi, et je m’effondre presque contre elle, nos corps tremblant à l’unisson.
L’alarme retentit, stridente, nous ramenant à la réalité. En un éclair, on se rhabille, frénétiques. Mme Dubois ajuste son legging, un sourire malicieux aux lèvres, tandis que Mme Martin reboutonne son chemisier, ses mains tremblantes luttant avec les boutons. Sa peau blanche est encore rouge, ses petits seins disparaissant sous le tissu, et je ne peux m’empêcher de jeter un dernier regard à son corps, ce contraste entre sa retenue et son abandon. Je les aide, mes doigts effleurant leurs peaux brûlantes. Avant d’ouvrir la porte, je les attire chacune pour un dernier baiser, profond, exigeant, ma langue s’attardant sur leurs lèvres. Mme Dubois me pince les fesses, riant doucement, tandis que Mme Martin me lance un regard chargé, comme si elle voulait emporter cet instant avec elle.
J’ouvre la porte, le visage impassible, et lance d’un ton neutre : « Merci pour cette conversation. J’espère que vous saurez convaincre les garçons d’arrêter de se disputer. » Mon accent sénégalais roule sur les mots, et je les raccompagne vers la sortie, invitant les parents suivants comme si rien ne s’était passé. Mais dans ma tête, chaque détail pulse encore – le parfum musqué de Mme Dubois, la peau blanche et lisse de Mme Martin, ses petits seins et son minou épilé, la chaleur de leurs corps. Un secret brûlant, une flamme que je porterai dans l’obscurité.
Mme Dubois entre en premier, la mère d’un élève turbulent mais brillant. Elle a une quarantaine d’années, blonde, avec une silhouette athlétique sculptée par le sport – probablement du crossfit, à en juger par ses jambes musclées et son dos droit. Sa tenue, un legging noir moulant et un haut ajusté, met en valeur chaque courbe. Elle s’assied, un sourire éclatant aux lèvres, et je commence l’entretien : les notes de son fils, ses progrès, ses petites disputes dans la cour. Elle écoute, mais ses yeux verts glissent sur moi, s’attardant sur mes mains larges, mes épaules carrées, mon visage. Son regard est trop insistant, trop chaud, mais je me dis que c’est mon imagination.
À la fin de l’entretien, elle ne se lève pas. Elle joue avec une mèche de cheveux blonds, croise les bras pour accentuer sa poitrine. « Vous savez, M. Diop, votre énergie dans cette classe… c’est magnétique. Mon fils ne parle que de vous. » Sa voix est douce, presque caressante, et je sens mon pouls s’accélérer. « Ces soirées doivent être épuisantes, non ? Toujours les mêmes parents, les mêmes questions… Vous ne rêvez pas d’un peu… de liberté ? » Le mot « liberté » résonne, chargé, et je bredouille un « merci », tentant de rester professionnel. Mais elle se penche, son parfum – citron frais mêlé d’une touche musquée – m’enveloppe, et je sens une chaleur monter.
Elle se lève, contourne le bureau, s’appuie contre le bord, si près que je sens la chaleur de son corps. « Parfois, il faut savoir lâcher prise », murmure-t-elle, sa main effleurant mon bras. Ce contact, léger mais brûlant, fait craquer quelque chose en moi. La fatigue des entretiens, la solitude d’être un étranger dans cette ville, la puissance contenue que je porte dans ma carrure… tout ça me rend vulnérable. Je pose ma main sur la sienne, hésitant, mais elle ne me laisse pas réfléchir. Ses lèvres trouvent les miennes, affamées, et je cède, l’embrassant avec une intensité qui me surprend. Mes mains glissent sous son haut, rencontrant sa peau ferme, et elle gémit, un son rauque qui fait vibrer ma poitrine.
Son legging est baissé en un instant, révélant un string noir en dentelle et des cuisses puissantes. Mes doigts tremblent en défaisant ma ceinture, et elle m’aide, ses mains s’enroulant autour de moi, ses yeux pétillant devant ma taille. Elle sort un préservatif, l’enfile avec une dextérité qui me fait grogner, et me guide en elle. Je la soulève légèrement sur le bureau, la pénétrant lentement, savourant la chaleur étroite de son corps. Ses jambes musclées s’enroulent autour de moi, et le bureau grince sous nos mouvements. Je me perds dans le rythme, ses gémissements rythmés par mes coups de reins.
C’est alors que la porte s’ouvre. Un craquement discret, mais qui me glace. Mme Martin, la mère d’un élève sensible, entre, en avance pour son entretien. Elle a un style strict : chignon serré, chemisier blanc boutonné jusqu’au col, jupe crayon gris anthracite, comme une institutrice d’un autre temps. Elle s’arrête net, ses yeux bruns écarquillés, fixés sur nous. Je m’attends à un cri, une fuite, mais elle reste figée, son souffle s’accélérant. Ses joues s’empourprent, et je vois ses doigts serrer son sac, ses lèvres trembler. Puis, son regard glisse vers moi – ou plutôt, vers l’endroit où nos corps se rejoignent. Elle se mord la lèvre, et je comprends, avec un frisson, qu’elle est fascinée, hypnotisée par ma présence, par ce qu’elle devine de ma virilité.
Mme Dubois ralentit, mais ne s’arrête pas. Elle tourne la tête vers Mme Martin, un sourire audacieux aux lèvres. « Tu veux nous rejoindre ? » dit-elle, sa voix rauque, comme une invitation à un jeu interdit. Mon cœur s’emballe. Je devrais tout arrêter, mais l’idée est enivrante – la salle de classe, les dessins d’enfants, le risque d’être découverts. Je regarde Mme Martin et murmure, ma voix grave roulant sur mon accent sénégalais : « Viens. »
Elle hésite, puis avance, ses talons claquant doucement. Elle s’arrête derrière Mme Dubois, ses mains tremblantes effleurant ses épaules. Puis, comme si un barrage cédait, elle glisse ses doigts sous le haut de Mme Dubois, caressant ses seins avec une avidité qui contraste avec son allure coincée. Mme Dubois gémit, arquant le dos, et je sens mon excitation grimper à un niveau presque insoutenable. « Pas un bruit », je murmure à Mme Martin, posant une main sur sa bouche, sentant ses lèvres chaudes sous mes doigts. Les couloirs pourraient être pleins, et ce danger amplifie chaque sensation.
Mme Dubois guide les mains de Mme Martin sur sa poitrine, et je les regarde, hypnotisé par leurs corps qui se synchronisent. Mme Martin descend une main le long du ventre musclé de Mme Dubois, trouvant son clitoris, et les gémissements qui s’échappent d’elle me rendent fou. Je continue mes va-et-vient, plus puissants, sentant Mme Dubois se contracter autour de moi. Elle jouit, ses spasmes m’enserrant, et je vois la jalousie dans les yeux de Mme Martin. Elle veut ce que Mme Dubois a eu. Elle veut moi.
« Vos dix minutes sont écoulées… À ton tour », dis-je, ma voix grave, autoritaire. Mme Martin s’agenouille, ses mains tremblantes défaisant ce qui reste de ma ceinture. Mais avant qu’elle ne me prenne dans sa bouche, je l’arrête doucement, voulant voir son corps, sentir son désir. Je relève sa jupe crayon, déboutonne son chemisier avec une lenteur délibérée, et son corps se révèle à moi. Sa peau est d’une blancheur éclatante, presque lumineuse dans la lumière tamisée de la salle, contrastant avec ma peau sombre. Ses petits seins, fermes et délicats, pointent sous un soutien-gorge en dentelle blanche, leurs aréoles roses à peine visibles. Je fais glisser le soutien-gorge, et ses tétons durcis me font grogner d’envie. Mes doigts explorent plus bas, et je découvre son minou, impeccablement épilé, lisse comme de la soie, luisant déjà de son excitation. Cette perfection inattendue, cachée sous son allure guindée, me rend fou, et je sens mon désir pulser plus fort.
Elle me prend enfin dans sa bouche, ses lèvres serrées autour de moi, ses yeux brûlant d’une fascination presque fébrile. Mes mains s’enfoncent dans son chignon, le défaisant, et ses cheveux châtains tombent en vagues désordonnées. Elle est vorace, ses doigts pétrissant mes fesses, l’autre main explorant ma base, et je lutte pour garder le contrôle. Mme Dubois, remise de son orgasme, se glisse entre les cuisses de Mme Martin, sa langue trouvant son minou lisse. Mme Martin tremble, un cri étouffé par ma main, et son orgasme explose, son corps convulsant sous l’assaut.
Je l’attire vers moi, enfile un nouveau préservatif, et la pénètre d’un coup, brutal et précis. Sa peau blanche rougit sous l’intensité, et ses petits seins tressautent à chaque poussée. Je couvre son cri d’un baiser profond, ma langue explorant sa bouche. Mme Dubois, penchée sur elle, mordille ses tétons, ses doigts dansant sur son clitoris. Les deux femmes se touchent, leurs mains explorant leurs corps, leurs gémissements se mêlant dans un chaos sensuel. Mme Martin pince les seins de Mme Dubois, et je sens mon contrôle vaciller. Son minou, si lisse et serré, m’enveloppe, et chaque mouvement est une torture délicieuse.
L’orgasme monte en moi, mais je me retiens, voulant prolonger cet instant. Mme Martin jouit à nouveau, ses spasmes me serrant si fort que je grogne, mes mains agrippant ses hanches. « Vas-y… », murmure-t-elle, essoufflée, et je lâche tout. Mon orgasme explose, violent, me secouant jusqu’au plus profond de moi, et je m’effondre presque contre elle, nos corps tremblant à l’unisson.
L’alarme retentit, stridente, nous ramenant à la réalité. En un éclair, on se rhabille, frénétiques. Mme Dubois ajuste son legging, un sourire malicieux aux lèvres, tandis que Mme Martin reboutonne son chemisier, ses mains tremblantes luttant avec les boutons. Sa peau blanche est encore rouge, ses petits seins disparaissant sous le tissu, et je ne peux m’empêcher de jeter un dernier regard à son corps, ce contraste entre sa retenue et son abandon. Je les aide, mes doigts effleurant leurs peaux brûlantes. Avant d’ouvrir la porte, je les attire chacune pour un dernier baiser, profond, exigeant, ma langue s’attardant sur leurs lèvres. Mme Dubois me pince les fesses, riant doucement, tandis que Mme Martin me lance un regard chargé, comme si elle voulait emporter cet instant avec elle.
J’ouvre la porte, le visage impassible, et lance d’un ton neutre : « Merci pour cette conversation. J’espère que vous saurez convaincre les garçons d’arrêter de se disputer. » Mon accent sénégalais roule sur les mots, et je les raccompagne vers la sortie, invitant les parents suivants comme si rien ne s’était passé. Mais dans ma tête, chaque détail pulse encore – le parfum musqué de Mme Dubois, la peau blanche et lisse de Mme Martin, ses petits seins et son minou épilé, la chaleur de leurs corps. Un secret brûlant, une flamme que je porterai dans l’obscurité.
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