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Les mensonges de ma femme
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Hier soir, j’ai confronté mon épouse pour sa tromperie, sa trahison envers moi. Bien sûr, elle nie tout en bloc, ne sachant ce qu’il s’est réellement passé. Elle m’avoue ne pas avoir voulu ça, et se demande comment elle a pu se trouver dans une telle situation. Elle évoque l’alcool, ou une substance que quelqu’un aurai mis dans son verre.
Tout a commencé lors d’une réception à l’hôpital, ou je travaille comme aide soignant.
Sandra, ma ravissante épouse, responsable d’une agence immobilière est également présente, en temps que conjointe. On se croise plus qu’on ne se voit, travaillant pour ma part souvent de nuit.
Nous sommes une trentaine, hommes et femmes, à attendre Carlos, le nouveau chirurgien. Quand il arrive dans la salle, tout le monde reste cloué sur place, devant son insolente beauté, le charisme et la virilité qu’il dégage. Du « Label Rouge ».
J’entends les femmes souffler des mots entre elles, même les femmes mariées, dont certaines disent que, célibataire, elles n’hésiterais pas à l’emmener dans leur lit.
« En ce qui me concerne, dit l’une, tromper mon mari avec un canon pareil...ma foi. »
Le directeur fait les présentations. Alors qu’il serre les mains, je remarque qu’il garde celle de ma femme, plus longtemps que nécessaire, et elle ne la retire pas. On dirait même qu’ils se sont déjà rencontré.
Les discussions vont bon train, les femmes le bombardant de question. Bizarrement, ma femme reste pendue à mon bras, me propose de la ramener à la maison, cette nuit étant mon tour de garde..
Après une collation d’une heure, Carlos propose de finir la soirée dans sa somptueuse villa situé sur les hauteurs de la ville, qu’il a acquit récemment. Il a fallu du temps pour convaincre ma femme à participer à la soirée, avec le groupe.
Je ne pensais pas à ce moment là, que le pire pouvait arriver. Je sais ma femme vulnérable quand elle a bu, mais son manque de tenue m’a profondément déçu. C’est un pote célibataire, aide soignant lui aussi, comme moi, qui a éveillé mes soupçons.
« Putain, comme elle suce, racontait-il à un infirmier. »
Jusque là, je n’étais pas trop inquiet, car ma femme m’a toujours refusé la moindre fellation.
« Et comme elle aime la queue...et dans tous les trous, répondit l’autre. »
Dans tous les trous, là aussi je me sentais rassuré, car Sandra m’a toujours repoussé quand je voulais la sodomiser.
Sandra s’affale sur le canapé, tandis que les souvenirs de cette nuit se décantent. Elle se souvient s’être retrouvée entièrement nue au milieu du salon, agenouillée avec les autres femmes. Les hommes, nus eux aussi, passaient devant elle, la queue en érection, et se faisait sucer. Certaines, dont elle faisait parti, avalé tout. Puis ils les ont menées dans une vaste pièce, décoré de tenture rouge et d’épais tapis. Là, elle s’est faite prendre par trois ou quatre mecs, qui l’ont baisée chacun leur tour, en double, et à plusieurs reprises. Elle m’avouait avoir pris énormément de plaisir, avoir joui comme jamais, que ces hommes étaient de vrai étalon, monté comme des Dieux.
Et dire qu’en rentrant ce matin là, elle m’avait embrassé avec fougue, à pleine bouche, bouche qui toute la nuit avait sucé des bites, avalé du sperme.
J’en avait assez entendu. Je me levais, préparais un sac, et partais chez mes parents.Elle m’a supplier de rester, que ce n’étais pas sa faute, qu’elle était saoule, peut-être droguée. Mais je restais sourd à sa détresse.
Les témoignages d’amis confortaient ses dires. D’autres femmes cette nuit là, ont subit le même sort, certaines devant leurs maris consentant. Je réfléchissais, cela faisait deux mois que j’étais chez mes parents. Je n’ai jamais répondu à ses messages de détresses. Mes parents m’ont même supplier de pardonner, mais ma confiance en elle était parti, même si elle se sentait coupable de m’avoir trahi, moi, son mari.
Après réflexion, je me dis qu’effectivement, j’étais aussi responsable qu’elle d’avoir insisté de participer à cette soirée. Je m’apprêtais à la contacter, quand mon téléphone se mit à vibrer. C’était une vidéo de la soirée chez Carlos.
Et là, le mensonge de ma femme me sauta aux yeux. Sur la table, aucun alcool, que des jus de fruits, et un peu de rosé, aucune substance illicite apparente. Tout le monde était sains d’esprit, dansait sur des slows il est vrai langoureux. Je voyais Sandra se serré dans les bras de Carlos, ses doigts se mêlant dans ses cheveux. Puis le baiser, torride, passionné. Elle était le clou de la soirée. Elle était sur une grande roue, empalée sur un jeune gars assis. La roue tournait, offrant un spectacle érotique.
- Comme tu me niques salaud, gémissait-elle.
- T’aimes ça, hein…salope...
- Oh oui j’aime ça...ta queue est tellement bonne.
C’est à ce moment que je l’ai vit s’éclipser dans la chambre.
Bizarrement, ça filmait toujours, y avait-il un complice ? Je voyais ma femme s’offrir comme jamais elle s’est offerte avec moi. Chaque fellation ou pénétration arrachaient des cris de plaisir.
Elle se trouvait empalée sur Carlos, quand soudain, le portable se figea, certainement posé sur un meuble ou un trépied. Apparu alors à l’écran, le cameraman en herbe.
Lucas, un aide soignant jaloux, amoureux jadis de Sandra. Il fut déçu quand elle m’a choisi, et s’était juré qu’un jour, il l’a baiserai. Je le vis s’accroupir derrière ma femme, sa queue en érection en main, taquiner l’œillet fragile, à ce jour inviolé.
Sandra se cambra sous la douleur de la pénétration, avant d’y prendre plaisir. Elle n’en finissait pas de jouir, en redemandait...encore. Lucas se plaça devant, éjacula dans sa bouche. « Tu as ce que tu voulais salaud...humilier mon mari. »
Faute de batterie, l’enregistrement s’arrêta alors qu’elle atteignait son sixième orgasme.
J’en conclus que ma femme n’a jamais été forcée, qu’elle était consentante. Le coup fatal fut quand j’appris que les messages de repentis qu’elle m’envoyait n’étaient que des mensonges, car pendant les deux mois passés chez mes parents à réfléchir sur l’avenir de nôtre couple, elle voyait régulièrement Carlos, jusqu’à l’inviter dans le lit conjugal.
Il n’y avait plus de retour en arrière possible. Je demandais le divorce.
Tout a commencé lors d’une réception à l’hôpital, ou je travaille comme aide soignant.
Sandra, ma ravissante épouse, responsable d’une agence immobilière est également présente, en temps que conjointe. On se croise plus qu’on ne se voit, travaillant pour ma part souvent de nuit.
Nous sommes une trentaine, hommes et femmes, à attendre Carlos, le nouveau chirurgien. Quand il arrive dans la salle, tout le monde reste cloué sur place, devant son insolente beauté, le charisme et la virilité qu’il dégage. Du « Label Rouge ».
J’entends les femmes souffler des mots entre elles, même les femmes mariées, dont certaines disent que, célibataire, elles n’hésiterais pas à l’emmener dans leur lit.
« En ce qui me concerne, dit l’une, tromper mon mari avec un canon pareil...ma foi. »
Le directeur fait les présentations. Alors qu’il serre les mains, je remarque qu’il garde celle de ma femme, plus longtemps que nécessaire, et elle ne la retire pas. On dirait même qu’ils se sont déjà rencontré.
Les discussions vont bon train, les femmes le bombardant de question. Bizarrement, ma femme reste pendue à mon bras, me propose de la ramener à la maison, cette nuit étant mon tour de garde..
Après une collation d’une heure, Carlos propose de finir la soirée dans sa somptueuse villa situé sur les hauteurs de la ville, qu’il a acquit récemment. Il a fallu du temps pour convaincre ma femme à participer à la soirée, avec le groupe.
Je ne pensais pas à ce moment là, que le pire pouvait arriver. Je sais ma femme vulnérable quand elle a bu, mais son manque de tenue m’a profondément déçu. C’est un pote célibataire, aide soignant lui aussi, comme moi, qui a éveillé mes soupçons.
« Putain, comme elle suce, racontait-il à un infirmier. »
Jusque là, je n’étais pas trop inquiet, car ma femme m’a toujours refusé la moindre fellation.
« Et comme elle aime la queue...et dans tous les trous, répondit l’autre. »
Dans tous les trous, là aussi je me sentais rassuré, car Sandra m’a toujours repoussé quand je voulais la sodomiser.
Sandra s’affale sur le canapé, tandis que les souvenirs de cette nuit se décantent. Elle se souvient s’être retrouvée entièrement nue au milieu du salon, agenouillée avec les autres femmes. Les hommes, nus eux aussi, passaient devant elle, la queue en érection, et se faisait sucer. Certaines, dont elle faisait parti, avalé tout. Puis ils les ont menées dans une vaste pièce, décoré de tenture rouge et d’épais tapis. Là, elle s’est faite prendre par trois ou quatre mecs, qui l’ont baisée chacun leur tour, en double, et à plusieurs reprises. Elle m’avouait avoir pris énormément de plaisir, avoir joui comme jamais, que ces hommes étaient de vrai étalon, monté comme des Dieux.
Et dire qu’en rentrant ce matin là, elle m’avait embrassé avec fougue, à pleine bouche, bouche qui toute la nuit avait sucé des bites, avalé du sperme.
J’en avait assez entendu. Je me levais, préparais un sac, et partais chez mes parents.Elle m’a supplier de rester, que ce n’étais pas sa faute, qu’elle était saoule, peut-être droguée. Mais je restais sourd à sa détresse.
Les témoignages d’amis confortaient ses dires. D’autres femmes cette nuit là, ont subit le même sort, certaines devant leurs maris consentant. Je réfléchissais, cela faisait deux mois que j’étais chez mes parents. Je n’ai jamais répondu à ses messages de détresses. Mes parents m’ont même supplier de pardonner, mais ma confiance en elle était parti, même si elle se sentait coupable de m’avoir trahi, moi, son mari.
Après réflexion, je me dis qu’effectivement, j’étais aussi responsable qu’elle d’avoir insisté de participer à cette soirée. Je m’apprêtais à la contacter, quand mon téléphone se mit à vibrer. C’était une vidéo de la soirée chez Carlos.
Et là, le mensonge de ma femme me sauta aux yeux. Sur la table, aucun alcool, que des jus de fruits, et un peu de rosé, aucune substance illicite apparente. Tout le monde était sains d’esprit, dansait sur des slows il est vrai langoureux. Je voyais Sandra se serré dans les bras de Carlos, ses doigts se mêlant dans ses cheveux. Puis le baiser, torride, passionné. Elle était le clou de la soirée. Elle était sur une grande roue, empalée sur un jeune gars assis. La roue tournait, offrant un spectacle érotique.
- Comme tu me niques salaud, gémissait-elle.
- T’aimes ça, hein…salope...
- Oh oui j’aime ça...ta queue est tellement bonne.
C’est à ce moment que je l’ai vit s’éclipser dans la chambre.
Bizarrement, ça filmait toujours, y avait-il un complice ? Je voyais ma femme s’offrir comme jamais elle s’est offerte avec moi. Chaque fellation ou pénétration arrachaient des cris de plaisir.
Elle se trouvait empalée sur Carlos, quand soudain, le portable se figea, certainement posé sur un meuble ou un trépied. Apparu alors à l’écran, le cameraman en herbe.
Lucas, un aide soignant jaloux, amoureux jadis de Sandra. Il fut déçu quand elle m’a choisi, et s’était juré qu’un jour, il l’a baiserai. Je le vis s’accroupir derrière ma femme, sa queue en érection en main, taquiner l’œillet fragile, à ce jour inviolé.
Sandra se cambra sous la douleur de la pénétration, avant d’y prendre plaisir. Elle n’en finissait pas de jouir, en redemandait...encore. Lucas se plaça devant, éjacula dans sa bouche. « Tu as ce que tu voulais salaud...humilier mon mari. »
Faute de batterie, l’enregistrement s’arrêta alors qu’elle atteignait son sixième orgasme.
J’en conclus que ma femme n’a jamais été forcée, qu’elle était consentante. Le coup fatal fut quand j’appris que les messages de repentis qu’elle m’envoyait n’étaient que des mensonges, car pendant les deux mois passés chez mes parents à réfléchir sur l’avenir de nôtre couple, elle voyait régulièrement Carlos, jusqu’à l’inviter dans le lit conjugal.
Il n’y avait plus de retour en arrière possible. Je demandais le divorce.
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