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Les migrants

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Lue : 1440 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/05/2021

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Bonjour, je m’appelle Mélanie, la trentaine, et cela fait bientôt un mois, que nous sommes installés, mon mari est moi, dans une somptueuse villa de province, qu’il a hérité de ses parents. Cent quatre vingt mètres carré, piscine, parc arboré, le paradis sur terre.

Mon mari est chauffeur routier. Je ne le vois quasiment que les week-end. Au début, je vivais assez bien cette situation. Mais une fois que tout à été aménagé, avec le temps, j’ai eu du mal à me faire à son absence. Je m’ennuyais seule dans cette grande villa. En plus, nous habitions une ville ou il ne se passait presque rien. Toutes mes recherches, pour trouver du travail, sont restés vaines.

Jusque au jour ou, des migrants se sont installés en périphérie, pas très loin de chez nous. Une communauté à majorité blacks.
Tout le monde ne parlait que de ça, et les commérages négatifs, allaient bon train.
C’est pourtant à ce moment, que ma vie a changé.
Je n’aurai jamais pu imaginer à quel point cela m’affecterait.
J’ai trouvé un emploi, dans l’association, qui s’est crée, pour venir en aide aux migrants. Chaque semaine, des dizaines d’hommes, épuisés par des semaines de traversées, regagnaient le camp.
Il fallait leur accorder du temps, leur apporter du réconfort, du bien être. Mon travail était de m’occuper des papiers. J’ai tout de suite aimé cette activité, je me sentais utile, et sentais que ces hommes m’appréciaient beaucoup, que ma présence devenait indispensable.
C’était si agréable de sentir leur regard se poser sur moi. Tous les matins, ils m’attendaient, m’offraient le café. J’étais très excité de leur apporter un semblant d’espoir.
J’ai fini par sympathiser avec certains, dont Mamadou et Moussa, deux jeunes blacks, ma foi, assez bien taillés.
Il m’arrivait, sur mon temps de libre, de les inviter pour se baigner dans la piscine, histoire de leur changer les idées. Ils m’ont toujours traitée avec respect.
Un jour, j’ai craqué pour Mamadou. Je l’ai invité à se baigner, et il est restait à dîner. Après un bon apéro, nous sommes passés à table.
Et de la table au lit, il n’y avait qu’un pas, que j’ai vite franchi.

C’est à ce moment, que je reçu un message de mon mari. Il s’inquiétait de tout ce qu’on raconte sur les migrants. Je le rassurais, en lui disant que tout ce passait bien. Il m’appelait tout les soirs en rentrant du boulot.
S’il savait que je ne ne rentrais jamais seule. Mamadou m’accompagnait.
Tous les soirs, je l’ invitais, avec la ferme intention de me faire baiser.
Petit à petit, j’en avait fait mon amant attitré, à tel point, qu’il était devenu mon protecteur au camp. Si un migrant devenait un peu trop virulent, Mamadou n’hésitait pas à intervenir. J’en étais pour lui tailler une pipe, sous une tente inoccupée. C’était un réel plaisir de tout avaler...
Quand il venait dîner, on mangeait vite, pour aller au lit. Il tenait à me porter dans ses bras, jusqu’ à la chambre, comme une jeune mariée.
Un vrai gentleman.
On restait debout devant le lit, entièrement nus, à s’embrasser. Je sentais son énorme bite dresser contre mon ventre, tandis que ses gros doigts caressaient ma chatte. J’étais surprise par la douceur de ses caresses, car je dois l’avouer, ce ne sont pas des doigts de gosses. Malgré tout, il savait très bien s’en servir.
Mamadou me faisait pivoter, collait sa queue à mes fesses. Il passait une main sur le devant, caressait mes seins durcit par le désir, descendait entre mes cuisses, glissait dans la douce chaleur de ma chatte. Je mesurais pleinement la taille du doigt qui me pénétrait, et qui excitait mon clitoris.

J’étais fière de lui faire goûter ma chatte de femme blanche. Comme il se régalait de me la bouffer, tout comme je me régalais de sucer sa grosse queue.
Ce qu’il y avait de bien, avec Mamadou, c’est qu’il ne m’a jamais déçu. Il était tellement bien montés ce salaud. De plus, ça faisait si longtemps qu’il n’avait vu une femme, qu’il était capable de me baiser toute la nuit, sans débander. Je pense que, dans son pays, il devait rendre son épouse heureuse sexuellement.
Ça me changeait des tristes heures, passées au lit, avec mon mari.
Maintenant, les nuits de la semaine, étaient bien remplies.
Mamadou était très joueur. Il me faisait coucher sur le ventre, se vautrait sur moi. Je sentais sa bite glissait entre mes fesses, son gland à l’orée de mes lèvres intimes. Il jouait avec moi, alors que je le suppliais de me baiser. Il me limait, jusqu’à me faire hurler de plaisir. Il me prenait dans toutes les positions, se vidait dans tous mes trous. J’avalais sa semence épaisse, jusqu’à la dernière goutte.
Je me tordais le cou pour voir, dans le miroir de ma chambre, mon corps de femme blanche, empalée sur cette grosse bite noire. Je n’étais pas surprise, quand il se retirait, et placer son gland en orbite, contre mon petit trou.
Je savais, de part les «on dit», que les blacks raffolaient de sodomie.
Je me suis faites sodomiser une fois dans ma vie, un accident. C’était lors d’une sortie de groupe, ou après une soirée alcoolisée, mon mari était monter se coucher.
Un homme d’un certain âge, avait tenu à me raccompagner à ma chambre. Au lieux de ça, il m’avait entraîné dans un salon privé, et avait profité de mon innocence. Il était trop tard pour me défendre, quand il m'a enculée. Mais je me souviens avoir pris un certain plaisir. Ça a été la première et dernière fois. Bien sur, mon mari n’en a jamais rien su.

Bien évidemment, cette nuit, je ne jouais pas dans la même cour.
La queue de Mamadou était d’un tout autre calibre.
Mamadou me faisait mettre à genoux, en appuie sur mes main. Il voulait me prendre en levrette, ma position préféré. Je pouvais allègrement glisser ma main entre mes jambe, caressais mon clitoris, ou ses énormes couilles bien pleine.
Je dois avouer que Mamadou y allait avec une certaine délicatesse. J’ai quand même senti une vive appréhension, quand son énorme gland à taquiné mon anus. Petit à petit, je sentais mon petit trou se dilater sous la poussée tout en finesse de mon beau black. Au début, j’avais mal, mais au fur et à mesure de la pénétration, mon corps s’est adapté, accepté l’intrus qui prenait vie en lui. De temps en temps, je suivais l’évènement dans le miroir. Ma peau blanche, contrastait avec la peau noire de mon amant. Je prenait un réel plaisir de voir sa queue aller et venir en moi.
Je devinais l’orgasme qui se profilait. Ce fut un vrai ouragan. Quand il m’a lâché, je me suis écroulée sur le lit.
Il a quitté la chambre, après un sulfureux, et interminable baiser.

La dernière nuit, avant que mon mari ne rentre, j’ai frappé un grand coup. Avec mon accord, Mamadou a demandé à Moussa à se joindre à nous. Deux blacks hyper montés, rien que pour moi...y a rien là…

Déjà, l’après-midi fut intense. Je me rendis compte que Moussa, n’avait rien a envié à Mamadou, au niveau mensurations. Je m’avançais alors qu’il était assis sur les margelles, la queue en érection, à l’horizontale. Je la pris à pleine bouche, tandis que Mamadou s’installait derrière moi. Je sentais sa bite se faufilait entre mes cuisses, pénétrer ma chatte.
Les deux queues entrèrent en action, à même temps...et crachèrent à même temps. Pendant qu’une envahissait ma chatte, l’autre tapissait mon palais.
Le reste se poursuit sur la pelouse, ou je me trouve écartelée entre ces deux bêtes de sexes. Je suis faites baiser, sodomiser, subit mes premières double pénétration. Je finis à peine de jouir, que déjà un autre orgasme se prépare dans mon ventre. Je finis épuisée, lessivée.
Puis vint cette nuit torride, ou mes amants me comblèrent de plaisir, et qui se termina tard dans la matinée.

Je suis réveillée à huit heures du matin, par le klaxon assourdissant du camion de mon mari. Il ne devait rentrer qu’en début d’après-midi.
Je saute vite dans la salle de bains, pour prendre un bain à la lavande, afin de me débarrasser des odeurs fortes laissées par mes amants noirs, sur mon corps de femme blanche.
Mon mari m’embrassa, et me dit qu’il était très fatigué, et qu'il allait se reposer. Ce qui ne me dérangeait pas outre mesure, surtout après la nuit que je venais de passer. Je profitais de cet instant, pour aller piquer une tête, tout en pensant à mes amants blacks.
En revenant, je découvrais un message de ma responsable, m’informant que la police était en train de faire évacuer le camp. Mon sang ne fit qu’un tour. Je m’habillais à la hâte et descendit en ville. Arrivé sur la place, seul trois ou quatre migrants étaient encore présent. Je m’assis sur un banc, la tête entre les mains, quand je sentis une main se poser sur mon épaule. Un migrant me remit un pli que je m’empressais d’ouvrir.

«Chère Mélanie, un petit mot pour te remercier de tous ce que tu as fait pour nous. Nous ne t’oublierons jamais. Gros bisous.
Mamadou-Moussa.»
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Les migrants

Le 28/09/2021 - 12:42 par Franck 34480
Récit très bien raconté et très réaliste. 😁

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