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Les toiles de Véronique 2

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Lue : 9640 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/06/2009

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L’aventure vécue avec Hugo perturba quelque peu la routine quotidienne qu’elle vivait avec Denis. Le fait est qu’elle ne cessait de penser à cet épisode de sa vie où elle se transforma en objet sexuel, au service d’une être dominateur et attirant.

Cette plénitude ou sa condition de femme s’est transformée en statut de femelle, cette soumission affichée où elle oublia sa pudeur et sa timidité l’a faisait quelque peu frémir. Elle s’imaginait à bien des moments de la journée et de la nuit, prisonnière de cet être élégant et vulgaire, sociable et animal, et le temps faisant son chemin, elle décida un mois après, de retourner à la galerie.

Sans vraiment savoir ce qui se passerait, elle tenta l’expérience avec son mari… son humeur ce jour là l’obligeait à ne pas céder à la tentation. C’était également pour avoir Denis en tant que bouclier protecteur.
Entrant dans la galerie, ils contemplèrent quelques toiles quand Hugo se présenta à eux.
- Bonjour véronique… quel plaisir de vous revoir !
- Ah bonjour … c’est Hugo je crois !

Petite coquine pensa-t-il, découvrant alors son mari. Elle se justifia auprès de Denis en disant qu’Hugo est le propriétaire de la galerie et un ami de son amie Christine, qui expose ici de temps en temps. Les présentations se font sur un ton courtois et Denis est à mille lieux de penser que quoique ce soit ait pu se passer entre sa femme et lui.
- Comment trouvez-vous les toiles mon cher Denis ? demanda Hugo.
- Disons qu’il me semble que le thème est assez axé sur la sexualité… et ce n’est pas pour me déplaire. J’aime assez le ton des couleurs, certains sont plus abstraits et d’autres plus provocateurs. Non, non… c’est assez étonnant !
- Pourrais-je vous présenter ma collection privée ? Vous verrez qu’elle est encore plus étonnante. Elle décrit des situations réelles, sexuelles bien sûr, qui sont figées d’une manière permanente dans l’esprit de l’artiste comme dans celui de ses partenaires…
- Effectivement, c’est assez original cette humanisation de la peinture à travers l’orgasme ou l’acte sexuel. Certains ont d’ailleurs l’air assez violent ou déstabilisant… Et ces prénoms, ce sont les prénoms des partenaires ?
- Oui… le peintre aurait pu aller jusqu’à leur inscrire des numéros, car il est dans une logique de chasseur et n’a que peu de respect pour ses partenaires… lui les appellent d’ailleurs des victimes. Je l’ai convaincu d’y mettre des prénoms pour sensibiliser davantage la portée des toiles.

Hugo contemplait Denis de haut, puisqu’il était bien plus massif que lui. Véronique avait trouvé l’œuvre qui lui était dédiée. Elle rougit de honte en voyant son prénom inscrit sous le tableau, la représentant empalé sur un Hugo debout, ses bras puissants l’entourant, les yeux quasiment révulsés, sous l’emprise d’un regard possesseur et dominateur. Bien heureusement, les visages n’étaient pas marqués, dessinés plutôt vulgairement, mais retraçant toujours avec quelques détails une sensibilité particulière qui fait que la victime se reconnaît.

Hugo s’absente quelques minutes et parle un instant avec une femme grande, majestueuse et élégante. Il désigne des yeux Véronique qui ne peut détacher les siens de ce tableau ou elle se vautre dans la débauche la plus complète. C’est tout juste si elle ne sentait pas encore ce sexe à l’intérieur de son vagin qui s’humidifiait lentement.
Une voix résonna à son oreille et c’est en se retournant qu’elle vit cette femme élégante, pleine de prestance et affichant une beauté sans pareille lui adresser la parole.
- Bonjour Véronique, je suis Sandra, une amie de Hugo. Il m’a demandé de vous présenter l’une des œuvres accrochées dans l’autre pièce, en me disant que vous y trouveriez certainement de l’intérêt.
- Bien… euh, d’accord.
- La voilà, c’est une représentation d’une artiste lesbienne. C’est un peu l’alter ego d’Hugo… et de lui chuchoter à l’oreille… et je sais que tu me comprends toi qui t’est faite bourrée comme la dernière des chiennes dans la salle d’à côté.
- Comment vous permettez-vous de me parler comme ça ? Elle admire en même temps la terrible beauté de cette femme affichée sans égard pour elle.

Véronique complexait sur son physique, sur ses cheveux, sur son nez, sur les 3 ou 4 kilos superflus, sur sa taille… bref, sur tout un éventail de caractéristiques qui créaient chez elle une forme de honte ou de disgrâce alors qu’elle est une femme très acceptable. Ah les femmes et cette maudite compétition…
Sandra la fixait dans les yeux, sans le moindre remords, sans le moindre scrupule, sûre d’elle-même…
- C’est quoi ton problème ? Oups… regarde, ton mari est entrain d’admirer tes exploits sur toile. Tu crois qu’il te reconnaît, empalée de la sorte sur la bite d’Hugo ?
- Mais arrêtez !!! dit elle à voix basse, rouge de honte, en observant la scène et tentant d’imaginer le dialogue.

N’y tenant plus, elle s’avance vers son mari pour tenter d’écouter la discussion.
- On voit que cette Véronique dégage une certaine fougue et on peut aisément imaginer que cette femme n’était pas heureuse auparavant. Elle se donne pour se libérer de l’ennui ou pour fuir un mari qui ne la satisfait pas… c’est ce que je ressens en tout cas !
- Chéri, on va peut-être y aller, non ? Lance-t-elle à Denis à la hâte.

Attend un peu, Hugo me fait découvrir des œuvres assez sympathiques… Tiens c’est drôle, celle-ci est nommée Véronique, comme toi… réplique t il niaisement.
Le regard d’Hugo en disait long, et dans un sourire narquois, il dit à Véronique que Sandra l’appelait et qu’il ne serait pas poli de faire attendre une artiste de cette trempe.
Se sentant gênée, elle se dirigea vers le mannequin dont les yeux pétillaient de revanche.
- Tu me refais un affront de la sorte, je te baffe en public et je t’humilie d’une manière si ironique que tu en pleureras de honte !

Dans son esprit, elle regrettait amèrement sa venue, en plus en compagnie de son mari, mêlée à une situation inextricable ou le sacrifice s’imposait de nouveau. La grande blonde exigerait un du, elle en est désormais convaincue. Elle sait à son regard plein d’exigence qu’elle devra d’une manière ou d’une autre payer l’erreur qu’elle venait de commettre.
Sa main se saisit de la hanche de Véronique, puis caresse son bras sur toute sa longueur, puis effleure son sein.
- Mais que me voulez-vous à la fin ?
- Tu n’en as pas la moindre idée ?
- Je vous en prie… laissez moi tranquille.
- Je vais te dire ce que tu vas faire. Tu vas me suivre dans l’arrière boutique et tu vas me manger l’abricot.
- S’il vous plait, je ne suis pas une lesbienne et je suis une femme mariée… je n’ai aucune expérience dans ce domaine !
- Ecoute moi bien petite garce, si tu n’obéis pas maintenant, je vais voir ton mari pour lui expliquer qu’il vit avec la reine des putes…
- Mais vous n’avez pas de preuves ma chère… se surprend elle à rétorquer dans un sursaut de dignité.
- Ah oui, tu n’as peut-être pas vu la petite caméra qui est placée dans l’angle de la pièce. J’ai vu tes exploits de sainte nitouche. Joue encore avec ma patience et la vérité éclatera au grand jour. Maintenant, file dans la remise et fais moi jouir.

Honteusement, la mort dans l’âme, elle s’oriente vers l’arrière salle. Elle regarde son bourreau dans les yeux. La porte se referme derrière elles, et Véronique se voit infligée une gifle magistrale. Surprise et choquée, elle se tient la joue et l’on pouvait lire à ce moment la crainte. Elle était comme pétrifiée devant tant de beauté et de sévérité. Elle ne pouvait s’arrêter de contempler cette femme parfaite. De longs cheveux blonds, une cambrure parfaite, des seins exquis… bref, un corps frisant la perfection à l’image des mannequins recouvrant les couvertures de magazines sexy féminins, redessinés sous Photoshop. Ses yeux bleus fixaient la pauvre Véronique alors que lentement, le bourreau se déshabillait. Elle libéra ses seins pour ne garder qu’un porte-jarretelles noir soutenant des bas d’une douceur insoupçonnée. Devant un tel spectacle, la pauvre brune se sentait déstabilisée et complètement désarmée.
- A genoux ma salope. Enlève mon string !
Lâchant sa joue, elle se précipita à terre, suppliant cette femme en s’accrochant à ces chevilles.
- Tu veux quoi ? Inspirer la pitié ? Tu veux que je martyrise l’autre joue peut-être ?
Un timide non s’échappe de sa bouche et remonta du sol vers les oreilles de ce démon.
Elle redressa lentement son corps et abaissa le string de sa tortionnaire. Un mont de Vénus tendrement taillé, impeccable de régularité sur les bords, des lèvres finement dessinées, des cuisses fermes et douces.
- Mmmm… ma proie est prête. Lèche moi bien comme il faut…
Les lèvres de la brune s’enfonce dans la tendre toison blonde et s’applique à sucer ce fruit défendu, goûté pour la première fois. La langue de Véronique se laisse aller dans des va et viens de plus en plus assurés.
- Mmmmm… ah oui… lèche moi ma petite salope… oui, comme ça…

Véronique lèche la conque offerte avec audace, ses mains se saisissent des hanches de sa geôlière et se mettent à caresser les cuisses et les fesses de la blonde. Noyée dans les douces effluves de ce fruit prohibé, elle goûte avec saveur à ce met raffiné. Ses lèvres et sa langue s’amusent de cette gourmandise offerte, jouant avec le volume sans cesse grossissant d’un clitoris au bord de l’explosion. La vulve trempée, l’entrecuisse humide, la blonde s’abandonne aux caresses de cette brune sous la contrainte.

Sandra leva le pied gauche pour le placer sur un tabouret, offrant une vulve offerte à la bouche gourmande de la brune. Elle place son autre pied entre les cuisses de sa prisonnière. Instinctivement, Véronique se frotte à ce soulier comme si elle voulait le faire briller. Elle le lustre lentement, humidifiant la chaussure de sa cyprine.
Les mains de la blonde agrippe sa chevelure brune, et dessine les mouvements d’ondulation de sa tête.
- Ah oui… bouffe moi bien petite putain. Dire que ton mari est à côté… t’es la reine des trainées toi !!!! Ahhhhhhh…. Ooouuuuiiiiiiiiiii… C’est dans un cri gutural que Sandra se déverse dans la bouche offerte de son pantin.

Les dernières ondulations du corps de Véronique lui arrachent un cri de jouissance quasi instantané. Elle s’affaisse sur la chaussure humidifiée, honteuse et repue. Elle lève les yeux vers celle qui lui fit découvrir la violence et la tendresse. Du haut de ses genoux, offerte et soumise, elle se plonge dans le bleu des yeux inquisiteurs qui contemplent son œuvre de luxure.
La blonde montre du doigt l’angle du mur sur lequel est fixé un objectif, au dessous duquel est allumé un voyant rouge.
- Tu viens de réaliser un nouveau film ma chérie. Combien de copines vont se branler en regardant tes exploits… Et ton mari, tu crois qu’il aimerait ? Tu m’es redevable maintenant, ainsi que tu l’es à Hugo. Tu feras tout ce qu’on te dira et tu le feras bien… Va retrouver ton cocu de mari et commenter les peintures. Je t’appellerai bientôt…
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