Les voisins

Léa femme d'un certain âge, est une femme très belle, sur son passage les gens se retournent sur elle. Elle vient d'emménager dans une petite maison qu'elle vient d'acheter avec son compagnon Rick. Comme il est d'usage, les nouveaux arrivants se présentent aux voisins. C'est, valériane une jeune femme de vingt-cinq ans qui les reçoit, elle les fait entrer pour le pot de l'amitié. Paul n'est pas encore rentré, mais ne va pas tarder.


Dès le premier regard, les deux femmes sont troublées l'une par l'autre. On sent dans leurs regards une émotion certaine. Paul arrive enfin, les quatre prennent l'apéro dans le jardin, la discussion bat son plein, les verres se suivent. Léa se trouve face à Valériane, les deux ne cessent de se dévisager, Léa intimide Valériane, les regards appuyés qu'elles échangent est troublant. Soudain Léa prend la main de la jeune voisine, la caresse doucement et dit en souriant :

- Votre avant-bras porte un beau tatouage, il représente quoi ?

Valériane en ravalant sa salive répond :

-C'est une attrape rêve !


Léa ne lâche pas la main de Valériane, mais continue de la caresser doucement. Valériane se trouble davantage, elle ose poser sa main sur celle de Léa et la presse doucement. Léa lui lance un sourire qui en dit long. Dessous la table Léa cherche le contact, elle a retirée discrètement sa chaussure et c'est le pied nu qu'elle frotte la jambe de Valériane. Elle sursaute et rougit terriblement en baissant les yeux. Les deux hommes ne remarquent rien, ils parlent de boulot en sirotant leur verre. Léa s'enhardit, son pied monte doucement contre la jambe de la jeune voisine. Doucement sans savoir pourquoi, elle écarte les jambes. Le pied longe sa cuisse et entre en contact avec le bas-ventre. Les orteils glissent sur la fente qui n'est protégée que par un string très fin.


Valériane glisse doucement sur sa chaise en ouvrant davantage les cuisses, la coquine commence à mouiller et cela la gêne. Elle passe sa main sous la table, saisit le pied et tente de le repousser. Léa, lui fait les gros yeux et appuie plus fort sur la vulve. Valériane, rejette sa tête en arrière en soupirant. Les deux hommes la regardent, Paul dit un peu inquiet :

- ça va pas ma chérie !

Valériane répond faiblement :

- J'ai un coup de chaud, cela va passer !


Les deux hommes, décident de faire le tour du propriétaire. Les deux femmes se retrouvent seules. Sans quitter des yeux sa proie, Léa continue de frotter la vulve avec son pied. Elle dit en souriant :

- tu mouilles énormément ma chérie, tu dois être une bonne amante, tu as envies de moi ?

Valériane rétorque en soupirant :

- Tu es un monstre tu me troubles, oui j'ai envie de toi tu me rends folle avec tes attouchements !

- Vient demain chez moi pour 17 heures, je tu auras droit au grand jeu, ne me fais pas attendre !

Valériane aime le ton autoritaire de son ainée et répond :

Je serai là, même si c'est une folie.