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Lettre à amante

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Lue : 876 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/12/2012

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Le pays est splendide. Je suis content d’être ici. Tu sais si tu étais avec moi, la vie serait douce. Je vis des instants merveilleux. Je peux me détendre avec des filles splendides. Je pense à toi quand je me perds dans des corps généreux. Nous pourrions ensemble plus tôt que seul comme moi, prendre des plaisirs comme tu les aimes.

Hier c’est une des filles du village d’à côté qui a partagé mon lit. Je vais attiser tes envies quand je te dirais qu’elle m’a baisé comme rarement, mis à part toi. Tu sais quand tu prends ma queue dans ta bouche en me regardant jouir : c’était presque pareil avec elle, sauf que son amie était là aussi, prête à la remplacer ce qu’elle a fait plus tard.

Branles-toi en me lisant. Elle était brune, les yeux trop clairs, comme ceux de la fontaine en bas de chez nous. Ses seins, à peine plus gros que les tiens tenaient dans les mains de sa compagne. Je regardais les tétons entre les doigts de l’amante qui grossissaient comme les tiens sans doute. Tu aurais aimé être à sa place pour te faire caresser longuement comme elle.

Elle est venue sur moi qui bandais. J’avais une bite plus dure que les autres fois, tu sais comme quand tu te donnes devant moi à une amie. Je me demandais si j’arriverais à ne pas jouir trop vite. J’ai tenu le coup. Je n’ai giclé que quand elle avait des spasmes.

Pour nettoyer la bite, l’autre est venu pour me lécher. Elle me donnait sa chatte à sucer. Tu sais que j’aime bien l’odeur particulière d’un con mal lavé. J’étais aux anges : elle sentait fort, comme toi des fois. J’ai giclé encore dans cette bouche. Elle me donnait sa cyprine dans la bouche, elle jouissait comme toi, geyser. Je sais que j’aime recevoir ton jus comme ça, par à coup. C’était pareil. En plus elle avait mis un doigt, je ne sais pas lequel au fond de mon cul. Oui, branles toi en mettant aussi un doigt dans l’anus comme tu aimes.

Avant-hier, quand j’ai lu ta lettre, je me suis branlé, à cause de l’odeur de ton con sur le papier à lettre. Je ne sais pas si tu l’es essuyé le sexe avec. Si tu l’as fait, pourquoi ne pas l’avoir écrit.

Demain je t’enverrais cette lettre : je me branles dessus dès ce soir pour te donner un peu de moi qui sort de ma queue qui s’ennuie de ton abricot.

J’ai remarqué une autre jeune femme. Son cul me donne envie d’aller la visiter, par derrière ou devant, je ne sais pas encore ce qu’elle voudra ou permettra. Toi, je sais que tu aimerais que je te la mette là où tu me demande souvent. Dans le cul. Tu te branles quand je t’encule. Je suis un homme, je ne peux savoir ce que ça peut faire comme tu te le fais. J’envie ton orgasme: tu me dis quand tu jouis.

Raconte-moi en détail comment tu as pu de faire mettre par deux hommes à la fois. Ce sont des voisins, je crois. Tu ne m’as pas dit comment ils avaient les pines. En tout cas tant mieux d’avoir inauguré cette double pénétration avec eux, tu pourras recommencer quand tu en auras envie. Tu me montreras quand je viendrais. J’aimerais être le troisième, au moins dans la bouche.

Je te vois en levrette, un type sous toi, l’autre sur tes fesses, leurs queues à fond dans ton con et ton cul et moi dans ta bouche, avec ta langue qui me lave la queue qui t’a enculé une fois. Je sais que tu aimes me sucer après la sodomie et moi d’embrasser ensuite.

Nous sommes des porcs, je le concède. Mais c’est si bon d’être comme nous des gens complètement dévoyés.

Tu me dis avoir beaucoup aimé sucer ta nouvelle copine. Comment est-elle ? Sa figue est agréable sous ta langue ? Et son cul, tu y es entré ? Tu as du te plaire quand elle t’a léché la chatte.

J’ai une occasion que j’hésite à prendre. Un gars, bien monté d’après ce que j’ai vu quand il pissait voudrait que je lui donne mon cul.

J’aurais pu le faire avant de partir quand le fils de la voisine voulait m’enculer devant toi que j’ai hésité comme maintenant.

J’ai peur qu’il me fasse mal. Je sais que des fois tu te plains de la prendre dans le cul. Tu jouis toujours après. Je pourrais en faire autant ? Après tout je vais essayer à condition que je me branle pendant qu’il entre.

P.S. Ca y est j’ai sauté le pas. Il m’a sodomisé. J’ai eu mal pendant qu’il entrait. Ça allait mieux après : je l’ai senti jouir. J’ai joui en même temps. Je recommencerais certainement, demain certainement puisque tu n’es pas là.
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Histoire de fabrissa

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