Ma belle-soeur 1

Je m'appelle David, j'ai 26 ans et je vis avec ma femme depuis 7 ans. Tout irait pour le mieux si elle n'avait pas de soeur. Ma belle-soeur. Sonia, 30 ans, 1m60 pour 48 kg (fine comme je les aime) avec une poitrine sympathique (85C) et des jambes extraordinaires. Elle est châtain, les cheveux longs et lisses et les yeux bleus avec un petit nez pointu. Elle sait d'ailleurs les mettre en valeur en les révélant par ses jupes courtes et collants divers (dont je suis friand). Vous avez peut-être compris que ma belle-soeur m'attire beaucoup et qu'il m'est difficile de penser au sexe sans penser à elle. Je dois tout de même préciser que Sonia y est bien pour quelque chose. Et je vais vous raconter comment notre attirance réciproque a commencé.

C'était par un après-midi d'été, nous étions chez ma belle-mère (dans le sud) dont la maison possède une piscine. Ma femme, mon beau-frère et ma belle mère était dans la cuisine en train de terminer le repas. Sonia et moi nous retrouvions donc seuls sur la terrasse. Elle portait un débardeur rouge qui cachait mal son soutien-gorge marron. En bas, une jupe courte (comme d'habitude) en jean dévoilait ses jambes. J'étais d'abord quelque peu étonné qu'elle parade devant moi son bikini à la main. Je la regardais pour la première fois avec un désir coupable.

A ma stupéfaction, elle retira son débardeur puis son soutien gorge pour enfiler son bikini. J'étais vraiment excité. Je ne voyais rien mais son dos nu se trouvait à tout juste un mètre de moi. J'étais tout étourdi. Mais mon excitation ne fit que grimper lorsque je la vis remonter sa jupe pour enfiler le bas de son maillot. J'aperçus alors son petit shorty marron bordé de dentelle orange. Ce spectacle était magnifique. Il le fut encore davantage lorsqu'elle retira ce bout de tissu pour en enfiler un autre. Je pus entrevoir sa croupe parsemée de poils fins et châtains. Je ne savais plus ou me mettre. Elle, d'habitude pudique, s'exposait à mon regard impunément.

Lorsqu'elle se retourna, elle posa ses dessous sur la chaise juste à côté de moi. Mon sang ne faisait qu'un tour. Quand, elle prit soin de déposer sa culotte de façon à ce que le fond doublé soit visible, j'étouffais en remarquant qu'il y avait une bonne tache de cyprine. Elle avait sécrété durant ce long moment. Elle posa sur moi un regard malicieux et m'adressa un sourire.

Je me saisis instinctivement de sa culotte et rejoignis les toilette en toute discrétion. Là, je commençais par sentir ce trésor qui regorgeait d'un parfum sans précédent. Je pris le parti de laper ce met délicieux. J'étais complètement fou de désir pour Sonia.
Je collai le gland de mon sexe à la doublure de la culotte et me masturbai vigoureusement. Cela ne dura que quelques secondes (vingt tout au plus) au terme desquelles j'explosai radicalement. Sa culotte était maculée de ma semence, celle de son beau-frère.

Me disant que c'est ce qu'elle avait après tout cherché, je remis prudemment sa culotte là où elle l'avait laissée... en prenant soin bien-sûr de dissimuler mon liquide.

Quand elle eut fini de nager et de se sécher et, alors que nous nous retrouvions à nouveau tous les deux, elle enfila ses dessous de la même manière qu'elle les avait retirés. Elle toucha sa culotte humide et m’adressa un sourire plein de malice. Elle posa son maillot sur le grillage de la piscine et rentra dans la cuisine. L’érection ne me quitta pas de la soirée. Je pensais à mes trucs qu’elle avait entre des jambes pendant que nous mangions. J’étouffais. C’était insupportable. La nuit venue, Sonia et son mari partirent tandis que ma femme et moi restions dormir chez ma belle-mère.

J’attendis que tout le monde fût couché pour me soulager dans le bikini blanc de ma belle-sœur. Malheureusement, je n’y retrouvai pas le même parfum, la belle n’attendait plus mon offrande… Malgré cela, mon excitation était telle que je finis par me répandre sur la porte des toilettes. Il valait mieux que son maillot fût épargné car ma belle-mère s’en serait sans doute rendue compte…
J’allai me coucher aux côtés de ma chérie… Exténué…