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Ma découverte du plaisir 2

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Lue : 2563 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/02/2013

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Ma découverte du plaisir 2 - Le bouchon en plastique

Suite de notre expérience d'écriture à quatre mains...

Marc, rentre à peine du travail et immédiatement m’annonce :
- Christian a eu un accident

J’ai un choc. Christian est un collègue de mon mari et nous avons passé la soirée de samedi chez lui. Je ne l’appréciais guère mais mon opinion a changé après une soirée de débauche en compagnie de Martine, sa femme, alors que Marc, terrassé par l’alcool, ronflait dans le divan…
- C’est grave ? Que lui est-il arrivé ?
- Non, pas trop grave. Enfin il est bien esquinté. Dimanche il a voulu faire un barbecue. Le feu partait mal, il a jeté directement de l’alcool à bruler dans les braises… Le truc à ne pas faire ! Il a les deux mains salement brulées. C’est Martine qui a appelé la boite. Il a passé deux jours à l’hôpital et il a les mains bandées mais il ne devrait pas garder de séquelles.

Nous sommes mardi et depuis dimanche je me creusais la tête pour trouver une excuse valable pour leur rendre visite. Bingo…
- Ce doit être dur. Et handicapant. Je ne travaille pas demain après-midi. Tu ne crois pas que je devrais leur rendre visite ?
- Je croyais que tu n’aimais guère Christian ?

Je prends un ton dégagé
- Oh, c’est surtout pour Martine. Elle bosse toute la journée. Je pourrais passer leur faire un peu de ménage, ou préparer leur repas du soir…
- C’est sûr qu’elle apprécierait. Christian ne peux rien faire, rien toucher, rien ranger. Un vrai boulet… Elle sera contente du coup de main…

Re bingo.

Le lendemain dès 13h je sonnais à leur porte. J’avais le cœur battant. Je me rejouais les scènes de la nuit de samedi… J’en étais encore toute excitée. J’avais opté pour une jupe assez sage et un pull qui moulait mes seins orgueilleux.
J’entends brailler
- Entrez..

Puis alors que je franchis la porte
- C’est qui ?
- C’est Christelle. Je suis venu voir si tu avais besoin de quelque chose
- Je suis dans la chambre

Je pose mon sac et je m’y rends. Je connais le chemin, et pour cause.
Il est au lit, la tête soutenue par deux oreillers, les bras posés sur la couette. Ses deux mains sont bandées depuis le milieu du bras jusqu’au bout des doigts. Il tient maladroitement un livre.
- Bonjour Christelle. Ça me fait plaisir que tu sois là, tu pourras tourner les pages du bouquin, je n’y arrive pas avec ces foutus pansements.

Il pose le livre et me raconte son accident. C’est vraiment le truc idiot. J’ai approché une chaise près du lit.
- Au fait, vous êtes partis tôt dimanche.
- Je crois qu’après ce qui s’est passé, j’avais honte de moi.
- Tu as tort, Martine et moi avons apprécié tes talents.

Sa main droite s’est posé maladroitement sur ma cuisse
- Ne dit pas que cela ne t’a pas plu. La preuve : tu es revenue !

Je sens le rouge me monter aux joues
- Non, enfin si, je veux dire…
- Tu veux dire que tu as apprécié et que tu rêves de recommencer.

Sa voix se faire dure, autoritaire
- Ne le nie pas, dis-le !
- Oui Christian, j’ai apprécié
- et…
- Et… J’en ai encore envie.
- Bien. Tu vois ce n‘est pas difficile. En tous cas, je suis passablement diminué, mais tu vas me rendre un service.
- Oui
- Tu vas m’aider à aller pisser. Cette abrutie d’infirmière n’a pas voulu.

Il a repoussé les draps et se redresse. Il est en caleçon. Il se lève et se dirige vers les toilettes. Je le suis. Arrivé devant la cuvette, il lève les bras
- A toi de jouer.

Je me faufile sur le côté et passe ma main dans l’ouverture du caleçon. Je me saisis de sa queue que je sors. Je la dirige vers la cuvette et il se laisse aller. Il devait se retenir depuis un certain temps car j’ai l’impression que sa mixtion dure longtemps. Mais je suis heureuse d’avoir sa queue dans ma main. Je ne sais pas par quel maléfice cette bite m’envoute autant.

Lorsqu’il a fini, je ne peux m’empêcher de la caresser doucement. Je le sens réagir, mais il me rappelle à l’ordre.
- Du calme, retournons dans la chambre…

A peine arrivé, il s’allonge sur le lit.
- Satanés médicaments, j’ai l’impression d’être toujours fatigué.

Sa queue est toujours sortie puisque je ne l’ai pas rangée. Je suis de nouveau assise sur la chaise. Il temps le bras, passe sa main emmaillotée de pansements derrière ma nuque et m’attire vers lui. Ou plutôt la pression qu’il exerce pousse ma tête vers son sexe inerte.
- Allez, m’ordonne-t-il, puisque tu es venue pour cela.

Je me penche et prends sa bite dans ma bouche. Je commence à le sucer. Je glisse ma main entre mes cuisses et au travers de ma culotte je commence à me caresser tout en m’activant sur son sexe qui ne me semble pas aussi vigoureux que ce que j’ai connu samedi soir. Sans doute les médicaments… Après un certain temps, alors qu’il bande plutôt mou, il m’arrête.
- Déshabille-toi.
- Mais..
- Fais ce que je te dis !

Sa voix claque comme un fouet. Je me mords les lèvres, me lève et sans tergiverser je me dénude sous son regard inquisiteur…
Une fois nue je reste debout, à côté du lit et j’attends. Je suis à sa disposition. Il lève ses mains bandées
- J’aurais aimé te caresser mais… Va ouvrir la penderie m’ordonne-t-il Tire le premier tiroir, sur la gauche. Prend le bustier et met le.

Plus qu’un bustier, il s’agit d’un corset. De belle qualité d’ailleurs. Le mettre me prend du temps. Le laçage est délicat. Mais il est à ma taille.
Je me regarde dans le miroir fixé à l’intérieur de la porte de la penderie. Je découvre une nouvelle Christelle. Ma peau blanche contraste avec le noir de cet accessoire comme avec le noir de ma toison pubienne fournie mais soigneusement entretenue. Ma poitrine dont je suis si fière semble être présentée comme sur un plateau aux regards concupiscents. Je me tourne. Le laçage serré affine ma taille et mets en valeur mes hanches fines et mon fessier. Je me sens belle, désirable. Je me sens indécente et ça me plait. Ça m’excite ! Je mouille comme jamais…
- Reviens t’occuper de moi, m’ordonne Christian. Et laisse la porte de la penderie ouverte.

Je monte sur le lit et me consacre à nouveau à ma fellation interrompue. Lui, sur le dos, le buste redressé par ses oreillers peut admirer mon cul dans le miroir. Je suce avec ardeur car je le sens réagir. Mes hanches sont agitées par une houle de plaisir que j’entretiens par des caresses précises que je m’octroie avec délectation. Je sens que ma fellation porte ses fruits car je retrouve dans ma bouche le sexe conquérant, raide, ferme, que je connais depuis peu.

Christian pousse un soupir, se cambre et je récupère sa semence dans ma bouche. Je déglutie, j’avale son sperme comme si je l’avais toujours fait. Où est la Christelle pudique que j’étais encore il y a quelques jours ? Je me sens devenir de plus en plus extravertie. Je bascule vers une nouvelle sexualité et ça me plait. Je suce un homme en cachette de mon mari dans une tenue indécente et j’y prends un plaisir malsain qui me comble.

Du bout de ma langue je nettoie son sexe qui a perdu de sa superbe aspirant et léchant avidement les dernières traces de son sperme.
Puis je descends du lit et me rassoie sur la chaise. Je n’ai pas eu d’orgasme mais le plaisir de lui en avoir procuré un me semble compenser largement.
J’ai les joues en feu et je ne peux retirer ma main droite de mon sexe où mes doigts continuent à entretenir mon excitation.
- C’est bien, dit Christian dans un soupir. Je crois que je vais faire un somme. Ces médicaments m’abrutissent.
- Dors… Je vais en profiter pour faire un peu de rangement.
- Si tu veux. Mais je souhaite rouvrir les yeux sur un beau spectacle. Aussi tu resteras dans cette tenue. Mieux, ouvre le tiroir de la table de chevet.

Je m’exécute. J’y trouve une sorte de bouchon en plastique noir.
- Qu’est-ce que c’est ?
- C’est le plug anal de Martine. Tu vas le mouiller avec ta salive et te l’introduire dans le cul… Allez, vas-y..

Je sens qu’il ne supporterait pas que je tergiverse. J’humecte de ma salive cette sorte de champignon, puis, debout, penchée en avant je le pose à l’entrée de mes reins. Il n’est pas très gros, moins que le sexe de Christian, et je n’ai aucune difficulté à le mettre en place. La sensation est plutôt étrange mais pas désagréable… Je reste ainsi, penchée en avant une main sur le plus.
- Redresse toi, gourde, et lâche-le, gronde-t-il, il est conçu pour tenir tout seul.

Je me redresse doucement. Effectivement le plug reste fiché dans mon anus. Je le sens, mais il ne me gêne pas. Simplement il est omniprésent. Je sens cet objet, planté dans mon cul, qui me procure une sensation excitante, surtout lorsque je bouge…
- Martine le met quelques fois pour aller au travail et elle le garde toute la journée. Toi tu le garderas tout l’après-midi durant tes tâches ménagères. Tu ne le retireras que pour le remplacer par ma queue. C’est compris.

J’acquiesce en silence. Il se cale dans ses oreillers et ferme les yeux. Je me suis assise sur la chaise et d’une lente ondulation de hanches sur la chaise, j’amplifie le plaisir que me procure la présence de cet objet étranger entre mes fesses.

A son souffle plus régulier, je comprends que Christian s’est assoupi. Je n’imagine même pas lui désobéir en ôtant le plug ou en me rhabillant. Je me lève et décide d’aller ranger la cuisine et me faire un café pour évacuer le gout acre de son sperme dans ma bouche. Marcher avec le plug dans l’anus est une sensation nouvelle, agréable, unique, comme se promener quasi nue dans une maison qui n’est pas la mienne. D’ailleurs il ne me viendrait pas à l’idée de me promener nue chez moi. Je suis bien trop pudique…

Très vite je comprends que l’objet a été bien étudié. A aucun moment il ne semble en capacité de s’extraire malencontreusement…

Je me suis attaquée à la vaisselle et au rangement de la cuisine. Mais la tâche n’avance pas très vite car régulièrement je m’arrête pour me caresser. Le plug dans mon cul fait de l’effet et je me suis donné deux fois du plaisir dans le salon sur le canapé. Je sais que je vais en acheter un. Je cherche déjà les endroits dans ma maison ou je pourrais le dissimuler et je réfléchis aux occasions que j’aurai de le porter.

Il est 16 heures lorsque j’entends Christian se manifester en poussant un cri de douleur. Je me précipite. Dans son sommeil il a tenté de se retourner et s’est appuyé sur une de ses mains. La douleur l’a réveillé en sursaut.
- Ça va ?
- Ca pourrait aller mieux réplique-t-il avec un pauvre sourire.
- Ecoute, Martine ne va pas tarder, je vais rentrer sinon Marc va s’inquiéter.
- Tu gardes le plug en place ?
- Tu es fou…
- Alors, si tu le retires, tu sais par quoi tu dois le remplacer…

Cet homme est fou : il a mal, il est shooté par les médicaments mais il pense encore à baiser. A me baiser. C’est flatteur mais c’est un grand malade.
Je glisse ma main sous les draps et palpe son sexe. Il est déjà à moitié dur. Je tire la couette vers le pied du lit et je commence à le masturber. Il est rapidement opérationnel. Je me hisse sur le lit.
- Je veux voir ton cul exige-t-il

Je lui tourne le dos et m’accroupis au-dessus de son ventre. Je passe une main entre mes cuisses et je retire le plug. J’ai une sensation soudaine de vide. J’attrape son sexe que je frotte sur mes lèvres et l’entrée de mon ventre inondé, puis je me positionne, place sa queue à l’entrée de mes reins et doucement je m’empale. La pénétration de son gland me semble plus facile que samedi dernier. Mon anus a dû être assoupli par l’objet qui l’a occupé une bonne partie de l’après-midi… Lentement je m’empale jusqu’à me retrouver assise sur son bassin. Je n’irai pas plus loin… J’entame une série de montées et de descentes de plus en plus rapides. Je coulisse sans problèmes sur son sexe. Je sens des picotements de plaisir entre mes fesses. J’accélère mes mouvements de yoyo et les picotements s’amplifient. J’ai à peine le temps de penser « incroyable je vais jouir par le cul » que mon orgasme explose. Je m’immobilise, empalée, le souffle court, des frissons parcourant mon corps. Puis la vague reflue et je pense à Christian, toujours fiché en moi, le sexe tendu à rompre. J’ondule du bassin puis recommence à monter et descendre sur sa hampe. Je sens son sexe gonfler et gonfler encore dans mon cul jusqu’à ce qu’il explose dans un grognement bestial…Quelques allers et retours supplémentaires afin d’extirper les dernière gouttes de plaisir et je m’arrache de son emprise.

Sans un mot, je descends du lit et délace le bustier. Je m’habille en hâte sous son regard.
- Ca t’a plu ?
- C’était… Comment dire ? Intense. Je me fais peur Christian. Où cela va-t-il finir ?
- Carpe diem, ma belle. A bientôt…

Je suis rentré chez moi et me suis précipité sous la douche avant le retour de mon mari. Je me suis récuré avec énergie comme pour ôter le souvenir de mes turpitudes. Sans grande réussite car submergée par des images crues où je me voyais, dans le miroir de la porte de penderie ouverte, en train de me faire sodomiser, je me suis offert un dernier plaisir solitaire sous le jet tiède de la douche…

Lorsque Marc est rentré, je lui ai donné des nouvelles de son ami et collègue.
- C’est sympa d’avoir été le voir. Il doit s’ennuyer le pauvre. Il n’est pas trop déprimé ?
- Non, c’est dur mais il tient le coup…

Si tu veux, tu termines tôt vendredi, et j’ai une réunion tardive. Tu pourrais retourner le voir et filer un coup de main à Martine..
Je fais semblant d’hésiter
- Tu crois, je ne voudrais pas les déranger…
- Fait un effort, c’est un collègue, on peut faire cela
- Bon, mais c’est vraiment pour te faire plaisir
- Parfait, tu es super…

Vendredi… Deux jours à attendre…
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Histoire de justinsolo

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