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Ma découverte du plaisir 3

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Lue : 2223 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/02/2013

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Le vendredi, dès ma sortie du bureau, je me précipite chez Christian et Martine. Martine n'est pas encore rentrée mais Christian sera là. J'ai envie de lui, envie de sa queue, envie qu'il abuse de moi.

Je frappe à la porte et comme je l'imagine couché, j'entre sans attendre. Je jette mon sac sur le canapé, enlève mon manteau et le pose dessus et me rend directement dans sa chambre. Il est dans le lit, essayant maladroitement de feuilleter des magazines. Les pansements de ses mains ont été changés et sont moins volumineux, mais handicapant tout de même.

Je m'approche de lui, me penche vers lui et l’embrasse sur la joue. Il me laisse faire puis tout en continuant de lire...
- Déshabille toi et met ta tenue.

J'aurais aimé qu'il m'embrasse, qu'il me regarde mais j'obéis.
Je me dirige alors vers la penderie, ouvre grand la porte, me déshabille hâtivement devant le miroir, laissant mes vêtements en tas sur le sol, moi, habituellement si soigneuse de mes affaires.

Je lace le bustier en le serrant au maximum pour mettre mon fessier et ma taille fine en valeur. Je me regarde dans le miroir et suis heureuse de me sentir si attirante. Cela fait un peu fille de joie du début des années 1900.
Je me tourne vers Christian, espérant un regard, un baiser, prête à lui obéir.
- Deuxième tiroir ordonne-t-il sans lever les yeux de son magazine.

Il est plein de collants fins.
- Mets des bas noirs, les Dim Up

Je m’assieds sur le lit et soigneusement, j’enfile les bas que je lisse sur mes jambes, me relève et m’admire ainsi dans la glace.
- La, tu fais vraiment pute, lâche Christian, viens par ici.

Il me regarde enfin, je m’approche du lit, souriante de lui plaire.
Il me désigne la table de chevet. Je n'y avais pas fait attention mais le plug est posé dessus. J’hésite un instant mais son regard posé sur moi se durcit ne me laisse aucun autre choix. Je m'en saisis, l’enduit à sa demande de salive et me penche pour le mettre en place. Il se tourne vers l’autre côté du lit, se penche et ramasse difficilement quelque chose qu’il dépose sur la couette lorsqu’il est de nouveau sur le dos.
- Mets également cela !

Je prends cette sorte de ceinture mais découvre qu’il s’agit d’un collier de cuir assez large, noir, muni d’une laisse. Je le place autour de mon cou et serre la boucle. Le cuir est souple, son contact agréable. Je jette un coup d’œil vers la glace.

J’ai vraiment une allure particulière très indécente, très impudique. Le contraste entre ma peau très blanche et le noir des collants, du collier, de la guêpière et de ma toison fournie me semble très excitant. Je pense à mon mari, et la honte m’envahit à nouveau.

D’une traction sur la laisse qu’il a enroulée autour de son avant-bras, Christian me sort de ma rêverie.
- Mets-toi à genoux sur le bord du lit et suce moi, ordonne-t-il

Je m’exécute alors sans discuter. Je repousse la couette vers le pied du lit, j’adopte la position demandée et abaisse mon visage vers son sexe que je ne tarde pas à engloutir.

Christian enroule la laisse de quelques tours supplémentaires autour de son bras. Le collier me tire vers sa queue que je ne pourrais pas recracher si je le souhaitais. Mais je ne le souhaite pour rien au monde. Je tente de tourner la tête légèrement, pour me regarder le sucer dans le miroir, mais peine perdue, je suis bloqué par la laisse. Totalement soumise sans autre alternative que le sucer. Ce que je fais avec enthousiasme. Je ferme les yeux et je suce comme si ma vie en dépendait. Je le suce comme je n'ai jamais sucé. J’alterne les mouvements de langue, la vitesse de mes va et vient, la pression de mes lèvres. Je glisse une main entre mes cuisses et caresse mon clitoris gonflé. A genoux, la croupe haute, mon petit trou obstrué par le plug, la tête sur son ventre, sa bite dans ma bouche, incapable de bouger à part pour le sucer, j’ai l’impression d’être totalement à sa merci, en son pouvoir, je suis dominée et ça me plaît, ça m’excite.

Tout à coup la porte d’entrée claque. Je pense à Martine et continu de plus belle.
- Ne bouge pas, me chuchote Christian

Tant qu’il ne relâchera pas la laisse je ne le pourrai pas.
J’entends effectivement la voix de Martine
- Il doit être dans la chambre

La phrase m'inquiète, elle s’adresse à quelqu’un ! Elle n’est pas seule ! Claquement de talons sur le carrelage. Ils viennent ! Je n’ai pas le temps de paniquer, car j’entends la voix de Martine maintenant très proche :
- Hé bien, on ne s’en fait pas…

Elle doit être dans l’embrasure de la porte, c'est-à-dire pile derrière moi. J’imagine le spectacle que je lui offre, à genoux, en bas noirs, le cul offert. Et le plug fiché dans mon intimité… La honte m'envahit à nouveau et j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter de battre.
Je ne peux bouger, ni même extraire la queue de Christian de ma bouche.
J’entends Christian répondre
- Il n’y a pas de raison… Je ne te présente pas Christelle, tu l’auras reconnue.

Puis il ajoute d’un ton amusé
- Par contre Philippe, tu ne la connais pas encore. C’est la femme d’un collègue. Un sacrée suceuse dotée d’un joli cul…
- Je vois cela…

La voix est grave, chaude. Je sens une main se poser sur mon cul. Pas de doute c’est une main masculine. Elle glisse sur mes fesses, entre elles, en suivant mon sillon fessier pour s’arrêter vers mon anus et jouer avec le plug. Puis la main s’insinue entre mes cuisses et caresse mon sexe trempée. Un doigt me pénètre, puis un deuxième. Je ne peux m’empêcher de bouger mes hanches.
- Elle est chaude comme la braise, constate la voix, Tu permets Christian ?
- Je t’en prie, « mi casa es tu casa »
- Attends, intervient Martine, je vais te préparer

J’entends des bruissements d’étoffe et je me doute qu’ils se déshabillent. Puis des bruits de succion…
- Dis donc Christian, Martine est toujours une sacrée suceuse.
- Oui, Christelle aussi. Il faudrait d’ailleurs qu’elle se remette au travail.

Il donne quelques coup sur la laisse et avec une docilité qui m’effraie car je ne l’explique pas, je reprends ma fellation. Je’ suis dominée, excitée et en colère. Je me doute que cette irruption était préparée. D’où la laisse pour m’immobiliser. Je me sens trahie, forcée et pourtant consentante…
- Vas-y Philippe chuchote Martine.

Immédiatement je sens la pointe d’un sexe à l’entrée de mon ventre. Puis la queue inconnue se fraye un passage et m’investit. Ce sexe me semble impressionnant. Il est raide et j’ai l’impression qu’il n’en finit pas de me pénétrer… Je pousse un gémissement…
-Hummm, ça a l'air de te satisfaire...

Etrangement je ne sens aucune jalousie dans la voix de Christian vis a vis de Philippe, plutôt une satisfaction d'avoir pu lui montrer son autorité sur moi.
Mais je n’ai guère le temps de m’appesantir là-dessus car l’inconnu accélère la cadence. De ma main je continue à titiller mon clitoris et le plug est toujours présent en moi.

Christian continu quant à lui à prendre ma bouche, il va et vient jusqu'à ce il explose, m'obligeant à la garder en moi. Je sers mes lèvres autour de sa hampe et aspire les dernières gouttes de son plaisir que je sens couler hors de ma bouche tant son éjaculation a été abondante.

Je sens à mon tour l’orgasme monter ! C’est comme une vague que je sens arriver, que je vois grossir, qui va me submerger, qui me submerge, et où je me noie. J’ai l’impression de perdre connaissance… Mes jambes me trahissent, je tombe à plat ventre, le sexe désormais mou de Christian toujours dans ma bouche. Philippe m’assène de véritables coups de boutoirs, allongé de tout son long sur moi, son ventre écrasant mes fesses à chaque avancée. Il finit par s’enfoncer encore plus fort puis dans un grognement sourd, il explose dans mon ventre… Je sens son sperme s’écouler dans mon sexe… Il se retire …
- Viens nettoyer cela, m'ordonne-t-il à son tour…

Christian a relâché la pression de la laisse et je peux me redresser suffisamment pour sortir son sexe de ma bouche… Je tourne la tête, curieuse de découvrir cet inconnu qui vient de me pénétrer et de jouir en moi.

La honte m'envie encore plus lorsque je reconnais Philippe, un voisin et ami. Voilà pourquoi la voix ne me semblait pas inconnue.

Il est nu, devant moi, me regarde un sourire amusé. Sans réfléchir, je prends son sexe en bouche et le nettoie du mieux que je peux.
Martine s'approche, passe une main dans mes cheveux.
- je savais que ça te ferais plaisir.
- Merci pour ton hospitalité, me dit Philippe en souriant

Je ne peux pas rougir, je suis écarlate depuis qu’il est entré dans la chambre. J’éclate en sanglots…

Martine passe sa main sous mon menton et relève mon visage me forçant à l'abandonner et à la regarder…

Avec mes joues pleines de larmes et le sperme de son mari qui coule sur mon menton je ne dois pas être sous mon meilleur jour ! Elle se penche pourtant vers moi, me lèche, récupérant ainsi le sperme de Christian puis m’embrasse à pleine bouche. Sperme et salive se mélange dans un long baiser tendre mais passionné. Profitant que Christian s’est poussé, nous basculons sur le lit, enlacées et toujours nous embrassant. Christian sort du lit et viens s’asseoir sur la chaise près du chevet. Philippe sort de la chambre pour y revenir quelques temps après, apportant une chaise une bouteille et des verres qu’il pose sur la table de chevet. La langue de Martine tournoie toujours dans ma bouche et sa main est entre mes cuisses.

A la limite de mon champ de vision, je vois les deux hommes assis, qui nous observent, chacun un verre à la main. Ou plutôt dans le cas de Christian entre les deux mains…

La caresse de Martine entretient une excitation qui ne m’a jamais quittée malgré mes larmes. Je me dégoûte à prendre tant de plaisir à ces pratiques. Jusqu’où ces pervers vont-ils m’emmener. Je n’en sais rien, mais je sais que j’irai au bout de la honte. Pourtant une voix, la voix de la raison, me dit qu’il faut que je réagisse que je me reprenne avant que ce couple pervers ne m’entraîne vers la déchéance et me transforme en leur jouet sexuel. Pourtant comment abandonner un tel plaisir ? La jouissance que je ressens à chaque fois m’était totalement étrangère il y a moins d’une semaine…

C’est moi qui prends l’initiative de ce 69 auquel nous nous livrons sous les yeux des deux hommes. Martine lèche avec entrain et sans dégoût mon sexe d’où s’écoule le sperme de Philippe. Je vois les deux hommes nous regarder. Ils sont en érection. Philippe se masturbe doucement et masturbe de son autre main son ami handicapé.

Finalement, je repousse Martine et la fais mettre à genoux sur le bord du lit. Je me mets à côté d’elle dans la même position. J’ôte le plug qui ne m’apporte plus rien tant j’ai l’impression d’être en jouissance perpétuelle. Nous n’attendons pas longtemps car les deux hommes se sont levés et rapidement je sens la chaleur du sexe de Christian que me pénètre tandis que Philippe s’introduit dans le ventre de Martine. Après quelques instants de pilonnage intensif ils se retirent, changent de place et recommencent, chacun avec sa nouvelle partenaire. Ils procèdent ainsi à plusieurs échanges alors que Martine et moi subissons leurs assauts sans bouger. . J'ai l'impression de me conduire telle une chienne, une femelle en chaleur.
v Je ne sais même pas quel est des deux mâles, celui qui me prend lorsque je me sens à nouveau emplir... Presque peu importe mais ce dernier assaut me terrasse.
Je me retrouve à terre tandis que j’entends Martine continué à prendre du plaisir.

Je les regarde, me relevant doucement. Je regarde Christian, je regarde Philippe, eux même me regardent faire. Reprenant conscience de la situation...
- Je dois retourner chez moi, mon mari m'attend. Je ne devrais pas être là.

Je n’ai pas remis ma culotte que je tiens à la main. Sous les yeux hébétés du trio je ramasse ma jupe, et le reste de mes vêtements.
Martine se relève et s'approche de moi...
- Garde le plug en toi si tu veux faire plaisir à Christian, tu le cacheras chez toi et viendras avec.
Je ne réponds mais le garde, me rhabille prestement et pars un peu comme une voleuse, ou une femme honteuse en récupérant mon sac au passage…

Assise dans ma voiture, je sens mon objet intime en moi et chaque chaos sur la route m’arrache un cri de plaisir.
Je rentre chez moi, tout le monde est déjà là et mon mari me pose la question.
- Alors cet imbécile de Christian, il va mieux ?
-oui, oui... Il va mieux.

Fin
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Histoire de justinsolo

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