Ma femme baise avec mon pote

Cette histoire s’est déroulée il y a quelques mois mais reste encore gravée dans ma mémoire.

Mariés depuis 5 ans, parents de deux enfants, ma femme et moi vivons une vie de couple simple où le sexe n’a pas une très grande place. Nos rapports ne sont pas très réguliers mais malgré tout très agréables. De mon côté, ayant des besoins plus importants que mon épouse, je la sollicite régulièrement et fantasme beaucoup sur elle.

Depuis quelques temps, je rêvais souvent de la voir dans les bras d’un autre homme. Pourtant de nature jalouse, cette situation m’excitait beaucoup. Parfois au cours de nos rapports, elle aimait bien qu’on s’excite en parlant de nos fantasmes et je mis celui-là dans l’action. Elle n’était ni choquée ni emballée, ce qui laissait finalement pas mal de portes ouvertes !!

J’ai un très bon ami avec lequel j’ai fait une partie de mes études qui de temps et temps montait du sud de la France vers la capitale pour son boulot et qui en profitait pour s’arrêter chez nous pour une ou deux nuits. Thierry et moi avons le même âge mais deux façons de vivre radicalement différentes. Marié lui aussi, il n’en est pas pour autant fidèle et lors des absences de sa femme, il n’hésite pas à fréquenter les clubs échangistes à la recherche d’une aventure d’un soir.

J’en avais parlé à Hélène qui dans un premier temps avait été choquée mais je me rendis compte que plusieurs fois, elle avait remis cela sur le tapis, voulant avoir quelques détails sur la façon dont Thierry faisait pour rencontrer et sur la façon dont cela se passait après.

Un jour mon pote m’appela, il avait des rendez-vous sur Paris et voulait savoir si je pouvais l’héberger. J’en parlais à Hélène qui n’y vit aucune objection. Curieusement les nuits qui précédèrent l’arrivée de Thierry, je me mis à fantasmer un peu plus à l’idée qu’Hélène fasse l’amour avec un autre et encore plus curieux, Hélène fut très chaude ces jours là, très demandeuse alors qu’elle ne l’était pas habituellement…

Thierry pensait rester 2 nuits chez nous.
Il arriva le dimanche soir à la maison, une bonne bouteille à la main et un bouquet pour ma femme. Hélène nous avait préparé un bon repas et on dîna sur la terrasse en descendant 2 bouteilles, bien aidée par ma chère et tendre qui contrairement à ses habitudes, bu beaucoup ce soir là. Un autre signe attira mon attention et celle de Thierry par la même occasion, c’était la tenue de ma femme. Cette dernière s’habille toujours de manière conventionnelle, jolie mais rarement sexy, elle avait mis ce soir là, le haut le plus décolleté que je lui connaissais. Tout ces signes me laissaient penser que Thierry ne la laissait pas indifférente et que nos conversations de ces dernières semaines l’avaient émoustillé plus qu’il n’y paraissait.
Le repas se termina tard et chacun partit se coucher. Thierry dormait au rez-de-chaussée dans notre canapé convertible tandis que notre chambre était située au deuxième étage de la maison.

Après un passage par la salle de bain, Hélène me rejoignit, entièrement nue, prête à aller se coucher. Elle avait les yeux brillants. Elle se coucha à côté de moi et commença à m’embrasser tout en glissant sa main à la recherche de mon sexe. Une fois trouvé, sa bouche remplaça rapidement sa main pour une fellation endiablée comme rarement elle m’en avait fait. Je m’accrochais aux draps pour ne pas jouir. Elle vint ensuite sur moi et se planta mon sexe au fond du sien. Elle était trempée et je fus aspirer par sa chatte toute chaude. Elle était déchaînée et s’agitait sur moi d’abord en gémissant doucement puis bientôt en râlant et en laissant échapper des petits cris. Je tentais de la faire taire lui disant que Thierry risquait de nous entendre, mais cela eut l’effet inverse sur elle car elle se déchaîna encore plus et dans un cri laissa échapper sa jouissance. J’étais également sur le point d’exploser. Elle se mit à quatre pattes et me demanda de jouir sur ses fesses. A la vue de son magnifique postérieur, je me mis à jouir abondamment en laissant échapper à mon tour un cri rauque…
Je m’écroulais à côté d’elle, repu. Hélène reprenait ses esprits, les fesses encore en l’air, mon sperme coulant sur le bas de son dos.
Après un petit nettoyage, je m’apprêtais à éteindre la lumière lorsqu’elle me dit qu’elle avait soif. Nous avons toujours une bouteille à côté du lit mais ce soir là, la bouteille était vide. Malicieusement, je lui dis que j’en avais remis au frais… dans la cuisine au rez-de-chaussée.
« Thierry doit dormir, lui dis-je, tu peux descendre chercher une bouteille »
« tu es sûre ? peut être qu’il ne dort pas et qu’il nous a entendu ? » me lança-t-elle. « tu veux pas y aller à ma place ? »
« non, non je suis claqué. Je te laisse y aller. »

Elle hésita un cours instant puis pris son courage à deux mains, enfila sa petite nuisette en soie et descendit.
Je guettais des bruits éventuels mais rien ne filtra. Malgré tout, je trouvais qu’elle mettait beaucoup de temps à remonter. Je décidais de me rapprocher de la cage d’escalier afin d’entendre ce qui pouvait se passer deux étages plus bas.

Un premier chuchotement me fit trembler, puis d’autres me laissant penser qu’Hélène et Thierry discutait à voix basse. Je me faufilais dans l’escalier le plus discrètement possible et à mi-chemin je pus entendre leur conversation.
« ah,bon ? »
« oui, je vous entendais super bien, j’étais hyper excité tout seul au pied de l’escalier !! »
« je suis désolée, on a passé une super soirée et j’avais très envie de mon chéri »
« il a de la chance, faut dire que t’étais très sexy ce soir ! »
« t’es gentil, mais bon je vais aller me coucher, il doit m’attendre… bonne nuit ! »
« tu parles il a dû s’écrouler comme une masse et doit déjà ronfler »
« … mais qu’est ce que tu fais… arrêtes… »
« si t’es descendu, c’est que t’en avais pas eu assez, je suis sûr que tu as pris ton pied parce que tu savais que je vous entendais… hein… humm, t’as la peau douce… hummm fais voir moi ça…
« arrêtes Thierry, t’es fou…ohh, non… arrêtes… »

J’imaginais que Thierry venait de retirer le fin tissu de la nuisette et venait de découvrir le corps nu de ma femme.
Hélène ne protestait plus, je n’entendais que des bruits de succions, des murmures, des gémissements étouffés.
« viens par là, j’ai trop envie de toi, je suis sûr que tu es une vraie salope au lit… allez viens… »

Ils étaient retournés vers le salon, ce qui me laissait la possibilité de descendre et d’enfin observer la scène sur laquelle j’avais fantasmé durant des mois. Ce que je vis dépassa mes espérances. Thierry était allongé sur le lit, les jambes écartées et Hélène était penchée sur lui, son sexe dans la bouche. Elle le suçait avec application. J’avais une vue plongeante sur ses fesses. Thierry lui tenait la tête et guidait ses mouvements.
« putain tu suces super bien, t’as une vraie bouche de salope !! humm, que t’es bonne »

Je savais que ces paroles excitaient encore plus ma femme qui ne lâchait pas le sexe de mon pote.
Il se releva et attrapa son jean, il en sortit une capote et s’empressa de la mettre.
« mets toi à 4 pattes, j’ai envie de voir ton cul quand je vais te prendre »

Hélène se mit en position et laissa Thierry la pénétrer en levrette. Je vis le sexe entrer sans difficulté. Il agrippa les hanches de ma femme et se mit à la sauter sans ménagement. Hélène avait la tête plongée dans les coussins et tentait d’étouffer ses cris. Il la sautait avec force, à chaque va-et-vient on entendait le claquement de son bas ventre sur les fesses de ma femme. Thierry était endurant et il la prit de la sorte pendant peut être 10 ou 15 minutes. Les deux amants étaient en sueur. Hélène eut un orgasme qu’elle réussit à étouffer en mordant un coussin. Thierry s’arrêta le sexe encore dressé. Il retourna Hélène et vint à califourchon sur elle, juste au dessus de ses seins. Il arracha sa capote et se branla au dessus de ma femme. Je le vis se cambrer et il gicla tout son sperme sur les seins et le cou de ma femme. Il avança ensuite sa bite vers la bouche d’Hélène afin qu’elle le nettoie… Cette dernière ne se fit pas prier et suça encore une fois avec délectation ce sexe interdit.

Je remontais dans notre chambre et fis mine de dormir quand Hélène finit par me rejoindre.

Le lendemain, aucune allusion sur la soirée de la veille. On partit au boulot de notre côté et Thierry du sien. Une autre soirée nous attendait… mais ça c’est une autre histoire !