Ma femme me soumet, suite

Comme me l'a dit ma femme Marie ce matin, elle n'avait pas fini de tester diverses idées, et elle a bien envie de continuer ses expériences...
Je lui souris gentiment en lui disant que je veux bien me remettre à sa disposition, car je trouve excitant de tester de nouvelles variantes.
En effet, depuis quelques temps, et nos aventures avec Louise et Pierre, on a exploré certains côtés "sexe" vraiment délicieux.

Marie me dit de me préparer : tu te déshabilles, tu te rases, et tu m'appelles quand tu es prêt. Dès que tu entres dans la chambre, tu n'en ressors pas.
Je fais ce qu'elle veut, et lui dit qu'elle peut venir quand je suis tout propre, rasés de frais, et à poil.
Elle ne répond pas, je ne l'entends pas... Bizarre.
Mais comme elle m'a dit de ne pas sortir, j'attends.
Un quart d'heure passe, et j'entends enfin du bruit à côté.
Mais toujours personne qui n'ouvre la chambre.
Je tue le temps en me demandant ce qu'elle a prévu... Quelle suite veut-elle donner à ce matin ?
Je l'imagine plutôt douce, car ce n'était pas le cas ce matin, au contraire, et ça ne lui ressemble pas.

Enfin, la porte s'ouvre. Elle entre en tenant quelque chose de grand, et visiblement lourd. Elle dépose ça à l'entrée, puis repart.
Elle revient en glissant des poutres.
Là, elle me dit :
- tu es bricoleur, alors monte moi ça ! Il y a le mode d'emploi dans le carton.
Elle ressort, me laissant ce carton et ces poutres. Bon, je ne me voyais pas devoir construire un meuble en étant nu, mais pourquoi pas...
Je m'attelle à la tâche, et je vois rapidement où elle veut en venir. Ce n'est pas un meuble, mais une sorte de croix de St-André, avec des boucles métalliques aux extrémités...
En construisant ça, je me mets à bander... Imaginer être ainsi à sa merci, ça m'émoustille vraiment !

Le montage est fini, et je vois cette croix assez stable, l'imaginaire va dans tous les sens...
Voilà Marie qui arrive, vêtue de cuir pour l'occasion. Un short moulant, fendu sur son sexe et son anus, un soutien gorge percé laissant les tétons pointer dehors, et dans sa main, un sac plein ainsi qu'un fouet, une cravache et un paddle.

Elle me regarde à peine, mais me dit de me mettre dos à la croix. Elle fixe les liens et m'attache les poignets, puis les chevilles. Je suis écartelé, mais terriblement excité.
Quand elle me regarde dans les yeux, je vois une étincelle briller, elle se délecte de m'avoir offert ainsi.
Elle commence à me caresser un peu distraitement, l'air absente... Mais je vois qu'elle réfléchi à la façon d'entreprendre la chose.
Elle prend la cravache, puis joue avec sur mon sexe tendu, mes tétons, passe entre les jambes... Ces caresses sont agréables, mais je sais que c'est passager.
Mais non, elle change de jouet, et prend le fouet à lanières de cuir. À nouveau, elle me caresse avec, s'attarde sur les zones erogènes. Elle m'embrasse, me caresse, m'embrasse de nouveau...
Elle prend son temps, et j'abandonne gentiment mon appréhension, tout à savourer ce traitement délicat.
Grave erreur, c'est ce que Marie attendait. Un coup de fouet me cingle le torse, les suivants arrivent sur les tétons, le ventre, et le sexe. Puis elle change de sens et fouette par en dessous, sous les bourses, frappant l'intérieur des cuisses, parfois une lanière touche même mon anus, faisant comme des secousses électriques.
Elle y va gaiement, puis change de jouet et reprend la cravache. Elle voit vite qu'elle donne moins d'effet que le fouet, et prend le paddle. Avec ça entre les cuisses, ça chauffe !
Après un moment, elle se lasse, me libère de la croix où je ne suis pas assez "disponible". Elle me met un foulard sur les yeux, et me fait mettre à quatre pattes. Là, elle reprend le paddle et fait reluire mes fesses avec force.
Elle stoppe néanmoins rapidement, puis me met des pinces sur tétons. Elle tire un peu dessus, les ressert, puis elle les leste avec des poids. Ça pendouille et ça donne une étrange sensation, plutôt presque agréable malgré l'échauffement provoqué par la morsure de la pince.
Marie se place devant moi, et me dit :
- lèche-moi !
Je m'exécute avec beaucoup de plaisir, comme j'aime tellement lui bouffer la chatte, je n'attendais que ça.
Mais en se faisant brouter, elle recommence à me fouetter le fessier avec les lanières. Celles-ci arrivent régulièrement sur mon petit trou, que je sens s'ouvrir tout seul tant il est excité.
Puis elle se tourne et me donne son cul à lécher. Je me régale là aussi, mais ça ne fait pas long, Marie se lève et je perçois des bruits que je n'identifie pas.
Je la sens soudain derrière moi, elle me fesse deux trois fois, avant de présenter quelque chose de dure à l'entrée de mon anus. C'est froid, dur, humide... Et sur une poussée de Marie, je me retrouve empalé sur un jouet de belle taille.
Sur le coup, ça me transperce et me coupe le souffle... Elle reste ainsi, puis commence à bouger un peu. Je sens rapidement son bassin percuter mes fesses quand elle entre, je déduis qu'elle a acquis un gode-ceinture et qu'elle l'étrenne...
Rapidement, la sensation est divine. Je commence à remuer pour aller à sa rencontre, accélère le rythme et la pénétration.
Marie me ramone de plus en plus vite, de plus en plus fort. Les pinces à sein se ballancent dans tous les sens, faisant grimper encore mon degré d'excitation.
Puis Marie me demande de me mettre à genou, sans arrêter de m'enculer, et prend en main ma bite distendue.
Elle fait trois mouvements pour me branler et là, je lâche tout dans un cri de délivrance. Mon sperme gicle sur le sol, une belle quantité, je ne finis pas de me vider.

Après un moment de repos, Marie revient vers moi, toute douce, et me demande :
- tu as aimé ?
- adoré, comment peux-tu en douter ?
Elle rigole doucement, me dit :
- oui, j'ai vu... Mais c'est un peu... spécial, non ?
- oui, c'est vrai, mais ça vaut la peine !
- bon, tu veux bien t'occuper de moi, parce que je reste sur ma faim !
- avec plaisir, installe-toi. En douceur, ou de la même façon ?
- en douceur, bien sûr... Je te laisse le côté "sm"

Je lui ai bouffé l'abricot avec vigueur, mais elle était elle aussi si excitée qu'elle a joui en trois minutes, en m'innondant la bouche de son délicieux nectar, que j'ai léché jusqu'à la dernière goutte.