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Ma nièce Estelle

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Lue : 5521 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/11/2014

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J’emmène Estelle, ma nièce de 28 ans, pour une balade de 2 jours dans un massif de moyenne montagne aux abords des Alpes. A 53 ans, je suis encore valide et habitué aux grandes randonnées en autonomie complète avec bivouac. C’est donc moi qui porte le plus gros sac à dos, sacs préparés ensemble avec ma nièce, peu habituée à ce genre de séjours. J’ai eu beaucoup de mal à lui expliquer que je ne pouvais pas emporter son vanity, je me retrouve normalement avec toute la nourriture pour deux jours plus son sac de couchage qu’elle n’a pas pu caler dans son trop petit sac à dos, et comme moi j’ai un 75 litres j’ai encore de la place.

Mi juin, la météo favorable en journée peut amener des nuits fraîches à 1400m d’altitude, lieu où se situe la cabane forestière où j’ai l’habitude de m’y arrêter en cas de mauvais temps, mais là avec ma nièce je préfère lui offrir une nuit en cabane plutôt que de la voir grelotter en bivouac sous tarp.
Ma nièce, habitant Paris, est toujours enthousiasmée de faire une balade avec moi, elle descend rarement dans la région mais là depuis qu’elle a rompu avec son copain, voilà presque 5 mois, n’arrive plus à s’organiser. Elle profite donc de ce grand WE pour se changer les idées et faire le point. Depuis toujours, avec Estelle, j’étais le tonton confident, elle me confiait ses problèmes dont elle parlait peu avec ses parents.

C’est pourquoi, en ce moment de grande solitude où tout semblait s’effondrer autour d’elle, elle a préféré venir me voir plutôt que ses parents. D’ailleurs à chaque fois qu’elle changeait de compagnon, là c’était le 3ème, elle me téléphonait, m’envoyait des photos et appréciait mon avis même si ça ne correspondait pas à ses attentes du moment. Ca m’amusait, car souvent en réunion de famille lorsque présentait quelqu’un, j’étais déjà au courant et nous échangions des clins d’œil complices.

Voilà, c’est ça, une espèce de complicité qui s’est installée et consolidée au fil des années avec ma nièce, et j’en étais fier, cela rehaussait ma vie d solitaire depuis le décès de mon épouse il y a cinq ans. Celle même année, j’avais dû réconforter ma nièce qui changeait de vie et de compagnon, nous nous étions épaulés mutuellement mais les difficultés à surmonter étaient différentes. Néanmoins je n’oublie pas l’aide qu’elle m’a fournie à l’époque.
En l’attendant à la gare, quelques souvenirs me reviennent. Le train s’arrête, elle saute lestement les marches. A première vue j’ai cru qu’elle était accompagnée par ce grand gaillard qui descend sa valise. Mais non, je suis bête, elle m’en aurait parlé avant de venir si elle avait un petit ami même récent. Ça doit plutôt être une rencontre sur le trajet. C’est bien ça, le grand gaillard, beaucoup plus jeune qu’elle, s’était proposé à l’aider à descendre ses bagages. Grand sourire, yeux pétillants, elle me tend les bras, nous nous embrassons. Belle, très belle jeune femme avec son allure souple et vive, elle ne passe pas inaperçue. Je suis toujours très fier de l’avoir au bras. Le jeune homme continuait son voyage, j’ai lu une lueur d’envie dans son regard.

- je suis heureux de te revoir Estelle, tu m’as l’air en pleine forme !
Je la dévisage des pieds à la tête :
- t’as fait une rencontre, dis-je, en regardant le jeune homme qui déposait sa valise.
- Oh, un charmant garçon, il part sur Marseille, jeune oui et intéressant, on a causé pendant tout le trajet, il prépare une thèse de biologie.
A la maison, au cours du dîner, je la questionnais sur ce qu’elle comptait faire au niveau de sa vie sentimentale. Niveau professionnel, pas de problème, comptable dans une grosse boîte, j’étais rassuré. Mais au niveau sentimental, elle ne voyait pas trop bien l’avenir et elle se laissait aller. D’ailleurs elle m’a retourné le problème deux fois dans la soirée :
- et toi, tonton, tu n’as toujours pas retrouvé quelqu’un avec qui vivre ?... ça te ferait de bien tu sais. Et je suis persuadée qu’il y a plein de femmes qui aimeraient vivre avec toi, même plus jeunes tu sais…
- j’y pense pas, et le temps passe, c’est pour ça que j’aimerais bien que tu ne restes pas trop longtemps célibataire enfermée chez toi…
Et nous sommes restés à bavarder en grignotant une bonne galette aux noisettes, c’est son gâteau préféré.

Le lendemain, elle était toute fraîche pour entreprendre la balade proposée. Après un dernier arrangement et répartition des contenus des sacs, nous voilà à pied d’œuvre. L’endroit est assez sauvage car peu de sentiers et aucun de balisé, donc un vrai parcours nature comme je les aime et qui se font de plus en plus rares. D’habitude, je suis seul, là avec ma nièce c’est autre chose, ça sent le parfum de femme, elle est pétillante, s’étonne de tout dans la nature et une présence physique des plus agréables. Parfois le sentier se perd pour disparaître complètement car très peu fréquenté et non entretenu bien sûr. La végétation a repris ses droits sur ces pentes boisées à 1000m d’altitude, aussi je la laisse se débrouiller pour retrouver la bonne direction en taillant à gauche ou à droite selon les possibilités. Ca l’amuse beaucoup et elle s’y prend bien car j’ai rarement à corriger la trajectoire. Moi derrière, je laisse faire et j’avoue avoir de belles vues sur ce petit corps fragile mais souple qui se joue des branchages sans s’égratigner, enjambe les rochers avec grâce. Elle est belle, elle est très belle ma nièce ! Pour bronzer elle n’a gardé qu’un soutien-gorge de plage rose fuschia plus un petit short noir avec de jolis revers accentuant le haut de ses cuisses fuselées et comprimées dans le tissu élasthanne. J’ai souvent la vue arrière, je me dis qu’une belle femme comme elle, à regarder, si ce n’était pas ma nièce, elle me donnerait envie ! Et je n’hésiterais pas une seconde à la draguer malgré la différence d’âge. De plus dans ce contexte environnemental sauvage, elle paraît encore plus sexy, à l’aise dans son corps qui se mouvoie sensuellement. Toute cette belle chaire protégée uniquement par son minuscule short sur les fesses et le petit sac sur son dos nu, craquant tout ça ! Parfois mon regard se fige sur son popotin, en se retournant elle s’en aperçoit, elle me lance alors :
- tu devrais vraiment te trouver une compagne, y’a pas une voisine qui…
- - ah oui, y’en a bien une qui me tourne autour, mais bon…
- pas à ton goût ?
- c’est pas ça, mais dans l’immeuble tout se sait, alors…
- c’est pas cool !
- dis donc, il est un peu court ton short là…
- c’est le plus… raisonnable… si tu voyais les autres, ça couvre pas plus qu’une culotte, la moitié des fesses à l’air…
Me répondit-elle en riant, elle se retourne et me montre avec ses mains :
- … et alors devant, c’est ras, ras, ras… faut pas avoir un poil qui dépasse… c’est mignon, c’est la mode… et les garçons aiment ça tu penses !
- ah oui, ça doit être mignon ! tu dois faire des touches avec ça !
Pas de réponse. Après une heure de marche en sous bois pentu, l’itinéraire passe par une clairière où se situe une vieille grange rénovée par un éleveur du coin. Je le vois 1 fois sur 2 et depuis le temps qu’on se connaît on a lié amitié. Plus jeune, la cinquantaine, nous ne parlons jamais du passé mais uniquement du présent et de la nature, de son troupeau, des saisons. Il était là et tout content de me voir.
- tu as amené une bien jolie personne là…
- ma nièce, Estelle, elle vient se changer les idées au grand air, Paris c’est pas cool hein.
Williams nous offre un rafraîchissement, sans refus avec ce temps presque caniculaire et nous sommes trempés de sueur. J’ai la chemise trempée, je l’enlève pour la laisser sécher sur la balustrade, par contre Estelle ne peut pas se permettre d’enlever son soutien-gorge trempé lui aussi.
- ah, parcourir les sous-bois quand il fait chaud comme ça et sans vent, c’est le sauna ici, dit Williams en remarquant le soutif et le short trempés de ma nièce.
Estelle semble très intéressée par le style de la grange à moitié enfouie dans la pente, elle veut visiter si possible.
- bien sûr, vous verrez c’est sommaire ici, mais c’est du solide avec des murs de 120cm.
Williams fait donc visiter pendant que j’apprécie mon eau gazeuse bien fraîche à l’ombre des petits pins. La grange no comporte que deux pièces et une salle de bains rudimentaire, la visite devrait être courte. Ma chemise est pratiquement sèche au bout de 1010 minutes, je rentre, pas un bruit, traverse la pièce centrale et je vais voir vers la petite chambre, et là je trouve les deux loustics allongés sur le lit, furieusement enlacés. En les surprenant, Williams s’est levé d’un bon, mais ma nièce, en rajustant son soutien-gorge :
- tonton, j crois que je vais reprendre goût à la vie.
- Je vois ça…
- La cabane où on doit aller, elle est pas loin ?...
- Non, juste une petite heure…
- Alors je vais rester un petit moment avec Williams, il me raccompagnera…
J’ai eu du mal à avaler ! Avec ma nièce nous sommes très directes et francs, mais là ! « J’ai envie de baiser avec ce rustre, juste pour 1 fois » me dit-elle à l’oreille.
Je les regarde tous les deux, Williams me fait une grimace en coin comme quoi c’est elle qui voulait, et elle, avec sa bouche tendue et ses grands yeux semble m’implorer comme une gamine désirant sa poupée préférée. Elle attendait mon approbation… En fait le sourire elle l’a eu car tout en les regardant je voyais aussi le mur derrière eux, tapissé de photos de femmes nues provenant des magazines érotiques… et cela m’a fait largement sourire d’autant que Williams approchait la cinquantaine et restait un rude gaillard. Je me suis dit que ma nièce de 28 ans ne devrait pas s’ennuyer avec lui au lit, surtout qu’elle m’a avoué ne pas avoir fait l’amour depuis sa séparation, donc je la comprends, grosse envie pressante et l’opportunité de la rencontre dans ce lieu sauvage ça a dû l’émoustiller quelque peu.

La situation est cocasse, apparemment mon sourire ne leur suffit pas, ils attendent gentiment comme deux adolescents : elle, bras croisés sous sa poitrine avec une bretelle de son soutien gorge descendue de son épaule, lui, il a déjà une main enlaçant sa hanche et glissant petit à petit sur le derrière du short noir bien rempli. Ils sont prêts à se bondir l’un sur l’autre ! ma présence gêne !
- bon, bein je vous laisse… je vais à la cabane pour préparer le dîner et une bonne flambée.

Sur le chemin, plein de pensées m’assaillent, ayant vu ce joli derrière se mouvoir gracieusement sous mon nez, je me disais que le pote Williams allait bien en profiter ! J’espère qu’elle ne sera pas déçue de son côté, j’avais du mal à m’imaginer ma belle nièce entre les mains d’un rustre, mais bon, j’ai peut être tord de m’inquiéter, après tout je ne savais rien de ses pratiques et capacités amoureuses. Et pis je suis bête quand même, si c’était moi qui avait déniché une telle opportunité, je m’y prendrais galamment, avec douceur, enfin je suis con car ça m’est jamais arrivé. Bon et pis c’est elle qui l’a provoqué, elle est grande.

A la cabane, après l’avoir aérée, rouvert le robinet d’eau, ramené du petit bois, il me reste encore une bonne provision de bûches. Ensuite j’allume le feu, c’est toujours un grand moment pour moi, où que je sois de préparer le feu en cabane ou en bivouac, c’est réconfortant cette présence de vie qui danse sous mes yeux. Après avoir installé les couchages, je commence à préparer nos deux repas, simple comme bonjour : saladettes en entrée puis tartines de pain grillé avec du foie de morue accompagnées de pommes de terre sous la braise. Le dessert sera encore plus rapide à préparer : chocolat grand cru avec un verre de St-Emilion, et pour finir ce petit repas en solitaire, une gorgée de vieux rhum accompagnant mon cigarillo. J’aime le contact sensuel de la cape d’un cigarillo, ça me rappelle toujours la douceur d’une peau féminine et bronzée, oui, sensuel à souhait. J’ai déjà ouvert et mis à chambrer devant la cheminée la bouteille de Bordeaux car Williams ne refusera pas un verre lorsqu’il me ramènera Estelle, d’ailleurs ils ne devraient pas tarder, les ombres s’allongent vite en montagne et la fraîcheur commence à s’installer pour la nuit.

21 h, toujours personne, 22 h, ils ne sont toujours pas rentrés, j’attends dehors mais à cette heure on ne distingue plus le sentier au-delà de 50m. Quelques crêtes restent éclairées pour les dernières minutes, elles flamboient, j’adore ce spectacle, mais là je suis inquiet pour ma nièce. Et pis non, s’ils ne sont pas rentrés c’est qu’ils vont rester… en amoureux… je souris, une pensée érotique m’est venue à l’esprit tout en regardant le dernier flamboiement des crêtes… ils se sont trouvés, la partie doit être chaude aussi dans leur lit.
Résigné à passer la soirée en solitaire, comme d’habitude, je prends quand même plaisir à mon repas et déguste maintenant mon cigarillo accompagné d’un rhum, tout en pensant à mes deux tourtereaux. Ma nièce est tellement sexy, je me demande d’ailleurs comment son mec l’a larguée ? les deux précédents c’est elle qui les a lâchés. Et si Williams a encore de la ressource à son âge pour la satisfaire, car là toute la nuit ensemble… après tout je l’envie, je suis bête, il va falloir que je révise ma façon de vivre.

Le lendemain matin, après avoir tout rangé dans la cabane, quelques petits exercices d’assouplissement avant la douche froide et me voila parti sur le chemin en direction de la grange à Williams. J’arrive sur le coup de 10 h, personne dehors, pourtant Estelle adore prendre son petit déjeuner sur une terrasse lorsque c’est possible. Je rentre donc, et là je vois Williams prenant son café avec deux autres gars. Apparemment des gens du coin, à leur allure, teint buriné, torse velu sous leur chemise à carreaux. Voyant mon air autant interrogateur qu’agacé, Williams prend les devants :
- Estelle est là, elle prend sa douche…, hier soir j’ai eu de la visite… elle a voulu rester avec nous…
Effectivement, le bruit de la douche me fait regarder au fond de la pièce où j’aperçois ma nièce derrière le rideau de douche. Quand je dis j’aperçois, on distingue nettement une femme aux contours généreux et à poil prenant sa douche, là, juste à 4 mètres de la table où sont assis les gars.
J’avais envie de bondir, mais Estelle sort de derrière le rideau, saisit une petite serviette juste suffisante pour cacher son bas ventre :
- ah c’est toi tonton !... passe-moi ma culotte Williams, là sur la chaise… mon short aussi !
Pas gênée alors ! mais pas gênée du tout, elle enfile prestement sa petite culotte sur sa peau mouillée puis son short et avance vers nous en s’essuyant les aisselles et le dessous de ses seins. Qu’elle est belle !
Je ne l’avais jamais vue à poil, les autres je pense qu’ils ont largement eu le temps de la cartographier sous toutes les coutures.
- bein voila, on a dîné ensemble et puis on a joué aux cartes…
- et j’ai perdu, tonton !...
- c’était un strip poker bien sur
- de toutes façons, qu’elle perde ou pas, le résultat aurait été le même, dit l’un des gars.
- … je vois que certains en ont bien profité !
- de quoi, de quoi… elle est pas majeur ?... elle aurait dû nous le dire…
J’ai du m’écraser car effectivement elle faisait comme elle l’entendait, c’est sa vie, je la voyais souriante, magnifiquement belle, attirante et très très sexy. Quelques cernes trahissaient une nuit agitée.
Lisant mon interrogation sur mon visage, elle m’embrassa en souriant :
- Tout va bien tonton, j’ai perdu au poker avec ces trois coquins…
- ils ont dû tricher, y’avait gros à gagner…
En disant ça je n’ai pû m’empêcher de jeter un regard sur ses gros lolos bien suspendus, aux larges aréoles présentant leurs tétons bien fiers, elle me sourit et me rajoute à l’oreille :
- … et j’ai regagné ma confiance en moi tu sais…
- je vois ça… dis-je en constatant qu’elle n’était nullement gênée d’avoir encore sa poitrine à l’air devant nous tous.
Ah oui, elle est sure d’elle, elle a baisé toute la nuit avec ces trois rustres et elle affiche sa magnifique poitrine avec quelques petites marques rougeâtres de griffures et de morsures. Elle se faufile entre nous avec un superbe déhanchement chaloupé.
- t’avais plus d’eau chaude ? demande Williams souriant en constatant les gros tétons toujours pointés.
- Ah c’est pas grave, réponds-elle en souriant, j’ai juste terminé et rincé avec l’eau fraîche…
Comme tous les regards sont braqués sur les arrogantes pointes, elle soupèse sensuellement ses seins, et, s’adressant aux trois lascars :
- l’eau froide ça leur fait du bien, après tout ce que vous leur avez fait subir…
- …mon soutif… vous me l’avez cache ?...
Là je n’ai pas pu m’empêcher de sourire, tout comme les mecs ; le soutif en question ils ont pas dû le voir longtemps sur elle hier soir au poker car c’est lui qui a dû valser le premier. Les mecs s’en foutent où qu’il se planque son soutif, ce qu’ils ont vu c’est ses seins à l’air à portée de mains et prêts à s’offrir au premier tour de carte !
- où étais-tu assise hier soir ?
- là, à côté du poêle…
- eh bien il doit être derrière, tu as dû le jeter par-dessus ton épaule.
- Ah bein oui ! le voilà !
Il gisait sur le tas de bois. Un des hommes le prit, esquissa un sourire en le tendant à Estelle :
- il a reçu quelques escarbilles… heureusement qu’il était vide !
- c’est pas grave, ça me fera des aérations !
On s’est tous mis à rire, eh oui, il y avait quelques trous sur les bonnets. Elle se l’ajusta sous notre regard amusé et j’ai bien vu que certains ici auraient bien voulu participer à l’aider si je n’avais pas été présent.
- dis tonton, j’avais pas mon pull hier soir, il doit être dans ton sac, tu peux me le passer ?
Je n’ai pas eu le temps de le chercher que déjà un des hommes retire sa chemise de bûcheron pour lui mettre sur les épaules, il se ravisa puis en prenant son temps lui enfila les manches.
- elle est toute chaude, c’est agréable…
- ah ça oui, elle est toute chaude, répondit-il en souriant.
- En tout cas, hier soir, j’en ai pas eu besoin de mon pull.
Et là elle s’adressait, toute coquine et limite provocatrice, à ses partenaire qui ne manquèrent pas de lui répondre. Quant à moi, j’avais compris que j’étais arrivé trop tôt et qu’il ne me restait plus qu’à attendre en sirotant mon café.
- c’est sur, placée au plus prêt du poêle chargé jusqu’à la gueule ! ah il carbure bien ton poêle Williams !
- pour la bonne cause hein Estelle ?... en tout cas t’as pas froid aux yeux.

De temps en temps ils lui parlaient un ton plus bas mais j’arrivais quand même à entendre l’essentiel.
- ah oui avec ce qu’on t’a montré quand il fallait choisir, t’as pas eu peur d’en voir trois à la fois sur la table hein !
- t’avais de ces mirettes ma belle !
- vous aussi, bande de coquins !
Autrefois, j’y ai joué à ces parties de poker, le plus pétillant c’est au début quand la fille doit enlever son soutien gorge, l’excitation des garçons est à son comble et avec 1 ou 2 verres de whisky, quand vient le moment crucial où tous les participants sont à poil, qu’elle s’est déjà fait peloter plusieurs fois, elle doit choisir lequel sucer le premier. Comme le nombre de garçons est toujours supérieur à celui des filles et souvent y’en a qu’une, eh bien elle aura droit à de nombreuses sucettes avant de passer à la casserole.
- Oui, y’a des choses qui réchauffent comme ça… elle est chaude ta chemise dit donc !
- Faut ça en montagne, même à cette saison, ici le soleil donne tard.
- C’est vrai qu’il fait frais ce matin, je le ressens…
Elle se tortille un peu en blottissant ses bras contre sa poitrine ; assise entre les deux copains de Williams, elle leur a tendu la perche et les voilà qui la frictionnent à travers la chemise, et bien appuyé sur le devant !
- lève tes jolis bras…
Elle est forte, elle se maîtrise bien car elle pourrait aussi saisir l’occasion d’appuyer sur les apparentes protubérances qui gonflent les pantalons autour d’elle.
- on pourrait peut être rallumer le poêle… et faire une partie de cartes… qu’en dites-vous les gars ?

Estelle ne répondait pas mais s’amusait à les émoustiller tout en prenant un certain plaisir physique car elle se laissait docilement peloter. Et aussi plaisir mental, enfin je veux dire pour son moral, et je la comprenais, elle reprenait goût à la vie parmi les autres. Du coup ça me rassurait mais je rappelais quand même ma présence en émettant un bruit de gorge, je n’avais pas envie de la voir se faire sauter sous mes yeux dans le lit que j’entrevoyais encore laissé en champ de bataille !
Comme elle était à sa deuxième tasse de café, je lui demandais si elle voulait manger car nous avions encore quatre heures de marche à faire jusqu’au parking.
- c’est bon mon oncle, j’ai déjà mangé avant de prendre ma douche… j’avais une de ces faims !
- ça fait plaisir à la voir manger… elle est gourmande !
J’en ai vu un qui a poussé l’autre du coude :
- oui, elle a fini les trois pots de confiture…
- j’ai du mal à refuser les bonnes choses…
Là, j’en avais assez entendu, tous ces sous entendus à peine dissimulés ; je décidais de partir, Estelle aussi, elle avait assez joué.

En partant Estelle a voulu leur attribuer un baiser sur la bouche, bien sur ils en ont profité pour lui plaquer leurs grosses mains sur le haut de ses fesses rebondies.
- j’espère qu’on te reverra dans les estives, Estelle ?...
Elle a eu du mal à se décoller d’eux et les a quittés toute guillerette.

En chemin, elle m’a rassuré que tout s’était bien passé, qu’ils avaient été corrects (sans me donner de détails bien sur) et qu’elle restait étonnée de leur vitalité. Là je la voyais arriver, elle voulait m’en rajouter une couche :
- tonton, il faut pas que tu restes seul, à ton âge il te faut une petite femme avec toi tous les soirs, c’est humain… et pis c’est tellement bon…
- euh oui t’as certainement raison… mais là en ce qui te concerne, toi, pour la nuit passée dans ces conditions c’est pas l’overdose là ?...
- cette nuit, je me suis rattrapée, après cinq mois d’abstinence… mais maintenant je vais reprendre la vie normale, promis tonton !... et toi aussi hein !...
Je me le suis promis car ces derniers mois, je me suis fais plaisir tout seul, sauf en fin d’année où j’ai loué un camping car pour roder aux alentours de Barcelone. Les filles étaient ravies de me revoir tous les soirs pendant une semaine, au chaud dans mon camping car avec tout le confort et même mieux qu’à l’hôtel. Mais Estelle avait raison, je ne pourrai pas passer ma vie seul et à errer sexuellement.

Tout en cheminant, mes pensées revenaient sans cesse sur ce que j’avais vu de ma nièce avec les trois loustics, et en plus, je la voyais devant moi marcher et se faufiler avec aisance dans les sous bois et escalader les rochers avec agilité, mettant en valeur ses belles rondeurs et tout son joli corps de femme dans des positions très sensuelles. Tout en l’admirant je commençais à en être troublé, sexuellement. Il fallait que je parle pour me libérer :
- c’est bien, t’as repris du poil de la bête… mais quand même c’est plutôt bestial ta nuit avec…
- peut être tonton, mais ça a été le déclic pour moi. Maintenant ça va mieux, je ne suis plus engourdie dans ma tête.
Ni entre les cuisses pensais-je honteusement… et je m’enhardis à lui répondre :
- oui je vois ça, ça t’a débouché les écoutilles (en souriant je pensais à un film, une réplique d’Eddy M.)
- tu ne crois pas si bien dire tonton !
Je la considérais comme ma fille, j’y tenais, et elle aussi me mettait à la place de son père et nous pouvions discuter encore plus franchement, de cette façon on pouvait s’épauler et se conseiller.

COUCOU, c’est moi Estelle !

Je suis rentrée à Paris depuis 2 semaines, j’ai repris le boulot et aussi, vous vous en doutez bien, ma vie amoureuse, enfin plus sexuelle qu’amoureuse. Allez, sans rentrer dans les détails, disons que maintenant je baise 1 soir sur 2. Et ce week-end, je suis invitée par 3 garçons dans leur château familial, je sens qu’il va y avoir de la découverte. Bon là, vendredi soir, après un bon jogging, c’est grand repos dans mon canapé et j’en profite pour vous donner quelques détails sur ma « soirée en cabane », dont je garde un excellent souvenir.

Dés que mon oncle fût parti, Williams et moi on s’est jetés l’un sur l’autre comme des bêtes. Presque pas de préliminaires, je m’y attendais car le rustre devait se masturber plus souvent que de baiser ! Ca m’a refroidie un peu, mais bon, moi aussi j’avais une grosse envie. Par contre dans l’euphorie de la situation j’avais oublié mon petit minou insuffisamment lubrifié du fait d’une longue période d’abstinence ! Après ma rupture, dans mon désespoir, je l’avais complètement ignoré (on ne m’y reprendra plus). J’ai eu mal, Williams aussi mais ça ne l’a pas empêché d’éjaculer rapidement, je n’ai rien ressenti et voyant ma déception, il me proposa de recommencer plus chaleureusement après un petit repas. J’acceptai.
J’avais froid malgré le pull qu’il me prêta, je ne voulais pas endosser un pantalon pour ne pas avoir l’air d’un sac à patates, déjà que le pull… mais il me dit que c’était très excitant pour lui de me savoir à poil sous un gros pull. Surtout que ses mains venaient s’y balader souvent pendant que je préparais une omelette aux lardons. Il avait bourré le poêle, ça crépitait ! et surtout je reprenais de la chaleur lorsque nous passâmes à table.
Pour se racheter, il venait souvent m’embrasser dans le cou avant de me peloter sous le pull, je me faisais désirer et j’entretenais son érection en passant souvent ma main sur son pantalon. La deuxième mi-temps sera meilleure mais il fallait la préparer ! De plus, ça coulait dans mon vagin, il s’en est aperçu lorsqu’il a pu rentrer doucement ses 2 doigts. En les retirant je les ai sucés avec lui :
- ça donne du goût supplémentaire à l’omelette ça…
- alors on la finit en vitesse, fis-je malicieusement.
Dehors, la nuit commençait à recouvrir les montagnes, j’avais oublié que mon oncle m’attendait dans sa cabane. Nos regards se sont croisés certainement sur la même pensée mais le désir était plus fort, nous avions envie l’un de l’autre. C’était notre seule préoccupation. Je me rapprochais près de lui, soulevant lentement mon pull pour qu’il voie ma vulve prête à l’emploi. Les lèvres légèrement entrouvertes lui offraient mon irrésistible nacre brillante toute perlée de mouille, rehaussée par le fin triangle de poils comme pour indiquer l’entrée.
- c’est pas un beau dessert ça ?...

Pour réponse il se mit à laper l’offrande tout en douceur, j’écartais plus mes cuisses, il me maintenait par les fesses, je lui caressais la tête. Je penchais la mienne en arrière, me cambrant pour lui donner le maximum de prises à sa bouche, sa langue pénétrait lentement, le désir envahissait enfin tout mon corps.
Nous laissâmes la moitié de l’omelette, il m’emporta dans ses bras jusqu’au lit, m’arracha le pull, le poêle crépitait, ça allait chauffer !

Au moment où il commençait à se déshabiller, nous entendîmes des voix sur la terrasse. Vite je récupère ma culotte et mon soutif, j’enfile le pull. C’est deux copains qui lui rendent visite après une journée de balade en montagne. Pendant les présentations, les deux garçons ont vite compris la situation et profitèrent de la proposition à boire un verre pour s’asseoir et rester jusqu’à ce que la nuit tombe. Bizarrement, je ne m’inquiétais pas plus que ça. Après tout, il y avait certainement des possibilités de les héberger pour un bivouac improvisé, avec des sacs de couchage sur la terrasse… Williams sortit un saucisson, du pain et ouvrit une bouteille de vin. Le cadre et la situation m’offraient de m’enhardir, et lorsque Williams passait à côté de moi, je lui maintenais une discrète petite pression tactile pour ne pas oublier que nous étions en attente de conclure. Lui aussi ne manquait pas une occasion de me caresser furtivement la croupe, j’étais donc confiante pour la suite et qu’il saurait se débrouiller pour caser les invités et nous laisser tranquille.
Occupée côté placard où je cherchais une bouteille, j’ai entendu à la sauvette :
- elle a un joli p’tit cul, tu te l’es faite ?...
Williams n’a pas eu le temps de répondre. En fait les invités n’avaient pas les yeux dans leurs poches, ils lorgnaient sur mes cuisses dénudées. Ils ont même du apercevoir ma culotte noire lorsque je m’asseyais, mais ça ne m’effrayait pas, au contraire, je savourais d’être désirée.

En discutant à table autour du café, Williams proposa une partie de cartes. J’étais assise à côté de Boris, le plus jeune. Le lascar ne tarda pas à me caresser discrètement le dessus de ma cuisse, lentement en remontant jusqu’à ma culotte, je frémissais de plus en plus, puis il passa à l’intérieur de ma cuisse toujours aussi discrètement. Il retira sa main pour jouer son tour et la replaça aussitôt. Comme je ne m’intéressais pas plus que ça aux cartes, par contre je prenais plaisir à attendre la suite des événements et tout en faisant mine de rien je laissais faire l’intrus. Oui l’intrus car lorsqu’il revint à la charge, instinctivement, telle une bête, j’avais légèrement écarté mes cuisses et lui n’hésita pas pour chercher le passage sous ma culotte et venir fourrer son doigt dans mon minou en position d’accueil. Je n’ai pas sursauté mais la petite grimace sur mon visage a été remarquée par la tablée. Son doigt a profité de ma mouille pour se promener et caresser mes lèvres avant de pénétrer gentiment, j’ai serré les cuisses pour qu’il n’aille pas plus loin et surtout pour ne pas craquer ! Comme par hasard le jeu ralenti, apparemment ils pensaient tous à autre chose que la partie de cartes…
C’était clair pour les trois hommes, j’avais donné mon consentement pour des jeux autrement plus intéressants ! Alors plutôt que de me sauter dessus comme une bande de goujats, Williams proposa une partie de strip poker. Sans me montrer grosse salope j’acceptais avec un grand sourire et… une grosse envie de baiser laissée en plan avec Williams.
- ah oui ! j’y ai jamais joué… ça doit être très excitant !
- plutôt oui !
En disant cela je commençais à fantasmer sur la partie cul à venir. Pendant que Williams rechargeait le poêle, les deux autres restèrent courtois avec des attentions à mon égard, me resservant du café, me félicitant sur la beauté de ma chevelure dont les mèches enveloppaient mon visage et sur lequel je ressentais les rougeurs de honte et la dilatation de mes pupilles suite au désir que j’avais provoqué chez ces mâles. Mais sous les mèches cela ne devait pas trop se voir. Je me sentais un peu folle dans cette situation toute nouvelle pour moi. Et mon oncle qui devait m’attendre… s’il se doutait…
Dans cette affaire, dont l’issu prévisible m’emportait, j’avais du mal à entrevoir le déroulement car ils l’ont bien vu, je n’étais pas une salope mais plutôt une opportunité. Une opportunité pour eux comme pour moi puisque je n’avais pas été claire lorsqu’ils sont arrivés. Ni Williams. Nous aurions pu invoquer « un week- end tranquille entre amoureux » et basta, ils n’avaient qu’à redescendre au parking ou coucher dehors dans des sacs de couchage, mais non on est restés évasifs sur notre situation.

Alors faire l’amour, enfin baiser, avec ces trois hommes, comment allaient-ils s’y prendre car je me doute bien qu’ils ne me laisseront pas le choix. J’attendais donc la suite tout en affichant une certaine retenue innocente et sensuelle à la fois. Innocente uniquement pour la suite car en me faisant caresser ouvertement , c’est bien le cas de le dire, j’étais prête pour des jeux sexuels !
Ils étaient en chemise manches relevées et moi avec mon gros pull devant le poêle qui carburait. La partie commença.
- on t’apprendra au fur et à mesure, tu verras c’est simple comme d’enlever sa… chemise…
Effectivement, et dès le premier tour je dus enlever mon pull, satisfaction pour moi, j’avais trop chaud ; satisfaction générale bien sur. Ensuite Williams ramena une bouteille de rhum « pour l’ambiance » et aussi pour m’aider à ne pas m’affoler pour la suite à venir. Lorsque je dus enlever mon soutif, vite balancé derrière moi pour montrer ma contenance, là, grand moment de… réflexion :
- félicitations Estelle, la nature t’a bien dotée !
- oh les belles petites pointes ! moi j’ai hâte d’aller jouer avec !
-
Je constate avec eux la provocante érection de mes tétons, ils sont au maximum de leur érection ; ça me démange, j’ai envie de les titiller, ils vont devoir patienter. Aux tours suivants les mecs n’avaient d’yeux que pour mes nichons, d’ailleurs, suite à leur perte d’attention au jeu, deux chemises tombèrent. J’avais une grosse envie d’aller caresser ces torses plus jeunes que celui de Williams. Une troisième chemise tomba. Je triomphais de gagner sur les mecs, eux étaient ravis car j’en avais oublié la nudité de ma poitrine, elle se balançait fièrement sous leurs regards comme pour les hypnotiser.

Nous étions tous torse nu donc ex aequo.
- non, pas tout à fait, nous on a le pantalon avant la culotte…
J’avoue que cette remarque ne m’était pas apparue étant donné que lorsqu’ils se levaient pour charger le poêle, ça bandait sec si que j’avais l’impression qu’ils n’avaient pas de slip.
- la biche est à moitié sortie de la forêt… dit l’un
- et les loups aussi… répondis-je
- pas les loups, les chasseurs avec leurs 2 coups prêts à tirer…
Six tours suivants, je perds, mon air les a fait rire lorsque j’ai baissé la tête en m’interrogeant « j’enlève ma culotte… »
- de toutes façons il faudra la terminer cette partie…
L’un d’entre eux a voulu faire durer le plaisir avant de passer à l’issue fatale trop tôt.
- on te laisse le choix ma belle, soit t’enlève ta culotte et ça va vite se terminer, soit tu acceptes des gages.
- Ok pour les gages ! dis-je presque triomphante.
D’autant que cela ferait monter la tension entre nous quatre.
- alors le premier gage, et j’espère qu’il y en aura d’autres, c’est toujours amusant dit Hervé, c’est pelotage poitrine niveau découverte !
Sans attendre j’ai eu droit à un pelotage en règle.
Ensuite j’ai encore perdu 2 fois : pelotage expert des tétons, c’était rapide mais comme ils passaient tous les trois ça m’a suffisamment affolée, surtout lorsque Boris dit :
- c’est bien tentant cette petite culotte… elle doit être bien trempée maintenant…
J’avais du mal à retrouver mes esprits. Ils ont du tricher, c’est pas possible, car j’ai perdu plusieurs fois de suite et tout d’un coup voilà que je sors une quinte, moi qui n’y connaît rien au poker (ils ont du me changer les cartes pendant que je fondais sous leurs tripotages !
- bravo Estelle !
- un coup comme ça tu nous fous tous à poil !
Me voilà donc encore « habillée » alors que mes trois adversaires sont complètement nus !
- la biche est sortie du bois… dit Boris.
- …les chasseurs aussi… avec leurs deux coups…, c’est évident dis-je en voyant leurs beaux et imposants engins.
Ils se rassirent lentement pour que j’ai le temps de fantasmer sur leur virilité. Je m’enhardissais :
- un deux coups c’est suffisant ?
- quelque fois oui… mais quand la partie de chasse dure, alors on a souvent l’occasion d’utiliser nos munitions supplémentaires.
Je voulais les coincer sur leurs allusions, ça m’excitait encore plus de parler sexe de cette façon.
- mais vous n’utilisez qu’une cartouche par proie ?
- oui mais quand la bête se défend bien il en faut plusieurs
- alors vous n’êtes jamais seul à la chasse ?
- bein oui, c’est plus amusant hein.
- Vous avez tous les mêmes fusils ?
- Oui, enfin c’est une question de longueur… de fût…, le calibre change aussi mais là c’est plus compliqué à expliquer.

Comme je me lève pour chercher du sucre, avant de ma rasseoir, je plonge mon regard sur l’assise de mon voisin de table dont la bite est au garde à vous comme celles des autres, je continue d’interroger :
- je suppose que c’est du matériel de qualité, ça s’entretient comment ?
- fréquemment, le principal c’est que les canons soient toujours bien lubrifiés, le mécanisme aussi et pour ça faut s’en servir souvent et quand y’a pas de chasse faut tirer à blanc.
Hervé dit soudain :
- la biche est entièrement sortie du bois, à portée de tir…
Debout devant les mecs assis, poitrine palpitante, ventre creusé et accueillant, petite culotte accrochée sur mes hanches avec sa tache de mouille bien visible, qu’attendaient-ils ? Leurs engins étaient pourtant prêts à tirer !
- la partie de cartes n’est pas terminée…
Aussi excitée qu’eux je cherche encore à gagner, jouer aux cartes à poil avec le sexe en attente m’excitait terriblement ! Je perds ! Je m’apprête enfin à enlever ma culotte.
- on te laisse encore un gage !
- c’est quoi ?
Et là, tous les trois se levèrent et posèrent leurs bites sur la table face à moi ! J’écarquille grand les yeux, esquisse un large sourire coquin.
- t’en choisis 1 à sucer !
Ni une ni deux, je monte sur la table à quatre pattes, ils tiennent tous leur attribut en main, plaqué sur la table.
- vous aussi la nature vous a bien dotés…
- am stram gram… ce-se-ra-toi !
Prenant en main l’heureux gland désigné par mon doigt, mais toute honteuse dans cette position bestiale, je suis contente que ma chevelure cache mon visage.
- faut pas tricher ma belle, les autres veulent voir le gage.
Hervé m’a mis de côté ma chevelure, dégageant une joue bien en vue, j’ai commencé à sucer le gland, bien timidement n’étant pas habituée à m’offrir en spectacle. Ensuite il m’a pris la tête entre ses mains pour m’enfoncer tout son dard et me faire subir ses va et vient. Cramponnée au rebord de la table, je voyais Williams et Boris me dévorer des yeux, ils tournèrent autour de la table-spectacle :
- on fait l’inspection du lot qu’on vient de gagner aux cartes.
- belle croupe !
Ma croupe eut droit à des caresses ainsi que mon échine super cambrée du fait de l’étroitesse de la table. Et quand leurs mains passèrent à l’intérieur de mes cuisses frissonnantes, une grosse envie d’être prise m’envahit, je sentais s’ouvrir ma chatte impatiente !
- ça lui va bien cette petite culotte à moitié rentrée dans sa fente !
- moi j’aime mieux ça qu’un string !

Tout en sachant et espérant que j’allais être rapidement baisée, j’étais confiante pour la suite car ils n’ont pas profité de ce que j’avais la croupe offerte pour me sodomiser. J’aime pas cette pratique et surtout que mon sexe hyper sensible avec mes orgasmes hystériques ont toujours comblé mes partenaires.
J’étouffais avec sa queue qu’il me faisait astiquer, elle durcissait encore ! Non, il va pas éjaculer !
- eh Hervé tu vas pas lui larguer ta sauce tout de suite !
- la petite demoiselle doit avoir envie de jouir… pas vrai… dit Boris en me tapotant la croupe.
Ouf, il me lâche enfin ! je relève la tête, mes cheveux retombent lourdement sur mes épaules. Ainsi cambrée, à quatre pattes sur la table, tel une bête qu’on admire et qu’on attend d’elle de belles prestations.
- c’était un gros gage… dis-je en faisant jouer mes mâchoires et roulant ma langue sur mes lèvres.
- pour être gros, oui, hein ça remplit bien ta jolie bouche… t’es une coquine toi !
- on dirait que la partie de cartes est terminée… dis-je.
- On va t’apprendre maintenant les règles d’un nouveau jeu, et là, tu vas gagner à tous les coups !
Je souris :
- vous aussi, vous allez gagner à tous les coups hein.
- Moi, c’est quatre…
- Moi, c’est trois, mais avec un beau cul comme le sien je sens que je vais me surpasser !
- J’peux avoir une petite lichette de rhum ?... dis-je, enivrée par leurs promesses.
- Non, c’est pas bon pour baiser, et pis ça va nous brûler le zizi…
Rires communs, on m’offre plutôt une tasse de café que je bois assise sur mes talons. Ils tournent autour de la table admirant leur lot gagné, ou plutôt cherchant des angles d’attaques.
- reste sur la table, enlève ta culotte et assieds-toi devant moi, avec ce que tu m’as fait, j’ai la tige prête à dégorger !
Assise sur la pointe des fesses sur le rebord de la table, les deux autres me maintenaient derrière par les épaules et la poitrine.
- jolie petite chatte prête à l’emploi, vous avez vu son mignon triangle de poils pour indiquer l’entrée ! humm ! ça mérite un coup de langue, c’est trop tentant ça !
Longs gémissements ! Puis lorsqu’il m’a relevée les jambes en l’air, son sexe encore luisant de ma salive m’a pénétrée d’un seul coup !
- ah !!!
Je couinais à chaque coup de butoir. Malgré le manque de préliminaires mais grâce à l’excitation du désir bestial de la soirée autour de cette table, je montais rapidement et bruyamment en jouissance. Il m’envoya sa sauce avec de grands râles puissants. Tremblante et encore fébrile, ils m’ont retenue pour que je ne tombe pas de la table.
- voilà un bon début dit Williams en m’embrassant dans le cou.
Mon premier baiseur m’a tendrement essuyée, ou plutôt épongé le bas ventre, vu la quantité qui commençait à dégouliner sur la table.

- t’es belle sur la table !!... fais-toi une queue de cheval, ce sera plus pratique !
Comme des gamins devant une vitrine de jouets, ils ont suivi toutes mes contorsions, assise sur les talons, la poitrine cambrée, tétons étirés ; ils en bavaient !
Boris m’a saisie avec douceur pour me porter jusqu’au lit. Les muscles de ses bras forts me rassuraient sur la tendresse de ce jeune homme et des deux autres bien sur, ils allaient me donner du plaisir ! Trop tentants, ses beaux tétons ! J’en ai mordillé un !
- coquine !... tu vas avoir tout le reste dans pas longtemps…
J’ai continué à le mordiller tel un chiot sur un petit os.
- t’es rudement belle !... me dit-il en me déposant sur le lit.
- Merci… toi aussi hein, j’ai hâte de te caresser… et de-te-su-cer !… dis-je en regardant le très beau membre bandé avec ses grosses veines saillantes.
- Bon je vais aider les autre à provisionner du bois, faut pas que t’aies froid cette nuit.
- Avec trois chaufferettes permanentes, ça m’étonnerait.

Les voilà enfin ! Mes trois amants laissent 2 bougies allumées dans la cuisine et disposent 2 autres bougies sur les étagères de la chambre, leurs déplacements autour du lit font danser les flammes. Les lumières chaudes éclairent leurs corps augmentant l’atmosphère terriblement sexuelle avec leurs trois bites tendues ! mon corps en attente du plaisir, je n’ai pu résister aux picotements qui assaillent mes seins, je les malaxe fébrilement, je tire mes pointes électrisées, ça les amuse de me voir impatiente :
- tu vas pas te les garder pour toi toute seule !
- ça fait plaisir de voir une femelle qu’a envie de baiser ! depuis le temps qu’elle attend !
- y’a pas qu’elle… regarde la trique que t’as !
Effectivement, le jeu de lumières sur leurs corps accentue la vue sur leurs queues tendues, ça m’excite encore plus de les voir se balancer lourdement avec leurs couilles prometteuses ! Leurs sexes frôlent mon visage comme pour me narguer, mes mains toujours crispées sur mes seins n’y résistent plus, j’attrape la première queue comme une mante religieuse saisie sa proie entre ses longues pattes, je dévore aussitôt l’objet convoité. Ma bouche affamée enfourne le gland tuméfié, au même moment 4 mains me caressent sur tout le corps, excitent mes seins, mes cuisses et commencent à entrouvrir mes lèvres, 2 langues se relaient dans mes muqueuses accueillantes. Après ces agréables préliminaires, Boris, le plus jeune, vint me pénétrer d’un coup, m’arrachant un cri :
- ah !!!!
Bien que mon sexe soit largement préparé à recevoir les pénis de mes trois amants, la surprise est toujours là lorsqu’on me pénètre brutalement, c’est vachement agréable d’être prise par la puissance virile!
Alors je me disais qu’après l’avoir bien sucé, et c’est la plus belle des trois queues que j’avais comparées sur la table, il allait lui aussi conclure rapidos. Et bien non ! à ma grande satisfaction malgré la présence des deux autres qui n’en perdaient pas une miette, une complicité s’établissait entre nos deux sexes.
Pendant un moment je réussissais à commander mes sphincters pour prendre le pénis, l’étrangler progressivement, puis relâcher et resserrer encore plus. Il appréciait ! Je l’ai maintenu assez longtemps pour lui extirper des gémissements jusqu’à ce qu’il se ressaisisse pour reprendre le dessus. Je sentais sa queue remplir tout mon vagin, elle travaillait en douceur et en force pour m’arracher de longs gémissements, alors le désir sexuel m’emporta toute entière ! C’était trop bon ! Je relâchais progressivement mes muscles autour de sa verge pour éviter l’éjaculation, je gémissais fort, très fort, complètement électrisée autour de sa queue.

Voyant cela et sachant que je n’étais pas au bout de ma jouissance, mon amant sut se retenir encore un peut. Il se décolle légèrement de mon ventre, je saisis ses tétons pour les tordre, je reprends mon souffle mais j’attends la reprise, ça y est c’est reparti ! il est bon ce mâle car l’instinct de mon sexe actionnait depuis un moment le mécanisme de pompage de la verge… sa verge, je la sens énorme ! mon esprit se focalise sur sa verge en action dans mon ventre, elle doit être à la limite d’ouvrir les vannes ! pas encore ! pour moi j’ai presque atteint le sommet de la jouissance, l’orgasme me domine, mes cris saccadés s’amplifient, les va et vient de la verge se synchronisent à mes halètements, c’est trop bon ! maintenant mon amant râle fort, nos râles se renvoient l’écho ! La verge explose ! elle m’envoie une 1ère giclée fulgurante au plus haut de mes cris ! puis 6 autres… secouée, hystérique sous l’emprise de mon orgasme, je tente de gesticuler mais le phallus dominateur me retient clouée sur le lit, prisonnière du mâle assouvi qui pèse maintenant de tout son poids sur moi comme un catcheur vainqueur.

Comme à chaque fois qu’on me fait bien l’amour, je reste à moitié sonnée, sous l’emprise d’un violent orgasme qui me domine lui aussi. Mon amant, complètement vidé par l’énergie dépensée et par son éjaculation orageuse, reste planté dans mon ventre, j’aimerais bien refermer mes cuisses, les frotter pour sentir les ondes délicieuses qui continuent de se propager dans mon sexe. Mais je continue de déguster la présence du phallus brûlant, c’est délicieux de le sentir encore à l’intérieur de mon vagin ultra sensible. La queue se rétracte légèrement, tout en gardant une belle taille, elle glisse sensuellement sur mes muqueuses réceptives, j’attrape mes tétons durcis pour les tirer, les tordre à la limite de la douleur, je pince mes aréoles, mordille mes lèvres.
La queue sort entièrement, ça coule, mes mains se précipitent sur ma chatte gonflée, je la serre comme pour garder tout le sperme chaud en moi, mes doigts me remonte le nectar masculin, épais, blanc, visqueux, ma langue l’étale sur mes lèvres avant de le goûter par petits lapages sous le regard attentif de mes trois amants.
Puis mon généreux donateur roule sur le côté pour se lever. J’aurais tant voulu le remercier en embrassant son corps et lui lécher sa bite dégoulinante de foutre mais je ne peux plus bouger si ce n’est que de me contorsionner en enserrant mes mains entre mes cuisses et mon bas ventre.
Boris reçoit les félicitations de ses copains, il a la bite pendante, mais pour eux c’est l’érection totale, émoustillés par la qualité du spectacle ! ils se rapprochent, reprennent vite possession de leur jouet. Les caresses recommencent, ma peau s’électrise de nouveau sous leurs mains, leurs doigts s’immiscent là où c’est chaud, ça coule encore, peu leur importe :
- elle est bien lubrifiée !
- bravo Boris, maintenant qu’elle est rodée, on va pouvoir la chauffer un peu plus !
Je fondais sous leurs assauts, ils n’ont pas tarder à pénétrer leurs engins dans mes deux orifices demandeurs : l’un dans ma bouche toujours gourmande et l’autre dans ma chatte bien ouverte. N’étant pas habituée à ces enchaînements, heureusement qu’il me restait de l’énergie et surtout une énorme envie de me faire baiser et de profiter de ces trois mâles en rut ! Je sentais qu’ils étaient bien décidés eux aussi à m’envoyer au septième ciel, à se payer une chaudasse en manque et lui faire rattraper son retard !

Quel magnifique spectacle pour un homme de maintenir la femme en jouissance au bout de sa queue ! Et quand l’embrasement des sexes est total avec des hommes dominés à moitié par l’acte charnel et à moitié par la vision d’une femme se faisant baiser, c’est le summum de la jouissance ! Les deux bites s’activent frénétiquement, tendues, bien dures, gonflées à craquer ! Je maintiens fermement celle de Williams pour l’extraire et la repousser, j’étouffe, j’ai besoin de gémir ! L’autre me pilonne, il n’est pas prêt de me lâcher ! moi non plus ! je vais le pomper ! lui extraire tout son jus ! il râle fort, couvrant mes gémissements, le sommier grince ! J’ai gagné, je reçois une première giclée, elles se succèdent jusqu’à l’épuisement du mâle, je gigote mais suis toujours clouée.

Williams revient alors me fourrer sa grosse bite en bouche. Je m’efforce de diriger l’action, une main tire les couilles et l’autre masturbe la hampe, mes lèvres se referment autour du gland, je le branle en maintenant le gland par sa collerette au profond sillon que j’enserre toujours plus fortement comme pour le dévisser de son socle, mes joues se creusent prêtent à traire le phallus et aspirer son jus, il surgonfle arrachant le cri de jouissance du mâle :
- la salope !!!
Eh oui la salope, une vraie bête ! Je me suis acharnée sur son sexe, ne lui laissant aucune possibilité de stopper si l’envie lui avait pris de venir décharger sur mon visage. Maintenant je vais jusqu’au bout, je le fais éjaculer dans ma bouche, 6 giclées me la remplissent, je referme ma glotte pour ne pas avaler son foutre, il retire son engin tout gluant. J’entrouvre mes lèvres dégoulinantes pour lui montrer son offrande que je malaxe lentement avec ma langue bien enrobée et j’avale le tout sous son regard satisfait… le pauvre je l’ai bien pompé, il a les yeux exorbités !
Mais là et en écrivant après coup (c’est le cas de le dire), je sais oh combien les hommes apprécient de se faire sucer aussi à l’improviste. Si le plaisir pour la femme ne constitue que la partie sucette d’une bonne queue et de voir son mec vibrer et jouir à l’éjaculation, c’est un bon moment même furtif… et on est assurées d’avoir droit le soir venu, au lit, d’une grande séance de câlins. Baiser à la sauvette, pour moi, niet !
Pour finir avec la queue de Williams, je l’ai pressée et lapée jusqu’à la dernière goutte. Boris m’a félicitée :
- t’es belle ma salope, mais là à faire l’amour, t’es encore plus belle !

Comblée, repue, fatiguée, je me suis endormie à côté de Williams. Les deux autres se sont allongés sur des sacs de couchage directement sur le plancher. Le poêle était bourré à la gueule et ronronnait fort.
On a remis ça tard dans la nuit, à commencer par un suçage de queues bien remises de leur précédent travail. J’en avais toujours deux en bouche, la troisième attendant son tour. Puis ce fut un vrai rodéo, ils m’ont fait chevaucher sur leurs pieux toujours en feu. Après cet épisode assez longuet où ils prenaient énormément de plaisir à me voir jouir et secouée comme une poupée, j’étais claquée après ces deux épisodes, complètement ko !

Beaucoup plus tard ils ont remis ça, j’étais dans les vaps. C’est donc pratiquement endormie qu’ils ont essayé de me sodomiser. Je ne suis pas sure de me souvenir si je me suis débattue, en tout cas j’ai bien ressenti beaucoup d’excitations entre les cuisses. Envahie de fatigue et de sommeil, je les laissais profiter de mon corps, après tout avec tout le plaisir qu’ils m’avaient offert ils le méritaient bien. Ils m’ont contorsionnée, jouant avec mes jambes pour favoriser leurs positions, faciliter les pénétrations, mais je ne me souviens pas vraiment avoir été sodomisée. Mais quoiqu’au petit matin, j’ai aperçu sur la table de chevet une plaquette de beurre ouverte avec des traces de doigts… Personne, ni moi n’y avons fait allusion au petit déjeuner.
Au réveil donc, j’avais faim comme c’est pas possible ! Laissant le lit dans son état de champ de bataille avec les draps tâchés de foutre, les garçons se sont empressés de préparer le petit déjeuner sachant que mon oncle ne tarderait pas à venir me chercher. J’avais tellement faim que j’ai pris le risque de me laver qu’après avoir mangé, c’est pour dire ! Les garçons restaient ébahis de mon appétit matinal, mais c’est exceptionnel, vu l’énergie dépensée ! S’il n’y avait pas eu l’attente de mon oncle, je crois qu’ils seraient repassés à l’attaque, vu les regards dévorants sur mon pull sans rien dessous, avec mes lèvres gourmandes et ma chevelure aux mèches bouclées éparpillées sur mes épaules et mon visage. Et pour finir le tableau, j’avais encore en tête les membres virils qui m’ont assaillie toute la nuit ! Je décidais donc d’aller me doucher rapidement ! Mon oncle arrivait, vous savez la suite.
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