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Ma rédemption de 3 jours II

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Lue : 11063 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 04/05/2010

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Cela faisait sans doute une heure, que j'étais attaché dans le froid et je commençais à trembler. Je me demandais quand Victoria reviendrait, et j'appréhendais ce moment.

Tout d'un coup, j'entendis la porte s'ouvrir. Sans un mot, elle remit mon bandeau, détacha la chaîne dans mon dos, et me tira, en dehors de la chambre, les chaînes qui reliaient mes poignets me forçant à marcher à quatre pattes.

Je l'entendis ouvrir une porte et nous entrâmes. Je sentis que c'était du carrelage, je me doutais que c'était son immense salle-de-bains. Elle me fit rentrer dans son, également énorme bain, qui était plus un jacuzzi qu'un bain. Elle détacha d'abord mes pieds, pour ensuite les rattacher aux deux extrémités de la baignoire, et attacha mes deux mains ensemble au-dessus de ma tête.

-J'espère que c'est confortable, ricana-t-elle.

Je n'osai répondre, c'était loin d'être confortable, et les bords froids n'aidaient pas.

Elle fit couler de l'eau plutôt chaude et mouilla le bas de mon ventre et mes bras. Je sentis qu'elle appliquait quelque chose sur mon pubis et sur mes bijoux. C'était plutôt agréable et mon excitation revenait.

-Encore gros pervers?!
Et elle me remit une gifle.

Ensuite je sentis quelque chose qui râpait à l'endroit ou elle avait appliqué quelque chose, c'était assez douloureux. Et je compris : elle était en train de me raser ! Je voulus dire quelque chose mais je me rappelai les coups de cravache et je décidai donc de gémir, comme elle me l'avait ordonné.

-Oui, je sais tu as compris, ce n'est pas négociable, je n'ai jamais aimé que tu sois poilu, alors maintenant, j'y remédie à ma manière, n'essaie pas de bouger, tu risques juste de te couper.

Elle avait dit çà froidement, sans l'ombre d'une hésitation ou de remord, je me résignai, donc et me laissa faire.

Elle me rasa, aussi les aisselles et autour de mon cul. Cela n'avait pas été facile, j'ai toujours traité de "tapettes" ceux qui se rasaient ; c'était vraiment humiliant, et elle le savait.

-Comme tu es beau, comme ça! On dirait un petit garçon.
En plus de çà ,mon excitation était redescendue.

J'étais gêné, et, toujours attaché dans la même position, elle commença a me caresser jusqu'à ce que mon sexe soit de nouveau bien tendu ; elle s'arrêta, et j'entendis le bruit de son appareil photo, puis je l'entendis apporter quelque chose.

-Tu vas surement apprécier ça...

Elle me retira le bandeau, et je vis la corbeille pleine de pinces à linge, il devait y en avoir au moins cinquante!

Elle vit mon regard un peu paniqué.
-Hmmm, je dois te dresser, pour que tu deviennes un bon petit chien, c'est comme çà, çà ne me plaît pas non plus...

Je vis bien que c'était faux, çà ne la dérangeait en aucun cas, et elle n'essayait même pas de le cacher.
Elle prit une pince a linge. Elles étaient toutes en bois, et elle en mit un sur mon téton, puis elle fit pareil avec une deuxième sur mon autre téton. La douleur était aiguë, elle en pris une poignée qu'elle mis éparpillées sur mes couilles ... çà pinçait fort, elle souriait, çà l'amusait.

Elle alla chercher quelque chose dans son tiroir et revint chez moi, j'aperçus une boule avec une mini-ceinture, elle me mit la boule dans la bouche et serra la ceinture autour de ma tête.

-C'est un bâillon-boule, mon petit chéri. Je ne veux pas qu'on t'entende, tes gémissement deviennent bruyants!

Elle superposa une pince à linge sur chaque pince qui était déjà attachée, la douleur était encore plus forte, et je gémissais de plus en plus fort. Mon sexe, toujours tendu, attira son attention et elle commença à le caresser encore, puis le remit dans sa bouche ; elle s'était toujours bien débrouillée pour les fellations.

Ensuite ,elle se déshabilla, elle se retrouva en string et en soutien-gorge, tous deux noirs et en dentelle.
Elle frotta son bas-ventre mon sexe, ce qui était en même temps terriblement excitant et douloureux à cause des pinces ; tout en continuant, elle me lécha les tétons et pinça le bout qui dépassait de la pince avec ses dents, ce qui me fit un frisson, et je me cambrai de plaisir.

L'excitation montait de plus en plus, elle continua à se frotter, et prit mon sexe dans une main pendant qu'elle caressait mes deux boules avec l'autre. Je sentis le plaisir monter, il devenait plus important que la douleur ; çà montait encore et encore, puis juste avant de venir, elle stoppa de nouveau.

Après un an et demi, elle avait vraiment appris à me calculer. Ma frustration fut énorme.
-Hmm, c'est bon hein. Dit-elle.

Elle enleva, son string, enleva mon bâillon et appliqua son sexe sur ma bouche.
-Fait moi jouir, chien! Ou je te laisse comme ça jusqu'à mardi prochain!

On était dimanche, c'était long, j'entrepris de l'exciter avec ma langue, j'avais aussi appris, comment la faire partir, et je sentais son excitation monter, monter, et je m’arrêtai.
-Chien! Ne joue pas au malin avec moi c'est moi qui tiens les rennes !
Et elle attrapa mes couilles pour les serrer de plus en plus fort.
-Continue !

Je fus bien obligé de la faire jouir, je la sentis trembler de plaisir : elle était en extase, elle se frottait presque contre mon visage, son plaisir me coulait dessus. Elle resta immobile, une minute, puis se reprit.

Elle remit mon bâillon, détacha mes chevilles et les rattacha ensemble ; ensuite elle alla chercher un petit tabouret, me retourna, j'avais encore les poignets attachés, au dessus de la baignoire, elle mit le tabouret en-dessous de mon ventre et attacha de nouveau mes chevilles sur les côtés, si bien que je lui offrais mon cul fraichement rasé dans cette position.

-Je vais te faire subir un lavement, petit chien!
Elle détacha, le pommeau de douche du tuyau et me le mit dans le cul.
-Pas ça, arrête !
Elle reprit sa cravache et m'asséna cinq coups sur mes fesses déjà rouges.
-Je t'avais prévenu, ne te permets plus ce genre d'écart, ou je passerai à de vraies punitions!
J'étais à sa merci, elle ralluma la douche et je sentis le liquide me remplir les entrailles...

Quelques minutes plus tard, le lavement était terminé.
-Voilà, maintenant tu es tout propre!
Elle me détacha de la baignoire, et enleva toutes les pinces. J'étais exténué, et endolori, elle caressa mes tétons, et les autres endroits qui avaient été pincés, ce qui me fit un bien fou.

Elle reprit ma laisse et me tira sans ménagement, jusqu'à la cuisine.
-Mets toi à plat ventre sur la table, laisse tes pieds par terre, et tends les bras vers l'autre coté de la table.

Je m’exécutai, sans me poser de questions, étant trop épuisé. Elle attacha mes bras tendus et mes chevilles aux pieds de la table, si bien que j'avais les jambes écartées, je ne pouvais de nouveau plus bouger.
Elle me remit le bâillon, qu'elle avait gardé avec elle. Elle alla chercher de l'huile et m'en appliqua sur le cul ; je compris enfin que j'allais me faire sodomiser !
Je gémis le plus fort possible, et voulus la supplier.

-Arrête ça tout de suite, ou il t'en coûtera ! Je fais ce que je veux de toi, Tu aurais dû y penser avant de me traiter comme ça!

Comme je n'arrêtais pas malgré la peur, elle reprit sa cravache, qu'elle gardait maintenant toujours à sa portée. Elle couvrit mes fesses, mon dos, mes bras, et même mon pénis, de claques avec la cravache ,claques plus ou moins fortes suivant les endroits.
Je sentais mon corps en feu, et ne pouvais bouger, elle monta jusqu'à sa chambre sans dire un mot, me laissant seul.

Elle revint peu après avec un gode pas trop grand ; j'avais peur, mais j'aurais voulu crier ma réprobation ; c'était l'humiliation extrême pour moi, mais mon sexe ne descendait toujours pas !

-Mon petit chien, tu vas comprendre qu'on ne joue pas avec les filles, surtout pas celles comme moi !

Et elle rentra le gode, d'abord doucement, je le sentis me remplir, et malgré moi, j'en ressentis du plaisir. Elle fit des va-et-vient de plus en plus rapides, je me perdis dans ce plaisir nouveau, et je ne m'entendis même plus gémir.
Elle s'arrêta, laissa le gode figé en moi, et reprit des photos. Je n'en pouvais plus, j'étais encore plus fatigué, je n'avais plus la force de lutter.
Elle me détacha, je tombai à terre, avec le gode toujours figé en moi ; elle m'interdit de l'enlever, et me tira jusqu'à sa chambre, puis elle m'attacha au pied de son lit, retira le gode, et me mit un plug à la place : il était plus gros, et me fit un peu mal, mais je ne dis rien.

-Ça t'écartera ton petit cul de coincé! dit-elle, et elle me laissa là, sans que je puisse l'enlever, car mes mains et mes pieds étaient écartés.
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Histoire de tom159

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Commentaires du récit : Ma rédemption de 3 jours II

Le 23/05/2010 - 21:17 par alice38
Nous attendons.^^
Le 19/05/2010 - 17:40 par tom159
Bientôt :)
Le 19/05/2010 - 12:47 par elie
une suite??????? .........

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