Ma soumise à moi 10

Le dressage.

Ce soir nous sommes seul à la maison.
Je suis dans le canapé à regarder un film.
Ça fait maintenant une heure que tu es dans la salle de bain.
Je suppose que tu me réserves encore une belle surprise.
Je te demande si tout va bien.

T " Oui c'est bon ! Je suis presque prête !"

Ah bon, mais prête à quoi?
Quelques instants plus tard je la vois sortir de la salle de bain vêtue uniquement d'une paire de talons hauts, d'un porte-jarretelles avec des bas noir brodés, un petit bustier noir en dentelle.
Elle a attaché ses cheveux, et se présente face à moi droit comme un i et bien cambrée.
Qu'est-ce qu'elle est bandante comme ça!!!

T " J'ai envie que mon maitre s'occupe de moi!"
M " Tu penses être prête"
T " Oui maitre!"
M " Ok"

Je la laisse dans le salon et part dans la chambre.
Sous le lit conjugal se trouve notre valise à malice....
Tous nos petits accessoires y sont rangés.
Je décide de prendre toute notre panoplie et de rejointe mon apprentie soumise qui m'attend bien sagement dans le salon.
Je pose la valise sur la table derrière elle.
Je la sent inquiète de savoir ce que je vais en sortir.
Je commence par lui bander les yeux.
Lui attache les mains dans le dos avec des bracelets.
Elle ne dit rien et reste immobile.
Viens ensuite son collier de soumise.
La voici prête à se soumettre à tous mes désirs.
Je la fais tourner sur elle-même et inspecté tous les recoins de son anatomie.
Je vois qu'elle a pris le temps de s'épiler intégralement dans les moindres recoins.
Je remarque que son petit bouton déjà bien gonflé dépasse déjà de ses lèvres.
Dans mon for intérieur, je suis sûr qu'elle mouille déjà.
Je la tiens en laisse et lui fait faire un tour de table.
Je l'amène face à la baie vitrée dont le volet n'a même pas été fermé.
Si des passants voient ça, ils ne vont pas être déçu !
Je la plaque les seins contre la vitre froide et lui fait écarter les jambes.
Humm c'est trop beau à voir !
Je profite du spectacle et la fait attendre un peu comme ça.
Je farfouille dans ma valise et sort ma dernière acquisition : une belle cravache en cuir....
Je passe ma main de sa nuque jusqu'au creux de ses reins.
Je la vois se cambrer dans l'espoir que mes doigts s'aventurent plus loin, mais non!
À la place je lui assène un joli coup de cravache sur ses fesses rebondies.
Elle sursaute mais ne dis rien.
Je fais glisser doucement le bout de la cravache le long de son corps.
Sa nuque, le galbe de ses seins, son bras, le bas de son dos.
Là comme envieuse je t'observe suivre le mouvement du cuir et te cambrer dans l'espoir que l'objet s'abatte à nouveau sur ses fesses.
Pour satisfaire tes attentes et les miennes j'exauce ton vœu et cingle à nouveau tes fesses.
Un " Ahhhhh " de plaisir sort de ta bouche.
J'observe les zébrures se dessiner sur ton postérieur.
Je caresse à nouveau tes fesses avec l'objet de ton désir, descend plus bas et le passe entre tes jambes pour titiller ce clitoris si gonflé.
Au contact de l'objet, elle est comme électrisée.
Je n'en reviens pas de voir le bout de ma cravache ressortir trempée de mouille.

M " Mais tu mouilles petite chienne!"
T " Oui maître ! Je n'ai pas pu me retenir. J'ai joui !"

La salope !
Elle a encore désobéi !
Je lui avais pourtant déjà dis qu'elle devait me dire quand elle jouissait.
Pour la punir, je m'appui contre son dos pour bien lui écraser les seins contre la vitre et lui assène deux nouveaux coups sur les fesses.
Son cul est maintenant bien rouge, mais au lieu de l'avoir calmé, je m'aperçois qu'elle mouille encore plus.
Ça coule maintenant le long de ses bas !
Je lui intime l'ordre d'écarter les jambes et ses fesses à deux mains.
Elle s'exécute.
J'ai maintenant une vue bien dégagée sur son intimité.
J'enfonce sans ménagement mes deux doigts dans son con trempé, les fais tourner à l'intérieur.
Elle est trempée !
Je les retirent et les glisse directement dans son petit cul serré.
Son excitation est telle que mes doigts n'ont aucun mal à rentrer.
Je lui pratique donc le même traitement et les enfonces jusqu'à la garde.
Elle se met à gémir de plus belle lorsque mes doigts commences à s'activer en elle.
C'est qu'elle prend son pied ma petite chienne!!

T " C'est trop bon maître....Encoreeee"
M " Ok! Comme tu veux"

Je la retourne et lui plaque ainsi les fesses contre la baie vitrée.
Avec le froid, ses tétons sont devenus énormes et dur!
Je décide de m'occuper d'eux.
Pour ça je sors de la valise les dernières pinces tétons que je lui ai offerts.
Ceux sont des grosses pinces bien lourdes reliées par une chaînette.
Je les serrent bien autour de ces gros boutons.
Sous le poids de la chaîne et des pinces, ses tétons sont étirés au maximum.
Je pousse le vice jusqu'à tirer moi-même dessus pour voir sa réaction.
Je la vois se frotter comme une chienne en chaleur contre la baie.
Je sais ce qu'il lui manque.
Je sors de la valise ce gode XXL que je lui avais acheté il y a quelques mois de cela.
Il est tellement gros qu'elle n'a jamais pu le gober ou réussi à s'empaler dessus.
Je le ventouse contre la vitre à hauteur de sa petite chatte, et lui intime l'ordre de se branler dessus.
Je l'observe faire reluire et glisser sur toute la longueur de ce chibre de 30 centimètres.
Il dégouline littéralement de mouille.
J'attrape la chaînette et l'oblige à se mettre à l'équerre.
Je sors ma queue et force l'entrée de sa bouche avec mon gland.

M " C'est ce que tu as toujours voulu hein! Te faire baiser par deux grosses queues hein ? "
T " Oui maître c'est trop bon ! Je vais encore jouir maître!"

C'est un plaisir de la voir soumise comme ça.
Les mains dans le dos, se frottant comme une folle sur cette queue énorme, et mon sexe au fond de sa gorge.
Je me retiens aussi de ne pas lui asperger la bouche.
Je l'attrape par les cheveux et lui baise la bouche comme un fou.
À chaque coup de buttoir dans gorge je vois des fesses claquer sur la baie.
Tout à coup un gros " Ahhhhh" s'échappe de sa bouche.
Elle s'immobilise.
Oh putain!
Elle glissait tellement dessus, que cette petite chienne a réussi à s'enfiler une partie de cette queue énorme en silicone !!

M " Qui t'a dit de t'empaler vilaine!"
T " Je ne l'ai pas fait exprès maître !"
M " Ça fait quel effet de s'en prendre une aussi grosse?"
T " J'ai l'impression de me faire déchirer par une bite de cheval"
T " Mais c'est bon!..."

Et là je la voie recommencer à faire des va-et-vient sur cette tige.
C'est qu'elle aime ça la cochonne !
Je la laisse faire, je vois ses seins étirés et ballotter sous le poids des pinces.
Je la biffe avec mon sexe et lui enfoui la tête contre mes couilles.
Elle me les gobent une à une comme j'aime en les aspirants très fort.
Je suis à deux doigts de lui balancer toute la purée en plein visage.
Elle râle de plaisir.
La moitié de cet énorme engin a déjà disparu au fond d'elle !!
J'en crois pas mes yeux !

T " Je jouis encore maître! C'est trop bon !"
M " C'est bien ! "
M " Retourne-toi maintenant ! Je vais m'occuper de ton cul!"

Elle s'avance vers moi, se retourne, je lui détache les mains.
Elle me présente ces fesses écartées au maximum avec ses mains.
J'aperçois sa chatte béante et trempée ravagée par cet énorme gode dégouliner de mouille.
Je frotte mon gland à l'entrée de sa grotte pour bien le mouiller.
Et le glisse ensuite dans son petit orifice.
Je pousse un peu plus et la voie d'accrocher à deux mains à cet objet qui lui a donné tant de plaisir.

M " Suce le salope ! Je sais que tu en crèves d’envie !"

Elle essaie temps bien que mal à gober l'engin.
Son gland est énorme.
Elle le tète comme elle peut et le branle en même temps.
Je l’observe cracher dessus pour tenter de l’avaler. Ma queue s’enfonce de plus en plus en elle, la moitié est déjà au fond d’elle. Je ralenti mon mouvement pour permettre à son anneau de bien se dilater. Cette petite chienne continue d’astiquer cette queue en plastique. Je profite de cette accalmie pour passer ma main entre ses cuisses et jouet avec son clito gonflé de plaisir. Ma main est trempée, elle mouille comme une fontaine, le visage plein de salive écrasé contre la vitre. Elle hurle de plaisir, lâche son gode, d’elle-même s’écarte les fesses et pousse son cul vers moi pour se défoncer elle-même le cul. Ma queue s’enfonce encore plus et disparait peu à peu jusqu’à buter contre ses fesses. Je m’agrippe à ses hanches et commence à faire doucement des va et viens sur toute la longueur. Mais elle en veut plus la vilaine ! Elle fixe elle-même la cadence et s’empale de plus en plus fort et de plus en plus vite contre moi. Mes couilles claques sur sa vulve trempée, ce qui l’excite encore plus. Je n’arrive plus à me retenir et me déverse à grand jet dans son anus. Elle ne s’arrête pas et continu ses va et vient tout en se branlant comme une folle. Du sperme ressort de son cul à chaque aller-retour. Sa mouille dégouline partout sur ses jambes. Elle hurle de plaisir au moment d’atteindre son dernier orgasme. J’ai à peine le temps de la retenir avant qu’elle ne s’effondre dans mes bras, épuisée par sa prestation. Je te porte jusqu’au divan, t’embrasse tendrement et te laisse te reposer jusqu’au prochain supplice…