Ma soumise à moi 134

Un control inopiné.


Nous voilà sur la route des vacances, en direction de l’Espagne sur l’autoroute du Sud-Ouest.
Cette autoroute réputée pour être une des plus chère est quasiment déserte à cette mi-septembre.
Ma jolie petite femme à mes côtés, se prélasse au soleil, à moitié endormie sous ses lunettes de noires et les cheveux au vent.
Pour le voyage elle a revêtu une longue robe blanche, légère et un peu transparente « Blanc du Nil » qui met bien en valeur ses formes généreuses.
A ses pieds une paire de nu-pieds à lanières et pour sous-vêtements un joli bustier en dentelle blanc et un string assorti.
Elle est à croquer dans cet ensemble.
Pour ma part j’ai opté pour un short et une chemise en lin à moitié boutonnée.
Elle se réveille, passe sa ceinture sous son bras, s’étend, et viens se blottir contre moi.
Passe sa main dans ma chemise et me caresse le torse (elle adore faire ça le soir dans le lit pendant que je lui caresse le dos)
Elle s’amuse à entortiller ses doigts dans mes poils (il faut dire que de ce côté-là je suis plutôt velu.)
et prend un malin plaisir à me pincer les tétons.
Sa main descend vers mon entre-jambe et me masse le sexe au travers de mon short.
Comme j’ai décidé moi aussi de « voyager léger », j’avais intentionnellement omis de mettre un caleçon pour le voyage.
Son massage commence à me faire de l’effet car on peut clairement distinguer le volume de mon membre au travers de mon short.

M « Vilaine fille ! A quoi tu joues encore ? »
T « Moi, rien… j’ai juste envie de pimenter un peu le voyage... »

Elle repart dans son coin, incline son siège vers l’arrière presque allongé et commence à déboutonner le haut de sa robe.
Tout en caressant sa poitrine et mettant à la vue de tous son bustier en dentelle elle me dit :

T « Tu ne trouves pas qu’il me va bien ce petit haut ? »

Et moi tout en plongeant ma main droite à l’intérieur :

M « Très bien même »

Je l’observe pincer ses bouts au travers de la dentelle et se mordre la lèvre inférieure.
Son index glisse sous le liserai du bustier et vient titiller son téton droit déjà bien dressé.
Ma main englobe son sein que je soulève et sort de son écrin.
Je fais rouler son téton gauche entre mes doigts et commence à l’étirer avec vigueur.
Elle gémit sous ces caresses et commence à se tortiller sur son siège.
Elle allongé ses jambes et poses ses pieds sur le bord du tableau de bord.
Plutôt que de soulever sa robe, elle en déboutonne une large partie du bas qui laisse apparaître très clairement ce joli string en dentelle.
Sa main vient caresser l’intérieur de ses cuisses et glisser sous l’élastique.
J’observe sa main s’activer sous sa culotte, j’entrevois son minou fraîchement épilé dépasser lorsqu’elle tire sur son string et que celui rentre dans sa fente déjà bien trempée.
Ta main gauche relâche ton sein et s’étire vers la banquette arrière.
Tu farfouille dans ton sac à main et en étale le contenu sur la banquette pour en sort un de tes « jouets de voyage » ( un gode réaliste en latex d’une quinzaine de centimètres ).
Tout en retirant ta culotte tu me regarde dans les yeux en souriant et me dis :

T « Et si on passait aux choses sérieuses ? »

Je commence à être à l’étroit dans mon short et te voir écarter les jambes sur le tableau de bord et te caresser le bouton avec ton jouet n’arrange rien.

T « Attends mon chéri, je vais bien m’occuper de toi aussi »

Tes doigts écartent tes lèvres luisantes de mouille, et tu t’insères toi-même ton « petit jouet » et me susurre à l’oreille :

T « A toi de jouer mon amour, je suis toute à toi »

Tu t’allonge de côté, la tête posée sur mon entre jambe, écarte l’élastique de mon short et laisse jaillir mon pieu dressé de désir pour toi.
Te voilà maintenant, allongé de tout son long, la tête entre mes cuisses, le cul au vent, son gode planté au fond d’elle, à me sucer le cul au vent.
J’avoue que j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur la route et réduis donc ma vitesse.
La route est toujours déserte, le peu de voiture qui passe à contre sens ne peuvent rien voir de cette scène ahurissante.
Je profite de l’instant présent en savourant la pipe délicieuse que ma femme m’offre.
Elle se délecte de ma tige et commence à bien baver dessus
Ma main parcourt son dos et descend caresser ses fesses qui se soulèvent et se cambres pour me montrer son désir.
Je m’amuse à faire des va et viens avec son jouet ce qui l’excite encore plus.
J’entends le clapotis de sa petite chatte mouiller à mesure que je fais bouger l’engin planté en elle.
Le vent frais parcours son corp et font dresser ses pointes de seins.
Elle tente d’étouffer ses cris avec ma queue, mais je vois bien qu’elle prend son pied à ce petit jeu.
Je relève la tête et aperçoit un gars accoudé à la balustrade du pont qui nous surplombe au moment de passer dessous.
Je me dis qu’il a du bien se régaler en observant le spectacle.
Ma petite vorace de femme à l’air vraiment affamée, elle me crache sur la queue et commence à me faire des gorges profondes tout en me malaxant les couilles comme une folle.
Je n’en peux plus, je lui maintiens la tête la tige au fond de la bouche et lui décharge trois belles saccades au fond du gosier.
Surprise, elle n’arrive pas à tout avaler et en laisse s’écouler un peu partout sur moi.
Mais rien ne l’arrête, elle continu de m’astiquer et s’amuse à se délecter de ce trop-plein avec gourmandise.
C’est à ce moment-là, en regardant mon rétroviseur gauche que je m’aperçois qu’un motard de la gendarmerie était à hauteur de la voiture et me fait signe de me mettre sur le côté.

M « Au merde ! Chérie ! Relève-toi ! VITE ! »

Elle se redresse, le visage encore plein de sperme.

E « Quoi ? »

Et là elle découvre la situation.
D’un bond, elle se redresse sur son siège pour tenter de cacher son intimité et toute trace de son délit avec le bas de sa robe restée grande ouverte, mais oublie que son gode est toujours planté en elle.
Je la voie se mordre les lèvres au moment où ses fesses s’enfonces dans le siège.
Je me dis qu’elle a du bien le sentir passer celui-là...
Cela ne sert pas à grand-chose car sa jolie robe d’été ne tiens plus qu’avec deux boutons sous ses seins eux aussi à l’air libre.
A peine garé sur le côté, le gendarme passe sa tête par la fenêtre et me demande les papiers du véhicule.
Au même moment, ma femme rouge de honte essuie d’un revers de la main le reste de jus qu’elle a encore sur les lèvres et croise aussitôt les bras pour tenter se cacher sa poitrine.
L’agent fait le tour de la voiture, et viens s’adresser à ma femme.

G « Pour le défaut de ceinture de madame c’est 135€, la conduite dangereuse pour monsieur c’est aussi 135€ mais avec en plus 3 points et enfin pour l’exhibition c’est jusqu’à 15000€ »
M « Vous rigolez ! On ne faisait rien de mal ! »
E « Chéri tu te rend compte ! »
G « Bon écoutez…Au vu de la prestation de madame j’ai peut-être une alternative à vous proposer… »
M « Ah oui laquelle ? »
E « Ça ne va pas non ! »
M « Ecoutes mon amour, je n’ai pas envie de me retrouver au tribunal à payer une telle somme ! Ecoute au moins ce qu’il a à dire. »
G « C’est simple, je laisse à madame s’occuper de moi jusqu’à l’appel de mon collègue et si elle arrive à « purger sa peine » avant j’efface l’ardoise… »

A ces mots le gendarme se plaque contre la porte de ma femme et commence à s’appuyer sur le toit et fait mine de rédiger le procès-verbal

E « Ça ne va pas non ! »
M « Allez chérie, c’est pour notre couple…en plus il t’a déjà vu à moitié à poil, tu n’es plus à ça prêt »
E « Quand même ! Je viens en plus d’en avaler une bonne dose, je n’ai pas envie de remettre ça !»
M « Il ne t’as pas dit d’avaler ! Branle-le ! Si ça se trouve tu vas aimer ça ! »
E « OK, c’est bien par ce que je t’aime. »

Toujours bien calée dans son siège et sur son gode, je l’observe commencer à caresser cet agent au travers de son pantalon.
On peut déjà distinguer son sexe à moitié tendu à l’intérieur, certainement dû à la vue plongeante sur le décolleté de ma femme ou sur celle de son minou fraichement épilé.
Elle descend délicatement le zip de sa braguette, plonge sa main dans l’ouverture et en extirpe une queue comparable à la mienne mais avec un gland beaucoup plus gros.
Je vois cette chose à demi tendu pendre devant ces yeux écarquillés au vu de ce gland énorme et tout rouge.

E « Tu as vu ça ! »

Effectivement il est énorme !
Elle commence à le branler timidement, au fur et à mesure de ses va et viens sa queue se redresse, de grosses veines apparaissent sur toute la longueur et son bout se gonfle encore plus.
Lui reste immobile toujours contre la porte et accoudé sur la voiture.
J’en profite pour titiller la poitrine de ma femme et faire dresser ses pointes de seins déjà bien tendus par cette petite brise d’été.
Elle me regarde comme pour me demander mon approbation.
Je lui fais signe d’y aller et la vois commencer à laper cette tige sur toute sa longueur.
Mes caresses l’excitent et se sexe tendu aussi je pense….
Ma femme se lève de son siège, se met accroupie face à ce sexe fièrement tendu et se retrouve en levrette face à lui.
Tout en maintenant fermement sa queue, elle desserre l’étreinte de son pantalon et tente d’en extraire les couilles restées à l’intérieur.
Quelle surprise de voir apparaitre une bourse de la taille d’une boule de pétanque.
Je n’avais jamais vu ça et elle non plus vu sa tête… C’est énorme !
Elle arrive à peine à les contenir dans sa main tellement elles sont grosses.
Profitant de sa nouvelle position, je prends possession de son jouet et commence par le ressortir de sa cachette ou il s’était réfugié.
J’entends ma femme gémir lorsque je le sors de sa grotte et soupirer lorsque je le réintroduis profondément.
Je vois ton visage face à ce membre impressionnant, je t’observe commencer à embrasser ce gland énorme, à saliver dessus et à y frotter tes lèvres.
Ta bouche trop petite n’arrivant pas à l’avaler du premier coup, tu crache et te frotte les tétons l’un après l’autre avec.
Je vois tes seins se dresser de plus en plus, ta main gauche soupèse ses grosses couilles velues.
A cet instant je me remémore ce qu’il a dit " avant que mon collègue me rappelle"
Je décide alors de motiver un peu plus ma femme en lui attrapant par derrière ses seins et en lui pinçant et lui tirant très fort les tétons.
Un gros « Ahhh » sort de sa bouche, j’en profite alors pour la pousser ta tête en avant et te faire gober l’engin posté au bord de tes lèvres.
Tu t’immobilise un instant et commence de petit va et vient sur son gland.
Tu salive à mort, de la bave coule sur ton menton et tes seins mais peu à peu ta bouche s’adapte et tes mouvements deviennent un peu plus profonds à chaque fois.
J’aperçois à ce moment une des mains de l’agent t’attraper un sein et le malaxer vigoureusement
Il fait rouler ton téton entre son pouce et son index ce qui déclenche chez toi un sursaut de plaisir et un râle étouffé par l’engin que tu as en bouche.
Il a l’air d’apprécier, son bassin ondule pour prendre possession un peu plus de ta bouche.
En tournant la tête vers la banquette arrière, je vois un rosebud échappé de ton sac à main.
Je le saisi, te caresse le clito avec, tu sursaute au contact de cet objet en métal froid sur ton bouton.
Tu sais très bien où il va finir, tu te cambre bien comme pour m’indiquer le chemin à suivre.
J’ai un peu de mal à le rentrer car ton gode remplit déjà bien l’espace au-dessous.
J’insiste un peu, crache dessus et force le passage de ton petit œillet serré.
Il rentre d’un coup et te voilà remplie par tous les orifices…quel spectacle !
Tout à coup j’entends la radio de l’agent : « Equipe mobile 1 à Equipe mobile 2 vous en êtes où ? »
La ma femme sort la tige écarlate de sa bouche, et là je la voie d’une main lui serrer bien fort la tige en le branlant et de l’autre lui saisir les couilles et les griffer au même instant.
Le gars lâche le sein de ma femme, saisit sa radio et dit :

G « Equipe mobile 2…Aghrrrr !! Putainnn !!! »

Et la quel spectacle ! Je vois d’énorme rasades de sperme jaillir de ce sexe de poney et venir s’écraser contre la poitrine de ma femme.
J’ai l’impression que ça ne s’arrête pas, à chaque mouvement de la main de ma chérie une nouvelle giclée s’échappe.
Ça lui coule de partout, du cou jusqu’au nombril, ses seins sont entièrement recouverts de crème bien épaisse et elle qui continu son mouvement et va même jusqu’à bien lui presser les bourses pour finir de le vider.
Apres plusieurs secondes, ça y est enfin la source se tarie, ma femme lui presse le gland avec son pouce et en extrait une dernière grosse goutte qu’elle lape du bout de la langue en souriant.

E « Ça y est ! J’ai réussi ! J’ai tout bien vidé ! Il en avait besoin dit donc ! »

Le gendarme reste immobile un instant, appuis de nouveau sur sa radio et dit :

G « Equipe mobile 1, ici Equipe mobile 2...Désolé nous avons été interrompus. Contrôle effectué. Je leur ai fait un GROS rappel à l’ordre. A vous ! »
G1 « OK bien reçu »

Il rengaine son engin dans son pantalon, se penche à la fenêtre, observe un instant ma femme tentant de faire disparaitre les taches qui macules sa robe et son corp avec une serviette éponge.

G « Je suis désolé, ça faisait un moment qu’on ne m’avait pas vidé comme ça ! En tout cas si ça vous dit, avec mon collègue ont est souvent là le jeudi midi, alors si vous passez à nouveau dans le coin …n’hésitez pas. Bonne journée ! »

Il enfourche sa moto et repart rejoindre son collègue comme si de rien n’était.
Ma femme elle termine de s’essuyer, jette la serviette trempée sur le siège arrière, retire son gode logé au fond d’elle en me regardant droit dans les yeux et me dit :

E « Purée, il m’en a mis partout ! Et toi tu m’as bien défoncé avec les jouets ! A cause de toi j’ai la chatte et le cul en feu ! Au prochain arrêt tu as intérêt de t’occuper de moi ! »

Là je la vois se rassoir, verrouiller sa ceinture et la passer la sangle entre ses seins toujours à l’air tout en gardant son plug planté en elle.
Elle est incroyable ! Elle vient de faire jouir deux hommes en quinze minutes et elle a encore le feu au cul !
Ma petite femme est devenue une vraie petite cochonne.