Ma soumise à moi 15

Arrêt au stand.

Nous reprenons la route, il est déjà presque midi, il faut que je fasse le plein de la voiture.
Je vois un panneau indiquant une station essence avec un restaurant routier.

M « Ont irai pas grignoter un morceau là et faire le plein de la voiture chérie ? »
E « Oui pourquoi pas, en plus j’ai trop faim »

Je gare la voiture sur ce parking routier entre deux camions.
Tu rajuste ton bustier et reboutonne une partie de ta robe, au moment de remettre ton string je t’en empêche.

M « Laisses le ici, tu n’en as pas besoin »

Avec un regard provocateur tu le jette en boulle sur le tableau de bord à la vue de tous.
Nous nous dirigeons vers le restaurant main dans la main, j’entre le premier
À l’intérieur il n’y a pas grand monde, un couple à une table, trois camionneurs au bar et un serveur derrière le comptoir.
Le décor est plutôt rustique, et l’ambiance calme.
A peine la porte franchie, le serveur nous regarde, du moins la regarde et chuchote quelque chose aux gars accoudés au comptoir
Notre entrée est plutôt remarquée, je dirai surtout celle de ma femme.
Il faut dire qu’avec son plug entre les fesses elle tortille bien du cul pour marcher et que son décolleté ravageur n’arrange pas les choses…
Avec toute la discrétion qu’on leurs connait, les trois chauffeurs se retournes en même temps la bouche à moitié ouverte en reluquant ma femme de la tête aux pieds.
Nous prenons place à une table au fond de la salle et à l’instant où ma chérie pose ses fesses sur sa chaise un « Ahhh » de surprise sort de sa bouche.
Et oui mon amour, la chaise est en bois et ton joli plug en métal…. Je pense qu’il doit être bien calé là !
Effectivement, je la voie face à moi, se mordre les lèvres de plaisir.

M « Ça va ma chérie :) ? »
E « Purée il est bien au fond la ! »

Nous passons commande auprès du serveur qui en profite pour se rincer l’œil.
Dès qu’il est partit, mon épouse me dit discrètement :

E « Je vais passer aux toilettes me rincer un peu, ma dernière DOUCHE à laissée des traces…Je sens encore le jus du gars de tout à l’heure »
M « Oui va y, profite le temps qu’il amène les plats, mais avant de revenir je veux que tu le mettes comme j’aime ! »

Elle sait ce que ça veut dire.
Elle me regarde avec des gros yeux.

E « Ça ne va pas non ! Tu as vu comment il me reluque déjà ! »
M « Allez ! Obéis ! »

Elle se lève et se dirige vers les toilettes, qu’est-ce qu’elle est belle.
Le serveur arrive dix minutes plus tard avec les assiettes qu’il pose sur la table.
Au moment de repartir me femme sort des toilettes et se dirige vers la table.
Le serveur en la voyant se fige sur place, la femme de la table de l’autre cote mets un coup de coude à son mari resté avec sa fourchette devant la bouche comme un idiot en la matant.
L’un des trois gros camionneurs s’étouffe à moitié dans son verre de bière en la voyant.
Il faut dire que le spectacle vaut le détour.
Elle apparait comme si de rien n’était, la jupe quasiment ouverte jusqu’à l’entre cuisse, et les deux boutons du haut de sa robe retirée laissant apparaitre la moitié de sa poitrine à l’air libre.
Elle a du bien se laver, car maintenant sa robe humide se colle complètement à son corps magnifique.
Elle passe devant la table, j’admire ses fesses rebondies, maintenant ont peux même voir apparaitre le brillant de son jouet entre ses fesses…Ouahhh
Elle se rassit face à moi, et découvre qu’elle a obéit.
En effet, elle a descendu légèrement son bustier et replié le tissu des bonnets sous ses seins, ce qui fait que maintenant son bustier ressemble plus à un redresse-seins qu’autre chose…
On peut apercevoir le bord de ses auréoles brunes dépasser de sa robe et ses tétons bien durs pointer dessous…Quel belle vue j’ai et le serveur aussi du coup !
Le pauvre, il doit avoir une trique de fou maintenant :))
Je le vois repartir d’un pas pressant en cuisine certainement pour se soulager.

M « Tu es trop belle ma chérie, je t’aime »
E « Quitte à être habillée comme une salope, autant le faire jusqu’au bout ! »
M « Oui, mais c’est ma salope à moi ! »
E « Ça m’a bien OUVERT l’appétit tout a l’heure…Tu n’oublieras pas ce que je t’ai dit hein ? »
M « Non non, ne t’inquiète pas, tu auras le droit à un GROS dessert après… »

Les clients derrière elles continues à observer le moindre de ses mouvements.
Sa poitrine gonflée ne demande qu’a jaillir de sa robe, ses pointes de seins à peine retenus par la couture du liserai de sa robe.
Elle est trop sexy comme ça ! Je l’observe manger, passer sa main dans ses cheveux.
Elle me caresse la main sur la table, me dis qu’elle m’aime et que je la rends dingue.
Je meurs d’envi de la prendre la sur la table devant tous ces spectateurs et de la faire hurler de plaisir.
Je la regarde droit dans les yeux et lui dis :

M « Montres les moi comme j’aime ! »

Elle comprend de suite ce que je veux dire, ne cherche même pas à discuter mon ordre.
Elle est maintenant devenue comme j’aime : une vraie nympho soumise.
Je la regarde sortir un à un ses tétons, les rouler entre ses doigts, les pincer et les étirer fortement vers moi.
Elle relâche l’emprise sur ses bouts qui sont maintenant bien rouges, tendus et dressés comme des obus posés au-dessus de sa robe.

E « Ça te vas comme ça ? »

Elle se penche vers moi, reprend ma main et viens le déposer sur sa poitrine.
Mon doigt fait le tour de ses auréoles une par une, elle frémie sous ma caresse.
Du bout du doigt je soulève l’un de ses dars qui pointe pour moi et laisse retomber sur le rebord de sa robe.
J’attrape l’autre, et le pince violemment en le tirant vers moi
Elle ferme les yeux et ses mord la lèvre inferieure, je le relâche d’un coup et l’entend gémir.

E « On devrait y aller, sinon je vais jouir sur ma chaise »
M « Ah oui ? »
E « Oui ! Je suis trempé et sa coule sur ma chaise ! »
M « C’est urgent alors… »
M « Rajuste ta robe, je vais régler l’addition »

Je me lève de ma chaise et tend ma CB au serveur qui tapote sur son clavier.
Me femme se lève de sa chaise, se dirige vers la sortie sous les yeux de l’assemblée médusé par son allure et sa semi nudité apparente.
J’admire ses fesses aux travers de sa robe qui face au soleil est presque transparente.
Ses seins ballottent au grès de ses pas, on voit bien qu’elle ne porte rien dessous et a chaque mouvement de ses fesses on peu entrevoir son jouet qui brille.
Mon dieu, ils doivent tous la prendre pour une pute. S’ils savaient…
Je la rejoins à la porte que je lui ouvre pour la laisser passer devant moi et admirer un peu plus le paysage qu’elle m’offre avant tant d’amour.
Nous retournons à la voiture, je lui ouvre la porte côté passager.
Elle s’avance et se penche pour entrer à l’intérieur.
A se moment ma main s’appuie sur son dos et lui plaque la tête sur son siège lui mettant le cul en buse à bonne hauteur.
Elle ne résiste pas, j’écarte les pans de sa robe de chaque cotés de ses fesses, admire son rosebud planté au fond d’elle.
Je regarde autour de moi, personne à l’horizon et tant mieux.
J’extirpe de mon short cette trique phénoménale qu’elle m’a donné.
Frotte mon nœud entre ses grosses lèvres trempées.
D’elle-même elle écarte ses fesses et me dis :

T « Va y ! Défonce-moi comme une chienne ! J’ai trop envie ! »

Je m’enfonce en elle d’une traite, et l’entend hurler de plaisir la tête enfouie dans son siège.
Je la pilonne avec violence jusqu’au couilles, elle se transforme en une vraie fontaine ! Ça coule le long de ses jambes.
Sans la prévenir, je retire d’un coup son plug encore dans son cul et viens le replacer par mon sexe trempé de sa mouille.

T « Oh putain ! Oui va y ! Baise-moi à fond le cul ! »

Je m’active en elle comme un dingue, mes couilles claque sur sa fente à chaque aller-retour.
Elle n’arrête plus de gémir, elle hurle de plaisir.
Ses mains écartent toujours ses fesses et m’insiste à la prendre encore plus fort.
Son petit trou m’enserre la queue comme pour m’aspirer.
Je n’arrive plus à me retenir, c’est trop dur, je décharge plusieurs rasades de foutre dans son fondement en lui griffant les fesses.
Je n’ose plus bouger, ma queue termine de se vider en elle.
Je me retire doucement et observe son petit cul recracher le trop plein de foutre en elle.
Je saisis son plug et le remet à sa place initiale sans forcer dans son petit cul tout dilaté.

M « je veux que tu me garde en toi jusqu’ à ce qu’on arrive »
T « Oui MAITRE, avec plaisir »

Je l’aime ma femme, je l’aime….