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Ma voisine de La Baule

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Lue : 7877 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 19/06/2013

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Lors de l’été 1959, j’avais 16 ans et je passais d’agréables vacances dans une villa de La Baule qu’on avait prêtée à ma mère. Divorcée, remariée puis divorcée à nouveau, elle n’avait pas de gros moyens et cette offre inespérée, émanant d’amis propriétaires qui souhaitaient que cette maison soit constamment occupée, avait été immédiatement et joyeusement acceptée. Elle avait un vaste jardin ombragé de pins, si nombreux là-bas, colonisés par des pies toujours bruyantes, le seul reproche qu’on pouvait faire à cette jolie station huppée. Les villas de nos voisins étaient du même style.

Une jeune fille un peu plus âgée que moi résidait dans celle d’à côté. Au beau milieu de l’agitation de l’emménagement, je l’avais vaguement aperçue sans plus, mais la suite devait m’apprendre qu’elle m’avait bel et bien repéré ! Un matin, ma mère décide d’aller avec mon demi-frère dire bonjour à son premier « ex » qui habitait en Vendée, à une bonne heure de voiture de chez nous. J’avais demandé et obtenu la permission de ne pas me joindre à cette visite qui ne m’enchantait guère. Bien que je n’aie rien à reprocher à ce monsieur, le rencontrer me déplaisait, point final. Interrogé sur l’emploi du temps prévu de ma journée, je déclarai que je me contenterais de lecture, de plage et de télé.

Vers 10h, ma mère me quitte en me disant « A ce soir ! » Bien installé dans un transat, je me plonge dans « Le Misanthrope » de Molière. J’éprouve encore un réel attachement à cette pièce que l’on pourrait appeler le premier traité de psychologie de l’histoire, et en vers en plus ! Quelle merveille : je la relis et relis sans cesse toujours avec le même étonnement. Un quart d’heure après le début de ma solitude, j’entends un « Coucou ! » provenant du jardin d’à côté. C’est ma jolie voisine qui m’interpelle par-dessus la haie.
« Bonjour, moi c’est Julie ! »

Je m’approche :
« Bonjour, moi c’est Christophe ; qu’y a-t il ? »

« Voilà ; je vais être seule toute la journée. A ce que j’ai entendu tout à l’heure, ça doit être la même chose pour toi. J’ai peur de m’ennuyer : ça te dirait de venir me tenir compagnie ? On pourrait faire connaissance ! »

Un peu interloqué, car je suis du genre taiseux, j’accepte : Julie a des arguments propres à vaincre toute réticence : un aimable visage souriant, mais surtout un corps d’une beauté sculpturale : proportions parfaites, de magnifiques jambes et une poitrine à faire damner un alcade. Bigre, comment refuser une pareille offre ? Je vais la rejoindre dans son jardin : qu’elle est belle ! T-shirt ajusté, moulant des seins de rêve, petit short « ras la touffe », Julie met son interlocuteur à rude épreuve… Elle m’explique :

« Je suis fille unique et je viens ici tous les ans avec mes parents. De 3 choses l’une : où ils sont en train de visiter un musée, ou ils en reviennent, ou ils préparent la visite du prochain ! Moi les musées, ça me barbe, voilà ! Aujourd’hui, ils sont à Lorient et ne reviendront que ce soir »

Nous discutons de choses et d’autres à l’ombre d’une glycine. Je luis dis n’être pas spécialement fana musées tout en faisant valoir que certains valent le détour quand même. Toutefois, il va sans dire que si ses parents sont d’un autre avis, cela me vaut au moins le plaisir d’être avec elle ! Nous nous découvrons un intérêt commun pour la musique classique…

Il est tout juste onze heures mais le soleil tape si dur qu’on meurt déjà de chaud. Je lui dis que je dois retourner chez moi pour me changer et apporter des boissons fraîches (son frigo est en panne !)

« Excellente idée, me dit-elle : je fais de même. A tout de suite ! »

Quand je reviens avec jus d’oranges et glaçons, je manque à défaillir : Julie a revêtu une longue robe de fine mousseline verte, quasiment transparente et qui, comme tous les habits coquins qu’on peut aujourd’hui acheter sur Internet, montre beaucoup mais cache l’essentiel, qui reste à deviner. Ici, c’est plutôt facile : en dessous, à part un bas de bikini, elle est nue ! Je discerne très bien ses seins. Quand elle marche, ils oscillent, faisant légèrement frémir le tissu … Quel spectacle !

« Par cette canicule, même un maillot de bain m’est inconfortable, dit-elle, et je crains les coups de soleil ! Avec cette robe, je me sens libre, c’est super ! Comment tu me trouves ? »

En bredouillant, je lui dis que je la trouve magnifique et elle l’est, vraiment : mes jambes en flageolent. Si je devais me lever, elles ne me porteraient pas ! Bien qu’il semble que l’heure de la concrétisation d’un de mes fantasmes d’adolescent soit arrivée, je n’en mène pas large et Julie, fine mouche, le sent tout de suite : elle a bien noté mon regard rivé sur son buste !

« Qu’est-ce que tu as, tu ne m’as pas l’air dans ton assiette tout à coup ? »

« Non, non, tout va bien je t’assure. Simplement, cette robe est très sexy et je ne m’attendais pas à tenir compagnie à une fille tellement jolie qu’elle semble sortie tout droit d’un numéro du magazine « Lui » ! Tu es absolument ravissante, fort désirable et ça me secoue un peu, voilà tout ! »

Elle s’assied alors près de moi, et pose sa main sur mon épaule :

« Tu n’es encore jamais allé avec une fille, c’est ça ? »

Je hoche la tête.

« Mon pauvre chou ! Ce n’est pas si grave : il y a un début à tout, ne t’en fais pas ! »

En récompense de ma franchise, elle m’embrasse fugacement sur les lèvres, puis se met face à moi, les deux mains sur mes épaules :

« Ecoute moi, j’ai une proposition à te faire : que dirais-tu de passer un peu de bon temps ensemble, à l’abri des regards. Nous sommes seuls pour la journée. Si tu n’en dis rien, personne ne le saura à part nous deux, d’accord ? »

« Tu… tu veux dire… faire l’amour, c’est ça ? »

« Mais non voyons, on ne se connaît pas assez pour ça et en plus c’est risqué ! Mais je pourrais t’offrir des caresses qui te laisseraient un souvenir durable, inoubliable même et tu ferais ensuite de même pour moi : tu vois, c’est simple ! »

« Tu veux dire, nous... ensemble ? »

Le mot qui convient reste coincé dans mon gosier : heureusement, elle m’aide :

« Nous caresser l’un l’autre, c’est ça. Tous les garçons se branlent, c’est connu, et ils s’en vantent bruyamment dans leurs plaisanteries de corps de garde. Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que les filles le font aussi, mais en restant discrètes sur le sujet, ne se confiant éventuellement qu’à des tout proches. Ce que beaucoup ignorent également, c’est que se faire caresser est bien plus gratifiant que le faire soi-même. C’est même le jour et la nuit crois-moi ; c’est exquis, unique ! »

Julie assure à fond ! Je pense à tous ces balourds qui qualifient avec dérision certaines femmes d’oies blanches ! Ici, les rôles sont inversés : c’est moi le nigaud qu’elle est gentiment en train de déniaiser. L’envie me prend de céder au vertige et de me laisser entraîner dans le tourbillon. J’ai bien conscience d’être engagé sur une pente dangereuse où il va être de plus en plus difficile de s’arrêter, d’autant plus que Julie s’emploie savamment à savonner la planche ! Mais je résiste encore, faiblement, tentant de m’échapper :

« Mais, je n’y connais rien aux filles moi, je risque de ne pas être à la hauteur ! Que vas-tu penser de moi ? »

« T’inquiète ! Je te montrerai, tu verras, c’est très facile ! Ecoute, je te fais une confidence : depuis que tu es arrivé, j’ai envie de toi, voilà ! L’occasion est bonne non ? »

Avant que j’aie eu le temps de répondre, elle m’embrasse longuement sur la bouche, avec une tendresse infinie. Elle guide ma main vers sa poitrine ; je m’enhardis alors, palpant ses seins sous la mousseline… La douceur du contact me fait planer : je crois bien qu’elle a gagné la partie !

« Viens à l’intérieur, me dit-elle : c’est plus tranquille ; ici, on pourrait nous voir »

Nous nous installons sur un canapé, Julie pose ses mains sur mes épaules et me regarde droit dans les yeux :

« Avant que nous commencions, il faut que tu me promettes une chose : tu ne cherches pas à me pénétrer ; tu as bien compris ? »

« Bien sûr soufflé-je. D’ailleurs… »

Elle me coupe la parole :

« Pas de pénétration, ce n’est pas négociable : ai-je ta parole ? »

« Oui, oui, c’est promis ! »

Du coup, elle enlève sa robe. Julie, sublime, est là devant moi, topless, uniquement vêtue du minuscule slip entrevu sous la mousseline tout à l’heure. Nous nous regardons quelques secondes, puis elle m’embrasse fougueusement. Je sens ses lèvres s’ouvrir, sa petite langue rose venir délicatement chercher la mienne qui, timidement, lui répond. Affolé, je lui pelote les seins, complètement érotisé, électrisé de désir à la découverte de ce joli corps de fille. Ça dure de longues minutes. Nous reprenons souffle ; elle me dit :

« Déshabille-toi, assieds-toi sur le bord du canapé et ouvre les jambes pour me donner pleinement accès à ton sexe »

Elle s’agenouille entre mes cuisses ; je suis raide comme un piquet depuis longtemps ! Pendant que je lui caresse la poitrine, elle me masse amoureusement, me faisant cadeau de la plus délicieuse masturbation que j’aie jamais ressentie. Quelques minutes après, je jouis entre ses mains ; elle me reçoit avec un sourire :

« Alors, c’était comment ? Pas mal hein ? »

Chaviré, le cœur battant la chamade et le sexe encore palpitant, je hoche la tête en souriant. Cette fille a tout d’une fée ! Elle m’embrasse tendrement et reprend :

« Tu te souviens de ta promesse. Ça tient toujours, d’accord ? »

« Bien sûr, voyons ! »

Quelle question : elle sait bien qu’à ce stade, elle n’a plus rien à craindre !

« Tu vois ces deux petits nœuds en boucle de chaque côté de mon bikini ? Si tu tires dessus, ma chatte est à toi !

Je m’exécute : le dernier fragile rempart tombe, laissant paraître un joli abricot rose et lisse que je câline avec bonheur. La fée, totalement nue, les pointes de seins dressées, tout sourire s’allonge alors sur le canapé, bras en arrière, jambes ouvertes… Elle me fait penser à une strophe de « L’Andalouse » de Musset :

« Et qu’elle est belle en son désordre »
« Quand elle tombe, les seins nus »
« Qu’on la voit béante se tordre »
« Dans un baiser, de rage, et mordre »
« En criant des mots inconnus »

Je continue de lui caresser la poitrine, le ventre, l’intérieur des cuisses, la vulve… Elle reprend la parole :

« Eh, c’est à mon tour maintenant, ne me laisse pas tomber ! »

« Non, non, bien sûr, mais… que veux-tu que je fasse ? Explique-moi ! »

Elle glisse alors les mains vers sa chatte, ouvre légèrement les grandes lèvres, tirant un peu la peau vers le haut : une petite boule rose apparaît…

« Regarde, c’est là, me dit-elle en me montrant la minuscule groseille; tu mouilles un doigt d’un peu de salive et tu tournes autour, tu passes et repasses dessus, tout en appuyant légèrement, légèrement… »

J’essaie de mon mieux. Elle maintient la peau un peu tendue pour que je voie bien l’intérieur. Au bout de quelques instants, elle chuchotte tout bas :

« C’est chouette, continue, encore, toujours à la même cadence… »

J’obéis. Désormais, je vois périodiquement son sexe se tendre puis se relâcher. Elle gémit doucement. Puis, tout à coup, sa vulve se contracte et marque un court instant de repos. Julie pousse un petit cri et sa chatte se met à battre plusieurs fois, d’abord vite puis plus lentement, et seulement de temps à autre enfin. Elle me dit :

« Tu as vu comme c’est facile de faire jouir une fille. Tu m’as fait prendre un pied d’enfer. Mais maintenant, j’aimerais un petit moment de tendresse avec toi. Le canapé est assez large, allonge toi près de moi et prends moi dans tes bras, s’il te plaît. Fais-moi un câlin. »

Je l’enlace et l’embrasse longuement, tout en caressant ses seins adorables. Elle me dit :

« Tu as été formidable, mais il faut que tu retournes chez toi maintenant. S’il venait à l’idée aux parents de rentrer plus tôt, tu imagines le bazar ! »

Je la quitte après un dernier baiser, tendre et mouillé, un frôlement furtif de sa jolie poitrine encore nue, espérant de tout cœur une prochaine fois…

L’occasion ne se représentera pas.
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Histoire de BerSen

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Commentaires du récit : Ma voisine de La Baule

Le 04/09/2013 - 16:20 par faroug2
une très histoire

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