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Madame la directrice 1

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Lue : 20316 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 10/01/2010

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Il était de tradition dans notre couple de fêter nos anniversaires de mariage au restaurant, au fil des années, j’avais demandé à Solange de mettre des tenues de plus en plus sexy, toujours dans un cadre respectable mais coquines comme par exemple porter sa veste de tailleur à même la peau. Cette année là, je décidai de frapper un grand coup et lui demandait de porter un body de dentelle très transparent et très moulant. Elle accepta sans trop maugréer, en effet Solange a souvent montré des pulsions exhibitionnisme, j’avais envie de voir jusqu’où on pouvait aller. Elle était habillée, outre le body, d’une robe au dessus du genou, un peu fendue et de talons hauts et de bas résille ; le tout sous son manteau de vison.

Je ne vous ai pas présenté ma femme, Solange est une jolie blonde d’un mètre soixante cinq pour soixante kilos, elle a une très belle paire de seins (95C) un peu lourds, un joli derrière perché sur de jolies jambes fines et déliées. Elle possède un maintien très élégant et une classe générale certaine. Elle est ce que l’on pourrait appeler une bourgeoise de la fin de la quarantaine. Elle est institutrice et dirige une école privée catholique.

Nous nous installâmes au restaurant vers 13 heures, la tenue de Solange faisait recette auprès des serveurs, j’ai passé tout le repas en érection. Elle gardait en permanence ses bras bien posés à plat sur la table sans chercher à cacher quoi que ce soit.

A la fin du repas, bien arrosé, j’ai voulu faire venir les manteaux, elle m’a pris les tickets de vestiaire des mains et a traversé toute la salle, buste bien en avant, bras ballants et s’est dirigée vers le vestiaire ou la préposée lui a remis son manteau. Comme par hasard, le maître d’hôtel vint l’aider à l’enfiler. Il nous souhaita une bonne soirée avec un grand sourire.

Le lendemain matin j’ai glissé un petit mot dans son sac, je savais qu’elle le lirait à son arrivée au travail, il disait : « bravo pour hier soir, tu n’as pas manqué de culot, surtout avec le maître d’hôtel ».

Deux jours plus tard en rentrant le soir elle me tend un papier plié en quatre, je la trouvai un peu livide : « tiens, j’ai reçu cette lettre ce matin au courrier de l’école ».
« Madame la Directrice, j’ai diné avant-hier dans un restaurant de Saintes et qu’elle ne fût pas ma surprise de vous y voir en compagnie de votre mari, rien de bien normal jusque la si ce n’est la superbe tenue que arboriez et dont vous avez fait profiter une partie de la salle dont moi. J’avoue volontiers avoir longuement lorgné sur vos seins lors de mes visites à l’école, et je dois vous avouer que j’en suis encore tout émoustillé. Je n’imagine pas un seul instant l’effet que pourrait faire une telle nouvelle au sein de notre très puritain établissement. Je n’en resterais pas là, et me permettrais de vous en reparler. »
PS. Ces petits appareils photos cachés dans les téléphones font merveille. »

Solange était blême et me demanda alors : « qu’est-ce qu’il faut faire ? »
Je lui répondis : « pour le moment rien, on va attendre d’autres lettres, as-tu une idée de l’auteur ? »
Solange : « j’y ai bien réfléchi, tu penses, il pourrait s’agir du père d’une des élèves de ma classe, que j’ai souvent surpris les yeux rivés sur mon buste, mais de là à l’accuser… »
« Attendons. »

Le lendemain soir au retour Solange me tend un nouveau courrier.
« Chère Madame la Directrice, quel effet à produit mon précédent mot ? Vous a-t-il émoustillé, choqué, je pense que vous devez être une fieffée salope pour oser de telles tenues au resto, j’ai donc décidé d’en profiter. Ce soir à dix huit heures trente quand tout le monde sera parti et que vous fermez toutes les portes de l’école, vous traverserez la cour, irez sous le préau des maternelles et vous retirerez votre blouse votre polo et votre soutien gorge. Au bout d’une minute vous remettrez votre blouse sans le soutien gorge et vous pourrez partir. Je ne vous rappelle pas les risques que vous prendriez à ne pas obéir, à ce soir.

Vers dix heures trente, heure de la récréation, Solange appelle à mon bureau en m’expliquant la situation.
« Qu’en penses-tu, il est hors de question que je fasse ce que dit ce malade, il faut le coincer et voir ce qu’on pourrait faire pour arrêter ça. »
« Ecoute je pense que le piège est bien tendu et que pour ce soir tu vas être coincée »
« Tu te rends compte de ce que tu me demandes ? »
« Oui mais je crois que tu n’a pas le choix, je vais essayer d’être à l’école à dix huit heures et j’essayerai de voir qui ça peut-être, tu es d’accord ? »

Après quelques instants Solange me renvoya un : « oui mais je n’aime pas ça du tout. »

A l’heure dite, je suis rentré dans l’école par le jardin et caché au coin d’un mur, je voyais la cour, le préau des maternelles personne, je pense ne pouvait me voir. A dix huit heures trente précises, j’ai vu la porte du bureau s’ouvrir, Solange en sortir vêtue de sa blouse à fleurs bien boutonnée jusqu’au cou, et elle s’est dirigée vers le préau, se retournait sans arrêt et lorgnait à droite et à gauche, on la sentait très mal à l’aise. Arrivée dans le préau elle regarda autour d’elle à nouveau puis déboutonna sa blouse, la posa sur un lavabo, elle se retourna et enleva son polo puis son soutien gorge. Elle resta quelques instants, à montrer son dos puis se retourna. Je comptais intérieurement les secondes, elle renfila sa blouse, sans remettre son soutien gorge au bout de trente secondes. Elle retraversa la cour, ferma toutes les portes puis se dirigea vers le parking et parti. Je me gardai bien de me montrer et rentrai à mon tour.

Dès mon retour Solange m’embrassa et ma demanda « Alors ? » eh bien lui répondis-je : « J’ai tout vu, c’était un super spectacle, mais je n’ai vu personne. »
« Merci pour le super spectacle, j’étais morte de trouille que quelqu’un me voit, j’arrête je ne veux plus recommencer. »
« Comme tu voudras, mais j’aimerai bien que tu continue si ça ne va pas plus loin pour essayer de le coincer »
« OK si tu m’y autorise, mais je pense que ce salaud a pu faire des photos. »

Le week-end passa sur l’événement et lundi matin à l’heure de la récrée, coup de téléphone de Solange : « C’est moi, écoute ce que ce salaud m’envoie ce matin. » J’avoue une petite excitation à l’idée d’entendre Solange lire elle-même la lettre.
« Bonjour très chère Madame la Directrice et bravo pour la prestation de vendredi, j’ai beaucoup apprécié, vous avez décidément de beaux nichons, je bande et j’ai envie de sexe dès que j’y pense. L’idée de les pétrir me taraude l’esprit. Répondez à ma question, avez-vous pris du plaisir à cette petite mise en scène ? Si oui, vous ferez la sortie en déboutonnant le bouton du haut de votre blouse toujours boutonnée sagement jusqu’au cou, d’accord ? Au fait, je ne sais pas si vous avez pris au sérieux la photo au restaurant, en voici une copie ainsi qu’une autre de votre exhibition de vendredi.» Suivent les deux clichés, de mauvaise qualité, certes mais où l’on reconnaissait bien Solange au restaurant avec le fameux body, et, sur la deuxième, les locaux de l’école et le fameux strip-tease.
« Bien nous verrons plus tard la suite, je réfléchis à la peine que je vais vous infliger car votre exhibition de vendredi, torse nu n’a duré que trente secondes.»
Solange : « Tu te rends compte que je suis coincée et à la merci de ce type. »
« Oui mais on est obligés de continuer pour le démasquer, qu’est-ce-que tu va faire pour ce soir ? »
« Comment cela ? »
« Ta blouse à l’heure de la sortie ? »
« Ah oui j’avais oublié cela, la question piège. »
« Alors ? »
« Eh bien pour être franche, on ne se cache rien, sur le coup je suis assez émoustillée, vendredi j’ai senti mes seins se durcir quand j’ai enlevé le soutien-gorge, mais dès que je pense à ses culs bénis de l’OGEC et des parents d’élèves, j’ai des sueurs froides. »
« Je te comprends, je te propose la stratégie suivante : Il faut absolument entrer en contact direct avec lui et le pousser à la faute, tu vas déboutonner non pas un mais deux boutons et enlever ton soutien-gorge et ton polo, ça te va »
« Nue sous ma blouse…Je ne sais pas je réfléchis et je te rappelle à midi. »

A midi pile Solange rappelle et me dit : « Ecoute je pense que tu as raison il faut y aller à fond, mais je voudrais que tu sois d’accord même si les choses vont plus loin ; Je ne cacherai rien. »
« Je suis d’accord, n’aie pas de scrupules, de toute façon c’est ça ou changer de poste si les choses s’ébruitent. »
« Ok je fais comme prévu. »

A la sortie Solange s’isole dans son bureau pour enlever son soutien-gorge et son polo, la blouse dégrafée de deux boutons reste présentable mais par contre un observateur avisé pourra s’apercevoir qu’elle est torse nu…Tant pis se dit-elle il faut y aller. La sortie se déroule sans souci Solange observe tous les hommes présents, son « suspect » est là, tiens tiens…Elle remarque qu’il lorgne sur ses seins.

Le résultat ne se fait pas attendre, le lendemain un courrier, elle le lit rouge de honte mais je décide de n’en parler à mon mari que ce soir, l’envie de prendre seule les décisions ?
« Madame, très très chère Directrice, j’ai bien reçu votre message hier soir compte tenu de sa teneur, je vous appellerai dorénavant « belle salope, et vous tutoierai. »
J’aimerai que nous puissions communiquer directement, je te propose la conduite suivante, ce soir tu laisseras dans une enveloppe un double des clés de la boite au lettres et ta petite culotte, et tu pourras ainsi me laisser du courrier que je récupérerai dans la nuit, tu la placeras dans la boite sans la fermer pour cette fois. Pour ce qui concerne la punition, voici les ordres : A quinze heures demain, à la récréation, tu iras dans ton bureau, sans fermer la porte à clé, je ferais sonner le téléphone trois fois, à ce moment tu ôteras tous tes vêtement et attendras à nouveau un nouvel appel et trois sonneries pour te rhabiller avec un autre jeu de vêtements que tu auras pris soin d’apporter.. Je saurais à la sortie si tu as respecté la peine. »

Le soir comme convenu Solange glissa sa culotte et un double de clé dans une enveloppe et la plaça dans la boite sans la fermer.
Au retour elle raconta tout à son mari qui lui dit : « Bravo, félicitations, le voilà ferré. N’oublie pas du linge de rechange pour demain.»

Le lendemain matin Solange se précipita sur la boite au lettre de l’école, elle était fermée, elle ouvrit et trouva une enveloppe, le contact était établi, c’était une demi-victoire. Elle ouvrit la lettre dans son bureau.
« Bonjour belle salope, n’oublie pas la peine de cet après-midi, et n’hésite pas à m’écrire, maintenant que la procédure est établie. » Solange avait un peu oublié la peine, elle était inquiète que quelqu’un puisse entrer dans le bureau pendant quelle se déshabillait la glaçait, elle décida de fermer à clé, « il » ne pourrait pas s’en apercevoir. A quinze heures, comme prévu, le téléphone sonna dans le bureau, doucement elle se leva fermer la porte à clé, et se déshabilla totalement. Il se passa cinq minutes durant lesquelles par deux fois, la poignée de la porte fut abaissée, quelqu’un essayait d’ouvrir la porte sans frapper. Enfin un nouvel appel de trois sonneries, Solange se rhabilla vite et repris ses cours.
Le soir en partant elle mit un petit mot dans la boite au lettre : « j’ai obéi à vos ordres, j’espère que vous serez indulgent, j’ai très envie de vous rencontrer. »
Le lendemain la réponse était là cinglante : « salope tu n’a en rien obéi à mes ordre puisque tu as fermé ton bureau à clé. »
Comment avait-il pu savoir, c’était les deux tentatives d’ouverture de la porte, alors, il s’agirait de quelqu’un de l’école ? Solange senti une sueur glacée lui couler dans le dos.
La suite était plus cruelle : « tu feras la sortie nue sous ta blouse ce soir et tu déboutonneras trois boutons. »
A suivre
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Histoire de Misterhyde17

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Commentaires du récit : Madame la directrice 1

Le 28/01/2010 - 09:01 par Decibel
Très belle fantaisie érotique ! J'attends la suite avec impatience ;o)
Le 12/01/2010 - 23:32 par gerard62
Bonjour je voudraiz savoir a quant la suite de madame la directrice merci

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