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Maëva, ma demi-soeur

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Lue : 30123 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/09/2011

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Mes parents se sont séparés lorsque j'étais encore jeune et j'en ai souffert un moment, avant de me rendre compte que je n'y étais pour rien. Mon père a finalement refait sa vie avec une autre femme, qui a deux enfant dont une fille, Maëva, qui a exactement le même âge que moi.

Au début, puisqu'il n'y avait que trois chambres dans la maison ,je dormais seul et mes deux demi-sœurs dormaient ensemble. Résultat, chacun avait sa bande de copains, ses problèmes et ses histoires et nous ne nous parlions que très rarement au collège.

Quand Maëva et moi entrâmes au lycée il se passa deux choses qui ont changé nos vies.

La première est que Céline mon autre demi sœur partit de la maison pour s'installer à la capitale nous laissant Maëva et moi seul à la maison (avec mon père et ma belle-mère évidemment).
La deuxième est que ma belle-mère mit au monde un magnifique garçon, Hugo, qui me piqua ma chambre dès son retour de la maternité et qui m'envoya dormir avec Maëva. Ce qui nous rapprocha beaucoup et améliora nos rapports (Bien que sa mère fut d'abord opposée à cette idée, mon père la rassura en lui disant que nous étions comme frère et sœur et que donc nous ne ferions rien).

Cette décision me combla de joie, car entre la première fois que je vis Maëva a 10 ans et maintenant elle était devenue une fille des plus jolies pour ne pas dire « TROS BONNE». Mesurant 1,70 mètres pour 60 kilos dont une très jolie paire de sein et des jambes dont on ne peut que rêver.

A partir de mes 18 ans, l'idée de la baiser comme une bête me vint plusieurs fois à l'esprit. Néanmoins, je me retint car nous nous entendions très bien et puisque nous vivions ensemble, je ne voulais pas gâcher cette belle amitié. Je me contentais donc de me toucher en m'imaginant en train d'enfoncer ma queue dans sa chatte rasée.
Plus le temps passait, plus cette idée de lui faire l'amour me tracassait. Il m'est même arrivé de me branler la nuit pendant qu'elle dormait juste en dessous de moi (nous avions des lits superposés). Lorsqu'elle n'était pas là et que j'étais seul à la maison, je fouillais dans ses affaires et je me branlais devant ses strings et ses soutifs que j’aspergeai de semence.

Un jour, alors que je faisais cela devant un magnifique string noir et un soutif transparent du type de ceux que porte les femmes sur certains sites porno que j'ai visités, elle me surpris.
Imaginez la scène, je la croyais devant la télé devant son feuilleton et elle me trouve là en train de me branler devant ses sous-vêtements. J'ai réussi néanmoins à la rassurer en lui faisant croire que je pensais à une autre fille et que je ne ferais plus cela avec ses dessous.

Bien plus tard dans l'année, alors que nos parents dormaient profondément, elle vint me chercher devant la télé, s’allongea à coté de moi et me dit :
-Vient me rejoindre dans la chambre dans une minute, j'ai une surprise pour toi que tu vas apprécié.

Alors qu'elle s'éloignait doucement, je l'imaginais déjà nue au moment ou je rentrerais dans la chambre, m’attendant avec une pose sexy sur le lit me montrant sa fente les jambe écartées avec un air de cochonne. J'attendais donc quelques instants réprimant l'envie de me branler en vue de ce qui m'attendait.

Finalement, lorsque je rentrai dans la chambre avec une telle érection que je crut que mon caleçon était blindé, je fut désagréablement surpris quand je la vis, habillée, tenant une bouteille de vodka dans ces deux mains.
-Regarde ce que j'ai piqué dans le sac d'Antonin aujourd’hui.
-Whouah, dis-je à la fois déçu et quand même heureux de pouvoir picoler un vendredi soir ou on n'avait rien prévu avec mes potes.
-Bah, t'a pas l'air content ?
-Si si, je n'allais pas lui dire que j'avais imaginer qu'elle me proposait une partie de jambes en l'air.

Finalement, après avoir fini la bouteille et après avoir passé une belle soirée en sa compagnie bien ,que nous n'avions pas fait quoi que ce soit de sexuel, nous décidâmes de se dire bonne nuit
-Bon tournes toi, la flemme d’aller me mettre en pyjama dans la salle de bain (je dormais en caleçon et elle, elle allait se mettre en nuisette dans la salle de bain tous les soirs, mais là puisqu'elle était bourrée tout comme moi, elle préféra le faire ici).

Avant que, ce qu'elle me dise arrive à mon cerveau embrumé par l'alcool, elle m'avait déjà tourné le dos et commençait à enlever son top bien sexy. J'avais une vue exquise sur le même soutif que ,j'ai failli aspergé de sperme avant qu'elle me surprenne quelques mois plus tôt.
Ma queue commença à reprendre de l'altitude, alors qu'elle enleva son soutif et le jeta par terre.
Tourner le dos à un tel spectacle ! Avait-elle vraiment cru que je ferais cela comme elle me la demander?
Soudain, elle commença à descendre sa jupe et je découvrit le même string noir qui allait si bien avec le soutif de cochonne qu'elle portait il y a deux secondes. C'est seulement lorsqu'elle commença à descendre son string et à me dévoiler ses fesses de déesse que je céda. J'en pouvais plus, il fallait que je me branle. Je déboutonna ma braguette et sortit ma queue et commença à la secouer. C'est à ce moment qu'elle a du s'apercevoir de quelque chose et qu'elle s'est retourné.
Ah la la -_-' l'excuse du « je pensais à quelqu'un d'autre » n'allait sûrement pas marcher une deuxième fois.
-Attends Maëva c'est pas ce que tu ... ! bafouillais-je avant de m'apercevoir de ce que j'avais devant moi.

Pour la première fois dans ma vie j'ai pu admirer cette jolie chatte rasée à la perfection en remontant un peu mon regard je pus voir une jolie silhouette et cette paire de seins. Parfaite comme dans mes rêves jolis, bien ronds, bien gros. En remontant encore un peu, je regarda son visage. Elle ne paressait ni choqué, ni dégoutté de me voir me toucher devant elle. Au contraire, ce que je vis c'était … du désir.

Je bandais comme jamais, il fallait que je la baise, c'était maintenant, alors que nos esprits était embrumé par l'alcool que j'avais le plus de chances de parvenir à mes fins. Je me leva, m’approcha d'elle, attrapa ses jolies fesses et lui chuchota à l'oreille :
-Tu la veux ma bite hein ?

Elle ne dit rien mais je voyais en ses yeux l'envie de baiser. Tant pis je tentais le tout pour le tout (au point ou j'en étais) et je l'embrassa passionnément. Elle ne me repoussa pas et je commença donc à laisser mes mains parcourir ce corps divin. Elle en fit de même et commença à attraper mon cul à deux mains.
-Suce-moi ! Lui ordonnais-je.

Instantanément, à ma grande surprise, elle me poussa sur son lit et s'agenouilla devant mes 15 cm. Elle la pris à deux mains et commença à la branler. C'était la première fois qu'une fille posait ses mains sur ma queue. C'était bon mais cela n'égala pas le plaisir que je ressentit lorsqu'elle rentra ma queue dans sa bouche. Elle y prenait du plaisir c'était évident. Elle aimait me voir prendre mon pied (et moi donc!). Sentir sa langue caressant mon pénis était si bon, que je cru pouvoir jouir à n'importe quel moment, heureusement ce ne fut pas le cas, car elle termina sa pipe juste avant que j'éjacule. Elle posa ses deux bras sur mon torse me forçant à m'allonger sur son lit. Elle s'allongea sur moi, collant ses seins sur mes muscles et me dit :
-Tu me trouve sexe hein ?
-Oh oui !
-Tu veux me baiser hein ?
-Oh mon dieu! Si tu savais !

Elle avait pris l'initiative désormais elle était la dominante et moi le dominé. Je voulais la pénétrer et jouir en elle, mais elle prenait apparemment du plaisir à me faire patienter.

Soudain, on entendit un bruit en provenance de la chambre de nos parents. je la poussai ,je montai sur mon lit et me planquai sous ma couette, pour cacher le fait que, je n'avais pas de caleçon. J’entendis les bruit de pas (je n'en était pas sur mais je croyais que, c'était ceux de ma belle-mère) descendre les escaliers puis remonter cinq minutes plus tard. Je pus à peine souffler deux seconde, que Maëva me rejoignit dans mon lit et m'embrassa de nouveau. Je vivais le meilleur moment de ma vie, mais maintenant, j'avais peur qu'on nous surprenne :
-Maëva, on devrait peut-être attendre que ta mère dorme à nouveau. Ce n'eut aucun effet, au contraire elle m’embrassa de plus belle.
-Maëva je t'en pris !
-Oh arrête, j'ai trop envie de toi et je sais que tu as envie de moi aussi. Je ne pouvais lui donner tort
-Mais si on nous surprend.
-Cela ne t’excite pas, la peur d'être surpris.

Elle plaqua mon visage au milieu de ses seins et cela eut raison de ma réticence. Ma main se dirigea vers la chatte de ma bien-aimée. Elle sembla apprécier mes caresses. Elle poussait des gémissement « hummmm » « oui, tu as des mains de fée » « continue »

J'en avais assez d'attendre, je positionna ma bite juste devant la belle fente de Maëva, je la caresse avec comme les mecs le font dans les films de cul et elle gémit de plus belle. Preuve qu'elle appréciai. Puis soudain, je lui fourra ma bite dans sa chatte en lui arrachant ainsi un beau cri de plaisir.

Bordel, ce que c'était bon. La chatte de Maëva est à la fois chaude et humide. Ma bite ressortait pleine de mouille et je l’enfonçait de plus en plus profondément. C'était la première fois que je pénétrais une fille, mais ,je devinai que ce ne devait pas être la première fois pour elle. Mon dieu ce que c'était bon. Maëva poussait des petit cris tandis que je faisait des va-et-vient de plus en plus vite. Ma frangine criait mon nom si fort que j'ai crut que sa mère allait se lever de nouveau mais apparemment personne n'entendit le boucan que nous faisions.

Il me vint l'envie de revoir le cul de cette déesse. Je retirais ma bite désormais pleine de mouille de sa chatte et lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécuta aussitôt me dévoilant ainsi un derrière ne demandant qu’a être pénétrer. Je refoulai cette idée car vue mon inexpérience, je ne voulais pas tout gâcher.
-Qu'est-ce que tu attends? baise moi!

Pourquoi ne pas lui obéir? Je ne demandais rien de mieux. Je lui enfonça donc ma queue dans sa chatte mouillé. Recommençant les va-et-vient, les hurlement de Maëva devinrent de plus en plus bruyants. Mais je m'en fichais, c’était si bon un rêve de toujours se réalisait et je ne voulais arrêter cela pour rien au monde. Je m'étais étiré sur elle et en plaquant mes mains sur ses seins, je pus la baiser en profitant un maximum de ses belles formes.

Je me suis masturber de long moment en attendant ce moment et voilà que je vivais un rêve remplis de mouille, de plaisir et de cris « oh mon dieu » « enfonce t'as grosse bite dans ma chatte » « je vais jouir oui » « oui je joui ». alors ça y est ,elle a joui. Mais moi, je n'avait pas joui et j'avais encore quelques idées en tête.

Je retirai instantanément ma queue et je la mit en position pour une belle sodomie. Je tentai de rentrer difficilement dans la grotte.
Plus fort pensais-je. Je vais y arriver ! Allez !!! ça y est, je suis dedans, je suis dans le cul de ma sœur.
Cette dernière hurla de douleur. J’attendis qu'elle se calma et je recommença mes va-et-vient et je sentais Maëva se tordre de douleur mais apprécié quand même. Son petit cul devait être vierge et j’aurai du lui demander avant de la baiser dans son cul mais maintenant j'y suis, j'y reste.
Oh mon dieu que c'est bon pensai-je, je vais jouir, oh mon dieu ouiiiiiiiiiiiiiii. Je me vida instantanément les couilles dans le cul de ma demi-sœur. Je ressorti délicatement.
-Hummm, c'était si bon, me dit Maëva en m'embrassant
-T'étais géniale, lui répondis-je
-Alors pourquoi s’arrêter là ?

Finalement, nous refîmes l'amour deux fois cette nuit et un nombre incalculable de fois pendant l'année qui suivi. Nous nous sommes fait surprendre une fois par ma belle-mère qui failli avoir une attaque, mais ,finalement nous nous sommes séparé quand je suit partit faire mes étude de médecine. Nous nous sommes retrouvé quelque fois pour se remémorer les souvenirs de nos 18 ans.
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Histoire de Clementlechaud

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