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Maître de maîtresse

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Lue : 9299 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/03/2011

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Un jour vous auriez trouvé cette lettre adressée à Madame la Directrice. Une enveloppe de papier kraft étrangement pesante, sans les coordonnées de l'expéditeur, mystérieuse ... Avec des mots écrits nerveusement , hachurés , comme tracés d'une plume rasoir... La décachetant d'un coup de ciseau , une feuille pliée en quatre vous auriez trouvé , accompagnée d'un morceau de tissu noir. Choisissant de vous intéresser d'abord à la lettre vous auriez sorti le papier en le prenant entre deux doigts , frôlant l'étoffe de soie du bout de l'index... intriguée. Posant l'enveloppe sur le clavier de l'ordinateur , un frison inexplicable aurait parcouru votre dos... un pressentiment ... peut être le froid de l'hiver... vous poursuivant jusque dans votre bureau. La feuille A4 aurait alors révélé ses secrets... en aurait suscité d'autres... plus troublants. Enfin vous auriez trouvé ces mots: « Demain...après l'école...seule...attendez moi... revêtez ces présents ... exclusivement ... attendez à genoux... patiemment... » . La signature absente. Vous auriez regardé en pleine lumière cherchant des messages cachés... visibles par transparence...sans rien trouver que du mystère et un peu plus d'interrogations. Un curieux admirateur, un malade mental, un amoureux transi , peut être votre mari , une blague... Tout cela à la fois ou rien du tout... une erreur...

Passant mentalement en revue l'étendu des possibles... trombinoscope où tout les hommes croisés sont présents... pas de réponse satisfaisante... Et si ce n'était pas un homme mais une femme? Pas possible ou si peu. L'écriture était trop masculine , trop sèche. Vous auriez relu la lettre pour être sure... sure d'avoir bien lu ... sûre que c'était un inconnu sans e ... sûre de ce qui était demandé. Sûre de ne pas avoir rêvé ... qu'un homme sans visage , à la voix inimaginable, vous demandez bien de l'attendre à genoux ... nue ... sur votre lieu de travail... seule et à sa merci ... pour vous faire quoi? Prendre du plaisir... ou vous en donner...

Laissant là le doute sur l'identité vous reporteriez votre attention sur l'enveloppe... le reste de son contenu... « ces présents » comme dit si bien l'aimant inconnu. Tirant l'étoffe, quelque chose en serait tombé... dans un bruit lourd et métallique... glissant hors de votre vue... laissant entre vos doigts la longue bande de soie dépliée... Paraissant à vos yeux comme un bandeau. Regardant si personne ne traînait dans les environs... par la fenêtre... par la porte... vous l'auriez tendu entre vos mains le portant à votre visage pour vérifier son opacité... la douceur sur vos paupières... les yeux fermés les images apparaissent... pourtant vous n'auriez rien pu réellement voir... la soie doublée étant impénétrable... Entendant un bruit vous l'auriez remis précipitamment dans l'enveloppe... Une vérification... personne ne vint... retour à l'énigme... quel objet était tombé par terre? Accroupi vous auriez tâtonné sous le bureau pour enfin extraire le dernier cadeau... Fait du plus froid des aciers vous auriez tenu du bout des doigts un paire de menottes des plus austères... ouvertes mais sans clé...

« Bonjour » ce mot vous aurait fait sursauté... les menottes à la main prise en flagrant délit... en vous retournant vous les auriez cachées derrière votre dos... répondant par un bonjour embarrassé. Votre collègue serait venue vous faire la bise.. votre mains crispée sur la courte chaîne pour éviter les cliquetis... Une fois seule vous auriez remis le tout dans l'enveloppe... elle même cachée dans un tiroir fermé à clé. Laissant là les interrogations il vous aurait fallu commencer la journée à l'école... pleine de questions...

La journée se serait déroulée habituellement mais l'esprit un peu ailleurs... surtout les quelques moments passés seule... Comment mettre un visage sur mes mots? Qui suis je? Quelqu'un croisé sans y faire attention mais qui vous aurait remarqué? Quelqu'un de plus fréquent? Dont vous auriez croisé le regard régulièrement... échangé des mots... peut être même des sourires... Suis je un fou? Un passionné inoffensif?

Vous n'auriez cessé de faire le tri dans les visages... ceux dont ne voudriez pas... les possibles... les désirables... 100 fois dans la journée vous vous seriez laissé tentée par la proposition... 101 fois vous l'auriez rejetée... sur qui auriez vous pu tombé.

Le soir... la journée terminée... les élèves chez eux... les collègues parties... vous seriez retournées dans votre bureau... stores baissés... porte fermée... l'enveloppe kraft serait ressortie de son tiroir... la lettre de nouveau lu... les mots soupesés... « à genoux »... « patiemment »... « revêtue »... abandonnant les mots vous seriez revenues aux objets... le tissu... le métal... l'acier... la soie... la peur de tomber sur un pervers... l'ambition de tomber sur un amant excitant... vous auriez fait glisser la bande de soie entre vos doigt... la portant sous votre nez en quête d'une odeur attirante... juste un discret parfum... n'évoquant personne... mais agréable à respirer... Fermant les yeux vous seriez rester quelques minutes à fantasmer... guidée par votre odorat... votre main gauche serait tombée sur votre cuisse... remontant... remontant... vers le haut de votre jeans... vers le bas de votre ventre... Passant l'index sur le zip vous auriez frissonné... en pensant à moi... ou à celui que je pourrais être... Troublée par vos actes vous vous seriez redressée... jetant au loin sur le bureau le bandeau... pour le reprendre aussitôt... Enfin vous auriez osé toucher les menottes... du bout du doigt... suspendues à l'index... pensive... vous n'en aviez jamais utilisé avant... si vous les passiez à vos poignets maintenant? Impossible... comment les ouvrir sans la clé... il faudrait attendre demain pour les utiliser... faudrait il venir au rendez vous... espérer que quelqu'un serait là avec la clé... vous auriez caressé vos poignets avec... sans oser les fermer... passé le métal froid contre votre joue... toujours pensive... Vous seriez alors rentrées chez vous... après avoir tout remis à l'abri des regards...

Toute la soirée votre mari vous aurez trouvé étrange...sans savoir pourquoi... sans savoir que vous m'aviez à l'esprit... sans savoir que vous diriez peut être non... sans savoir que vous diriez peut être oui... des oui de plaisir... Au moment de vous coucher le désir en vous aurait été fort... l'excitation de l'inconnu... l'envie aurait dessiné une auréole humide sur votre nuisette... le sommeil aurait été dur à venir.. allongée sur le côté... dos à votre époux... votre main se serait glissée entre vos cuisses... caresses à travers la soie... pensant sentir l'odeur du bandeau... car désormais vous espériez que c'était moi... vous saviez que c'était moi... Le sommeil serait enfin venu après un spasme réfréné dans le bas ventre... lèvres mordues...

Aujourd'hui nous voici là... à votre réveil vous avez pris la décision de venir au rendez vous... la journée se passant la tête en l'air... vous avez changé plusieurs fois d'avis... tournant de nouveau les visages et les voix dans votre tête... le jour durant... Le soir est venu... l'école s'est vidée... vous voilà seule avec vos envies et vos craintes... assise dans le bureau vous avez envie de partir... mais l'enveloppe est posée là... sur le bureau... vous sortez la bandeau et le mettez sur vos yeux... vous pensez que je serais celui que vous désirez... une vague de chaleur parcoure votre corps en partant du bas ventre... se propage un frisson... enlevant le morceau d'étoffe vous allez dans le couloir faiblement éclairé... si vous vous mettiez là personne ne vous verrait... vous retournez de nouveau dans votre bureau... attentive aux bruits... mais personne ne vient...

La décision est prise... en cessant de réfléchir et en laissant parler le corps... les boutons du gilet sont défaits... le gilet enlevé... enlever le pull provoque un nouveau frisson... de froid... de peur... si quelqu'un entrait et que ce n'était pas lui... qu'en penserait on? Une institutrice à moitié nue dans son école... vous dégrafez votre soutien gorge mettant machinalement vos mains sur vos seins comme pour vous cacher... votre paume sent que les tétons se durcissent... le désir monte incontrôlable... vous arrachant un sourire... Vous laissez votre jupe tomber sur le sol... vous n'êtes plus vêtue que de votre culotte, de vos collants et de vos bottes... vous regardez par dessus votre épaule comme si vous aviez peur d'être surprise... vous hésitez à faire marche arrière... pourtant vous me sentez arriver... la dernière résistance cède... bottes... collants... culottes sont enlevés sans hésitation... vous voilà totalement nue... comme précisé dans la lettre... ne manque plus que les deux accessoires obligatoires... vous vous approchez du bandeau et avant de cacher votre vue... vos yeux se posent sur vos bottes... et si vous les mettiez? Peut être que votre futur amant ne sera pas content d'une telle initiative... mais votre instinct vous dit de prendre le risque... même si vous savez que le couple bandeau/menotte est propice aux châtiments... une fois bottée vous prenez les accessoires et entrez dans le couloir encore désert... seulement éclairé par les petites lumières indiquant les sorties et celle du bureau... vous savez qu'il doit être largement temps de vous exécuter... même si personne n'est encore apparut... vous vous mettez à genoux sur le lino froid... les bottes étaient une bonne idée... au moins pour cela... le bandeau dans les mains vous le regardez... hésitant à le mettre... mais finalement... vous voilà aveugle... vous mettez une menotte à votre poignet avec un peu d'appréhension... c'est la première fois que vous vous abandonnez autant à un homme... vous pensez que c'est folie... comment fermer l'autre? Devez vous mettre les bras dans le dos? Ou sur le devant? Votre amant n'en a rien dit... vous choisissez de les mettre dans le dos... totalement à la merci de l'inconnu... vous vous tournez pour être dos à la porte d'entrée... la première chose qu'il verra sera vos menottes et votre position soumise... vous redressez les fesses... pour que vos cuisses et vos mollets forment un angle droit délicieux... attendant patiemment... comme indiqué...

De longues minutes passent... interminables... laissant germer l'idée de faire marche arrière... mais les menottes rendent périlleux toute marche arrière... les genoux commencent à souffrir... la douleur s'installe dans les cuisses et les fesses... tout le corps à envie de bouger mais personne ne vient... l'esprit est en plein vagabondage... pensant caresses... baisés... morsures... étreintes... la réalité vous rattrape alors... un bruit de porte qui s'ouvre... quelqu'un est entré dans le hall... une seule porte vous sépare de lui... vous vous redressez comme pour vous relever... mais vous ne le faites pas ... les charnières couinent... il est à coup sûr là derrière vous... l'esquisse d'un mouvement pour regarder par dessus l'épaule... inutile le bandeau est trop bien mis...

Je vous regarde... car c'est bien moi... vos cheveux noirs se marient remarquablement avec la couleur de la soie... une extrémité c'est posée sur votre épaule... l'autre pend le long de votre nuque... pas un mot ne vous parvient... pas un bruit de pas... je reste là vous contemple... le blancheur délicate de votre peau... les quelques tâches de rousseur... l'envie monte... des deux côtés... vos doigts touchent les menottes cherchant vainement à les enlever... j'apprécie les mains dans le dos... vous êtes sans doute une élève douée et prometteuse... mes yeux se posent sur vos fesses... le sentez vous? Vous les bougez de gauche à droite... les bottes sont une agréable surprise... le désir monte d'un cran... l'engourdissement... autant que la curiosité ou la peur vous font vous agiter... un bref regard en arrières ne provoque aucune réponse de ma part... juste la déception de ne pas voir le bleu de vos yeux...

Enfin vous m'entendez m'approcher... sentant mon corps vous frôler... toujours derrière vous je pose ma main sur vos cheveux... caressant le bandeau et votre joue... vous arrachant un léger geste de recul... je prends votre épaule gauche... effleurant votre dos pour aller me poser sur celle de droite... je recule d'un pas... plaçant à votre grande surprise le dessus de ma chaussure entre vos cuisses... vous sursautez et raidissez le bassin... je récolte le jus abondant d'un fruit des plus appétissant... malgré la peur votre excitation est réelle... cela me fait sourire... je prends le temps de vous contempler... réfléchissant à la suite... au chemin qui vous mènera à la jouissance... je prends alors vos poignets... et les serrent... vous arrachant un un gémissement angoissé... je tire vos bras en arrière... augmentant la cambrure de vos reins... je passe une main sur votre ventre...descendant jusqu'à l'orée de votre toison déjà bien humide... je détache votre poignet droit et recule de nouveau... vous n'osez pas enlever les mains de votre dos... « Debout! » ... vous entendez enfin ma voix... avec soulagement vous pensez me reconnaître... vos espérances sont satisfaites... vous vous mordez les lèvres pour ne pas sourire... la dernière barrière qui vous empêchait de vous abandonner est tombée... péniblement vous vous remettez debout et frottez les cuisses endolories... « tournez vous et marchez » ... je veux savourer votre démarche... dépouillée de tout vêtement... seulement habillée par la musique de la menotte pendant à votre poignet gauche...et le bruit de vos bottes... ce défilé libertin provoque en moi une érection maximum... il va falloir passer aux choses sérieuses...

« Stop »... vous vous arrêtez chancelante... je passe derrière vous... remontant des fesses jusqu'à votre nuque blanche... redescendant vers le haut des cuisses... ma main s'aventure entre vos jambes... ressort perlée de votre plaisir... je mets ma main droite en stand by dans le bas de votre dos... la gauche prospecte... du cou passe aux seins... les pétrissant sans ménagement... le bout bien serré entre le pouce et l'index... votre corps se contracte... se retire et s'offre au gré des spasmes... je descends par votre ventre... enfouis les doigts dans le délicieux jardin de votre pubis... puis suivant le sillon... vous gémissez d'un sublime abandon... j'abandonne le temps d'un baiser dans le cou le rôle de l'inconnu dominant pour celui d'amant respectueux... pas le temps de se laisser gagner par les sentiments... je tire vos cheveux... vous surprenant... panique... « à quatre pattes » ... je guide votre tête vers le bas... entraînant tout votre corps... vous voilà au sol... visage baissé... croupe offerte... le i d'impatience s'y lit... écrit d'une encre incolore... dégoulinant encore... posté derrière vous je caresse vos lèvres... vas et vient lent mais appuyé au point délicat...vous accompagnez le mouvement... complice servile... mon pouce trouve une autre occupation... pendant que le reste de ma main continue son manège... s'intéressant au point du i ... il l'humidifie... le masse... sans entrer dans les détails... mon autre main... désœuvrée... caresse à loisir le bas de votre corps... fesses...cuisses ... intérieures... extérieures... la douceur de votre peau encourage le mouvement... passant à vos côtés mes caresses remontent... le dos... la nuque … vos épaules et vos seins... serrant leur extrémité entre mes doigts je presse le fruit défendu à la limite de la douleur... au bout du plaisir... entre vos fesses continue le va et vient... vous gémissez … je souris... vous coulez dans un océan de volupté … je vous laisse reprendre votre souffle … je me déshabille … je prends mon temps … vous laissant imaginer la suite …

Vous … toujours à quatre pâtes … je m'approche … posant ma poitrine contre votre dos … j'embrasse votre cou … le mord … l'épaule … elle aussi dévorée … je descend porté par un flot de baisers … le dos … les reins … les fesses … droite et gauche … sont pétries … mordues … embrassées … cuisses caressées de même … mes mains sont en perpétuel mouvement … trouvant à coup sûr peau douce et accueillante … mes baisers de nouveau descendent … se posant sur l'essentiel … chaud et humide … comme aux premières heures du monde … comme un lit au milieu de la nuit … mouillé par des ébats passionnés … ma langue s'engouffre … j'aspire … mordille … votre coeur s'accélère … sous le bandeau vos yeux se révulsent … passant du bleu au blanc … de l'envie au plaisir … je creuse … m'enfouissant de plus en plus profondément … puis m'attardant sur votre bouton … je le tourne et le retourne pour ouvrir les portes de votre jouissance … un nectar coule de plus en plus abondant … savoureux … d'un grand mouvement de langue je remonte … passant de la fente … à une surprise non feinte … jusqu'à votre petit orifice … sec et tendu … préservé jusqu'alors des coulées de plaisir … je le soigne … le bichonne … soucieux de le détendre et de lui faire prendre part à l'orgasme …

Ma main droite retourne à l'essentiel … laissant à la gauche les caresses passionnées … à deux doigts de la jouissance … un clitoris malaxé sous le pouce … le repli le plus honteux de votre corps pénétré par ma langue … laissant là les caresses … mon pouce remplace la langue … vous sursautez … mais continuez à gémir … consentante … comblée … mais demandant encore … mes s'appliquent encore un peu plus … pénétrant … branlant … dans un milieu à l'humidité croissante … j'accélère mes mouvements … vous succombez dans une coulée de plaisir … mes mains se détournent pour me laisser goûter ce nectar … je lèche voracement … de nouveau vous fondez... dans un violent orgasme …

Sans vous laisser souffler je vous relève péniblement … vos genoux rouges et endoloris vous font vaciller … titubante vous vous raccrochez à un mur … la menotte heurte la paroi … vous tremblez comme un feuille … prenant votre poignet gauche je tire votre bras vers l'arrière … j'attache la menotte à mon poignet gauche … nous sommes liés pour de bon … je prends votre mien dans la mienne … dans un tintement de métal … je me colle pour la première fois à vous … dans votre dos … vous sentez mon souffle sur votre nuque … et mon membre glisser entre vos cuisses … contre votre calice … caressant vos pétales recouverts de rosée … je viole votre cou … mordant profondément votre chaire … même cette douleur vous arrache des râles de plaisir … ma mains guide la votre … la faisant passer sur vos seins tendues … les compressant … serrant le bout … le torturant ... faisant surgir des cris de nature incertaine … cependant irrémédiablement vous coulez… je le sens par votre fleur … qui répand sur ma verge son jus délicieux … le plongeon sera long … le retour à la surface difficile … de nouveau je guide votre main … plus bas … plus bas … je pose vos doigts sur votre bouton d'or … je glisse entre vos cuisse … lents et courts allez retours… vos doigts sont des marionnettes entre les miens... je les agites ... de plus en plus vite … glissant à l'envie nos doigts réunis dans les profondeurs de votre être … vous vous cambrez … tremblez … criez … votre main droite vient me saisir la tête … toujours occupée à teinter du rouge de mes morsures et de mes baisers cette peau au teint si clair … le bandeau glisse légèrement en frottant mon visage... dans une dernière accélération le 7eme ciel s'offre de nouveau à vous... je ne tiens plus votre mains … vous tenez la mienne … pressée fermement contre votre intimité … cherchant à prolonger le bonheur... vous l'agitez à votre guise... le pression se relâche... nous offrant un répit... je m'écarte de vous... votre bandeau de travers vous offre un minuscule champ de vision... l'envie de me voir s'empare de vous... vous vous tournez légèrement puis vous ravisez...

Tirant sur les menotte qui nous unissent je vous fait retourner... nous sommes alors face à face dans un silence tendu … comme nos corps... malgré tout vous ne pouvez me voir... vous tendez vos doigts pour me toucher... je vous arrête en plein vol... faisant naître de la gène sur vos joues déjà colorées par cet exercice de soumission... j'ouvre votre main et y glisse un petit objet... au touché vous reconnaissez... ce qui de toute évidence est une clé... une clé de menottes... pour libérer nos liens... ou s'emprisonner l'un l'autre... je pose ma main sur votre visage... le caressant... profitant de la soie du bandeau... du satin de vos joues... je libère votre vison... vois vos yeux troublés... ce bleu profond où alors je coule... je suis là devant vous... évidemment mis à nu... dépouillé de mon anonymat... nos regards fusionnent... vous comprenez alors... ce qu'il vous reste à faire...

Prendre les choses en main... pour poursuivre le plaisir... infiniment...
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Histoire de marc anonyme

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