Manon, une fille adorable.

Cela fait dèjà de nombreuses années que Marc est marié à Justine, ils ont eu une fille Manon, qui maintenant poursuit des études à la fac. Au début de leur mariage, c'était l'amour parfait, mais au fil des années Justine change, elle sort régulièrement, rentre tard, sans se préocuper de sa petite famille. Elle fait des dettes importantes, disparait pendant des jours pour réapparaître comme si de rien n'était. Marc bonne poire, la reprend à chaque fois. ILs sont mariés pour le meilleur et pour le pire. Pour Lui actuellement c'est le pire.
Bien souvent le ton monte entre sa fille et elle. Tout est bon pour elle, pour faire des escapades avec des amants. Elle critique son mari en le rabaissant le plus possible devant sa fille, en ironisant, elle dit, qu'au lit il n'est pas un foudre de guerre, et qu'à chaque fois, elle doit se finir elle même. Et pour couronner le tout, elle sort d'un tiroir deux godes qu'elle a achette et les montre à Manon. Manon regarde les engins qui lui semblent monstrueux.
L'excuse majeur que trouve Justine, pour justifier ses escapades, c'est qu'elle cherche ailleurs, ce qu'elle n'a pas à la maison. Malgré les tentavives de Manon pour lui faire entendre raison, rien n'y fait, cette maman volage disparait à nouveau.



Pour éponger les dettes de sa femme, Marc doit trimer comme un forçat, il ne compte plus ses heures. heureusement que cet homme bon comme du bon pain, a une fille formidable. Manon après ses cours ou avant, fait les taches ménagères, prépare les repas, un vraie fée du logis. Elle sait que son papa est malheureux, et cela l'attriste énormément. Les peu de repos qu'il s'octroie, il les passe avec sa fille en promenade et quelque fois ils partent faire un petit pique-nique. le soir avant de se coucher, Manon se blottit contre son papa devant la télévision, pour, ronronner comme une chatte que l'on caresse. Lui est heureux de voir sa fille si rayonnante, mais il ignore que Manon est triste de voir son papa dans cette situation. Elle est prête à tout pour rendre la crème des hommes heureux. Elle passe un maximum de temps avec lui lorsqu'il est à la maison, elle sacrifie sa jeunesse pour remplacer la maman qui manque au foyer.


Mais un jour, en vélo, ils partent faire une randonnée en campagne. Pendant le trajet, un orage éclate, c'est trempés, qu'ils trouvent refuge dans une grange vide abandonnée. Marc réussi à allumer un petit feu pour faire sécher leurs vêtements, il trouve une petite cordelette qui va servir d'étendoir. Il retire ses habilles et se retrouve en slip. Il étend tant bien que mal ses vêtements sur le fil, il regarde sa fille et lui, dit :

-Ma chérie, je te conseil de faire comme moi, sinon tu vas tomber malade, et crois moi ce n'est pas le moment !



Très prude, c'est en hésitant qu'elle se retouve en soutien-gorge et en culotte devant son papa. Au fond de la grande, Marc trouve une petite bâche, il l'étend près du feu et dit :

-viens re rechauffer ma chérie !


Il s'entend, sa fille le regarde puis fait de même. Machinalement elle se blottit contre lui en fixant les flammes qui dansent. Sans arriére pensée, avec douceur, elle caresse doucement le torse de son papa, qui lui donne un baiser sur le front en se plaquant contre elle. Les deux semblent heureux, la main douce de Manon voyage sur le corps musclé de son papa. Elle passe lentement sur son ventre en faisant de petits cercles. Marc soupire profondement. La main frôle involontairement la bosse qui commence à déformer son slip. Instinctivement Manon retire se main en s'excusant. Son papa la regarde et n'ose lui répondre. Il réalise que Manon n'est plus une petite fille, et qu'elle est devenue une femme. Il la serre tendrement dans ses bras. Les deux restent enlacés pendant de longues minutes sans bouger. L'érection de son papa n'a fait que d'augmenter. Enfin Marc décide de se lever, Manon regarde la bosse génante que son papa à sur le bas-ventre, il fait tout pour la cacher, mais il ne le peut. Il regarde sa fille ne opinant de la tête et dit :

-C'est contre ma volonté ma chérie, mais sentir ta main sur mon corps, cela m'a fait beaucoup d'effet, cela faisait si longtemps que cela ne n'était pas arrivé, excuse-moi ma chérie !


Manon lui sourit sans rien dire, elle se lève à son tour, et tend les bras pour saisit ses vétements qui sont presque sec. En prenant les siens, Marc involontairement se plaque contre sa fille, qui se raidit en sentant contre ses fesses le manche tendu de son papa. Marc réagit rapidement, et se recule en s'excusant à nouveau. Enfin le couple est de retour. Pendant qu'un prépare le diner, l'autre prend une douche. C'est marc qui prend sa douche, il sifflote dans la salle de bain, cela faisait longtemps que cela ne lui était pas arrivé. Manon sourit en sachant son papa heureux. Soudain, elle l'entend jurer :

-Oh merde mes fringues !


Il sort nu de la salle de bain et rapidement monte à sa chambre. Manon le voit passer devant elle comme un bolide, elle a le temps d'apercevoir le membre qui balance entre ses cuisses, elle reste figée, jusqu'à ce que son papa disparaisse. Pendant qu'il s'habille, elle va prendre sa douche, mais elle à prévue un peignoir pour sortir de la salle de bain. Le diner se passe très bien, la petite randonnée les a fatiguée. Manon monte se coucher, elle se jette sur son lit, elle fixe le plafond, elle se met à rêvasser. Elle revoit la bosse énorme qui déformait le slip de son papa, et sentir aussi contre ses fesses cette masse de chair dure, la fait déglutir. Elle revoit aussi son engin qui balançait entre ses jambes, lorsqu'il détaillait pour rejoindre sa chambre.
Elle pousse de nombreux soupirs. Machinalement, elle ouvre son peignoir, se caresse les seins, les malaxe, rapidement ses bouts deviennent durs. Elle les étire en grognant, sa main descend vers l'endroit le plus sensible de son corps. Ses longs doigts saisissent sa boule magique et la triture en la maltraitant de temps en temps. Son abricot suinte comme un fruit trop mûr. Manon agite son bassin en soufflant comme une locomotive à vapeur. Ses doigts agiles s'activent sur son clitoris en la faisant geindre comme une bête malade. Le résultat recherché, ne se fait pas attendre. Manon se cabre et jouit en poussant un gémissement terrible. C'est à ce moment là que la porte de sa chambre s'ouvre, c'est son papa qui comme chaque soir vient lui souhaiter une bonne nuit.



Manon est tellement surprise, qu'elle ne pense même pas à refermer son peignoir. Son papa reste immobile en regardant son corps nu, il avance lentement et lui dépose un baiser sur le front comme chaque soir. Il la regarde un moment, ses yeux pétillent, il pose son regard sur les parties intimes, que Manon ne songe même pas à cacher. Il ne peut empêcher son membre de se raidir. Il dégluie bruyamment puis en soupirant, referme les pans du peignoir avant de faire demi-tour.
Il entre dans sa chambre, retire ses vêtements. Il hoche la tête en regardant sa verge tendue, il la saisit brutalement et la serre comme pour l'étrangler. Il se laisse tomber sur le lit, en tenant toujours sa verge. Il ferme les yeux et sans réfléchir commence à se masturber. Ses coups de poignets sont violents, à chaque descente, il décalotte grandement le gland. Manon réalise, que son papa l'a entendu jouir, et vu ses doigts luisants de cyprine. Elle est tout d'un coup, prise de tremblement. Elle à honte d'elle, se redresse sur son lit, et décide de se justifier devant son papa. Elle prend son courage à deux mains, et entre dans la chambre de son papa. Prit en flagrant délit de masturbation, il reste sans voix.


Manon voit le membre impressionnant que son papa tient d'une main. Malhabilement Marc ouvre les draps et s'enfile dedans. Il devient rouge comme une pivoine en regardant sa fille qui est plantée devant lui sans dire un mot. Il lui dit :

-Ma chérie, je m'excuse de me donner en spectable, mais j'avais besoin de faire, je ne suis pas de bois et de te voir nue sur ton lit en te faisant un petit plaisir, je n'ai pas pu résisté, donc tu vois le résultat !


Il ajoute :

-Tu voulais quelque chose ma chérie ?



C''est en béguant que Manon répond :

-Hum, je voulais, juste m'excuser de se que tu as vu, voila nous sommes quitte papa !


Manon rejoint sa chambre pour reprendre une nouvelle serie de caresses, en se remémorant l'action que son papa faisait lorsqu'elle est entrée dans sa chambre. Ses jouissances sont intenses, ainsi que ses gémissements. Quant au papa, le bougre en ayant une pensée malsaine, se finit, en giclant dans les draps. Le lendemain c'est dimanche, jour de repos, Manon ne fait même pas une grâce matinée, elle se lève en s'étirant comme une panthére. Son papa à déjà préparé le petit déjeuner, il ne porte qu'un pantalon de pyjama. Il la voit descendre l'escalier, il lui sourit. Il la regarde qui se déhancher comme une danseuse otientale en s'avançant vers lui. A travers sa nuistte ultra courte, il a apercoit au travers du tissu transparent les formes, qui hier soir l'ont fait délirer. Manon, n'a pas dû passer une bonne nuit, elle à les yeux cernés, elle est pâle. Elle embrasse son papa, qui ne peut s'empêcher de la serrer très fort dans ses bras. Comme si, il voulait se faire pardonner quelque chose. Les deux se regardent longuement sans dire un mot. Marc entend le cœur de Manon battre fortement dans sa poitrine, elle est fébrile. Elle s'accroche à son papa en se blottissant contre son torse nu. Sa respiration s'accélère, lorsqu'il lui donne plein sur les épaules, elle lève les yeux vers lui. Leurs souffles se mêlent, leurs lèvres se frôlent.


Marc reprend son sans froid, il se détache de sa fille et lui sert le café. Depuis hier, il y a quelque chose qui a changé, les regards qu'ils échangent et plus appuyés, les gestes sont plus calins. Marc regarde sa fille en hochant la tête et dit :

-Je ne sais pas si je suis un bon père, mais je sais que j'ai une fille formidable, et je ne sais pas si je la mérite !


Les yeux de Manon s'emplissent de larmes et répond avec des songlots dans la voix :

-Mon papa, c'est la meilleur déclaration d'amour que l'on m'est faîte, je suis fière d'être ta fille, je ne te changerai pour rien au monde papa chéri !

Marc très émue, s'approche de sa fille, et se place derriére elle, elle renverse la tête, son papa lui donne un baiser juste à la commissure de ses lèvres en disant :

-Tu es la meilleur des filles, je t'aime ma chérie !


Elle répond en reniflant :

-Moi aussi je t'aime MON papa !

Leurs bonheur, ne dure pas longtemps, la porte d'entrér s'ouvre. Justine, fait une apparition. Elle est souriante, elle embrasse son mari, relève le menton se sa fille avec deux doigts et en l'embrassant lui dit :

-Mais tu as pleurée ma chérie !



Manon ne peut s'empêcher de lui répondre :

-Ce n'est pas à cause de toi rassure-toi !


Justine hausse les épaules, et se sert une tasse de café en prenant place autour de la table. Marc lui demande :

-tu restes combien de temps avec nous ?


Justine éclate de rire et réplique en vexant son mari :

-Un certain temps éjaculateur précoce, ou dois-je dire bande mou !


Manon se révolte et lui fait la morale :

-Tu n'as pas le droit d'humilier papa, il éponge tes dettes, te reprend à chaque fois que tu reviens et toi tu le traite comme un moins que rien, tu devrais avoir honte maman, je ne sais si je dois encore t'appeler maman !


-Oh oh, mais ma fille parle de son papa comme une femme amoureuse, ne me dis pas que vous baisez ensemble, si tu n'as que ça a te mettre sous la dent, eh bien je te plains ma cochonne !


Manon sursaute et réagit :

-Mais tu divagues comme toujours, sache que, nous avons toujours était respectueux l'un de l'autre, et même si je baisais avec mon papa comme tu le dis si bien, eh bien je n'en serai que plus heureuse et nous aurions pas de compte à tes rendre !


Justine un peu vexée, en toisant de haut sa fille, répond :

-Mais je ne vous retiens pas baisez, baisez, mes cochons, éclatez-vous, mais je te confirme, que ton pére n'est pas un bon coup !


Elle se redresse, se lève et s'approche de son mari, elle lui saisit à pleines mains les attributs masculins, qui déforme son pyjama et dit en riant :

-Oh le salaud il bande comme jamais il ne l'a fait, tu dois avoir un fluide magique ma chérie, ce n'est pas pour moi qu'il bande ce salaud, mais je suis certaine que c'est pour toi, regarde !