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Marc et la pucelle

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 19/10/2022

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CHAPITRE 1 : MARC ET LA PUCELLE
Le fracas d'une ville déjà en activité réveilla Marc, il tenait à peine sur ses jambes minces et frêle. Il tira sur son drap plus que sale sans réel désir de « mettre de l'ordre », la pagaille est telle qu'un lit méticuleusement rangé ne changerait rien dans cet HLM qu'il occupe seul depuis la mort de sa mère et le départ de ses deux frères et de sa sœur. Marc regarda longuement ses fossettes et prend conscience de son anormal minceur. Mince il l'a toujours été, lui et toute sa famille ont été les rares à pouvoir traverser sous les barbelés. Mais là il s’approcha de la maigreur, il leva les bras et concentra ses muscles, il est loin de l’époque où il tyrannisait les terrains de foot de la région avec ses courses de folies. Il avait le corps sec et dur, les abdos saillants, les pectoraux peu développés mais visible pour impressionner ses camarades lorsqu’il ne séchait les cours. Au lycée il plaisait au petite pute blanche de bonne famille souhaitant se dévergonder, les maghrébines à papa stricte. Seule les noires lui résistait, un bon à rien et elle le savait. Il versait son céréale chocolat dans son lait tout en grattant le bord de sa grosse bite, le mélange du céréale marron et du lait lui rappel Marie-jeanne, il sourit doucement. Au lycée, Marie-Jeanne était surnommé la pucelle d’Orléans à cause de son nom et le fait qu’elle venait d’Orléans mais surtout sa mocheté ajouté à son isolement, sa démarche gauche laissait sous-entendre une virginité.

Marie-Jeanne avait tous de la première de classe, mise à part qu’elle était bête, pas plus que les autres du lycée mais tout de même. Un soir Marc rentrait après foot les couilles en feux, quand il croisa Marie-Jeanne une clope à la bouche prêt du petit parc.
- Hé la pucelle ! Tu fais quoi ?
- Ben je fume…
- Wesh savait pas
- Personne ne sait
- Tu vies dans le quartier ?
- Non mon oncle baise alors je me promène.
Il s’assis à côté d’elle en écartant les bras et les jambes, la tête pencher en arrière, il puait des aisselles. Il reprenais un souffle régulier mais toujours brouillant, il rentra dans une forme de béatitude, connecté à lui-même il senti ses muscles et le vent léger passer sou son short. Il compris qu’il avait assez d’énergie pour bander, se qu’il fit doucement. La pucelle regardait le serpent se mouvoir sous le tissus encore en sueur, elle aussi senti le vent lui caressé plutôt au niveau des genoux et du coup. Elle entendait parler Tous les jours de grosses bites avec désires par les filles aux toilettes parfois en classe, voilà qu’une se dresse devant elle, surexcité elle lâcha malgré elle un petit gémissement que Marc prit pour un frisson dut au vent. Il n’empêche qu’elle regardait sa bite en mordant ses lèvres lorsque Marc la regarda avant de vite tourner la tête à l’opposer. Haute comme un nain de jardin, les seins plats, pas de cul, le visage encore remplis d’acné pourtant elle avait un beau cou. Marc posa doucement ses droits entre l’épaule et son cou en l’appelant par son nom, pour la première un camarade prononçait « Jeanne Marie ». Elle se retourna le cœur battant et les lèvres pendantes, Marc l’attira légèrement vers lui persuadé qu’elle la mocheté ne pourrait refuser un telle avance, elle se laissa faire l’espace d’une seconde puis se tétanisa le regard droit devant les lèvres entre les dents, il s’élança donc vers elle la couvrant de baisers. La puanteur du t-shirt la dégoûtait, cherchant de l’air elle ouvrit la bouche se qui permet à Marc de glisser sa langue et de sucer allègrement sa lèvre inférieure, l’odeur repoussante se transforma en un excitent, elle rendit timidement le baisers. Encore assise, Marc plaça ses genoux autour d’elle et lui exposa sa bite, le fort phéromone de son entrejambe enveloppait comme une couche d’ozone la tête de la pucelle qui haletait comme une chienne. Il longea son sexe dont le gland laissait couler le liquide pré-éjaculatoire vers Jeanne-Marie qui tira doucement la langue pour accueillir le corps divin. Elle s’adonnait à une fellation indigne de sa réputation de fille coincé, son long cou projetait sa tête à la base base du gros et long membre, le nez en plein dans les poils sentant la sueur. Elle pouffait à chaque vas et viens, Marc lui grondait comme un gorille, la tête en l’air, tout le corps prix d’une contraction de quoi endommager le banc.

Il s’allongea la laissant prendre son plaisir férocement. Elle lui suçait les couilles et lui léchait l’entrecuisse tout en reniflant profondément. Elle ôta sa culotte. Elle tenait la verge tout en plaçant une jambe sur le banc, Marc observait cette chate poilue, épaisse et bien trop large pour une vierge, qu’en savait il ? Il n’avait jamais dévierger quiconque. Mais la faciliter qu’elle se l’enfonça ne laissait pas de doute. Avant de prononcer quoique se soient il reçu une série de grand coup de rein de plus en plus rapide et une plus grande contraction vaginale. Elle s’agitait et gémissait comme en pleine catathrénie, au bout de quelques minutes Marc se redressa et joui tout en la pressant les hanches, elle serrait les fesses avec un fort gémissement aigu. En se rhabillant Marc lui lança :
- Comme quoi t’étais plus vierge ?
- Non j’ai…
Acte manqué ? Peut-être, elle partie en courant avec un grand sourir. A partir de se jour Marc souriait toujours lorsqu’il entant une phrase comme « dégage la pucelle ».

Ils prirent l’habitude de baiser aux environs du parc les soirs après les match de foot de Marc puis à la fin de l’année elle disparue. Jeanne doit être retourner en Orléans.
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Histoire de Himeros dionysos

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