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Mari volage et cocu 2

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Lue : 1427 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 13/05/2020

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Pendant que chacune parcoure le corps de l'autre, mon mari ne se tourne pas les pouces, il regrette de n'avoir que deux mains, il jubile du moment présent et de son exploit, réussir à convaincre sa copine à s'adonner aux plaisirs saphiques, réussir à me faire venir dans l'endroit, malgré le chien et les gardes, content de me l'offrir sur un plateau.

Il faut dire qu'il était aidé, elle avait envie de moi et j'avais envie d'elle, nous avions juste peur du refus de l'autre et de la réputation qui risquait de s'ensuivre, ses mains sur moi, celle de mon mari, mon corps demandait sa part de plaisir, elle sentait bien que ses caresses me faisaient de l'effet et elle voulait me rendre ce que je lui avais donné.

Elle m'embrasse sur la bouche puis la joue, sur le cou, les seins, elle suce mes bouts, puis me malaxe les seins en me disant, "quand il m'a demandé si je voulais faire l'amour avec une autre femme, j'ai de suite pensé à vous, vous avez une belle poitrine, j'ai rêvé de ce moment, après, quand il m'a parlé de vous, je ne le croyais pas".

On peut se tutoyer dis-je, oui c'est vrai j'ai beaucoup de mal, je ne suis pas très habitué au tutoiement dit-elle, continuant à descendre en m'embrassant le ventre et caressant mes cuisses. A mon tour je me confie, "oui continue, tu vas voir, tu vas me rendre la pareille, toi aussi tu as hanté mes pensées, quand je t'avais parlé à la fête, c'était pour savoir si tu partageais mes goûts.

Mon mari, qui laisse les choses suivre leur cours, commente de temps à autre, "vous êtes aussi salope l'une que l'autre, ce que je fais avec l'une je l'ai fait avec l'autre", s'adressant à sa copine il dit, "vas y, envole là, tu vas voir, pour elle (moi), homme ou femme, çà lui fait le même effet, dans la cochonne, toute est bonne".

Sa langue passe sur ma hanche, puis la cuisse, je m'ouvre comme une huître, elle m'embrasse entre les cuisses, à l'intérieur, j'ondule, cherchant la caresse de sa langue, sa main caresse mon ventre puis descend, elle écarte mes lèvres intimes tout en me fixant, à mon tour, mon souffle accélère, mon mari lui dit, "elle monte dans les tours, évite de lui enlacer les mains".

Tout en parlant, il se place derrière elle et la pénètre, un petit haaa de plaisir et dit, "il baise bien ton homme", j'ai pas le temps de répondre qu'elle me bouffe la chatte, mon mari la lime de plus en plus vite, elle me bouffe, m'aspire, reprend du souffle et replonge.

Mon mari m'a tout dit sur ses préférences, tout comme moi, elle adore les mots crus pendant l'acte, alors je lui en sers, "va y salope, bouffe ma chatte, tu sens comme elle est trempée à cause de ta langue, je vais te jouir dans la bouche, tu vas voir petite pute, et toi, va y bourre la bien.

Lui parler ainsi est à double tranchant, çà l'excite, mais çà m'excite aussi, et bien évidement, l'orgasme m'arrive, elle le sent et s'active pour me rendre encore plus folle. Mon mari qui devait nous mettre sur les rotules, excité par le spectacle de sa femme et sa maîtresse, en train de se faire du bien, donne le coup de rein de trop, il jouit en elle en se traitant lui même.

Je le connais trop bien, je savais par expérience, que les premières fois, ça part presque tout seul, ça ne m'empêche pas de le taquiner, "alors, c'est quand que tu dois nous mettre sur les genoux, il me semble que pour ce soir, on va continuer en duo, pendant qu'il y en a un qui va se faire tout minus".

Nous rions toutes les deux, bien sur, il me met ça sur le dos, comme je ne veux pas qu'il se booste à la pilule bleu, pour son âge, il est encore suffisamment actif, alors inutile de se déglinguer la santé pour chercher à rivaliser avec des jeunes.

Nous avons donc continué sans lui, puis discuté ensuite, racontant chacune à l'autre l'attirance réciproque lors que nos premiers échanges, mon mari n'avait rien exagéré sur ce que le cocu lui faisait subir, mais je savais déjà que c'était un sale type.

Mon mari a continué à la voir les WE, il en a également fait profiter deux de nos amies très intimes, j'y suis retournée aussi bien sur, avec une de ces amies, le train train en somme, il y a juste eu une fois ou le cocu est arrivé à l'improviste, mais les multiples précautions prises ont été à la hauteur, rien ne s'est passé, le temps qu'il rentre, nous avions disparus, attendant dans le bois qu'elle nous fasse signe de revenir.

Pour justifier qu'elle ne se plaignait pas de rester enfermée à la maison, mon mari lui a fait amplifier son passe temps, le dessin, ainsi, il ne se poserait plus de questions, s'il s'en posait bien sur. Petit à petit, elle commandait chaque semaine, un peu plus de matériel, ce qui ne lui posait pas problèmes, ça n'avait rien de ruineux et de la savoir s'occuper à cela, l'arrangeait bien tout comme ça le rassurait.

Les mois passent de la même manière, mon mari parfois va la voir même en journée en semaine, comme il lui avait acheté un portable sans abonnement, suivant le temps ou l'occupation qu'il avait, il la savait disponible, puis un jour ou elle préparait le repas dans sa cuisine, elle monte à l'étage, quelque chose l'interpelle, un bruit, passant sa tête à la fenêtre, elle voit dessous, un des gardes monté sur le muret du perron.

La porte de ce perron sur le coté est condamné, ils utilisent celle donnant sur le devant de la maison, sur ce perron qui ne sert plus, une vigne suit des arches en métal dessus, sans les feuilles en cette saison, elle a pu voir ce garde, aussitôt, apeurée, elle prévient mon mari avant que le sien ne rentre, il lui dit, "ne change rien à tes habitudes".

Mon mari la rassure, disant qu'il pense que si les gardes avaient vu le manège, il y a bien longtemps que son mari aurait fait le nécessaire pour que cela cesse, il lui aurait fait une scène, je viendrais te voir ce WE dit-il, j'aviserais.

Le vendredi, prenant plus de précaution que d'habitude, il arrive avec l'attirail, une caméra miniature, comme il arrive après l'heure du repas, il va juste dehors se rendre compte en se mettant là ou elle a vu le garde, et découvre qu'on la voit entièrement dans la cuisine lorsqu'elle y est lumière allumée.

Le lendemain, de bonne heure, il fait encore nuit, mon mari installe la caméra sur le volet du haut, là d'ou elle a vu le garde, il passe par le wifi sur la télé, il lui donne une oreillette pour la guider dans ce qu'elle doit faire, c'est à dire, que quand il arrive, qu'elle soit dans sa cuisine, si elle n'y est pas, il risque de repartir.

Elle suit son rituel de tous les jours, elle va dans sa cuisine, elle allume la lumière. 2 Minutes après, l'un arrive, mon mari la prévient via l'oreillette, pour qu'elle se mette là ou elle est la mieux visible en lui rappelant à chaque instant, de ne pas regarder vers la fenêtre.

Ce qu'il voit, ne laisse aucun doute, je devrais dire, ce qu'il ne voit pas vu l'angle, mais le geste saccadé de son bras droit en dit long, le type se masturbe, il faut savoir, que depuis que mon mari va la voir, elle est devenue plus féminine, il lui a dit pareil qu'à moi, avant, le WE je voulais traîner en jogging ou pantalon large, et la semaine, en jupe courte, chemisier avec décolleté, en somme, sexy.

Mon mari m'avait dit, "pour tes collègues, tu t'habillerais bandante et pour moi, tu te fringuerais en "loquedu", non non non, on inverse, le WE tu te mets sexy et la semaine en clocharde si tu veux, c'est a moi que tu dois plaire avant tout, pas aux autres, il avait entièrement raison, alors maintenant, à part quand je fais du cheval, quad ou jardinage, je m'habille de la même façon que la semaine au boulot.

Mon mari lui a fait la même réflexion, lui disant qu'il faut qu'elle s'habille sexy en toute occasion, et de le faire crescendo pour ne pas que son mari se pose de question, comme souvent, le mari n'a rien remarqué, mais les gardes surement que si.

La fois ou nous avions discutées ensemble, nous nous sommes ouverte l'une à l'autre, comme je n'ai aucunement honte de mes penchants exhibes, en lui avouant cela, elle n'a pas eu de difficultés a m'avouer qu'elle aussi ça l'émoustille, cela n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd et mon mari allait en profiter pour l'exhiber à ce garde, façon qu'il mate une femme qui ne sait pas être matée, il faut sauver les apparences.

Le soir, ils renouvellent l'expérience, en lui disant d'être légèrement plus dénudée, que ce garde ne raconte certainement pas ce qu'il fait, mon mari regarde et enregistre aussi pour lui montrer ensuite, c'est là qu'elle reconnait que c'est l'autre garde, et non le même qu'au matin, elle regarde l'enregistrement du matin, puis du soir, et est affirmatif, c'est pas le même, sans avoir d'horaire attitré, ils y vont à tour de rôle.

Elle ne sait pas depuis quand ça dure, mon mari naviguait chez elle comme chez lui, mais il évitait les fenêtres surtout quand les lumières étaient allumées.

Mon mari pense que ces deux là matent, mais ne savent pas qu'il est là, il décide de les mettre à l'épreuve, soit ils ne savent rien, soit ils savent et ne disent rien pour continuer à mater, dans ces conditions, ils méritent une récompense.

Mon mari aime jouer, un tantinet candauliste, le dimanche matin, il lui dit de se mettre encore un peu plus dénudée, il n'a aucun mal à lui faire accepter, elle aime cela maintenant, comme prévu le garde est là et se rince l'œil et s'essore les bourses.

Le dimanche soir, le mari est de retour, elle appréhende ce moment, mais rien, pas de scène, pas d'allusion, il contrôle juste ce qu'elle a fait sous couvert de faire croire qu'il s'y intéresse, elle ne lui pose aucune question de ce qu'il a fait, juste l'informer qu'elle va dépenser un peu plus en peinture et toile, ce qui le ravie, il lui donne son aval.

Elle commande et paie sur internet et mon mari va lui chercher son matériel, il fait un colis ou dedans, il met 2 bouteilles d'un vin bas de gamme, mais presque un grand cru comparé à ce qu'il boivent habituellement, le colis arrive avec une journée de retard sur ce qu'il pensait, mais il arrive.

Un mardi, le facteur habitué donne au garde qui signe, quand il part, elle va vers eux, habillée sexy mais de façon raisonnable en disant, "ha enfin, mon matériel est arrivé, vous avez un couteau, je voudrais vérifier", galamment l'un lui propose de lui ouvrir, pour ne pas qu'elle se coupe, elle le remercie et le laisse faire.

Dans le carton, il y a ce qu'elle a commandé, elle voit un autre carton, elle dit, vous pouvez ouvrir celui ci, ils voient les deux bouteilles avec un petit mot, indiquant que c'est un cadeau commercial, ils ne disent rien, ils doivent baver intérieurement, elle leur dit, "je ne bois pas de vin, moi, vous les voulez, sinon je vais les jeter".

Leur yeux brillent, ils lui disent poliment pour faire ceux qui rendent service, "c'est vrai vous ne les voulez pas, sinon oui, des fois avec le fromage, un petit coup de rouge". Ne voulant pas rire, elle leur dit, prenez, mais ne dites rien à mon mari, il risque de croire que je bois en cachette", ils répondent, "alors là, il peut être tranquille, on ne vous a jamais vu boire, ni avoir l'air d'avoir bu, ha ça non alors, pas vous", merci, vous êtes gentils dit-elle.

Mon mari lui a dit, "lui, il ne fait que de les engueuler ou les prendre pour des cons, il ne veut pas qu'ils picolent, sinon il les engueulent encore, soit gentille avec eux, ils fermeront les yeux sur pas mal de choses, tu deviendras leur préférence, ça leur coûtera de dénoncer la seule personne gentille avec eux, et pour ne pas perdre cela, ils te diront de pas recommencer ou faire attention.

le WE suivant, mon mari lui apporte des nuisettes sexy, que je ne mets plus, comme elle ne peut pas justifier qu'elle achète cela, elle ne les met que quand il n'est pas là, pour le plus grand plaisir des gardes.

Ce perron inutilisé, à droite, c'est la cuisine et à gauche, c'est une pièce ou la femme de ménage, qui vient une fois la semaine, repasse parfois, les volet sont des persiennes bois.

Si son mari roule en gros 4x4 de moins de deux ans, que ses costumes et chaussures sont sur mesure, que sa montre coûte plusieurs SMIC, home cinéma, électroménager de qualité, un beau portail, sa maison est dans son jus, les volets sont des persiennes qui n'ont pas vu de peinture depuis longtemps, même si les fenêtres en bois ont été remplacées quand ils ont emménagés, c'est du double vitrage.

Mon mari, en débarrassant une grange, en avait brûler, des vieux volets persiennes, ceux ci, en petits morceaux, il a vu comment était fait la fabrication, alors quand les gardes dorment, il essai de tourner les lames de ces volets, si certaines sont bloquées par le temps, il arrive à en tourner deux qui sont à la bonne hauteur, vu la taille des gardes, afin qu'ils puissent mater dans cette pièce.

Suivant les conseils de mon mari, quand le sien est absent, elle s'arrange pour les faire venir en allumant la cuisine pour qu'ils arrivent, et l'éteignant après avoir allumé la petite pièce et faisant un peu de bruit la fenêtre ouverte. Le but étant de leur signaler que maintenant le spectacle est dans l'autre pièce.

Le premier WE, avant le virus, hésitant à sortir, son mari finit par donner une excuse de boulot, elle appelle mon mari tard, ce qui fait que ce n'est que le matin qu'il peut voir le spectacle qui a changé d'endroit, ce qui a été le cas, un garde vient se réjouir, cette fois là, certaine qu'elle a un voyeur, elle s'exhibe de façon plus coquine, elle essai des vêtements, chose que dans la cuisine, elle ne pouvait pas justifier.

C'est en dessous que le voyeur peut l'admirer, petite séance de 5 bonnes minutes, mon mari me dira qu'elle était complètement humide, le lendemain, c'est la même chose, dans la semaine, un autre colis arrivent avec le même cadeau qu'elle donne à ses 2 voyeurs, avec les mêmes consignes, ne rien dire à son mari, consigne inutile, car eux mêmes, n'ont pas envies qu'il le sache, ce qui fait qu'elle partage un secret avec eux.

Mon mari à envie de s'amuser, il adore ce genre de situation, il a plein de projet, ce ne sont pas les gardes qui s'en plaindront, le seul à qui ça ne plairait pas, c'est le cocu, mais celui-ci représente tout ce que mon mari déteste comme individu, même si c'est son cocu préféré.

Une fois, début des années 2000, mon mari culbutait une femme, rendez-vous hebdomadaire, puis, un soir, un type arrive, un peu le genre Elmer Fudd dans Bugs Bunny, "bonsoir Madame, je viens voir votre mari", mon mari arrive, il ne le connait pas, le type dit, "je suis le mari de Muriel, on peut se voir en privé", mon mari dit qu'il n'a rien à me cacher.

Ha bon fait il, il demande, "voila, je voudrais que vous laissiez ma femme tranquille, je suis prêt à lui pardonner, mais il faudrait que ça cesse, vous pouvez me donner votre parole", mon mari, presque touché par ce type lui dit qu'il lui donne sa parole de ne plus la voir. le lendemain, au téléphone, il invente une histoire pour donner une raison à la rupture.

La dite Muriel l'insulte comme du poisson pourrie, mais il dit comme elle et elle lui raccroche au nez, pour mon mari, il y a deux sortes de cocu, celui qui le mérite et celui qui n'a pas de chance. Peut être 2 ou 3 mois plus tard, le même type revient un soir, il demande après mon mari, qui en le voyant ne comprenait pas, il lui dit, je peux vous jurer que je ne la vois plus depuis que vous êtes venu.

Le type tout en s'excusant lui répond, "oui , oui, je ne viens pas pour ça, je m'excuse de vous déranger, mais j'aurais un service à vous demander", on se regarde et mon mari dit, "ben dites toujours", et là, le type dit en tournant autour du pot, mais cela signifiait, "voila c'est un peu délicat de ma part, mais j'aimerais que vous recommenciez à la voir, depuis que je vous ai demandé de la laisser, elle est devenue invivable, avant elle me câlinait, me faisait des bons petits plats, elle était douce et souriante, maintenant elle rouspète pour n'importe quoi.

Cette demande nous laisse sans voix, c'est la première fois que cela arrive, mon mari est plus habitué à ce que les cocus viennent prendre une baffe salvatrice calmante, que pour l'encourager à baiser leurs femmes, quoi qu'il en soit, en bienfaiteur qu'il est, à ce qu'il dit bien sur, il l'a rappelle en lui racontant un gros bobard, comme quoi c'était moi qui l'avait surpris et menacé de le quitter, et que j'étais à coté de lui, quand il l'avait appelé.

Quoi qu'il en soit, elle est revenue avec une situation plus contraignante, puisque c'est elle qui faisait le chemin le plus long pour venir le voir, la relation a durée encore 3 bons mois et c'est elle qui l'a quitté, comme il ne voulait pas faire d'effort pour venir plus prés.

Voila donc le genre de cocu, ou mon mari aurait quelques remords, ce qui ne l'empêche pas de dormir, par contre, le genre comme celui de l'histoire, son plaisir est double, il déteste l'individu et en plus, il déteste ceux qui traitent leurs femmes comme il fait, tu la trompes, elle te trompe, 1 partout.

Depuis qu'on sait ce que les gardes font, nous nous en amusons bien sur, et comme nous sommes autant joueur l'un que l'autre, et aussi très complice, le soir au lit, nous cherchons comment profiter de la situation, à leur insu mais aussi pour leur plaisir, comme par exemple, lui rendre visite, chose qu'ils peuvent accepter en se disant que le cocu, ne serait pas jaloux avec une femme.

Nous pourrions ainsi, faire des séances d'essai de vêtement, voir de dessous, quand l'un de nous donne l'idée, l'autre la modifie ou l'optimise, mon mari a l'idée ou un soir que je serais là, ou elle aura informé ses voyeurs que son mari a prévenu qu'il aurait une heure de retard pour finir son travail.

Ce qui serait faux, en rentrant à 19 h comme d'habitude, afin qu'il ne me découvre pas, je me réfugie chez eux en déshabillé sexy, me cachant et demandant de ne rien dire, que je pars dés qu'il sera à table. Mon mari connait mes goûts pour ce genre de situation, me retrouver ainsi avec ces deux rustres qui ne sont pas encore imbibés, donc l'esprit claire.

Mon mari me dit, "imagine les, tu rentres, surpris avant tout, il devine la situation et en profite pour tenter quelques attouchements, ils n'iront pas au viol, ils savent ce qu'ils risquent car leur "patronne" sait que tu t'es caché chez eux", je lui dis, aller chez eux, ça doit pas être reluisant, il me dit que la femme de ménage fait une heure ou deux par semaine quand elle vient pour elle.

Une fois, elle et son mari ont été voir sans qu'ils le sachent pour justement vérifier l'état de ce qu'il leur laisse gracieusement, ce n'est pas le luxe mais c'est acceptable, comme ils ne paient pas son temps passé, ils doivent penser que la femme de ménage vient surtout pour constater que ce n'est pas une porcherie, ce qui fait qu'ils font en sorte que ça ne soit pas le foutoir.

Dans nos pensées, je devrais dire nos délires, j'imagine la scène, je me vois dans cette tenue chez eux, en train de me mater, même de se permettre de me tripoter légèrement, juste ce qu'il faut pour que ça en reste là, ou je me débattrais un petit peu, juste pour montrer que je ne veux pas.

Bien évidement ce genre de fantasme nous chauffe tous les deux et la discussion laisse la place à l'action, mais voila, nous avons vendu la peau de l'ours avant de le tuer, adieu veaux, vaches, cochons, le covid-19, encore lui, est passé par là, nous n'avons pas eu de nouvelle d'elle pendant les 15 premiers jours, ensuite, son mari a du retourner travailler, mais il n'était pas question de la rejoindre.

Avec mon mari, elle discute beaucoup en journée, seul moment tranquille, il part plus tard et rentre plus tôt, la nuit tombe plus tard et elle avait du mal à s'exhiber au début, mais elle a pu modifier les horaires, elle dessine en robe de chambre bien ouverte, et bien visible de la fenêtre pendant qu'il regarde une émission à la télé.

Elle entend quand l'un d'eux est derrière le volet, elle dit que mon mari lui manque, mais que le sien, la baise 2 à 3 fois dans la semaine maintenant, il lui dit que c'est parce qu'il a moins de stress au boulot, elle y croit autant qu'au père noël.

Cette histoire n'est pas fini, mais ferons nous comme on ainsi, ferons nous autrement, sortirons nous de cette situation dramatique, indemne surtout, même les professionnels n'en savent rien, l'avenir nous le dira, je suis impatiente d'écrire la suite en souhaitant qu'il y en ai une surtout.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Mari volage et cocu 2

Le 17/05/2020 - 17:15 par Jacques du Canada
Auteure, Annizette!
Le 16/05/2020 - 22:21 par Jacques du Canada
Annizette vous estes une très bonne auteur. Félicitation.

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