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Marion à l'hôtel

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Lue : 30934 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 10/01/2010

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Voilà, je m’appelle Marion, j’ai 30 ans, je suis mariée mais il ne faut pas le dire.
Je suis pas petite, presque 1m70, je suis fine et jolie, même si ici, j’en rajoute un peu... Disons que le 85 B est de venu un 90 C voilà, ce n’est pas bien méchant.
Pour ce qui est des fesses, pas besoin d’en rajouter … elles sont parfaites LOL. Allez, je vous laisse découvrir la première histoire que je poste ici.

C'est l'été à Puerto de Soller sur l’île de Majorque. Il fait chaud, très chaud même.
Je suis en bikini, 2 pièces de couleur orange fluo, plutôt voyant.
Ma peau est enduite d'huile pour la nourrir face au soleil qui frappe sans retenue.
Mon mec est à mes côtés, il me mate mais n'hésite pas non plus à mater le derrière des petites espagnoles sexy qui se dandinent au bord de la piscine ou se prélassent sur les chaises longues comme moi.
Je suis lasse de faire la planche. Ma peau est déjà bien bronzée, ayant abondamment profité du soleil toute la semaine.
Je pense à elle. Cette fille, non cette femme plutôt. Elle doit bien avoir quarante ans je pense.

Ces yeux sont si noirs et son regard si dur, lorsqu'elle le pose sur moi.
Quand elle me regarde j'ai l'impression d'être une vilaine petite fille.
Mais je n'ai rien fait de mal. C'est vrai, rien du tout.
Pourquoi me regarde-t-elle comme cela ?

Hier, alors que je traversais le grand hall de l'hôtel, elle m'a regardée depuis le comptoir principal où elle travaille. Je me suis sentie toute petite et j'ai même par réflexe tiré ma jupette vers le bas comme si on voyait mes fesses alors que ce n'était pas le cas.

Aujourd'hui derrière le bar de la piscine où elle se trouve elle me regarde tout aussi intensivement. Il y a quelques minutes lorsque je suis sortie de la piscine, par l'échelle côté bar, j'ai senti ses yeux me caresser de haut en bas. J'en ai eu un frisson et je n'ai pas su me retenir de regarder dans sa direction. Evidemment, mon regard a fondu devant le sien, si brûlant et mes yeux sont repartis regarder le sol, alors, alors que mes petites fesses ont couru se cacher sur mon transat.

Cela n'a pas découragé cette grande femme brune de me mater avec un certain contentement, je pense de voir mon embarras quand elle me regarde ainsi et constater mon incapacité, soit à m'en plaindre à mon mari, soit à elle même, car tout cela bien sûr je l'ai gardé pour moi.

Il y a un instant je me suis levée pour aller faire pipi. Je l'ai dit à marc qui était pratiquement endormi l'ipod dans les oreilles. Comme je n'aime pas les toilettes de la piscine, je suis rentré dans l'hôtel. Celles qui sont situées au fond du couloir du rez-de-chaussée sont très correctes et de toute façon je n'ai pas les clés de la chambre sur moi. C'est Marc qui les a.

Je n'ai pas vu tout de suite qu'elle avait quitté le bar de la piscine et me suivait à quelques mètres, laissant le bar à sa collègue, bien moi jolie, la pauvre.

Je m'en suis aperçue lorsque j'ai traversé le hall de l'hôtel, toujours vêtue de mon bikini orange fluo qui tranche si bien sur ma peau dorée. D’habitude je n'aime pas me montrer ainsi dans un hall. Ben oui les gens sont plutôt habillés, alors je passe vite. D’autant que mon top est constitué de 2 petits triangles qui cachent à peine mes seins, reliés entre eux par une bride toute fine. Et le dessous, slip brésilien moulent à merveille mes petites fesses.

C'est par réflexion dans les glaces du hall que je l'ai aperçue quelques mètres derrière moi, saluant au passage un de ses collègues. J’ai senti un soulèvement du cœur comme au démarrage des montagnes russes sur une fête foraine.

Mon pas s'est accéléré mais au moment de tourner vers le corridor mon visage s'est retourné et nos regards se sont croisés. De nouveaux j'ai baissé les yeux et suis entrée dans les toilettes au fond. Je suis entrée mais je n'ai pas osée aller faire pipi, je suis restée un instant alerte devant le miroir d'un des éviers, ma respiration suspendue, en me demandant s'il elle allait venir avec une petite boule dans le ventre.

Après une minute d'attente, je me suis détendue, je m'étais faite des idées. La femme n'était pas là, je suis entrée dans une cabine et je me suis assise pour me soulager après avoir essuyée la planche avec une lingette. Quand j'ai ouvert la porte de la cabine et que je me suis avancée vers l'évier pour me laver les mains, elle était là, elle me regardait adossée au mur opposé.

Je n'ai pas osé la regarder ou à peine, j'ai fait coulé l'eau sur mes mains, elle n'a pas bougé mais ses yeux étaient rivées sur moi ... je me suis dirigée d'un pas hésitant vers la sortie sans oser encore la regarder. Je me suis rendue compte que j'avais peur. Je tremblais presque, je voulais sortir. Je le voulais ...enfin ou peut-être pas.
Arrivée à sa hauteur, mes jambes se sont arrêtées. Je regardais la porte incapable d'avancer. Mon esprit bouillonnait. Mes yeux se sont relevés vers elle, croisant son regard avide de moi. Mes bras se sont croisés, mes mains posées sur mes épaules formant une sorte de barrière face à l'envahisseur présumé. Mes jambes toujours tremblantes se sont inconsciemment et légèrement fléchies, déplaçant mes rondes petites fesses vers l'arrière, accentuant ainsi de manière infime, mais perceptible le creux de mes reins.

Elle a comblé en un instant la courte distance qui la séparait de moi, poussant mon corps à reculer spontanément, pressant ainsi mes fesses contre la froideur du bord de l'évier. Alors que me dominant de sa haute taille, elle se penchait sur moi, j'ai détourné sur le côté mon visage effrayée et pourtant soumis. Ses mains ont pris les miennes et en décroisant mes bras devenus pantins, elle a posé la paumes de mes mains obéissantes sur le bord de l'évier, de part et d'autre de mon corps, avant de se pencher tête en avant et de plonger son visage dans ma nuque offerte pour y déposer de baiser chauds, humides et entreprenants.

Devant mon incapacité complète à la repousser et malgré l'accélération perceptible des battements de mon cœur qui cognait frénétiquement dans ma poitrine, soulevant celle-ci au même rythme, elle glissa une main dans mes cheveux défaits et les enserra violemment, forçant ainsi mon visage à lui faire face. Avec un mépris perceptible et une perversité palpable, elle me dévisagea ainsi plusieurs secondes, ses lèvres formant une loue arrogante. Elle tira ensuite ma tête en arrière et embrassa mon cou à pleine bouche, déposant sur moi sa salive, changeant l'odeur de ma peau. Pendant ce temps, sa main libre remontait le long de ma cuisse gauche dépassait mon maillot en s'attendant un instant sous la lanière à hauteur de ma hanche. Mes jambes, craintives, se serrèrent à l'angle des genoux et se fléchirent encore un peu. Sa main ne s'attarda pas et remonta le long de mon ventre qui se creusait à son passage. Sa main passa sur et puis sous le petit top de mon bikini. Ses doigts chauds et entreprenants glissèrent sur ma poitrine me faisant frémir des pieds à la tête. Mes yeux se fermaient, mes mains fermement serrées sur le bord de l'évier, mes dents pinçant ma lèvre inférieure. A mon avis, non contente de sa prise, l'espagnole se recula subitement d'un demi-mètre, libérant ainsi ma poitrine fraîchement assaillie. Mes yeux humides s'ouvrir pour la regarder, étonnée qu'elle me libère ainsi soudainement. Toujours parcourue des secousses de ma respiration irrégulière, une larme se forma au coin de mes yeux. Ma bouche tremblait. Libérée, je ne l'étais pas. Ses yeux fixaient les miens avec à peine moins de mépris que tout à l'heure et beaucoup de condescendance. Dans un espagnol du sud elle me dit à voix basse mais avec fermeté "retira tu sujetador" en jetant en regard en direction de ma poitrine. Mes yeux largement ouverts et mes lèvres formant un o je la regardais un peu ébahie et incertaine d'avoir comprise, tellement son message fut bref et ténu.
Insistante et sans élever le ton, elle me dit encore : 'retire el'.

Relâchant l'émaille froid, mes mains s'exécutèrent, remontant dans mon dos pour, chacune tira un petit coup sur un bout de ficelle orange. Sentant le nœud se défaire dans mon dos, mes épaulent se penchèrent naturellement vers l'avant laissant les brides glisser bas de mes épaules vers mes avant-bras. Rapidement mes 2 bras firent le tour de moi. L'un pour saisir le peu de tissu de mon bikini avant qu'il ne tombe, l'autre pour tenter de cacher ma généreuse poitrine, ainsi libérée de sa petite enveloppe; ou à tout le moins cacher mes bouts de seins, qui j'ai honte de le dire pointaient de manière indécente, contre ma volonté. Se faisant, je m'étais tournée quelque peu, détachant aussi mes fesses de l'évier. C'est donc légèrement de profil, d'une main tremblante et obéissante à la fois, les yeux baissés, que j'ai tendu le top de mon bikini à l'hôtelière. Celle-ci ne pu retenir un sourire en le prenant de ma main, qu'elle saisit au passager pour l'empêcher de rejoindre l'autre qui faisait toujours barrage devant mes seins. J'étais remplie de sensations contradictoires, d'une part une profonde gène et même de la honte d'être ainsi soumise à la volonté d'une autre femme, une inconnue, qui non contente de me toucher, maintenant me déshabillait et d'un autre côté, une sensation forte et agréable qui naissait au creux de mes reins et que malgré mes efforts, je ne parvenais pas à refréner. Trop d'émotions me submergeaient en même temps. Une grosse larme qui s'était formée au coin de mon œil, se mis à couler sur ma joue gauche, alors que mes yeux et ma bouche lèvres à nouveaux jointes et poussées vers l'avant imploraient, suppliaient la dame de me libérer. Mais son sourire ne parlait pas de liberté. Il parlait de conquête.

Elle intercepta la grosse larme d'un doigt et glissa un mot à mon oreille 'suavemente' déposant le tissu sur le côté avec soin. Elle entreprit alors avec beaucoup de douceur qui contrastait avec son attitude de tout à l'heure, de passer ma main droite, toujours dans la sienne, derrière mon propre dos. Elle invita ainsi mon corps à se tourner un peu, puis un peu plus, jusqu'à faire un demi-tour sur moi-même, me retrouvant ainsi face à l'évier et surtout au miroir qui l'accompagnait inévitablement.

Je n’osais regarder le miroir de peur de l'image qu'il puisse me renvoyer de moi. Vivre la situation était déjà bouleversant mais la voir, je n'osais l'imaginer. Mais la Dame en avait décidé autrement. Elle tenait toujours ma main droite dans mon dos. De l'autre main elle saisit (à nouveau) mes cheveux par derrière. Moins violemment que tout à l'heure, mais tout de même avec fermeté, elle les tira en arrière forçant mon visage à se redresser, mais aussi mes cuisses à se fléchir légèrement, tant sa prise tirait vers le bas, déplaçant ainsi mon petit cul vers l'arrière. Celui-ci fut arrêté net dans sa progression par le bas ventre de l'espagnole qui se cala contre mes fesses.

Je fus stupéfaite de l'image que me renvoya le miroir. Mes yeux incrédules devinrent ronds comme des soucoupes et ma bouche s'ouvrit libérant un gémissement de stupéfaction. Mais qui est cette blonde sensuelle et avide de sexe, à demi nue, les reins cambrés et pressée contre et surtout touchée par une inconnue, la poitrine dressée et maladroitement cachée par un bras et une main qui se voulaient naïvement protecteur.
Choquée, bouleversée même par l'attitude obscène de la blonde qui me regardait depuis le miroir, mes jambes flagellèrent. Je serai sans doute tombée si mon corps n'avait été parfaitement emboîté contre celui de la Dame dont l'expression du visage marquait un profond contentement.
Se fléchissant un peu pour bien appuyer son bas ventre contre mes fesses rondes et réceptives au traitement. Sa ma main droite relâcha la mienne désormais prisonnière dans mon dos. La Dame tira doucement ma tête en arrière qu'elle déposa contre son épaule droite, avant de descendre sa main gauche sur mon épaule puis dans mon cou et enfin de rejoindre plus bas, ma main placée sur mes seins. Celle-ci, consciente de son inutilité céda sa place offrant une généreuse poitrine dressée et secouée au rythme de ma respiration, à la main inquisitrice de l'hôtelière. Elle enveloppa un sein, puis le second qu'elle commença à malaxer vigoureusement.

Alors que mes yeux se fermèrent à nouveau pour me protéger de la réalité reflétée dans la glace du miroir. Celle d'une jeune femme offerte et honorée de caresses entreprenantes par son aînée. Une jeune femme dont le corps et les sens s'affolent littéralement, dont la bouche est maintenant incapable de retenir de fréquents et profonds gémissements de satisfaction, mais dont l'esprit cherche encore désespérément à échapper à la réalité.

Ma tête docilement posée sur son épaule, la bouche de l'hôtelière s'activait goulûment avec sa langue chaude et humide dans mon cou. A nouveau je sentais l'odeur de ma peau changer au contact de sa salive. Elle ne pouvait d'ailleurs s'empêcher de sentir profondément cette odeur qu'elle générait sur moi et qui semblait beaucoup l'exciter. Sa main droite libérée descendit rapidement le long de mon dos, marquant son passage d'un doigt tout le long de ma colonne. Cette pression eu comme effet de m'inciter à creuser plus encore le dos et de ce fait accentuer encore ma chute de reins, à ma manière d'une africaine.

Arrivée au niveau du maillot, toujours dans l'axe, elle passa un doigt entre ma peau et l'élastique du bikini, ce qui fit frémir mon corps, encore une fois. Car si mon esprit était bien trop loin et trop confus pour s'en rendre compte, mon corps lui ressentait chaque action de la Dame, chaque pression et commençait même à les anticiper. De sorte que mes fesses ne furent pas surprises lorsque l'élastique de mon bikini se mis à descendre sous la pression des doigts de la Dame, qui lentement mais sûrement dénudait le peu qui pouvait encore l'être.

Lorsque mon maillot fut à mi fesse, voir un rien plus bas encore, l'hôtelière passa sa main dessous dans mon dos, et d'un doigt décrivit du haut vers le bas, la petite raie qui sépare mes fesses, jusqu'à frôler mon petit trou, me faisant sursauter et instinctivement serrer quelque peu les fesses. Mes yeux à nouveau grand ouvert exprimait un mélange indescriptible d'émotions, dont le soulagement fut l'une d'elles lorsque la main de la Dame continua sa trajectoire pour venir se placer sans pudeur entre mes cuisses, ouvertes et dociles.

Nos regards se croisèrent dans le miroir à l'instant précis ou d'un doigt, décidément très habile, elle entrouvrit mes lèvres intimes. Ma bouche grande ouverte, la tête lovée contre l'épaule de ma Maîtresse, mes fesses cambrées, les jambes légèrement fléchies et les cuisses entrouvertes, je senti mon plaisir coulé impudiquement sur les doigts de la Dame. Ses doigts qui l'instant d'après pénétrait mon intimité inondée. Je senti un, puis très vite un second doigt me remplir.
Le plaisir venait, aussi sûrement qu'elle me prenait, dans les toilettes de l'hôtel.
Je senti une première vague naître profondément au creux de mon bas ventre et venir mourir dans les gémissements langoureux de ma bouche. Ensuite, très vite après, le vrai plaisir, celui qui rend Belle, celui que j'aime si fort; Oui le vrai plaisir, venait il montait, désormais rien n'aurait su l'empêcher d'émerger. Mes gémissements de plus en plus bruyants et intense l'annonçaient à ma maîtresse qui bâillonna ma bouche de sa main libre alors que de l'autre, elle l'arrachait à mon corps conquis un très bel orgasme. Mes cris de plaisir furent habilement étouffé par l'hôtelière dont la paume devait probablement marquer l'emprunte de mes dents tant elle appuya fort pour me contenir.

Je ne me rappelle pas bien les secondes qui ont suivie. Je ne peux pas dire que j'ai perdu connaissance mais pourtant, il me fallu un peu de temps pour revenir de là on l'on m'avait emmenée, quelque peu de force, mais de manière pourtant très agréable.
Lorsque j'ai rouvert les yeux, mon visage était rouge, ma peau était perlée de gouttes qui témoignaient de la chaleur qui m'avait envahie et aussi bien sur de la chaleur ambiante.
Je me sentais détendue mais mes muscles ne répondaient plus. J'étais incapable de bouger, de me décoller de Camélia. C'était son prénom. Je l'appris l'instant d'après.
C'est elle qui, ses mains sur mes hanches, me redressa avec une force surprenante pour une femme. Camélia était musclée et certainement sportive.

Je reprenais mes esprits, mon corps encore un peu anesthésié par le contre coup, lorsqu'elle posa une main autoritaire sur le top de mes fesses, sans doute pour me rappeler que le plaisir ne devait pas me faire oublier de bien les cambrer en sa présence. Obéissantes, à celle qu'elles reconnaissaient à présent comme une maîtresse, mes fesses se cambrèrent à souhait.
Je n'attendis pas une autre remarque avant de gonfler ma poitrine et de lui présenter mes seins joliment dessinés. Ils étaient toutefois moins fiers que tout à l'heure. Moins durs moins arrogants. Je les sentais lourds mais satisfaits. Lisant en moi Camélia les soupesa l'un et l'autre avec ses mains. Elle me sourit, satisfaite qu'elle était.
Puis m'embrassa, tendrement puis profondément. Ma bouche obéissante s'ouvrit pour l'accueillir avec passion comme elle en était capable. Avant de se retirer, elle repassa une main sur mes seins, saisi un téton encore gonflé avant de le pincé fortement m'arrachant un cri de surprise et de douleur. L'instant d'après elle me quittait avec le sourire. Ses yeux me disaient: "à très bientôt".

BizX.
M.
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Histoire de Marion

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Commentaires du récit : Marion à l'hôtel

Le 11/10/2023 - 17:10 par Levoyeurde23ans
Wouah la vache.. un plan à 3 avec les 2 là je dirai pas non mais malheureusement ça doit être fictif haha
Le 17/10/2022 - 20:10 par lasemelle
Super bandant. Mille mercis et à bientôt.

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