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Martine (3ème partie)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/04/2023

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Quand je me réveille à six heures, quelques minutes avant la sonnerie du réveil, c'est moi qui tient Martine dans mes bras et elle me tourne le dos. Je suis contre elle et si elle est réveillée, elle doit forcément sentir mon érection matinale qui se trouve contre son petit cul qui est tout contre mon bassin. Je tiens son sein gauche dans ma main et la sensation est très agréable. Comme je le devinais hier soir, il est ferme et très doux. Je pense qu'elle fait un bon 90C tout à fait naturel.
Je m'écarte doucement, car je ne veux pas qu'elle se sente forcée.
-Reste.
Je me remets contre elle et ma queue en devient plus dure.
-Bonjour, belle dame ! Tu as bien dormi ?
-Merveilleusement bien ! Ça faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé de dormir aussi paisiblement !
-Je suis désolé pour l'érection ! Je me suis réveillé comme ça !
-Au contraire, ça fait du bien ! Ça aussi, ça faisait longtemps que je n'avais pas senti une queue bien dure contre mon cul !
Martine se retourne subitement et elle m'embrasse comme une jeune fille amoureuse.
-Tu crois qu'on a le temps ?
-Il reste un bon quart d'heure avant que le réveil ne sonne et si on se dépêche après, on a largement le temps !
Elle s'écarte alors et pose sa main sur ma queue par-dessus le caleçon, puis elle glisse sa main à l'intérieur et saisi mon pieu tendu.
-Hum, ça promet !
Elle se relève et se met à genoux à côté de moi, elle écarte le drap et saisi mon caleçon qu'elle fait descendre le long de mes jambes.
Sans rien dire, elle prend mon sexe avec une main et le caresse tout doucement, passe sur mes couilles puis revient vers le bâton qui va lui donner au moins un orgasme, j'en suis persuadé.
Pour le moment, je ne bouge pas et je laisse mes mains derrière ma tête. Elle se pense que dépose un baiser sur le côté de ma verge, puis sur le gland. Elle soulève alors ma queue et la regarde avec passion.
Je vois alors ses lèvres s'écarter et elle y fait glisser ma queue. Elle commence alors une fellation douce et, j'en suis sûr, inexpérimentée. Mais c'est très agréable de sentir sa langue qui essaie de bouger dans sa bouche alors que mon gland s'y trouve.
Elle fait ensuite quelques mouvements de bas en haut avec sa bouche tout en tenant mes couilles dans sa main droite.
Elle s'arrête alors et me regarde.
-Tu n'aimes pas ? Je suis désolée, c'est la première fois que je fais ça !
-Waouh, rassure-toi, c'est délicieux ce que tu me fais ! Pourquoi te me le fais, si c'est la première fois ?
-Avec mon mari, j'ai jamais eu envie. Il me l'a demandé plusieurs fois, mais je crois que l'absence d'amour m'a éloignée de lui et il a fini par me dégoûter. Toi, je ne sais pas, mais dès que j'ai senti ta grosse queue contre moi au réveil, j'ai su que j'avais envie de la sucer.
-Ne te gêne surtout pas !
Aussitôt, elle reprend ma bite dans sa bouche et continue de la sucer comme une vraie gourmandise, avec envie.
De voir cette femme mûre me sucer, avec ses seins fermes mais qui tombent sur mes cuisses, ses cheveux blonds dans lesquels ont peut voir quelques mèches blanches à cause de l'âge, me rend dingue et il en faudrait peu pour que je lui lâche une bonne quantité de sperme dans la bouche. Alors je l'attrape par les épaules et la fais s'allonger à côté de moi. A mon tour, je me mets à genoux et lui retire son caleçon. Je découvre enfin sa petite chatte bien épilée, toute lisse. Une fois le caleçon franchi ses pieds, je remonte doucement en caressant ses jambes, puis ses cuisses. Sa peau est douce et ferme et ses formes m'apparaissent alors dans toute leur splendeur. Ses cuisses, qu'elle tient serrées pour le moment, sont juste assez musclées, ses hanches sont celle d'une femme ayant mis au monde un ou des enfants, sans culotte de cheval, ni cellulite.
Je prends plaisir à embrasser ce corps très charmant, même s'il n'a rien d'exceptionnel.
Arrivé sur le mont de Venus, j'y dépose un long baiser, puis descend vers le haut des lèvres, là où se trouve le clitoris. Je glisse alors ma langue dans cet espace prometteur.
Martine finit par écarter un peu les cuisses, me permettant de glisser ma langue entre ses lèvres. Aussitôt, elle pousse un long soupir et écarte complètement ses cuisses. Sa chatte s'ouvre alors et s'offre à mon regard.
D'un rose éclatant, brillantes par la cyprine qui commence à s'écouler, ses petites lèvres sont grandes ouvertes et je peux constater que son vagin attend avec envie que je m'occupe de lui. Je passe ma langue sur cet orifice impatient et je peux constater que son goût est excellent. Très sucré, avec une pointe acide et une odeur fleurie, j'ai vraiment envie de boire son jus de plaisir. Je remonte jusqu'à son clitoris, qui est encore caché dans son capuchon, mais après plusieurs passages de ma langue, ce dernier finit par se montrer au moment où Martine commence à gémir.
Ses cuisses sont largement ouvertes et ses deux mains sont posées sur ma tête et veillent à ce que je ne me relève pas tant que son orgasme n'est pas arrivé. Alors, je m'efforce de lui faire le meilleur cunilingus qu'elle n'a jamais eu. Je fais jouer ma langue avec son clito, puis je le pince entre mes lèvres. Je fais aussi de petits passages rapides légers puis j'appuie un peu plus ma langue et fais des mouvements perpendiculaires à sa fente. Très vite, ses gémissements se transforment en petits cris puis en un râle profond. Je sens alors ses jambes se contracter, ses mains se crisper sur mon crane, et son ventre se soulever.
-Oh ouiiiiii ! s'exclame alors Martine. Je sens et vois alors un filet de cyprine s'écouler par à-coups de sa vulve alors que ses jambes et son ventre sont pris de spasmes. Je continue de lécher sa chatte dégoulinante pour boire son jus d'amour qui a une saveur délicieusement parfumée, puis elle repousse ma tête comme si cela lui faisait mal.
Elle bascule alors sur le côté et éclate d'un rire mêlé de sanglots.
Je me redresse et vient la prendre dans mon dos, dans un geste de protection et de soutien.
Après une ou deux minutes sans aucun mot ni mouvement, elle finit par tourner la tête vers moi.
-Mon Dieu, mais quel pied ! Je connaissais pas ça ! Jamais personne ne m'a fait jouir comme ça ! Je veux ta queue en moi maintenant !
Elle se retourne vers moi et me fais passer au-dessus d'elle. Je me positionne alors entre ses jambes et pose ma queue juste à l'entrée de son vagin. C'est elle-même qui avance son ventre vers moi et qui me fait la pénétrer. Je commence alors de longs va-et-vient dans son corps. Je sens chaque irrégularité de son vagin qui est légèrement serré. Je ne connais pas encore bien son corps mais je ressens qu'elle ondule plus quand mon gland se trouve au niveau de la zone sensible du fameux point G. Très clitoridienne par l'orgasme qu'elle a eu pendant les préliminaires, je pense qu'elle est aussi vaginale par ses réactions actuelles. Je continue de la pilonner en douceur, tout en accélérant et en appuyant plus chacun de mes mouvements de bassin. Je me redresse alors sur mes genoux pour la pénétrer plus en profondeur et je sens alors ma queue butter au fond de son vagin. Je pose alors mes mains sur ses seins qui sont bien ronds. J'adore le ressenti éprouver au contact de ses deux globes si bien conservés. Ses pointes sont toutes dures et mesurent un bon centimètre. Son excitation est clairement visible et son plaisir s'entend puisqu'elle se met encore à gémir.
-Hum, c'est bon, j'aime sentir ta grosse queue en moi ! Elle est tellement plus grosse que celle de mon mari ! Tu me fais du bien, continue de me baiser. J'en veux encore ! Viens maintenant, je veux sentir ton sperme dans mon vagin !
Ces mots sont comme le déclic qu'il me manquait pour parachever notre union. J'accélère encore mes mouvements et lui donne des grands coups de boutoirs dans la chatte, tout en pinçant ses tétons durcis. Martine se met alors à pousser des gémissements plus forts et au moment où mon orgasme survient, je sens de nouveau son corps pris des mêmes soubresauts que lors de son premier orgasme. De longs jets de spermes sortent de ma queue et vont s'écraser au fond de son vagin et me donnent un immense plaisir qui dure de longues secondes.
Je m'écroule sur ma partenaire, mon sexe encore dans le sien, ses jambes entourant mon bassin. Au bout de plusieurs secondes, je m'écarte et m'allonge à côté d'elle. J'ai vraiment pris mon pied. Martine est une des femmes qui m'a donné le plus de plaisir après ma Charline.
-Si on se préparait !
-Oui, sinon, on va être en retard !
Nous filons à la salle de bain ensembles et Martine prend sa douche pendant que je me brosse les dents puis nous échangeons.
Finalement, nous réussissons à être prêts avant l'heure et nous sortons de la chambre avec suffisamment de temps pour aller récupérer une nouvelle tenue chez elle et prendre un petit-déj' au café du coin.
Alors que nous sommes installés sur la terrasse, Louis passe devant nous.
-Ah, vous avez eu une bonne idée de vous retrouver là ! Je peux vous rejoindre ?
-Bien sûr ! Martine et moi avons parlé en même temps.
Martine s'est habillée de façon plus charmeuse que la veille. Elle porte une robe longue blanche ample avec une fente qui remonte très haut sur la cuisse gauche, la partie haute de la robe ayant un décolleté qui met vraiment sa poitrine en valeur, surtout avec ce soutien-gorge en dentelle blanc et des petits volants en guise de manchettes. Elle est assise à ma droite, ce qui me donne directement accès et vue sur la peau douce de sa cuisse que je caresse au moment où Louis nous rejoint. Mais, tout ceci se passant sous la table, il ne peut le voir.
-A vous voir, on croirait un couple ! Comment allez-vous ce matin ?
-Très bien, Louis ! Et toi ?
-Eh bien, Luc, tu me croiras si tu veux, j’ai dormi comme un loir et ça faisait longtemps que je ne m’étais pas reposé ainsi ! Je suis très en forme ce matin et je vais vous en faire baver ! s’exclama-t-il en explosant de rire !
Je regarde Martine et je vois son air dubitatif. Je me mets à rire aussi, ce qui déclenche un fou-rire chez ma maîtresse.
On échange sur pas mal de sujet en rapport avec le séminaire pendant une dizaine de minutes, ce qui nous met en retard et on file rejoindre les stagiaires qui nous attendent sagement dans la salle de conférence.
La matinée se passe tranquillement, nous sommes tous installés exactement comme la veille, ce qui fait que Martine est encore à mes côtés. Par moments, la coquine met une main sur ma cuisse et en profite pour glisser jusqu’à venir toucher le renflement de mon sexe par-dessus le jeans que je porte ce matin.
A midi, tout le monde sort. Certains vont fumer leur cigarette avant d’aller s’installer à table, d’autres vont aux toilettes et les derniers passent par le bar pour s’enfiler un petit apéro. Martine me prend par la main et me demande de la suivre.
Je la suis dans les escaliers et nous montons au premier étage. Elle m’entraîne alors dans une petite pièce qui se trouve à droite de l’escalier et elle referme la porte derrière nous. Elle s’assoit alors sur une table particulièrement haute en prenant appui sur un bac en plastique et écarte ses jambes.
Elle écarte alors son string, libérant sa vulve suintante et, en me prenant par le cou et m’attirant vers sa chatte, me dit :
-Lèche-moi, j’en ai très envie, fais-moi jouir !
Je ne dis rien et je m’exécute. Je m’accroupis alors et en écartant ses cuisses avec mes deux mains, je colle ma bouche sur son sexe et applique les bonnes pressions avec ma langue sur son clitoris qui est déjà sorti de son capuchon. Après quelques instants de ce traitement, Martine se met à onduler et à gémir de plus en plus fort. Je sens alors ses jambes se crisper, ses deux mains se poser sur ma tête et appuyer fortement, comme pour me faire rentrer dans son sexe.
Son orgasme explose alors accompagné d’un bon jet de cyprine parfumée et délicieuse que je déguste avec grand plaisir.
Après quelques instants, Martine descend de sa table et m’embrasse goulûment.
-Tu es un Dieu !
-Merci ! Allez, tu me revaudras ça plus tard, viens, on rejoint les autres !
-Il vaut mieux que je passe aux toilettes. Vas-y, je vous retrouve après.
Martine réajuste son string avec difficulté, puis elle décide de le retirer purement et simplement.
-Tu le veux ?
-Je veux bien !
Elle me tend son sous-vêtement, je le porte à mon visage pour en sentir les effluves, puis le mets dans ma poche de jeans.
Je file alors dans les toilettes qui se trouvent juste à côté, me savonne les mains et le visage, puis je me rince abondamment. Je m’essuie avec une serviette en papier et je ressors tranquillement pour regagner le restaurant.
En descendant, j’en profite pour appeler ma femme.
-Comment ça va ? me demande-t-elle.
-Tout va bien. Mais tu me manques ma Chérie !
-Menteur ! Je suis sûr que tu n’as pas le temps de t’ennuyer avec Martine !
-C’est pas faux ! C’est une belle femme, j’avoue ! Et elle est agréable à baiser ! Pas autant que toi, mais c’est bon !
-Tu me raconteras tout ça en rentrant, je veux tous les détails !
-Je pense qu’elle te plaira ! Il faut que tu la rencontres !
-D’accord, si tu le dis !
-Bon je te laisse ma Chérie, je vais rejoindre les autres, il s doivent déjà être à table ! Je t’aime !
-Je t’aime aussi mon cœur !
Je retrouve ma place à côté de Martine autour de la table et nous mangeons en devisant tous ensemble sur tous les sujets qui peuvent exister. A l’issue du déjeuner, Louis nous informe que nous avons une petite pause avant de reprendre la formation. Martine me glisse à l’oreille qu’elle aimerait bien qu’on s’isole encore, mais comme je discute avec Bertrand et Eric, elle va prendre un café au bar.
-Je trouve que Martine est très proche de toi, Luc ! me lance Eric alors que Bertrand s’est éloigné.
-Oh, tu trouves ? C’est vrai qu’on est tout le temps à côté l’un de l’autre, mais à part ça, il n’y a rien !
-Elle est pas mal du tout pour une femme de son âge.
-J’avoue qu’elle est même très bien !
-Ah, si j’étais pas marié et elle non plus, je crois que je me serais laissé tenté !
-Avec des si, on peut mettre Paris en bouteille !
-Pourquoi tu dis ça ?
-Oh non, rien.
Je me dirige alors vers le bar où se trouve Martine et je pose ma main juste au-dessus de ses fesses au moment où je la rejoins, sachant très bien qu’Eric m’observe. Il doit bouillir de questionnement.
-Je monte au premier, tu m’y rejoins ? Fais gaffe, Eric se pose des questions et je suis sûr qu’il va t’espionner ou même venir te rejoindre si tu tardes trop à partir !
Je m’éloigne d’elle et me dirige vers les escaliers qui descendent au sous-sol. Une fois arrivé en bas, je prends l’ascenseur pour monter au deuxième étage puis reprends l’escalier qui descend vers le premier. Je tourne alors à droite et entre dans la petite pièce où nous étions tout à l’heure.
Quelques secondes plus tard, Martine arrive et, aussitôt, elle se met à genoux devant moi, déboutonne mon jeans, dégrafe ma ceinture et sort ma queue qu’elle enfile entièrement dans sa bouche. Je ne tarde pas à prendre de l’ampleur. Tout en continuant de me sucer, elle écarte sa robe et fais jouer ses doigts sur son clitoris et ses lèvres. Je prends sa tête dans mes mains et appuie dessus pour qu’elle avale ma queue jusqu’à la garde, mais je la lâche aussitôt. Elle s’écarte et me fait un clin d’œil avant de reprendre ma bite en bouche. Je sens sa langue qui virevolte autour de mon gland et ses lèvres se serrer autour de ma hampe à chaque fois qu’elle enfonce ma verge au fond de sa gorge. C’est divin et je lui dis.
-Viens, laisse-toi aller, j’ai envie d’avaler ton sperme !
Alors je me laisse aller et je laisse le plaisir m’envahir. Elle continue ses va-et-vient quelques minutes puis je sens l’orgasme arriver. Je me retiens encore quelques instants, pour augmenter le plaisir de la jouissance et je finis par me relâcher et mon sperme jaillit pour s’écraser au fond de sa gorge. Au moment où le premier jet jaillit, elle enfonce ma queue jusque dans sa gorge et les jets suivants entrent directement dans son gosier. Elle me garde en bouche ainsi jusqu’à ce que les soubresauts de ma tige s’arrêtent et elle continue alors de me sucer, comme pour nettoyer sa sucette. Elle aspire et pompe comme si elle voulait vider tout mon jus ! C’est tellement bon. Presque aussi bon que les pipes que me fait ma femme.
-J’espère que tu as aimé autant que j’ai aimé te sucer !
-Je me suis régalé ! Tu suces divinement bien ! Je te nomme première dauphine !
-C’est ta femme la reine ?
-Bien sûr, tu crois quoi ?
-Non, je sais bien ! Si elle te suce aussi bien que tu l’aimes, ça doit être paradisiaque !
-C’est le cas ! Allez, viens, on redescend !
Pour donner le change aux autres, on descend jusqu’au parking souterrain puis on ressort par le portail pour revenir dans le resto par la terrasse, comme si on venait d’une balade.
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Histoire de Sky

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Commentaires du récit : Martine (3ème partie)

Le 22/04/2023 - 00:10 par OlgaT
Martine est insatiable!

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