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Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (8) : « nuit torride au Palatin »

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 7 - Histoire postée le 21/09/2022

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RESUME DES CHAPITRES PRECEDENTS

Sous le règne de l’empereur romain Claude, le sénateur Marcus Tullius Longus a donné à sa fille Tullia, devenue une superbe jeune femme, la meilleure éducation. L’aggravation de sa situation financière a contraint Marcus à accepter comme gendre Lucius Spurius Lurco, un homme vicieux, cruel et sans scrupule. Il ne cache pas sa préférence pour ses éphèbes et ses mignons. Mais il est immensément riche et il a la faveur de l’impératrice Messaline.

Lurco livre Tullia à la perverse impératrice Messaline. Ensemble, ils sont bien décidés à exploiter l’hypersexualité de Tullia, pour provoquer sa déchéance et humilier son père.
Le banquet venant de se terminer, la seconde partie de la soirée, orgiaque, a commencé pour Tullia. Tullia confirme son hypersexualité avec deux proches de Messaline, le Sénateur Juncus Virgilianus et le médecin Vettius Valens, ce dernier étant tombé sous le charme de la beauté et de la culture classique de la jeune patricienne. La nuit n’est cependant pas finie, car les autres invités attendent leur tour.

***

Une autre que Tullia aurait été épuisée après l’intensité de ses étreintes avec Virgilianus et Valens. Parsam, l’eunuque de Messaline et amoureux de Tullia, a tenté en vain de fléchir Messaline pour en rester là.

Celle-ci, impitoyable, s’en tient à ce qu’elle a décidé : Tullia doit satisfaire tous ceux que Messaline a invités à cette soirée orgiaque. Messaline a d’instinct reconnu que la jeune femme est, comme elle, une hypersexuelle insatiable. Elle n’a donc aucunement l’intention de lui laisser un moment de répit. C’est ce qu’elle dit à ses voisins immédiats, le consul Vitellius, dont la prestation a provoqué les quolibets, son amant favori Mnester, qui aurait bien aimé participé à la fête, mais à qui, pour le moment elle le refuse. Il y a aussi Lurco, le mari de Tullia, le plus impitoyable envers la jeune patricienne :

• Je veux voir combien d’hommes elle peut satisfaire, si cette petite garce est capable de battre le record que j’ai établi à Suburre, 25 mâles en une nuit.

• Ce serait une injure envers l’impératrice qu’une autre femme ose se prétendre plus sensuelle que toi, Majesté, dit Lurco, désireux d’attiser l’hostilité de Messaline contre Tullia, dont il veut la perte.

Les amants se succèdent, à un rythme plus rapide. Tullia, épuisée par ses plaisirs précédents, est d’évidence moins réceptive ou ceux qui se présentent sont moins performants que ceux qui les ont précédés. Tullia, passive, n’y prend aucun plaisir ou presque, se contentant de se laisser faire. Elle n’est ni forcée ni contrainte, attendant seulement que ceux qui se succèdent aient fini leur affaire.

Les chevaliers Titius Proculus, Pompéius Urbicus et Sextus Traulus Montanius ne resteront pas dans la mémoire de Tullia, qui comprend maintenant pourquoi Montanius n’avait été qu’une seule fois l’amant de Messaline.

Voyant la tension érotique retomber, la perverse Messaline intervient :

• Mes amis, manifestement cette garce n’est plus aussi motivée et l’heure avance, alors que beaucoup d’entre vous n’ont pas encore eu droit à ses faveurs. Il faut passer à autre chose, qui saura réveiller ses sens. Je vous rappelle juste que cette salope a trois orifices à votre disposition. Ne vous gênez pas !

Le message est immédiatement compris, Messaline a donné le signal à la dernière partie de la nuit, plus orgiaque, avec la multiplicité des partenaires.
Les sénateurs Saufellus Trogus, Plautius Lateranus et Publius Suillius Rufus se dirigent ensemble vers Tullia.

Trogus prend la direction des opérations. Il fait mettre Tullia à genoux, pour que la jeune femme les suce l’un après l’autre. Ils lui tiennent la tête et s’enfoncent dans sa gorge, provoquant chez elle larmes et nausées. Trogus n’a jamais apprécié son collègue Marcus Tullius Longus, le père de Tullia, c’est le moins qu’on puisse dire :

• Il serait moins fier, Longus, s’il voyait sa chère fille traitée pire qu’une putain de Suburre.
• « Quam fellatrix! Divina est eius os! » (Quelle fellatrice, sa bouche est divine !), ajoute Lateranus
• Hum, je n’ai jamais été aussi bien sucé, appuie Rufus.

Les trois comparses font durer un moment le coït buccal, Tullia passant de l’un à l’autre, sans répit.Trogus veut cependant autre chose et interroge du regard ses comparses pour se répartir les rôles.

La bisexualité de Rufus est bien connue. Sans hésiter, il annonce sa préférence :

• Je veux la sodomiser !

Lateranus sait que Trogus veut posséder la fille de Marcus Tullius. Il cède donc sans discuter la place à son collègue, ajoutant :

• Sa bouche est si bonne que je veux continuer à en profiter.

Trogus s’installe au sol et invite Tullia à venir s’empaler sur lui. Pour la jeune femme, c’est la première expérience de double pénétration. Elle commence à se baiser sur la verge de Trogus, qui la fait interrompre un instant pour permettre à Rufus de la prendre par la voie étroite.

Depuis la nuit de ses noces, Tullia n’est plus vierge de ce côté-là. C’est même, avec la fellation, la seule façon dont Lurco accomplit, épisodiquement, avec elle, son devoir conjugal, la prenant comme il le fait avec ses mignons. Malgré cette pratique régulière, Tullia va se rendre compte que le calibre de Rufus n’est pas comparable à celui de Lurco, auquel elle est habituée.

Rufus ne s’embarrasse ni de préliminaires ni de douceur. Rufus pose son gland à l’entrée du trou de Tullia. La taille de son sexe devrait pourtant l’obliger à être précautionneux. Le gland passe mais Tullia se cabre immédiatement et pousse des petits gémissements, en serrant les dents :

• Par Junon, tu vas m’estropier !
• Tu vas adorer ! Lateranus, fais-la taire en baisant sa bouche. Et toi, Trogus occupe-toi de son con !

Rufus donne un nouveau coup de rein. L’avancée de sa queue fait pousser un nouveau cri à Tullia. Mais la chaleur de son cul encourage Rufus à la pénétrer encore un peu plus. Il commence à faire des allers et retours dans son fondement.

Tullia se décontracte et gémit de plus en plus. Son conduit est chaud, serré et accueillant. Rufus la prend par les hanches pour bien la pénétrer. Rufus s’enfonce complètement en elle. L’entrée des derniers centimètres, qui sont les plus gros, le sexe de Rufus étant plus épais à la base, arrache cette fois à Tullia un cri de plaisir.
Les deux queues de Rufus et de Trogus finissent par se rejoindre au travers de sa mince cloison et les deux sénateurs coordonnent parfaitement leurs coïts. L’expression sur le visage de Tullia n’a échappé ni à Lurco, ni à Messaline :

• Elle l’a senti passer, cette chienne !
• Et pourtant, regarde, elle commence à prendre son pied. Rufus est le meilleur sodomite de Rome.

Quant à Lateranus, il étouffe les cris de plaisir de Tullia, en investissant sa bouche.
Les trois sénateurs, qui sont des habitués des orgies de Messaline, réussissent à se coordonner parfaitement. Ils ont totalement réveillé la libido de Tullia, qui n’avait pas imaginé ça dans ses rêves d’hypersexuelle. Tullia est besognée ainsi pendant une dizaine de minutes.

Lateranus sera le premier à se vider dans la gorge accueillante de la jeune patricienne, suivi de Trogus. Mais Rufus n’en n’a pas fini avec Tullia. Il est fier de sa prestation et de la leçon qu’il donne ainsi à Lurco, ce parvenu qu’il déteste.

Alors que les autres se sont retirés, Rufus poursuit sa sodomie, qui est une véritable découverte pour Tullia, qui perd tout contrôle, toute retenue et l’encourage à y aller de bon cœur, enchaînant les orgasmes.

Le bruit de ses coups de rein, de ses couilles claquant sur le cul de la jeune femme, accompagne ses gémissements. Le corps de la jeune femme est tendu au maximum. Son beau visage est crispé sous le plaisir. Ses tétons sont durs.
Rufus tient Tullia par les hanches et s’enfonce à fond dans son cul à chaque coup de rein. Celle-ci est au septième ciel !

• Défonce-moi le cul!

Sans faiblir, Rufus continue d’enculer Tullia, alternant les moments doux et les séances de baise plus rapides et plus dures.Rufus veut varier les positions, pour retarder le moment où il va remplir le fondement de Tullia et devoir laisser la place à d’autres.

• Lève-toi ! Je vais te prendre debout.

Tullia s’appuie les bras tendus contre une colonne, le cul bien cambré pour l’accueillir. Son amant du moment la pilonne et prend ses seins en même temps. Il l’embrasse dans le cou, il la mord, mettant sa marque sur son cou et ses jolies épaules.

Tullia est plus excitée que jamais. Les cris de Tullia ressemblent à de l’extase plutôt qu’à de la douleur. Ses doigts vont et viennent dans sa chatte, qui déborde de semence et de cyprine. Rufus la pilonne dans un rythme élevé. En connaisseur, Lurco commente :

• j’ai l’impression qu’il va la déchirer tellement il l’a bourre fort.
• Pas du tout, réplique Messaline. Regarde comme cette salope jouit intensément.

Les cris de Tullia sont saccadés par le pilonnage. Rufus la lime un bon moment, parfois il sort son sexe et observe la béance de la patricienne, puis il la pénètre de nouveau. Tullia a un orgasme puissant, mais lui continue de lui éclater l’arrière train.
Rufus veut parachever son triomphe, sous les encouragements des autres participants, qui n’ont que mépris pour cette « fututa » qui prend tant de plaisir à pratiquer ce que les Romains appelaient avec condescendance « l’amour grec » :

• C’est meilleur qu’avec Lurco ?
• Ça n’a rien à voir. J’adore !!!! Mon cul est à toi, Rufus !

Alors que Tullia a un violent orgasme et que Rufus s’effondre sur elle, Lurco réalise qu’il a joué avec le feu et que, comme avec Valens précédemment, il est humilié et pris à son propre jeu.

Messaline jette un regard ironique à Lurco et pour tout dire, plutôt méprisant. Lurco reste toutefois convaincu que Messaline va mettre en œuvre ce qu’ils ont prévu au départ et dont l’objectif est d’humilier Marcus Tullius à travers les frasques de sa fille.

• Nous verrons cela. Je suis loin d’en avoir fini avec elle.

***

Tullia est cette fois franchement épuisée, elle est couchée sur le sol de marbre du grand Tricilium de la Domus Tiberiana. Elle est repue, mais de cela, Messaline n’a cure.
Déjà s’avancent vers elle quatre hommes et pas n’importe lesquels. Ce sont les hommes les plus puissants de l’empire, à qui Claude fait toute confiance : les quatre grands affranchis impériaux, Polybe, Narcisse, Calliste et Pallas. Ils ont tous les quatre été les amants de Messaline. Narcisse a été davantage, le complice des crimes de l’impératrice, le plus récent étant l’élimination de Poppeia Sabina et de Valérius Asiaticus.

Les quatre affranchis estiment qu’ils n’ont que trop attendu au cours de cette soirée, eu égard à leur puissance et leur rang. Pour eux aussi, il s’agit de posséder cette jolie patricienne et, à travers elle, humilier un sénateur qui ne cache pas son mépris envers ces parvenus.

Lurco ricane :

• Comment vont-ils faire ? Ils sont quatre et que je sache, cette chienne n’a que trois orifices à leur proposer.
• Fais-leur confiance, répond Messaline. Les affranchis de César trouvent toujours des solutions à tous les problèmes !

Dans un premier temps, les quatre compères renouvellent la manière de faire des sénateurs qui les ont précédés : ils font mettre Tullia à genoux et celle-ci les fait bénéficier, l’un après l’autre, de ses talents de fellatrice.

Tout le monde attend la suite. A cette heure avancée de la nuit et ayant abusé du vin généreusement distribué au cours du banquet, le plus âgé, Calliste, se contente de demander à Tullia de poursuivre sa fellation, alors que Pallas, émoustillé par ce dont il vient d’être le témoin, sodomise Tullia.

Tullia réalise que Pallas fait bien peu d’effets à son anus, douloureux après la sodomie d’enfer que lui a infligée Rufus. Narcisse prend la troisième place et se réserve sa chatte, ce dont il a rêvé toute la soirée. Il reste Polybe : va-t-il se contenter d’être spectateur ou attendre son tour ?

Messaline avait raison : les quatre hommes sont complices et ont l’habitude de chasser en bande. Narcisse, qui avait commencé la fornication, s’interrompt et fait signe à Polybe de le rejoindre.

Les affranchis vont infliger à Tullia une double vaginale. Tullia n’a jamais fait ça et elle se demande, inquiète, si ces deux pieux de chair ne vont pas la déchirer.
Néanmoins, elle se laisse faire et s’écarte du plus qu’elle peut. Polybe place sa verge contre celle de son partenaire et pousse afin de la faire entrer dans le trou distendu. La taille relativement modeste des deux protagonistes rend la chose non seulement acceptable, mais relance la libido de Tullia, qui pousse un soupir de désir.

Tullia n’a pas mal. Il lui semble simplement qu’elle est totalement écartelée. Au moment où les deux hommes se mettent en mouvement, elle sent une chaleur intense monter au creux de ses reins, d’autant qu’à leur tour, Calliste et Pallas profitent d’elle. Sa bouche remplie, elle ne peut que produite des sons, des gémissements, pas des paroles.
Sa chatte se liquéfie, lubrifiant un peu plus les deux sexes plantés en elle. Le plaisir semble partir de l’entrée de son vagin, comme un point de lumière qui n’en finit pas de grandir. De sentir ces deux mâles labourer son corps sans défense la fait se sentir esclave de ses sens. Ce qu’elle est en train de vivre lui semble absolument divin, elle n’a jamais rien connu d’aussi délicieux. Elle sent qu’elle va jouir très vite et pour autant aurait envie que ça dure des heures.

Elle se sent comblée, deux bites dans la chatte, une autre dans le cul et une dernière dans la bouche. Elle est à leur merci, totalement abandonnée à leurs coups de reins. Elle crie sous les coups de reins qui redoublent d’intensité et son regard, d’où coulent des larmes, veut dire « Continuez ! »

Le spectacle est tellement torride que Messaline a repris sa masturbation, fascinée par ce dont est capable Tullia. Même elle, « Augusta Meretrix », elle-même, n’avait osé aller si loin ! Tullia et ses amants finissent par jouir à l’unisson, dans un orgasme incroyable, rejoints par le plaisir solitaire de Messaline.

***

L’ancien gladiateur Sabinus, qui avait été un proche de Caligula avant de devenir un des nombreux amants de Messaline, s’approche à son tour. Comme beaucoup de matrones romaines, Tullia a toujours fantasmé sur les gladiateurs. En d’autres circonstances, elle se serait offerte avec fougue à cet homme qui affiche sa virilité. Mais il arrive bien tard dans la soirée et après bien des excès qui ont épuisé la jeune femme.

Sabinus, malgré les apparences, n’est pas une brute épaisse. Il comprend que l’état de Tullia ne lui permet pas de le satisfaire. Il ose alors désobéir à Messaline, qui lui intime l’ordre de la baiser. Sabinus embrasse Tullia sur les lèvres, avec fougue, la jeune patricienne ouvrant ses grands yeux qui étaient mi-clos sous l’effet de l’épuisement.

Sabinus a envie d’autre chose avec Tullia. Il a remarqué la poitrine plantureuse de la jeune femme, qui ne correspond pourtant pas aux canons de lé séduction de la femme romaine, qui devait avoir de petits seins. Les siens complexent Tullia. Les seins d'une jolie Romaine sont censés être « discrets. » Les seins idéaux sont, pour les Romaines, comparés à des pommes. Tullia est bien différente et Sabinus voit tout de suite quel plaisir il pouvait en tirer.Sabinus murmure à l’oreille de Tullia :

• Je te promets que tu seras à moi, Domina. Volo te ! Je suis né nés lors de la conjonction de Vénus, de Mercure et de Saturne. Sais-tu, ma belle, ce que cela veut dire ?

Tullia répondit timidement oui, en baissant les yeux. De par ses lectures interdites, elle connait cette tradition astrologique romaine qui veut que les hommes nés sous cette conjonction apprécient ce qu’on appellerait aujourd’hui la cravate de notaire ou la branlette espagnole.

• Valens avait raison, tu es exceptionnelle, aussi instruite que perverse.

Sabinus passe aux actes : il a envie de se masturber entre les deux nichons de Tullia. Il s’agenouille au-dessus de la femme et pose son sexe dans cette vallée si douce. Tullia, surprise qu’un tel homme puisse s’intéresser à ce qui la complexe, lui sourit et, avec ses mains, resserre ses nichons autour de la bite.

Tullia est surprise de voir à quel point la bite de l’ancien gladiateur est brûlante. Elle enserre le morceau de chair entre ses deux globes mammaires et se met à les monter et descendre le long de la longue tige avec ses deux mains. Sabinus rejette la tête en arrière et ferme les yeux. Cette caresse semble lui plaire particulièrement.

• Tu divina, domina! Amo te ubera (« J’aime tes seins »)

Messaline est fascinée par ce qu’elle observe :

• Ta femme est insatiable, Lurco. Il n’y a décidément aucune partie de son corps qui n’est pas faite pour le plaisir des mâles ! Cette putain fera la fortune d’un leno à Suburre !

Tullia se laisse aller en arrière. Sabinus continue à se masturber entre les seins de la jeune femme. Il saisit ses pointes de seins entre ses doigts et les tiraille en cadence avec ses coups de reins. Ses seins, et en particulier ses tétons sont une zone particulièrement érogène chez Tullia.

Tullia le regarde droit dans les yeux, avec dans le regard quelque chose de très pervers. Excité, Sabinus accélère brusquement les va et vient, sentant déjà l’éjaculation arriver. Plus il torture ses bouts de seins, plus elle gémit. Elle branle son clito et ses doigts pénètrent sa chatte.

Sabinus ne peut se contrôler davantage et éjacule sur le cou et le menton de la patricienne. Un autre spectateur vient alors se mettre à côté de Tullia, en dirigeant son sexe vers sa poitrine. L'éjaculation ne se fait pas attendre. Le sperme jaillit et vient se répandre sur les seins de la patricienne.

Tullia prend le phallus de Sabinus entre ses doigts et le masturbe quelques secondes avant d’en sucer délicatement le gros gland.

• Hum, c’est merveilleux, Domina !
• Je veux te revoir, Sabinus. J’ai envie que tu me baises !
• J’y compte bien, ma belle !

***

L’orgie sexuelle se prolonge. Tullia, pas plus que les participants, ne sont capables de savoir combien d’hommes ont honoré la jeune patricienne. Tous ses orifices ont été sollicités et de ceux-ci coule la semence de ses amants, de même que son corps porte la trace de ses excès. Elle a en quelque sorte défié Messaline sur son propre terrain et battu les records des pires putains de Suburre. Lucia et d’autres esclaves, hommes et femmes, étaient là pour faire patienter les participants, en attendant la disponibilité de Tullia. Lucia a fait tout ce qu’elle a pu pour soulager Tullia, mais a vite compris que ces gens étaient venus avant tout pour la fille de Marcus Tullius Longus.

A cette heure avancée de la nuit, Tullia, épuisée, ne prend plus aucun plaisir. Totalement passive, elle voit se succéder sur elle ceux qui veulent la prendre, se livrant à des coïts mécaniques. Messaline, dans sa perversité, mais aussi dans sa jalousie envers la jeune femme, n’a aucune pitié et laisse se poursuivre la partouze. Peu importe dans quel état elle finira la nuit.

C’est Valens qui, inquiet, ose braver Messaline :

• Majesté, dans l’état où elle est, cette femme ne donne plus aucun plaisir à tes invités. Il faut arrêter cela !
Messaline hésite. Elle aurait envie de continuer, tant elle déteste la jeune patricienne.
• Tu as raison, Valens. Cette petite prétentieuse a montré qu’elle n’était pas à la hauteur des performances de Messaline !
• Tu es la seule qu’on puisse comparer à Vénus, susurre Vitellius qui ne perd jamais une occasion d’être servile.
• Que ceux qui en auraient envie gratifient cette petite putain d’un dernier hommage !
Soucieux de répondre à l’invitation de Messaline, de nombreux invités entourent Tullia, affalée sur sa banquette. Seuls Valens, Rufus et Sabinus se tiennent à l’écart, ne voulant pas se joindre à cette ultime humiliation. Lurco est au premier rang :

• Comme l’a suggéré l’impératrice, couvrez cette chienne de semence. A genoux, sale putain !

Les hommes se branlent en réunion autour de la jeune femme, qui est à genoux par terre, face à eux. Elle a la bouche grande ouverte et les yeux fermés, prête à recevoir une douche de sperme. Des giclées puissantes et abondantes s’abattent sur le visage de Tullia. Tullia reçoit une giclée en plein dans l’œil, avant que d’autres ne viennent lui couvrir le visage et couler jusque sur ses seins. Tullia a le visage totalement recouvert. Le sperme lui coule dans le cou, sur ses seins et jusqu’à son ventre.

***
Tullia n’a jamais autant joui de sa vie. Au cours de cette soirée, dès qu’un orgasme était passé, un autre pointait, encore et encore. Elle était maintenant arrivée à un point où les orgasmes se succédaient les uns après les autres, la transportant dans des jouissances insensées.

Bien sûr, son anus, sa chatte, et même sa bouche, tant sollicitées, la font un peu souffrir.

Alors que les serviteurs de Lurco la portent pour la ramener à la Domus, Tullia s’endort, comblée, repus, un sourire heureux sur les lèvres.

A suivre (9) : les conséquences
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Histoire de OlgaT

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Commentaires du récit : Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale (8) : « nuit torride au Palatin »

Le 22/09/2022 - 06:32 par OlgaT
Merci Micky! Oui des orgies qui sont restées célèbres et notamment celles organisées par Caligula, Messaline ou Néron
Le 22/09/2022 - 06:28 par Micky
Une orgie monumentale, à la romaine, qu'Olga sait nous décrire avec maestria. Comme si elle y était.
Le 21/09/2022 - 17:32 par OlgaT
Merci Didier. J'aime en effet partager ces anecdotes historiques et culturelles Pour en revenir à notre matrone, oui cette nuit d'orgie, on dirait aujourd'hui de partouze, est un tournant. Elle a vécu ce qu'elle voulait tant et compte bien poursuivre dans cette voie, d'autant que sa rencontre avec Vettius Valens est aussi décisive. Et, en même temps, les menaces sont au-dessus de sa tête.
Le 21/09/2022 - 14:05 par DBHB24
Olga, tu es vraiment incroyable, tu as encore réussi à nous fournir une anecdote culturelle sur l'astrologie romaine en plein milieu de cette débauche de sexe. Le titre de ton prochain épisode "Les conséquences", est bien évocateur et ouvre la porte à plein d'interrogation sur la suite du récit Malgré que son record de 25 hommes soit sauf, (pour Tullia, 14 surs, plus quelques autres mais leurs nombre reste flou), Messaline impressionnée tout de même par les capacités de Tullia, (prise en simultanée par 4 hommes), annonce qu'elle n'en n’a pas fini avec notre belle héroïne. Que lui réserve-t-elle encore pour l'humilier? Jusqu'où va t'elle aller? Pour Lourco, c'est pire, cette soirée n'a pas l'effet escomptée, au contraire il a été pris à son propre jeu. Il est humilié par certains participants comme Rufus par exemple. Messaline ne veut pas donner suite pour le moment à son idée de répudier Tullia et déshonorer Marcus. Tullia assouvit ses envies de sexe et en sort ravie. Valens confirme son amour pour Tullia en osant intercéder auprès de Messaline pour mettre fin au supplice. Tullia se trouve en Sabinus un futur étalon. Pour se venger, dans un premier temps, Lourco est le premier à humilier sa femme à la fin de la soirée en la souillant. Va t'il en rester là avec Tullia? Ne va-t-il pas désobéir à Messaline au risque d'une disgrâce? Surtout, comment fera t'elle pour rencontrer ces amants? Oui, quelles vont être les conséquences de cette soirée??? Didier
Le 21/09/2022 - 12:05 par OlgaT
@ Laetitia, merci. Cette publication a été l'occasion d'un relecture, utile pour veiller à la cohérence d'ensemble du récit. @ Didier, Lurco et Messaline cherchaient à humilier et surtout son père. Pour Tullia, c'est un tournant, ou plutôt une confirmation
Le 21/09/2022 - 08:53 par DBHB24
Il est bien loin le romantisme qui se dégageait sur la fin du précédent épisode, place désormais à la débauche!!! En tout logique et comme je l'ai présumé, la soirée prend une toute autre intensité pour "l'innocente" Tullia. Au grand dam de Parsam, mais pour la grande joie de Lurco et Messaline, Tullia est devenue le jouet sexuel d'une grande majorité des participants. Notre belle héroïne, livrée à cette bande de soudard doit alors subir les pires outrages jusqu'à l'épuisement. Tullia, néanmoins, en envie de sexe, ne découvre pas là de nouvelles pratiques, ayant déjà vu de ses propres yeux Lucia les réaliser, mais les expérimente plutôt, parfois dans la souffrance, lui procurant ainsi un plaisir intense qu'elle n'imaginait pas... Cette soirée, où Tullia finissant exténuée et souillée sous cette douche de sperme, aurait du être l'aboutissement de sa quête de sexe, mais elle est plutôt le "déclic révélateur" lui confirmant son hyper sexualité, qui je pense, va la lancer à corps perdu et sans aucune retenue dans une recherche permanente de sexe. Cette soirée permet donc à "l'innocente" Tullia, vouée à une déchéance certaine, de se transformer, tel un phénix renaissant de ses cendres, en une louve avide de sexe. Didier
Le 21/09/2022 - 08:48 par Laetitia1124
Ah Olga ! Sacrée saga que tu nous proposes là. Je la reprends du début avec plaisir.

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