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Max et sa voisine-suite

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Lue : 2115 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/05/2019

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Ma voisine de palier, une vieille bique qui est plutôt bien conservée, a découvert que je baisais tous les vendredis avec ma petite Aissata, une ravissante jeune fille de 18 ans. J’ai été obligé de sauter Hortense (c’est le nom de ma voisine) en échange de son silence. De plus, elle m’a demandé de faire l’amour à Aissata juste devant ma fenêtre pour pouvoir mieux nous mâter. Pour lui faire plaisir, j’ai déplacé mon canapé dans le bon angle pour qu’elle puisse voir au mieux nos ébats. J’ai envie de lui faire plaisir, car malgré son âge, c’est quand même une sacrée baiseuse, et j’ai adoré lui défoncer sa vieille chatte. Cependant, par correction, j’en parlerai avant à Aissata. C’est elle qui décidera de se livrer ou non à ce petit jeu.
A l’heure fatidique, on sonne à la porte. C’est ma petite cochonne, qui comme d’habitude est pile à l’heure pour venir se faire prendre comme une chienne. Toute souriante, elle me saute au coup pour m’embrasser. Comme elle sent bon ! Je sais qu’elle a pris soin de se laver de fond en comble avant de venir me voir, de se faire belle et de se parfumer. Je sais aussi que dessous sa longue robe légère elle n’a rien du tout. Je peux même sentir sa touffe de poils pubiens contre mon ventre. Mon zob en est déjà tout dur dans mon pantalon.
Elle s’avance vers le canapé et s’arrête net : « Tiens, tu as changé le canapé de place. Pourquoi t’as fait ça ? »_Il faut que je te raconte quelque chose, lui répondis-je embarrassé, en fait c’est une surprise. _Une surprise réponde-elle les yeux grands ouverts d’excitation ? Qu’est-ce que c’est ?
_ Ben, disons, que j’avais pensé que… Bafouillai-je. J’espère que tu vas aimer, mais tu n’es pas obligée d’accepter. Si ça ne te plaît pas tu peux refuser. Elle m’interrompt : « alors, qu’est-ce que c’est ? T’accouche ?
_ En fait j’ai remarqué que tu adores quand j’observe ton corps. Tu es superbe et tu ferais bander un ange. Alors je me suis dit que cela t’exciterai de te montrer à une autre personne qui a très envie de te voir. _Qui ? me demanda-t-elle avec impatience. Je vois que j’ai piqué ça curiosité et je devine un poil d’excitation. Les conseils d’Hortense sur la flatterie semblent fonctionner.
« Tu ne la connais pas. Il s’agit de la voisine d’en face. » « La voisine ? Qui c’est, pourquoi elle demande ça ?  _ Tu ne l’as connais pas, mais c’est quelqu’un de très bien. On peut lui faire confiance. _ Comment elle t’a demandé ça, et pourquoi ? Insiste Aissata.
« Ben disons qu’elle est assez âgée, et seule. Elle s’ennuie. Alors rien ne lui ferai plus plaisir que de nous voir en train de faire l’amour ensemble. Tu sais, c’est pas drôle tous les jours pour elle, alors ça lui fera un divertissement. »
« Elle est comment ta voisine ? me demande-t-elle _ Très sympa. _ Et physiquement ?
Je devine à ses questions qu’elle est intéressée et que sa nature lesbienne refait surface. Je décide d’être honnête : « Elle est très bien foutue pour son âge. Elle a de belles jambes et un très joli cul. J’ai déjà baisé avec elle et je peux te dire qu’elle est bandante, même si à première vue on ne s’y attend pas. _ T’as baisé avec une vieille ! Me dit-elle avec étonnement et une pointe de jalousie. _ Tu sais, je n’ai pas eu trop le choix. Elle est au courant pour nous et m’a menacé d’en parler à tout le monde. Il m’a fallu la convaincre de ne pas le faire. Si elle trouve son intérêt à ce que l’on sorte ensemble, alors elle nous laissera continuer sans problème. Aissata prend la pose et réfléchie : « Tu dis qu’elle est bien foutue pour une vieille ? Tu crois qu’elle va se masturber derrière sa fenêtre ? » 
Je lui réponds sans hésiter : « Si j’en suis sûr. Elle a déjà sa chatte toute mouillée et trépigne d’impatience derrière sa fenêtre. T’as qu’à essayer de la voir… »
Aissata réfléchi de nouveau, puis va se planter juste devant la fenêtre. Elle jette un coup d’œil et se retourne. Lentement, avec des gestes sensuels, elle fait remonter sa longue robe avec ses mains. Les chevilles, les mollets, les cuisses se découvrent petit à petit. Elle marque un arrêt, puis continue jusqu’à mettre ses fesses rondes complètement à nue. Alors elle se penche en avant, en prenant appui sur le canapé. Sa croupe poilue est entièrement en vue depuis la fenêtre d’en face. Elle écarte les cuisses et sa main vient se glisser entre ses jambes. Elle fait des grands gestes lents, de hauts en bas, allant du sommet de son anus jusqu’à son clitoris. Je ne peux résister à ce spectacle d’un érotisme torride, mais je n’ose pas l’interrompre. Je sors mon zob de mon pantalon, car il n’en peut plus, et j’en profite pour me branler lentement. Elle continue son show en se léchant le majeur, puis en le faisant glisser le long de la raie de ses fesses. Comme je l’avais deviné, elle se le rentre sans le moindre mal jusqu’au fond de son cul. Cela me refait penser au trou tout étroit d’Hortense, et mon excitation grandi. Comme à son habitude, elle se défonce elle-même l’anus en s’enfilant deux doigts qui s’activent à un rythme effréné. Qu’elle salope ! Hortense doit en avoir pour son grade. Je suis sûr qu’elle ne s’attendait pas à ça. C’est que c’est une vraie cochonne ma petite Aissata. J’imagine qu’Hortense doit s’activer sur son vieux vagin avec ses doigts, et qu’elle doit prendre son pied.
A cet instant, Aissata se redresse et se retourne. Elle point son doigt vers la fenêtre et fait signe de venir. Puis elle montre sa chatte poilue. J’en crois pas mes yeux. Elle va jusqu’au bout de la provocation et invite quelqu’un qu’elle ne connaît pas.
Je lui demande : « T’es sûre de ce que tu fais ? _ Oui, ça fait longtemps que je n’ai pas fait l’amour avec une autre fille. Et puis toi tu l’as bien baisée, alors pourquoi pas moi ? »
Je n’ai même pas le temps de répondre, que la sonnette de la porte retenti. Je range ma queue dans mon pantalon et j’ouvre. « Mon cher Max, me dit immédiatement Hortense, visiblement très émoustillée par le spectacle qu’elle vient d’observer, que je suis contente de te voir. Avant que je puisse réagir, elle me fait la bise et s’adresse à Aissata. Je me retourne et découvre que ma belle amante en a profité pour retirer complètement sa robe. Elle est là, affalée sur le canapé, entièrement nue, les cuisses largement écartées, le sexe offert à nos regards en toute impudeur.
« Comme tu es magnifique ma belle enfant, s’exclame Hortense. Tu es vraiment une jeune fille ravissante. » Sur ces paroles, qui visiblement font plaisir à Aissata, elle s’avance et s’agenouille devant la chatte ouverte de ma petite vicieuse. Puis sa tête bascule et plonge directement dans la touffe de poils offerts devant elle. « Hum, comme j’adore ce bouquet de senteur corporelle. Est-ce que je peux y goûter ? demande-t-elle de manière malicieuse. « Mais bien sûr Madame, répond Aissata, je n’attends que ça. » « Appelle-moi Hortense, les « Madames » ne sont pas de mise dans de telles circonstances. »
Sans se faire attendre, Hortense s’active dans le minou de la jeune fille. Elle lèche, titille, aspire et mordille les parties les plus sensibles de son anatomie. Aissata se met à l’aise pour profiter au maximum de ce cunnilingus. Elle empoigne ses petits seins de ses deux mains et les plote vigoureusement, augmentant le plaisir que lui procure sa nouvelle partenaire. J’en profite pour me déshabiller car je compte me joindre aux ébats lesbiens de mes deux compagnes. J’admire les fesses d’Hortense qui se dandinent sous sa robe de chambre au rythme de ses hochements de tête. Le spectacle est grandiose. J’ai deux salopes pour moi tout seul, une jeune et une vieille, qui je sais n’ont aucun tabou et sont partantes pour une partie de plaisir sans limite.
Je monte sur le canapé, et présente ma queue en érection devant le visage d’Aissata, qui comprend de suite ce que j’attends d’elle. D’une main elle attrape ma verge à sa base pour la rapprocher de sa bouche, et se l’enfoncer jusqu’au fond de la gorge. Je sens la chaleur humide de ses lèvres m’envelopper alors qu’elle commence à me limer avec énergie.
« Ah non, pas comme ça, s’exclame alors Hortense. Tu vas le faire éjaculer de suite. J’ai besoin de lui moi. J’ai envie qu’il me baise comme une salope. Arrête ça, je vais te montrer ! ».
Elle se relève, resserre les jambes d’Aissata pour venir s’assoir à califourchon sur elle. J’en profite pour jeter un coup d’œil à son bas ventre et j’aperçois le triangle noir, bien taillé, entre ses cuisses. La cochonne n’a même pas pris le temps de mettre une culotte. Certainement en train de se toucher, elle a juste enfilé son peignoir avant de traverser le couloir.
Bien installée sur Aissata, son visage se rapproche du sien et de ma bite :
« Regarde bien comment on fait, dit-elle en empoignant délicatement mes bijoux de famille. Il faut y aller doucement. L’objectif est de le faire bander. De faire monter le plaisir jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus et te prenne sauvagement pour te défoncer la chatte. » _ Non le cul, reprit Aissata, qui buvait tous les mots sortant de la bouche d’Hortense. _Oui, tu as raison ma belle, dit Hortense, ton joli petit cul. Seulement il faut faire attention. Tu dois contrôler son excitation pour ne pas qu’il t’éjacule de suite en pleine face.
Aissata rigole en imaginant la scène.
« Pour cela, tu dois aller doucement, et faire des poses. Tu peux par exemple prendre le temps de le regarder droit dans les yeux, de lui lécher les couilles, ou de lui enfoncer les doigts dans le cul. Certains garçons adorent ça, d’autres non. Je sais que Max aime bien lui, dit-elle en me regardant malicieusement. »
Je lui réponds : « T’inquiète pas pour ça. Aissata n’est pas la dernière pour faire ce genre de truc, et elle s’y connaît ». Aissata me sourit avec un regard complice, ravie de la situation et d’avoir trouvé enfin quelqu’un qui veuille satisfaire sa curiosité.
Hortense met ses conseils en application : « Regardes, tu commences par lui titiller le gland comme ça avec le bout de la langue…Mais doucement. C’est la partie la plus sensible, ici, le frein et tout autour du gland. C’est un peu comme toi ton clito… »
Avec sa langue elle décrit des grands cercles sur mon gland, qui me font bander de plaisir. Le regard abasourdi d’Aissata sur ma queue augmente encore plus mon plaisir.
« A toi maintenant. » Aissata s’exécute, et c’est une nouvelle vague de plaisir qui m’envahit. J’ai vraiment de la chance d’avoir ces deux salopes pour me sucer. Je bande comme jamais.
« Attention, explique calmement Hortense, tu ne dois surtout pas mettre les dents. Jamais. Ça va lui faire mal, et descendre son excitation en un rien de temps. Faudra recommencer tout le travail ».
« Ok, compris, ça va comme ça ? ». Aissata me re-lèche et je me retiens pour ne pas lui éclater en pleine figure, tellement ma bite est gonflée.
Hortense laisse faire sa jeune élève, et en profite pour me coller sa main droite sur mes fesses et me ploter. Sa main gauche n’est pas en reste, car elle l’a discrètement posée sur le sein d’Aissata et le malaxe tranquillement comme si de rien n’était. Aissata se laisse faire, sans rien dire, appréciant certainement cet attouchement entre femme, qui lui rappelle certainement ceux de sa sœur.
Les deux filles se prennent au jeu et s’activent ensemble à me lécher mes organes génitaux. C’est magnifique ! Elles en profitent de temps en temps pour s’embrasser et se rouler une pelle, avant de revenir à l’objet de leur attention. Je sens le majeur de la vieille cochonne rentrer dans mon cul. Je la laisse faire, car mon excitation est à mon comble et je sais combien ça lui tient à coeur. Elle trifouille dans mon trou dans tous les sens et je lui prends sa tête dans ma main pour lui transmettre toute l’intensité de son investigation privée. Je sens le point de non-retour arriver alors je décide de mettre à terme à cette situation malgré tout le plaisir qu’elle me procure, car j’ai bien envie de profiter de tous les petits trous à ma disposition.
« Eh, les filles, je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses, sinon je vais finir maintenant dans vos bouches… Je n’ai jamais eu une fellation aussi délicieuse, et c’est la première fois avec deux filles en même temps. Je vais vous remercier en défonçant vos petits trous. »
Hortense réplique : « Ben tiens, Monsieur est gentleman. Tu vas me faire croire que tu te forces à nous baiser alors que tu en meures d’envie. »
Aissata renchérit : « Oui, elle a raison. C’est d’autant plus vrai qu’on sait très bien se satisfaire entre fille, d’autant plus qu’Hortense et moi on semble sur la même longueur d’onde, si tu vois ce que je veux dire… »
C’est deux-là n’ont pas leur langue dans leur poche et savent ce qu’elles veulent. J’ai intérêt à me montrer à carreau. Pour paraître plus docile, je leur demande gentiment : « alors, par qui on commence ? Faut bien faire un choix ! »
Les deux filles se regardent, hésitant, puis Aissatta s’exclame : « J’ai trop envie que tu baises Hortense. J’ai jamais vu de mes yeux une pénétration vaginale. J’ai trop envie d’en voir une. _ D’accord répond Hortense, ravie de cette initiative. On va se mettre en position pour que tu sois aux premières loges. J’espère que tu vas apprécier le spectacle ! ».
Elle fait s’allonger Aissata sur le dos sur la moquette, puis elle s’accroupit au-dessus d’elle, en tête bêche. Les deux belles ne tardent pas à se lécher mutuellement leurs minous et émettant de petits cris nerveux, et aussi des gémissements de plaisir. Avant de me mettre en position, je prends le temps de profiter de ce spectacle inattendu. Voir les deux filles se donner mutuellement du plaisir m’excite au plus haut point. Je m’approche de la croupe d’Hortense posée sur la tête d’Aissata, qui lui bouffe littéralement la chatte, ses doigts enfoncés profondément dans son cul. Alors que j’approche ma bite, Aissata m’aperçoit et prend ma queue pour se l’enfoncer dans la gorge, oubliant tous les conseils de son professeur.
« Alors tu me baises ? C’est pour aujourd’hui ou pour demain, grogne Hortense ?
Aissata sort ma bite de sa bouche et rigole, par excitation je pense. Puis en ouvrant de grands yeux, elle me guide jusqu’au vagin d’Hortense, que je pénètre facilement. Sa chatte humide est tellement étroite, que nous soupirons tous les deux en même temps lorsque je me glisse jusqu’au fond d’elle. Nos deux sexes se rencontrent enfin et se savourent l’un et l’autre. Je sens mes couilles taper contre le visage d’Aissata à chacun de mes coups de reins. Elle en rigole, tellement elle est heureuse de voir enfin cet acte qui lui est interdit. Ne perdant pas une miette de ce spectacle, elle en profite pour caresser le clitoris de sa nouvelle amie.
Avec mes coups de queue dans sa chatte étroite et les stimuli d’Aisssata sur son clito, Hortense ne tarde pas à couiner comme une folle, encouragée par la jeune fille : « Oui, vas-y ma vieille, joui. Je veux te voir en train de jouir. Continue Max, baise la bien. Elle va bientôt jouir !! »
J’accélère mon rythme et je sens les couinements d’Hortense augmenter en intensité pour se transformer en râle de plaisir. Tout son corps se crispe et je sens son vagin se contracter autour de ma queue. J’en profite pour lui donner de grands coups, afin de faire durer son orgasme le plus longtemps possible. Aissata jubile de voir ce rapport sexuel de si près et crie : « Ca y es, elle jouit, elle jouit la salope !!! »
Nous continuons ainsi jusqu’à ce que le plaisir d’Hortense redescende et qu’elle me demande de me retirer.
« Ah mon tour, s’exclame Aissata, toute impatiente de se faire sodomiser devant un tiers ! »
Nous nous levons. Hortense reste au sol, encore toute étourdie de son violent orgasme, et moi je m’affale sur le canapé, épuisé par cette partie de baise.
Aissata elle, est pleine d’énergie et ne perd pas le nord. Elle prend le flacon d’huile de massage et lubrifie devant nous son petit trou sans aucune pudeur. Debout au-dessus d’Hotense, elle se rentre les doigts dans le cul, en disant : « regarde bien ce qu’elle se fait la petite fille avec son petit trou ! Tu voulais voir mon cul, alors regarde le bien. Il va se faire défoncer devant toi par la grosse bite de Max !! »
Là-dessus elle monte sur le canapé, et en me tournant le dos, saisi ma queue et se l’enfonce directement dans l’anus ! Hum, c’est tellement bon de retrouver ce petit trou que je connais si bien et qui m’a déjà donné tant de plaisir. C’est toujours un bonheur de s’y enfoncer. Il est tellement large et doux. Je m’y sens tellement bien que je pourrai y rester des heures. D’habitude dans cette position j’en profite pour passer mes mains autour de la taille de ma partenaire et lui caresser le clito pour lui donner plus de plaisir, mais là la place a déjà été prise par Hortense qui a retrouvé tous ses esprits.
Je ne vois pas ce qu’elle lui fait, mais en tout cas je constate qu’Aissata commence à gémir beaucoup plus tôt que d’habitude. Je profite moi aussi des caresses de la vieille vicieuse, qui au passage me malaxe les couilles, puis cherche de nouveau le chemin de mon petit trou ! Pendant qu’Aissata s’active sur ma queue, mes mains se baladent autour de sa taille fine, puis remontent vers ses tendres seins. Je le saisis. Ils sont doux comme une peau de pêche. Je les presse vigoureusement et pince violemment ses tétons qui sont déjà tous durs. Alors la folie semble s’emparer d’Aissata, qui empalée sur ma queue, fait presque des bonds sur moi. Hortense ne peut plus la suivre avec sa langue, et se contente de frotter sa main à chaque passage de sa fente. Je ne l’avais jamais vu dans cet état. La sodomie et le cunnilingus lesbien cumulés ont décuplé son plaisir et Hortense et moi sommes émerveillés par l’orgasme prodigieux que nous ressentons chez la petite fille.
Finalement elle s’écroule et s’affale dans les bras d’Hortense, restant inerte plusieurs secondes. Ma queue toujours en elle frétille pour la réveiller et lui rappeler que moi aussi j’attends mon orgasme.
Puis elle se décide et se retire. Hortense prend le relais et me lèche goulûment.
« Hum, c’est bon. Je n’avais rein goûté de tel depuis longtemps, dit-elle en se léchant les babines. »
Aissata se rejoint à nous, en s’asseyant à côté de sa nouvelle copine, qui se partagent le léchage de mes organes génitaux. Elles s’entendent à merveille ces deux cochonnes. Je n’avais pas imaginé que cela fonctionnerai aussi bien entre nous trois.
Je me détends, savourant la double fellation pratiquée par mes deux partenaires, chose qui ne m’était jamais arrivée auparavant. Mon magnifique moment de plaisir s’interrompt lorsque soudain Aissata regarde sa montre et nous dit paniquée qu’elle doit partir.
Je suis désespéré que ces caresses divines ne durent pas plus longtemps, mais Hortense lui répond : « Ne t’inquiète pas ma petite, je vais bien m’occuper de lui et lui donner la récompense qu’il mérite pour nous avoir fait grimper au ciel toutes les deux. »
Elle me lance des regards malicieux alors qu’Aissata est déjà dehors en lançant : « Baie ! C’était trop génial. On remet ça vendredi prochain !
Seul avec Hortense à mes pieds, elle me lance, plus sensuelle que jamais : « Comment veux-tu finir mon biquet ? »
Sans hésiter, je lui réponds : « Dans ton petit trou d’amour ». Elle fait une moue de protestation, en pensant certainement que je suis un gros pervers, ce qui est vrai, mais se met quand même à quatre patte et écarte ses fesse avec ses mains, prête à se faire enculer.
Je suis ravi du spectacle et de la situation. C’est le trou le plus étroit, et j’ai fait exprès de le garder pour la fin. Cependant, afin de la savourer le plus longtemps possible, je récupère l’huile de massage qu’Aissata a laissé par terre. Je huile mes doigts puis caresse délicatement l’anus de ma vieille amante, tout en lui passant un coup de langue dans sa délicieuse chatte rasée. En même temps que ma langue s’enfonce dans son vagin, mes doigts s’introduisent dans son autre trou. Elle lâche un soupir de plaisir. Je sais qu’elle adore la sodomie cette cochonne. Même si ce n’est pas aussi agréable qu’une pénétration vaginale, c’est un moyen pour elle de se sentir jeune et désirable. Elle ne s’était plus faite enculée depuis longtemps avant de m’avoir connue, et cela lui rappelle les bons souvenirs de sa jeunesse. Ainsi, même si malgré l’huile je dois la forcer pour lui rentrer mon sexe dans son cul, et certainement lui faire mal, elle ne proteste pas. Au contraire, elle m’encourage avec des mots pervers, et roule des fesses pour faciliter la pénétration. Dommage qu’Aissata ne soit plus là. Elle aurait certainement apprécié le spectacle et telle que je la connais, se serait masturbée devant nous. Je profite quelques instants de la situation. Je savoure ma domination de la vieille cochonne, avant de livrer de grands coups de rein. Je la défonce sauvagement, en rentrant jusqu’au fond. Mes couilles tapent contre sa chatte et elle crie à chaque fois au rythme de mes vas et viens. C’est un vrai délice, et je ne peux résister très longtemps tellement je suis à l’étroit dans son rectum. C’est tout l’inverse de celui d’Aissata.
Hortense me sent me retenir et me dit : « Vas-y mon grand, tu peux te lâcher. Fais-toi plaisir. Ejacule dans mon cul. J’ai envie de sentir chacun de tes jets au fond de mes entrailles. »
Je donne mes derniers coups de reins, les plus violents, avant de me répandre en elle par saccade. C’est à chaque jet de sperme une vague de plaisir de 3000 Volt qui me traverse le corps. Un bonheur total que je retenais depuis des heures afin de pouvoir satisfaire mes deux partenaires. Je jouis comme jamais je ne l’avais fait auparavant. J’aimerai que cet instant dure indéfiniment mais je ne peux retenir tout le flot que je répands dans le cul d’Hortense, trop contente de recevoir ma semence dans son réceptacle le plus privé. Alors que je commence à me retirer, elle m’interpelle : « Nan, reste en moi. Je veux profiter de ce moment le plus longtemps possible. Reste dans mon cul aussi longtemps que tu peux. Je veux sentir ta queue se dégonfler en moi. » Je trouve sa demande curieuse, mais pourquoi pas. Epuisé par tous ces efforts, je m’affale sur son dos. Elle s’allonge lentement, et je m’assoupi. Lorsque j’ouvre les yeux, après un temps incertain, ma bite a repris sa taille normale mais est toujours dans l’orifice d’Hortense. Le sperme a coulé le long de mes couilles et certainement sur sa chatte. Hortense n’a pas bougé. Elle est restée docile, même si je l’ai écrasée de tout mon poids. Elle a savouré la chaleur de mon corps et la lente décroissance de mon sexe dans son rectum.
« Ca y est, tu reviens à toi ? » me demande-t-elle d’une voix apaisée.
Je lui réponds : « Oui, je dois y aller. _Oui, moi aussi. Toutes les bonnes choses ont une fin… Avant de partir, je voulais te remercier pour tout. Tu m’as fait confiance en acceptant de coucher avec moi, et en me présentant ta copine. Je n’avais pas eu de sexe depuis des années, et grâce à toi je me sens revivre. Je ne sais pas comment te remercier. » Surpris par ces aveux, je lui réponds : « Tu n’as pas à me remercier. On a tous les trois pris notre pied aujourd’hui, et c’est autant grâce à moi que grâce à toi. »
Elle sourit, rassurée, remet son peignoir de soie et commence à sortir, puis me dit : « En attendant, la prochaine fois que tu as besoin de te vider les couilles, traverses le couloir et vient sonner au lieu de te masturber comme un puceau !  Je lui réponds en souriant : « T’inquiète, avec tout ce que j’ai donné aujourd’hui, j’ai besoin de récupérer. Cela ne sera pas tout de suite.  _Ok, alors reprend des forces, car Aissata et moi on a besoin de toi. A vendredi prochain, me dit-elle en refermant la porte…
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