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Mère et fille en beach volley

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/06/2023

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En vacances dans une station balnéaire, Maud et sa fille Lise étaient tombées en arrêt devant une affiche annonçant un tournoi de beach volley féminin ouvert à toutes, à disputer uniquement en duo.
Ancienne joueuse de volley ball de niveau national, Maud avait gardé la nostalgie de ces matches. Sa fille Lise empruntait à 20 ans le même chemin et s'annonçait aussi douée que sa mère.
- Et si on s'engageait toutes les deux, proposa Lise, déjà emballée ?
- Tu crois ? Je ne suis pas sûre d'être encore dans le coup, répondit Maud.
- Mais si. Avec un peu d'entraînement, ça reviendra vite.

Maud se rangea à l'avis de sa fille. Leur complicité était très forte, surtout depuis le divorce des parents. Lise avait choisi de vivre avec sa mère et de partager son intimité. Toutes les deux grandes, blondes et minces, elles se ressemblaient tellement qu'on les prenait parfois pour deux sœurs, même si Maud était évidemment un peu plus enveloppée à la quarantaine.

Femme d'esprit très libre, Maud avait informé tôt sa fille des mystères et des saveurs de la sexualité. Quitte à être dépucelée, autant qu'elle le soit par un expert et pas par un de ces godelureaux de son entourage qui serait capable de la dégoûter du sexe pour longtemps. C'est pourquoi Maud avait sollicité un amant, bien vu par sa fille, de l'initier. L'affaire s'était tellement bien déroulée que Lise avait connu en même temps l'orgasme, ce qui est rare en dépucelage. Elle était passée depuis, dans le milieu étudiant, pour une fille qui "couchait" facilement, ce qui ne la dérangeait en rien. Elle méprisait même celles qui ne "couchaient" pas par puritanisme ou tout simplement trouille du mâle.

De tout cela, elle parlait facilement à sa mère. Il était parfois arrivé qu'en rentrant de soirée pour regagner sa chambre, Lise entende qu'on faisait l'amour dans celle de Maud. Elle en était heureuse pour elle, d'autant qu'elle avait l'orgasme fréquent et claironnant. Elle avait osé un soir pousser la porte pour voir sa mère chevaucher nue à grands coups de fesses un gaillard poilu entraperçu dans la cuisine quelques jours plus tôt. Elles en avaient rigolé ensemble le lendemain.

Cette complicité allait donc avoir une autre traduction, sur un terrain sableux de beach volley. Elles avaient d'abord échangé quelques balles avec d'autres baigneurs, histoire de reprendre la main, surtout Maud. Mais le volley, c'est comme le vélo, on ne perd jamais ses réflexes et, en l'occurrence, le toucher de ballon. Puis elles s'étaient mises en quête d'une tenue adéquate. Une brassière soutien-gorge en haut, un mini slip en bas, selon les règles en usage. La taille était juste un peu supérieure pour Maud mais le tissu ne cachait quand même que le strict minimum et il était évident qu'en cours de match, Maud allait révéler le haut de la raie des fesses avant de relever le slip...

Dès le début du tournoi, la mère et la fille captèrent l'attention du public. D'abord pour leur talent évident, qui leur faisait passer les tours un par un, mais aussi pour la sexualité qui émanait de leur duo. Leur grâce et leur sensualité éclataient à chaque mouvement. Le petit cul de Lise, les seins ronds de Maud faisaient du beach volley une scène quasiment érotique. Les mâles s'étaient passés le mot et ne rataient plus leurs matches, tout en les encourageant bruyamment. Ils tentaient en même temps de savoir s'il y avait derrière elles un mari, un compagnon, un petit ami, bref si elles étaient "en mains". Mais rien ne semblait l'attester et la question qui les taraudaient désormais était celle-ci : "est-ce qu'elles baisent ?"

Maud et Lise, fines mouches, ne tardèrent pas à deviner les préoccupations de l'élément mâle du public et en même temps les regards acerbes de l'élément féminin qui, comme par hasard, encourageait toujours leurs adversaires. Mais le niveau des deux blondes, l'une en chignon (la mère), l'autre en queue de cheval (la fille) était tellement supérieur qu'elles enlevèrent haut la main le tournoi. En compense, elles avaient open bar à la boite de nuit qui organisait le tournoi. Et c'est le coeur léger qu'elles se préparèrent pour la soirée.

A dire vrai, le coeur n'était pas le seul organe sollicité. En se préparant et en choisissant leur tenue -mini short et top sans manches et sans soutif pour Lise, mini robe à dos nu pour Maud- elles avaient évoqué cette soirée et surtout la suite éventuelle. Lise lança le débat :
- J'espère qu'il y aura un mec pas trop moche et pas trop con pour me draguer. J'ai très envie de baiser.
- C'est tout le mal que je te souhaite, ma chérie, répondit Maud.
- Mais tu me laisseras la chambre alors ?
Il faut savoir en effet que la location ne comportait qu'une chambre avec deux lits jumeaux.
- Bien sûr ma chérie. Mais dis moi, tu imagines que je vais rester chaste ce soir, uniquement parce que je suis ta mère ?
- Ah pardon maman. Tu as donc aussi l'intention de... baiser ?
- C'est plus compliqué pour moi que pour toi vu mon âge mais si une occasion se présente, je ne la laisserai pas passer. J'ai autant de besoins que toi, tu sais ?
- Mais oui maman, je sais. Bon écoute, on avisera sur place car pour l'instant, tout ça, c'est de la fiction.
- Exactement. Soyons déjà sexy, c'est un début, mais je ne me fais pas de souci pour toi. J'ai vu des gars avec la langue pendante pendant qu'ils te regardaient jouer.
- Et moi, j'en ai vu qui n'avaient d'yeux que pour ton cul avant que tu te reculottes...
Elles rirent ensemble. La soirée s'annonçait bien.
*******
Leur arrivée ne passa pas inaperçue après leur festival sur le sable. Elles furent aussitôt très entourées au bar puis sur la piste de danse. Lise, nullement éprouvée par les matches, se déchainait au milieu de jeunes mâles littéralement en rut. Maud regardait amusée sur un tabouret du bar, entreprise par un gendarme envoyé en renfort pour la saison estivale et présent en boite avec d'autres collègues pour la détente. Sa quarantaine virile et moustachue ne déplaisait pas à Maud, peu sensible aux hommes asexués. La drague fut brève et légère. Maud s'avança vers sa fille en train de danser pour lui crier à l'oreille pour franchir le bruit assourdissant de la musique :
- Ne te presse pas pour rentrer, j'occupe la chambre.
Lise comprit le message en voyant le gendarme.
- T'inquiète pas, j'ai toute la nuit devant moi, dit-elle.

Tout heureux de sa bonne fortune, le gendarme, prénommé Frédéric, accompagna Maud dans sa location. Pour une fois qu'il tombait sur une vraie femme, belle en plus, il avait bien l'intention de profiter de sa nuit. Hébergé dans un internat de lycée avec ses collègues de renfort, il ne pouvait guère faire autrement que demander à sa conquête de lui offrir le gîte. Ce qu'elle avait accepté.
Maud découvrit un corps bien charpenté, bien membré, très sexué une fois qu'il fut nu sur l'un des lits jumeaux. L'homme banda dur au spectacle de la beach volleyeuse débarrassée de ses maigres oripeaux, qui avait autant envie de baiser que lui. Il la pénétra après l'avoir longuement léchée de la chatte aux seins, enchanté par son jeu de pieds, de cuisses et de mains attestant la femme d'expérience. Après diverses positions où le duo manifestait l'envie de durer, il la prit par derrière avec l'intention de la sodomiser (son cul l'avait fait rêver pendant tous ses matches) quand soudain, la porte de la chambre s'ouvrit.
- Coucou, c'est moi !
Lise venait de faire son entrée flanquée d'un chevelu aux yeux bleus qui ne l'avait pas lâchée d'une semelle dans la boite de nuit et qui avait son fan club féminin en tant que surfeur émérite.
Le couple quadragénaire s'interrompit en plein coït :
- Mais je t'avais dit de rentrer tard ! s'énerva Maud, qui s'était détachée du plantureux pénis gendarmesque.
- Oui maman mais Sylvain n'a pas de gîte perso, et on a très envie de faire comme vous. Ne vous gênez pas pour nous, continuez à vous amuser.

Sans attendre la réponse de Maud, Lise commença à déshabiller le dénommé Sylvain. Interloqué, le couple de quadragénaires observa la scène assis sur le lit. Les deux jeunes étaient tellement impatients de copuler que le garçon eut à peine le temps d'enfiler un préservatif avant de pénétrer la fille en missionnaire et de lui asséner de grands coups de bite encerclé par les longues jambes de la destinataire, déjà en extase. Ils se fichaient complètement de ne pas être seuls dans la chambre. Ils baisaient, point barre. Maud n'avait évidemment jamais vu sa fille faire l'amour, au contraire de celle-ci, et elle suivit avec intérêt le déroulement de ses ébats, y trouvant comme une filiation naturelle avec les siens. Même jeu de jambes, même pression des mains sur les fesses de son partenaire, même roulement de hanches pour accompagner les coups de boutoir, même crudité verbale pour célébrer la virilité de son jeune amant.

Lorsque que Lise, prise en levrette en travers du lit, se retrouva face à sa mère, elle lui dit :
- Arrête de nous regarder et baise !
Le gendarme, qui n'avait pas débandé au spectacle torride qui se déroulait devant lui, ne demandait qu'à poursuivre. Il installa Maud dans la même position, en travers du lit, face au jeune couple, et l'enfila recta, un oeil sur la fille, l'autre sur la croupe de sa mère. Celles-ci ne pouvaient plus faire autrement que se regarder baiser, scruter mutuellement leur plaisir, échanger même quelques propos crus sur la situation exceptionnelle qu'elles étaient en train de vivre. Les deux hommes n'étaient pas moins excités par ce quatuor imprévu et partagèrent aussi quelques réflexions sur les deux "coups en or" qu'ils étaient en train d'honorer.

Lorsque le gendarme manifesta l'intention de sodomiser Maud, comme il en avait eu le désir avant l'irruption du jeune couple, il en informa celle-ci mais aussi Sylvain, l'incitant à faire de même. Lise n'était pas une vierge du petit trou, ayant été formée très tôt, comme on l'a vu.
- Oh oui, encule-moi, dit-elle au jeune homme.
Maud ne pouvait que suivre et elle creusa les reins pour permettre l'envahissement bien plus massif que celui imposé à sa fille. La pièce s'emplit de râles, d'exclamations, de bruit de peaux claquées, d'encouragements à jouir -"viens viens viens"- des deux femelles à l'endroit de leurs enculeurs, qui ne résistèrent pas longtemps aux rotations frénétiques des croupes des beach volleyeuses, qu'ils avaient tant admiré l'après-midi. Le jeune couple trouva son orgasme en premier, les quadras un peu plus longuement après que Maud eut glissé une main entre les jambes du gendarme pour stimuler ses couilles. Et tout le monde bascula sur le lit, repu de sexe.
*****
Le lendemain matin, elles se réveillèrent chacun sur leur lit alors que leurs amants circonstanciels s'étaient éclipsés depuis longtemps. Le gendarme avait juste laissé un petit mot sur la table de nuit : "merci pour ce moment, à plus tard j'espère, Frédéric".
- Sylvain aurait pu en faire autant, déplora Lise.
- Que veux-tu, les jeunes d'aujourd'hui ne savent même plus écrire, répondit Maud.
Mais surtout, elles devisèrent longuement sur l'expérience inédite qu'elles venaient de vivre, à savoir faire l'amour l'une devant l'autre.
- Tu es belle quand tu baises, tu rajeunis, dit la fille à sa mère.
- C'est gentil, merci, mais je n'ai pas de mérite. Quand je suis avec un bon partenaire, je m'éclate, j'aime tellement ça. Mais toi aussi, tu aimes ça, hein, ma cochonne...
- Les chiennes ne font pas des chattes.
- C'est le cas de le dire. Tu vas le revoir, ton Sylvain ?
- Je ne sais pas. Peut-être. Je ne voudrais surtout pas qu'il s'attache à moi. Et toi, ton gendarme ?
- C'est différent. C'est clairement entre nous deux une histoire de cul, rien de plus.
- Quelle bite il a, ce mec. Franchement, j'aurais bien aimé l'essayer...
- Je n'en suis pas propriétaire. J'imagine que se taper une jeunesse comme toi ne lui déplairait pas non plus.
- Et toi, Sylvain, ça te dirait ?
- Encore faudrait-il qu'il ait envie de sauter une femme de l'âge de sa mère... Mais oui, pourquoi pas.
- Alors, tentons le coup pour le reste de notre séjour. J'ai encore envie de baiser.
Et elles décidèrent de se rendre à la plage pour participer à nouveau à des jeux de volley ball, cette fois hors compétition, mais dans la même tenue que lors du tournoi.
******
Leur présence ne tarda pas à provoquer à nouveau une petite effervescence. D'autres jeunes mâles auraient bien volontiers pris le relais pour honorer la belle Lise. Mais celle-ci manifesta d'emblée sa priorité pour celui qui l'avait si bien servie, à savoir Sylvain. Le gendarme se manifesta en fin d'après-midi, après son service, débarrassé de son uniforme. Mère et fille les entrainèrent dans une pizzeria du front de mer pour un diner en commun et les deux hommes comprirent qu'un deuxième épisode sexuel était à portée de bite. Ils ne s'attendaient cependant pas à entendre Lise leur dire :
- On va chez nous ce soir, vous l'avez bien mérité. Mais cette fois, Frédéric avec moi et Sylvain avec ma mère. C'est à prendre ou à laisser.
Interloqués, les deux hommes se regardèrent. Echangisme. Ils ne s'y attendaient pas. Mais Frédéric fut le premier à donner son accord. A son âge, une fille de vingt ans aussi sexy, ça ne se refuse pas. Sylvain fut bien obligé de suivre même si baiser Maud ne lui était pas venu à l'esprit. Mais son corps de quadra était encore très bandant, il fallait l'admettre. Et elle remuait drôlement bien son beau cul. L'avoir entendue jouir lui donnait une sorte de défi. Le quatuor prit la direction de l'appartement du stupre.
********
L'avantage du deuxième épisode est qu'on ne perd plus de temps en préliminaires. Tous les quatre avaient hâte d'être dans la tenue de l'amour, c'est à dire entièrement nus. Après avoir déposé leurs vêtements, ils prirent possession de leur lit respectif, cette fois Lise avec le gendarme et Maud avec Sylvain, dans deux accouplements plutôt contrastés : la jeune fille gracile avec un homme mûr au système pileux abondant et légèrement ventru, la mature aux formes pleines avec un surfeur bronzé aux muscles saillants sous une peau fine. Celle-ci caressa les pectoraux et les abdominaux du jeune homme avec volupté, flattée qu'un aussi beau mâle puisse bander pour elle, et il bandait déjà, offrant une pine mince et recourbée au gland bien décalotté qu'elle prit en bouche comme un bonbon. Lise avait dû ouvrir beaucoup plus grand la bouche pour absorber le copieux morceau de viande d'homme gorgée de sang dont elle s'était délectée d'emblée comme un mets rare, savourant à l'avance le moment où il entrerait dans son intimité, sans se formaliser si son propriétaire se trouvait aux antipodes de ses goûts habituels.

Mère et fille furent pénétrées à peu près en même temps en missionnaire, talons dans les reins pour Lise, pieds dans ses mains pour Maud, très ouverte, et la sarabande commença dans un concert de lits qui grincent, de peaux qui claquent, de bouches qui râlent et gémissent, de bruit mouillé de sexes joints. Contrairement à la première fois où elles s'étaient beaucoup observées, elles se concentraient sur leur propre plaisir. Lise ne s'était jamais sentie aussi bien remplie et l'organe plantureux du gendarme frottait des régions peu explorées jusqu'alors qu'elle accentuait en creusant les reins, emballant son amant qui n'avait jamais honoré un tel canon. Il en était survolté à tel point qu'il mitraillait le corps juvénile de sa grosse queue comme s'il voulait le partager en deux, lui offrant une baise inédite qui fit pousser à Lise des couinements tout aussi inédits.

De son côté, Maud se régalait autant visuellement que vaginalement en chevauchant le corps splendide de cet éphèbe qui la faisait rajeunir de vingt ans, matant ses pectoraux et ses abdos, pétrissant ses petites fesses dures et scrutant dans ses yeux azur le plaisir qu'il avait de la baiser. Elle prit quelques initiatives de femme mûre supposées le surprendre comme lui mettre le doigt dans l'anus, lui lécher et gober ses couilles bien rondes et lui parler de sa bite, ce qui le mit dans une telle raideur qu'elle en ressentit aussitôt les bienfaits intimes et lui fit pousser des cris rauques s'ajoutant aux couinements de sa fille.

Après avoir multiplié les positions, les deux couples en arrivèrent à la phase terminale. Maud voulait se faire "enculer" par cette tige mince et rigide à souhaits., Lise hésitait devant le volume du gendarme, mais celui-ci s'y prit d'une telle manière qu'elle fut suffisamment dilatée pour lui ouvrir le chemin de l'orgasme anal. Il la fit asseoir sur sa bouche et se gava longuement de son anus bien rose pendant que Lise se frottait le minou, lui indiquant qu'elle était "à point" et qu'il "pouvait y aller". De fait, il la sodomisa assez facilement grâce à son travail buccal et Lise fut une fois de plus visitée dans des profondeurs inouïes.

Maud l'atteignit en premier avec un rugissement de plaisir qui dut s'entendre jusque dans la rue. Lise fut un peu plus longue à jouir car son mec était vraiment très gros mais il vint sur son dos, lui prit les seins et elle se sentit possédée comme une chienne par un chien en rut et cette configuration lui fit connaitre à son tour l'extase. L'épisode s'acheva cette fois par une douche à quatre qui inonda la salle de bains dans les rires.

Mais les vacances, hélas, s'achevèrent avec cette mémorable partie à quatre. Le gendarme réintégra son internat, le surfeur retrouva ses minettes, Maud et Lise rentrèrent chez elles le bas-ventre provisoirement apaisé et des souvenirs pleins la tête. Elles rendirent visite à Magali, la mère de Maud, une sexagénaire dynamique, divorcée depuis vingt ans et pas aussi "rangée des voitures" qu'elle voulait bien le dire. Sa vie sexuelle très libre n'avait pas été pour rien dans celle de sa fille et par ricochet celle de sa petite fille. Lorsqu'elle apprit la victoire du duo dans le tournoi de beach volley et les conséquences privées de détails mais suffisamment compréhensifs pour une femme avertie, elle fit mine de gronder sa fille pour avoir dévergondé sa petite-fille.
Il se trouvait qu'il restait quelques jours de vacances avant la rentrée universitaire. Magali avait justement l'intention d'offrir à Lise un séjour dans un club en sa compagnie. Trop heureuse d'avoir un peu de liberté, Maud accepta. Et c'est ainsi que la grand-mère et la petite-fille prirent la direction d'un nouveau séjour au bord de la mer.
A SUIVRE
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Mère et fille en beach volley

Le 09/06/2023 - 14:08 par lounabelle
trop bon
Le 06/06/2023 - 14:48 par OlgaT
Voilà une occasion que mère et fille n'ont pas laissé passer!

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